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Koursk
J'ai le droit d'aller sur le forum?
Je suis pas vacciné.
Quel bordel. -
Koursk
Cimer M'dame @Shanna
Ce fut comme d'habitude un long chemin de croix pour ma quête de victoire mais sache que ta quête de divertir au poil les membres (si j'arrêtai ma phrase à "membres" ça ferait bizarre) du forum est réussie sans l'ombre d'un doute. Le forum n'oubliera pas. Thank's. -
Koursk
J'en profite et je sais qu'il me pardonnera pour dire que @jool a commencé son blind-test à 17h30 à cause de ses soucis de smartphone.
Il est à l'extrait numéro 8.
On le rattrapera aux alentours de 20h20.La direction.
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Koursk
- Les chats c'est mignon 5 minutes mais ça ne me fait pas vibrer outre mesure.
- Les Koh-Lanta en Papouasie, les Koh-Lanta avec les vainqueurs, les Koh-Lanta versus Prédator, les Koh-Lanta de la renaissance, les Koh-Lanta le mardi, le vendredi, le dimanche et les jours féries, bref quelle folie.
- Je suis heureux de connaître enfin un été sans soleil.
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Koursk
Performance de haut vol. Je me place parmi les candidats au sacre, j'ai le poing rageur, je suis en feu. Nonobstant mon corps brûlant je suis épaté par la constance et la réflexion de @Shanna pour se renouveler dans le divertissement.
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Koursk
A 14 ans c’est les premiers amours, la fête, la rébellion et les mobylettes. A 14 ans pour moi c’était de marquer sur un cahier de texte quand une fille me faisait la bise, les soirées lecture(s), la soumission et le vélo. Mais au milieu des ténèbres il y avait un espoir : Le foyer.
Le foyer d’une commune située à 3 kilomètres de mon village. Il regroupait la petite dizaine d’adolescents de ces communes et était le lieu ou il fallait être pour jouer au billard (il n’y avait qu’une seule couleur, quelqu’un avait volé les boules rouges) ou au baby-foot. Les leaders emmenaient même des Kronenbourg. Et il y avait les filles. Enfin une fille pour être précis. A 15 kilomètres à la ronde. Alors les mâles alphas du bled fourbissaient leurs armes le mercredi après-midi. 3 kilomètres de trajet à faire pour rejoindre le foyer.
Le gang sorti les bécanes, les mobylettes, RCX, SPX, scooter. La fille, elle, chevaucha délicatement la RCX noire et orange de l’un des leaders du gang. Je vous le donne en mille c’était moi. Uniquement dans mes sorties de rêves le matin avec la zezette tourmentée. Moi j’enfourchais un vélo. Un vélo d’adulte bleu et blanc. Un vélo de course avec des poignets recourbées. La classe. Il me niquait la colonne vertébrale mais je n’avais pas le choix, nous étions sans le sou. La RCX noire et orange avec pot ninja carte noire attendrait 2 ans de plus. J’avais un pack de panaché dans le sac-à-dos, un livre et des Kinders. Ils avaient la bière pour homme, des pétards et des joints. Elle s’éloignait. Irrésistiblement.
Au départ du village-étape, je montais sur mon vélo. Je regardai la bande s’éloigner rapidement avec les mobylettes pour rejoindre le foyer 3 kilomètres plus loin. Très vite je me mets en danseuse. Très vite je me claque les ischios jambiers dans la première montée. Le col de la Villette à 2% de pente sur 150 mètres. La honte. Le panaché commence à faite pschiiiit. Les capuchons vont sauter. Je suis en difficulté. Mais c’est dans la panade que les amis font vœux d’amitié. L’un des gars à mobylette freine et se met au même niveau que moi.
Il est l’heure de rentrer dans l’histoire. Il est temps d’utiliser la technique que tous les amateurs de bicyclette connaissent alors que leurs potes roulent avec des bécanes : S’accrocher à l’épaule du joueur de mobylette et se laisser entraîner par la puissance du bolide et effectuer le trajet sans stress ni effort. Ha les conards. Si j’avais su. Main gauche solidement arrimé sur l’épaule de mon fidèle destrier, main droite sur la poignée droite du vélo, je suis chaud. La mobylette arrive très vite à sa vitesse de croisière (50km/h), des sensations que vous ne connaissez pas. Mais je suis là pour vous les retranscrire au mieux. Je vibre. Les secousses sont réelles. Les canettes de panaché claquent sa race mais ça tient.
