Pendant ce temps-là, la jeune princesse a obtenu sa récompense pour le permis.
Un Switch Oled de chez Nintendo de je sais pas quoi pour jouer à Super Pingui.
Ça fait 2h que je n'existe plus. Peut-être que sur Tinder on me remarquera allez savoir.

Allez c'est parti la cavalcade du Puy-du-Fou. Demain bye-bye les collègues. Il est temps de goûter à l'ivresse de rien branler à part visiter de nouveaux endroits, péter des entrecôtes à tour de bras, lire des livres à la chaîne sans stress, découvrir de nouveaux pays, coucou l'Autriche et la Hongrie, se faire servir comme une princesse, courir à Montparnasse avec 63 kilos sur le dos, s'orienter avec GoogleMap qui fait n'importe quoi, allez voir les championnats du monde d'athlétisme à Budapest, prendre la binouze à Salzbourg, crapahuter en Transylvanie, courir le haricot à Vienne, finir en Russie sans faire exprès et être dans le caca, lire, toujours lire, les entrecôtes je l'ai déjà dit. Bref. Vivre un peu. Enjoy !

Alerte pavé en approche. Niveau 4.

Il y a 20 ans nous étions jeunes et insouciants. Le saviez-vous ? C'est le titre de la biographie de Laurent Fignon que je viens de finir de lire. Alors, oui, j'entends déjà les « on s'en branle » et ils sont légitimes.

Il y a 20 ans nous étions jeunes et insouciants certes. Il n'empêche qu'il y a 20 ans jour pour jour je rendis fier mes parents avec une double réussite pas piquer des hannetons avec un carton au baccalauréat et l'obtention du permis de conduire. Je me souviens de mon retour à la maison après l'obtention du graal : Je portais littéralement mes couilles sur la table et j'ai réclamé instantanément mon cadeau : Une voiture de kéké. Je voulais frotter les jantes sur le bitume et attirer la jeunesse locale.

Père avait à l'époque une voiture de luxe. Une 106 blanche 1ére génération de deux places. Comme nous étions sans le sou, se posa la grave question de « qu'est-ce qu'on va bien pouvoir faire avec ce jeune éphèbe de fils qui nous fait chier avec sa future tuture ? » Eureka, je récuperais à titre partiel et temporaire la 106 blanche et de concert avec monsieur le père, nous faisions en sorte que nos emplois du temps respectif, lycée, BTS pour moi et travail pour lui soient en étroite corrélation. Je remisais donc mes rêves de Jaguar avec roues de 16 pouces et je partais turbiner au taf avec lui l'été en attendant d'avoir de l'oseille. Ce fut donc la 106 blanche immaculée deux places.

Quand j'étais le pilote de ce boui-boui à 4 roues, j'avais fier allure. Mesurant je le rappelle la bagatelle de 1m95, j'étais à mon aise. Constamment. Le volant me touchait les bouliches sans l'ombre d'un remord. Les genoux étaient presque au niveau du tableau de bord. Mon crâne frappait le toit parfois et j'héritais temporairement du surnom du « Moine étincelant » car souvent en sortant de la caisse, j'avais le cuir chevelu applatit et on aurait juré voir un apprenti-monarque en train de s'absoudre de tout ces pêchés.

Une sale histoire. Bref.

Et puis un soir d'obtention d'un BTS, écrasant toute concurrence, il me fallut allez honorer à 21 ans, ce diplôme fraîchement acquis avec tout les copains et les copines de la promo. D'accord.

C'était un jeudi soir. Il fallait donc impérativement que la voiture soit de retour à la maison pour grand maximum 7h du matin pour que pépé puisse allez à son travail avec la tuture. Ce jeudi-là j'étais toujours vierge de tout. Vierge de l'ivresse des cimes, 0 goutte d'alcool dans le sang depuis toujours, une fille m'avait fait la bise 3 semaines auparavant, j'étais toujours en feu de cet épiphénomène c'est dire.