Flirter avec les éléments ça ne me fait pas peur (comme dirait Amel Bent dans sa chanson chépakoi). On franchit le mur du son du village et on s’offre une pointe à plus de 60km/h à la faveur d’une descente. Le vélo tremblote du cul, les poignées s’agitent, les Kinder fondent. C’est le défi de trop. Le carter arrière de la mobylette ( le carter c’est un gros bout en plastique qui recouvre des éléments de la mobylette et lui donne un style cool) (no rage de mon explication aux petits oignons), donc, merde je suis perdu dans mon écriture à cause de la parenthèse explicative.
Alors oui, donc le carter de la mobylette de mon copain est décalé de quelques centimètres par rapport aux autres morceaux en plastique. J’espère que vous suivez car je sais plus ce que j’écris. Il y a donc un décalage qui décale. Suivez-bien car ce décalage-là va avoir son importance. Et moi pendant ce temps-là je ne tournais pas les manivelles mais j’avais la tête qui tournait. 60km/h de pointe, bourrasque dans la gueule, moustique(s) dans la bouche et ma main gauche proche de la tendinite des doigts à force de m’agripper à mon cocher. D’ailleurs transit par le froid et le manque de force, ma main lâche l’épaule de mon sauveur. Pas si grave. J’effectuerai le reste du trajet en roue libre si je puis dire.
Effectivement.
En lâchant l’épaule de mon gars, la pointe de la poignée gauche de mon vélo trouve le moyen de s’encastrer dans le petit trou/décalage du carter de la mobylette de mon copain. Moi je suis pas un con. Je détecte les emmerdes quand elles se présentent. Je commence à gueuler « arrête la mob’ bébé » (j’appelle mes copains « bébé » no jugement stp). Evidemment au milieu du vacarme des bécanes avec leurs pots d’échappements digne des vaisseaux de Star Wars, ma voix de jeune boutonneux ne porte guère.
Puis quelques secondes pour l’éternité. Mon vélo avance tout seul. La pointe de la poignée encastrée dans la mobylette. Le vélo continue d’avancer. Tout droit. Je lève les mains en l’air à faire des signes. C’est la farandole du comique qui perds les pédales au sens propre comme au figuré. Le vélo continue d’avancer. Un peu moins droit. Même franchement en biais. La pointe de la poignée se détache. Mon vélo est comme une moto lors des Grand-prix sur un virage. Le bitume est ma patrie et je m’écrase comme une merde. Le bitume brûle et râpe ma peau sur de long centimètres. La douleur est assez forte. Mes canettes de panaché (technique pour séduire la belle) (j’apprendrai plus tard qu’elle fumait des Lucky Strike avec Frédéric cet enfoiré) ont explosés en plein vol. Les Kinders n’ont plus de surprise(s) dans l’œuf, c’est la déchéance. La bande continue le trajet l’air de rien. Je fais connaissance avec mon sang. Puis l’un des gars se retourne. Je suis l’attraction. Toujours. Tout le temps. Merde.
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Koursk
En direct du quiz.
14 minutes que j'y suis. 7éme question sur 30.
J'en chie des vertes et des pas mûres.
Je me revois y a quelques jours en vous lisant ici-même "mais qu'est-ce qu'ils ont ceux-là, Do-ré-mi ça laisse des possibilités immenses, c'est cadeau bordel"
J'y retourne. A+ -
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Koursk
J'ai découvert pour la toute première fois y a quelques jours le principe des caisses de magasin sans caisse, sans caissière. C'est un concept novateur.
J'arrive tout penaud chez Décathlon pour faire le plein de cochonneries anti-pluie. J'arrive à la caisse. Pas un péquenaud à 100 mètres à la ronde. Je me retrouve dans l'espace de stockage du magasin pour quémander une assistance. J'ai l'impression d'être dans la zone 51 tellement faut pas violer l'espace vital de la zone de stockage de Décathlon. Le mec m'envoie moitié chié comme quoi "ouin-ouin c'est des caisses automatiques, tu passes tout seul, tu raques et tu te barres".
Caisse auto-de-quoi?
J'ai soupesé chacun de mes articles sur la borne bien sagement. Le bazar affichait 165 euros alors que y en avait pour 85. Une dame m'a demandé de l'aide parce qu'elle captait rien. J'ai vu la détresse dans ses yeux. Alors que les gars de Déca faisaient les cons au rayon tricycle. En adepte de la modernité j'ai franchi l'épreuve sans trop de dommage mais je vous raconte pas le stress quand il a fallu franchir le paillasson infra-rouge avant la sortie. Le truc qui détecte les vols. J'étais sûr de sonner. Mais tout s'est bien passé. M'enfin quand même, le progrès j'vous jure. -
Koursk
J'ai quand même une pensée sincère pour @Shanna qui concocte des quiz innovants et travaille d'arrache-pied pour nous divertir et qui retrouvera 48 heures plus tard son topic avec des débats sur Gorilles dans la brune ou Le seigneur des anus.
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Koursk
Assurément dans les souvenirs d’enfance se cache un passage synonyme d’espérance de fiesta gang-bang et au final d’espoir déchu à s’enrouler dans sa couette.
Ou comment les festivités du divin pour son 10éme anniversaire tourne à la catastrophe.
10ans.
Pour la 1ére fois avec l’accord parental, une joyeuse journée de célébrations avait été validé avec des dizaines de convives de mon âge, du quatre-quarts breton à volonté, du Schweppes par barrique entière, des Milky Way, des bonbons têtes brulées pour nous les hommes et pleins d’artifices avec un budget record. C’était pas encore les soirées d’Eddy Barclay et on avait pas la coke mais la logistique et les animations valaient le détour. Tout était en place pour le grand bal.Animation 1 : La course volante
Un tapis de circuit pour voitures de 5 mètres.
10 couloirs pour les 10 concurrents, 10 voitures à friction, 1 seul vainqueur possible.
Une collision entre deux opposants à tourner au pugilat et la safety car fut annoncé.
Trop tard toutefois car les deux adversaires ont profité de la neutralisation de la course pour s’invectiver et se balancer des voitures dans la gueule. Deux des fenêtres simple vitrage de notre véranda n’ont pas résisté à l’impact.Animation 2 : Symbiose des races
Ha le con. J’étais fier de moi pourtant. J’avais truqué la partie de cache-cache et j’étais soigneusement planqué dans un des meubles qui avait été vidé au préalable. Mais la partie n’a déclaré aucun vainqueur car l’un des gamins a trouvé la clé qui menait au grenier. Jolie planque mon petit lapin. Malheureusement d’après la rumeur un rat lui aurait mordu le cul et il a fallu le mettre en slip devant tout le monde ma mère devant trouver la trace de ses blessures. Pas de trace de morsure mais les larmes continuèrent. Retour chez sa maman pour l’enfant agressé.
Animation 3 : La retraite aux flambeaux
La veille pour commémorer la jolie journée à venir qui se voulait festive, nous avions passé à la maison l’après-midi pour souffler dans des dizaines et des dizaines de ballons de baudruches destinés à s’envoler dans le ciel avec des petits messages personnalisés. L’organisation de cette parade a volé en éclat quand l’un des invités de marque a subtilisé la fourche à bêcher dans le jardin de mon père pour s’en servir comme le trident d’Aquaman pour crever tous les ballons. J’ai pleuré.
Animation 4 : Génocide et combat en cage
Voyez-vous à 10ans je souhaitais mettre un pied dans la délinquance. Dans cette intention, j’avais donc décidé d’organiser pour mon anniv’ une course illégale avec des paris illégaux eux aussi, du marché noir, des récompenses pour les vainqueurs etc. J’avais donc sciemment déconstruit mon circuit électrique pour petites voitures et en faire une grande ligne droite avec looping inclus destiné à servir de rampe de lancement pour ma course phare de l’après-midi :
La course d’escargot.