« Alors mon con, tu veux du Jack ou de la Vodka ?? »
« Haha. Oui c'est clair ! Vas-y fait péter le Jack babe ! »

1 dose de 18cl plus tard

« Alors mon con, je te remets un Jack Daniel's pour nous les hommes ? »
« Haha. Putain chui chaud là je vais me calmer un peu tu vois ? T'as pas un jus d'ananas tranquille ? »

" "
" "

"J'ai pas compris "
"Je voulais dire un Jack "

Et le drame frappa. Je bus. Plus que de raison. Rien ne me ressembla à cet instant. Vers 2h30/3h du matin je stressais. Confusion. Je sortis la calculette pour voir par quelle possibilité mathématique l'alcool ainsi coulé dans mon organisme pouvait s'évaporer avant les 6h30 du matin. J'étais, je suis toujours un légaliste. J'aime pas trop dépasser les frontières et me faire fritter la raie par les contrôleurs de tout type. Le mal était fait.

Comble du destin et annonciateur du destin terrible, il me fallut prendre Mathilde sur mon porte-bagage pour la ramener a son domicile avant de poser la voiture à bon port à la maison.

« Hihi. Tu me ramènes chez moi ? »
"Bien sûr. "

Je ramenais donc la douce à son domicile, lunette de soleil, coude gauche sur la vitre baissée le tout à 6h30 du matin. Qui c'est qui va pécho ? C'est bibi. Ils sont ou les rageux ?

Bien sûr j'ai rien pécho à part la bise pour dire au revoir et je l'ai noté sur mon petit cahier de texte. Déjà deux bises en 3 semaines, on tenait là nul doute un militaire de la rondelle sentimentale.

Au moment de dire au revoir à Mathilde, l'air grave, elle me fit « Attention ! Tu m'as pas l'air très vivace toi encore. Fais très attention, pour sortir de la rue, tu dois poursuivre tout droit et il y a dans moins de 100 mètres un virage de fou furieux, roule en 1ére à 15/20km/h, je déconne pas hein, j'ai quelqu'un de la famille qui s'est fait baisé l'autre jour !! » J'ai répondu quelque chose du style « ok bébé » et je suis parti.

Très exactement 8 secondes plus tard, l'avertissement était oublié et j'arrivais au porte du virage de l'enfer en 3éme à environ 50km/h. L'arbre venait du triangle des Bermudes. Il était importé ce bâtard. Pas d'autres explications. Sa racine suçait le bitume, j'ai rien pu faire. J'ai freiné. J'étais quand même à 40km/h. Le devant droit de la voiture a tapé l'arbre. La voiture a fait « pouic-pouic » contre l'arbre. Je suis sorti vérifier le mal. L'avant était défoncé, quelques pièces manquaient à l'appel et j'étais là genre « ouais ok, ça va c'est pas si grave, ça va rouler » alors qu'évidemment je sais même pas faire la différence entre une courroie de distribution et un triangle de signalisation tellement je suis une bite en mécanique et pièces d'automobiles.

Mais je ramène la caisse à la maison, je roule au pas, ça fait pouic-pouic tranquille, doit peut-être y avoir une ou deux pièces de devant qui tape le goudron en roulant, mais on y va tonton. La voiture arrive à 7h05 à la maison. Papa est là, dehors, il fume son calumet.

« ça va ? »
"Oui et toi? ?"

"Tranquille. Je vais au taf. Et ta soirée?"
"Tranquille aussi "

"Dis-donc la voiture c'est tranquille aussi?"
"Tranquille vite fait oui "

"Ca fait longtemps que t'as pas pris une branlée je me trompe?"
"Couci-couça"

Le soir même je m'infligeais moi-même une correction anale.

20 ans plus tard, 0 accident et 0 alcool si je dois manier le cerceau.