J’avais sélectionné des champions qui traînaient leurs peines les jours précédents dans mon jardin pluvieux. Ils avaient droit à leurs boîtes à chaussures avec des miettes de pain à l’intérieur (avec un accès sur le monde extérieur), une sorte d’écurie de Formule 1 avec des champions survitaminés. Chacun devait avoir son champion personnel, les paris devaient s’ouvrir sur le classement de la course, des récompenses illégales devaient voir le jour, du style des Snickers, des Nuts, des Kinder Bueno avec supplément gaufrette et des petits jouets à 10 balles. Malheureusement, ma liste prestigieuse d’invités décida de faire les précurseurs et d’inspirer Bruno Solo pour sa série Caméra Café des années plus tard.
L’un des participants à la course jugea que son bolide personnel avait du mazout dans le derrière et a voulu alléger sa masse corporelle pour qu’il aille plus vite. Il a décroché sa carapace. L’escargot a pris la voie des stands et il a abandonné la course. Les autres, goguenard et vociférant dans leurs barbes d’enfants ont commencé à décrocher les carapaces de mes pauvres escargots et une battle géante a suivi et moi-même ainsi que les autres enfants prenions dans nos gueules innocentes les escargots qui devenaient des projectiles pour une Blitzkrieg. Personnellement j’ai pleuré.Le 11éme anniversaire et les suivants furent plus calme.
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Koursk
Je n'ai jamais eu confiance en moi.
J'ai joué plus jeune dans la pièce à succès Lucky Luke part en couille. Le rôle d'Averell Dalton. On m'a dit plusieurs fois que j'étais excellent dans le rôle du benêt. Je suis reparti avec un manque de confiance supérieur à ce qu'il était initialement. -
Koursk
Eddie the Eagle. C'est quoi ce bordel ?
Eddie the Eagle est un film tout gentil sorti sur grand écran en 2016. Il dure 1h45 et est souvent considéré comme un biopic. Bref c’est bien beau tout ça mais c’est avec qui et ça parle de quoi ? Calme toi jeune fifrelin, le ban n’est jamais loin.
Eddie the Eagle est réalisé par Dexter Fletcher. Dexter c’est pas un rigolo, il a quand même été derrière la caméra de Bohemian Rhapsody ou Rocketman. Dés fois quand il est pris en photo avec ses cheveux argentés on dirait qu’il est sous coke H24 mais en théorie il est clean.
Jusque là on pourrait dire « t’es gentil mais on s’en branle ». Pas faux. Mais au niveau des acteurs ça envoie du pâté quand même. Un duo détonant porte le film.A ma gauche Taron Egerton. Taron est un jeune saligaud qui a accédé à une bonne petite renommée avec le film Kingsman : Service Secret. Il y incarnait un jeune fanfaron, espion de surcroit. Déjanté et bourré d’actions, le film faisait son office en termes de divertissement pour la plupart des spectateurs. Il a joué le rôle d’Elton John dans Rocketman (2019) déjà mentionné. Mais 3 ans auparavant il s’offrit donc le premier rôle d’Eddie the Eagle avec là aussi un rôle de composition ou il devait incarner une personne qui a réellement existé.
Taron pour Eddie the Eagle s’associe avec Hugh Jackman. Présenter le bon vieux Hugh ? Réellement ? Hugh a fait mouiller quelques slips au cours de sa carrière on ne va pas se mentir. Tout d’abord le mien avec Van Helsing en 2004 c’est vous dire le niveau. Huggy comme on l’appelle dans l’intimité porte la trace de l’inénarrable Wolverine dans les doubles trilogies-quadrilogies-reboot des X-Men. Ou bien incarne un magicien moitié pervers dans le Prestige. Bref Huggy a participé à Eddie the Eagle mais cette fois-ci il ne transperce personne.
Nous citerons également à titre posthume Christopher Walken. L’une des vedettes de Voyage au bout de l’enfer, rien que ça.
Bref déjà 200 lignes pour pondre des conneries mais ça parle de quoi ? Que nenni jeune oiseau.