La 106 continua de rouler encore un peu mais les femmes pour une raison inexpliquée n'était guère sensible à l'auréole de guerrier que je croyais avoir au volant. Je mutais donc quelques années plus tard vers une 206 bleue qui me réconcilia définitivement avec la gente féminine puisque je faisais monter uniquement.. des mecs dans la voiture. Les choses changèrent à partir de décembre 2010 avec ma formidable 207 avec toit panoramique en verre pour affoler les filles. Ce fut un échec car le toit permettait au soleil d'offrir 47 degrés celsius dans l'habitacle alors qu'au dehors il faisait 30.

L'année prochaine je tape dans de la 208 et ça va roxer dans les slips.

Bonsoir @Elenwey , bonsoir à tous,

Peu de retour cinématographique de ma part et pourtant. Dieu m'en soit témoin, j'ai eu l'occasion tout de même de me palucher sur quelques films au cinéma.

J'ai donc été voir Barbie au cinéma mais je ne suis pas prêt à émettre un avis qui provoquerait le clash des titans. Je prends donc le parti d'effacer mes sentiments profonds sur l'essai concernant Mattel. Samedi dernier en revanche, en tant que bon fan-boy de Christopher Nolan, j'ai donc assisté à la séance de 15h45 avec son Oppenheimer.

Une petite dizaine de pines d'huîtres, une petite salle, la salle 3, avec une soixantaine de sièges. J'ai un peu stressé quand j'ai remarqué que la meilleure place (celle que j'ai privatisé) était celle pour les accompagnants d'handicapés. Je me suis décalé fissa. Puis, j'ai posé tout mon barda et en avant mon coco c'est parti pour l'aventure.

J'étais dans le dur physiquement, consécutif à une mauvaise nuit. Si vous êtes dans le dur physiquement et que vous allez voir Oppenheimer, attention, ça peut être assez dangereux. Mais comme je suis un fan-boy de Christophe, je comptais bien sur ma force mentale reconnue pour faire fi des circonstances déplorables.

On s'est donc infligé 15 minutes de publicités infernales, j'en peux plus de ces conneries, ou tu vois des mecs qui font des flash mob (c'était en 2013 les mecs) pour vanter les mérites du vétérinaire du coin qui fait -30% sur les poils de chatte. Non mais c'est véridique hein. Puis les bandes annonces à chier sur le Manoir Hanté ou sur Pingoui contre-attaque. Les Pixar et autres joyeusetés ont la côte. Je dis rien, je respecte, j'ai bien été voir Elémentaire après tout.

Bref. Déjà 42 lignes sans une seule once d'Oppenheimer. Il est tant que ça cesse. Alors voilà, pour allez directement à l'essentiel, le film était satisfaisant. Voilà. Et c'est un demi-échec pour moi. C'est un demi-échec car je voulais écrire ceci : « Nom de dieu c'était énorme, j'étais en feu, j'ai fait connaissance avec des inconnus, on a discuté du film pendant 20 minutes on s'est promis de se revoir, j'avais un barreau qui scintillait dans l'espace-temps, je le télécharge comme un porc dés qu'il est dispo en full blu-ray 4k no tracing » mais non.

Le problème majeur dans mon avis sans contenance mais avec errance c'est que je ne suis pas capable de répondre à la question suivante :  « Mais tu attendais quoi au juste sombre péquenaud ? »

Alors tout d'abord, oui, le film est long. Le film est très long. Du genre 3 heures dans votre gueule voyez-vous ? Personnellement ça ne m'a jamais fait peur. J'ai eu quelques minutes part-ci, par-là ou j'ai coincé avec les yeux qui louchaient. Sans commettre l'irréparable, chui un guerrier. (et mauvaise nuit avec déficit chronique de sommeil)

Premier point, Nolan n'est pas un monstre de pédagogie. Tu embarques dans son vaisseau ou tu restes dans l'espace à suffoquer comme un con. Point final. Autrement dit, avoir quelques mini-base et la connaissance d'un vocabulaire à base d'étoiles à neutron, de procédé chimique destiné à faire péter 2/3 bombinettes, d'atomes peu crochus est un plus. Avec Nolan, y a pas de discussions branlettes au bord d'un comptoir PMU. On envoie tout de suite la sauce. Tu es pris dedans comme un lapin plein phare dans la gueule ou c'est d'entrée de jeu l'accident.

Je partais avec un bon background car j'aime bien l'astrophysique ou autres, quand on parle de Niels Bohr, d'Einstein, d'Heisenberg, je suis pas à la ramasse, ça change de d'habitude. Et puis le fond politico-historique du film alors là c'est carrément mon dada au pas de course. Je suis le papa de la période donc no malaise.

Le film se divise en plusieurs segments et je puis vous dire sans vous spoiler pleine face qu'effectivement la première heure peut en laisser certains sur le carreau et je le comprendrais aisément. J'ai néanmoins apprécié la première heure. On pose le bonhomme, le parcours, les enjeux, la montée en puissance, l'explication. Juste apprécié. Merde.

Je ne venais avec le pop-corn et du ketchup, soyons clair. Je ne venais pas pour m'exciter la nouille avec du fracas, des bombes, des feux d'artifice et des éclatements sonores en veux-tu en voilà. Mais tout de même j'ai été un p'tit peu déçu du clou du spectacle qui n'est au final pas vraiment le clou du spectacle mais un chapitre posé là. La tension des mecs tout le long du film et notamment l'un des segments est bien retranscrite, on voit bien que les mecs suintent du cul mais tout de même

La dernière heure rend un hommage appuyé au casting impeccable dans l'ensemble et j'ai trouvé que celle-ci était la plus intéressante. Seul problème à ce moment-là, 1/3 des spectateurs ont peut-être décrochés mentalement. Une mention attendrissante pour Robert Downey Jr qui n'est définitivement pas qu'un BG en armure.

Cillian Murphy est comme toujours mon bébé. Il est beau, il est classe, il est inquiétant, ses yeux percent mon âme, le casting c'est clairement pas de la merde, la musique est tantôt pesante, tantôt envoûtante, c'est réglé au poil de cul, Nolan parvient par je ne sais quel tour de passe-passe à me faire ressentir de la poésie dans ce film. Une poésie lancinante en toile de fond. Comment, pourquoi, je sais pas, je sais plus.

Les détracteurs de Nolan à mon sens auront toujours la partie belle avec ce film et je peux comprendre qu'on puisse le taxer de petit connard prétentieux qui se touche un peu avec ses films. Mais il y a « une patte » un « je-ne-sais-quoi » qui fait que j'aurais toujours une tendresse particulière pour Christophe. Appréciable biopic. Point. Clairement pas top 3 des films de Christophe par contre.

@Marcel Je vais être intraitable dans mon retour. Et dans 3 jours je vais être un fan boy qui achète sa petite poupée.

@Hilda-1 Oui. Le truc de poupée vendredi et le grand spectacle la semaine prochaine

@Orabig Haha ! Mais tellement ça nom d'une pipe

Je me sacrifie vendredi soir. Vendredi soir je vais voir Barbie. Vendredi soir je vais voir BARBIE. J'ai beau me le répéter en boucle, ça rentre pas.

Le délire va très loin.
Aller sur Google et taper Margot Robbie.

@Hassage Jurassic Park Pas toi. Pas toi, pas après tout ce que tu as fais.. Tu voulais dire Jurassic World c'est ça ? C'est forcément ça.

@LeaPierce Les choses sont claires, merci pour la précision. Je préfère large ton système

@LeaPierce Ha ouais ? Ben merde. Me v'là un privilégié et j'étais pas au courant. Dur.

@Kallindra @LeaPierce @Hilda-1 Bon pour dire tout à fait vrai, comme 86% de mes écrits comportent des exagérations, je remets la cathédrale au centre de l'église. Je serai pas tout à fait à zéro mais l'effet psychologique est le même. La boîte impose 3 semaines en août.. La pire chose qui soit. Je déteste cette période. Chaleur, foule, tout est plus cher. Le hors saison c'est la vie.. Et comme j'ai les 5 semaines de base, 25 CP et pas un de plus bah... Si on enlève 2/3 jours de ponts et 1 ou 2 autres déjà pris bah.. C'est pas gagné pour aller au Pérou en novembre. Mais bon. On bidouillera comme chaque année pour joindre les deux bouts.

Et moi j'ai 3 semaines au mois d'août alors du calme les bébés
Et jusqu'au 1er juin 2024 plus rien.

@Egon 6-1 6-2 et tu voudrais que je rentre sans avoir le poing rageur ? 🤨

@apis-32 Et j'aime ça ! Alors 0 pardon. Et si besoin on réglera notre contentieux (très lourd) sur le gazon d'Auch.

Vous avez affaire à un sacré athlète. Soyez donc heureux de ma présence. Jeune éphèbe au physique avantageux, athlétique et sportif c'est donc tout naturellement que j'ai pratiqué le tennis à haut niveau ce soir.

Il faut bien sur comprendre que je suis un gros sac qui s'il avait 1 euro à chaque bourrelet dans le bidou serait en train de créer un topic "racontez ce que vous voulez entre bourgeois" tellement je possèderais de caillasse.

3 ans jour pour jour après mon dernier match de tennis (perdu en 5 sets, 6-0 au 5éme (perte d'endurance) (c'est mon père qui m'avait sorti de la voiture à l'époque car durant le trajet retour de 30 minutes, tout mon corps était bloqué) j'ai remis le couvert ce soir. Ce n'était pas prévu. J'étais en chaussure de sécurité.

Je cours le 10 mètres (pas le 100 mètres hein le 10 mètres) en 6 secondes. Le seul sport que je pratique régulièrement c'est la lecture sur canapé (avec gâteaux) et me voilà donc parti pour rosser deux amis à l'endurance certaine. Pas de cardio mais de la précision. Pas d'endurance mais la main verte. Pas de puissance mais un revers efficace. Pas de chocolat mais un lift assassin.

6-1 le premier. 6-2 le second. Bonne soirée à demain.

"Tu tiens le coup Kourski la Pute?"
"Haha. Lol. Oui ça va tranquille et toi?"
(J'ai le plastique noir du manche de la raquette qui fusionne avec la paume de la main à cause de la transpi)

"Franchement ça va, pour un type adepte des branlettes tu gères encore"
"Oui ça va. Je pensais que physiquement je craquerais mais non ça passe bien"
(Mes orteils frappaient dans les chaussures de sécurité et je commençais à souffrir)

"Bon bah tu me l'as mise comme il faut bien joué Kourski!"
"Haha. Désolé mon gars. C'était une belle battle ! Pas trop fatigué en plus c'est cool"
(J'en pouvais plus)

"On fait un autre match?"
" "

"?"
" '

"?"
"Je rentre chez mes parents ce soir, je dois y aller"

"Ha zut. Une autre fois alors!"
"Oui "

Je suis rentré. J'ai deux ampoules qui gonflent sous les orteils, la cuisse droite qui bascule du mauvais côté et quand je tourne la tête à droite j'ai mal. Mais j'ai gagné 6-1 6-2. Un patron on vous dit.

Bientôt 3 semaines sans cigarettes, un second souffle qui revient, un jeu au filet énergique. Les français ne passent plus un tour à Roland-Garros depuis 2008? J'arrive.

@Hassage Quand tu es au sommet de la chaîne alimentaire les bonnes manières tu sais..

@Hassage En + si je dis pas de conneries les dernières secondes du dernier épisode de drive to survive, on voyait la tronche de De Vries en train de faire le cake en mode "vous n'avez encore rien vu".
Boh, rien de surprenant. Alpha en perdition. Le samouraï volant mérite la même peine.