Je t’envoie ci-dessous le synopsis qu’Allociné a pondu sur le film :
Eddie Edwards n’a jamais rien eu d’un athlète, bien au contraire. Pourtant, depuis qu’il est petit, il n’a qu’un seul rêve : participer aux Jeux Olympiques. Au fil des années, ni son piètre niveau sportif, ni le manque de soutien, ni les moqueries n’ont entamé sa volonté. Et c’est ainsi qu’en 1988, celui qui n’a jamais lâché a réussi à se retrouver, on ne sait trop comment, aux Jeux Olympiques d’hiver de Calgary.
Avec l’aide d’un entraîneur aussi atypique que lui, ce sauteur à ski pas comme les autres va secouer le monde du sport et conquérir le cœur du public en accomplissant une performance olympique aussi improbable qu’historique...
Un peu plus bas tu trouveras un lien qui renverra
vers PayPal pour me récompenser de mon travail de mise en forme et de mon effort d’écriture, si chaque membre versait 1 euro ça me permettraitvers la bande annonce du film.L’avis de Kourski la Tepu :
Tout d’abord je dois reconnaître que je me fais attraper à chaque fois qu’un film a pour slogan un truc du genre « à partir de faits réels » ou « films inspirés d’une histoire vraie » ou « film tiré d’une histoire vraie » et toutes les variantes qui existent. Eddie the Eagle est donc tiré d’un fait réel qui s’apparente au monde du sport et les sacro-saints Jeux Olympiques. Ne fuis pas jeune étourneau, tu n’as pas besoin de connaître le champion de Trampoline aux J.O. d’Athènes en 1896 pour apprécier le film. Apprécié par beaucoup de personnes à sa sortie pour son côté « Rasta Rockett » le film a été plébiscité pour son côté léger et s'affiche bien comme étant une petite comédie mignonette avec quelques touches de drama par-ci par-là. Taron joue donc le rôle d’un réel sauteur à ski britannique et le mimétisme avec le sportif britannique est assez frappant dans l’élocution. Il porte le film, s’en accommode sans stresser et scelle son destin définitivement car c’est à lui que Dexter fera appel pour jouer la diva Elton. Suivre pas à pas le parcours et le combat de cet athlète maladroit et destiné aux oubliettes à un côté attachant. Snobé par l’élite, moqué par ses adversaires, le triomphe de la volonté comme dirait Tonton peut porter au firmament et une participation olympique, le graal. Huggy-Wolverine tente de jouer la comédie, interprète un type sur le déclin puis sur le retour, le scénario est convenu, les stéréotypes vont bon train, c’est potache parfois, drôle également, la musique est bien bonne, tout particulièrement sur le final ou personnellement l’émotion m’a pris aux tripes et j’étais tout fou. On ne regarde pas ce film pour briller en soirée et débattre sur le thriller norvégien Les révoltés de l’île du Diable clairement. Mais si on veut un petit divertissement sympatoche, rire un petit peu, faire résonner notre corde de patriote et supporter un type un peu perché, je dis banco mon poussin.
Hommage donc à Michael Edwards sauteur olympique, britannique et symbole de l’échec héroique.
(Je ne sais pas faire les deux petits points sur le i de héroique ça me gave)
Maintenant que j’ai posté mon avis, je réalise que je n’ai pas vu le film. Récemment. Peut-être qu’un 2éme visionnage me fera dire que c’est à chier. Je ne pense pas. C’est aussi ça la magie du cinéma.
Edit : Je sais pas trop faire les vignettes illustratrices pour coller au topic.
Edit 2 : Apparemment Christopher Walken n’est pas mort. Mes excuses pour la personne concernée. -
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Koursk
Quand tu vas chez le dentiste pour t'équiper full options à 500 euros la couronne.
Quand malheureusement le dentiste est d'origine d'Europe de l'Est et ne bite pas grand chose à la langue de Molière.
Quand je m'assure que le package proposé rentre bien dans le cadre de l'offre de la sécu "100% remboursé".
Quand je m'entends répondre "T'inquiète, t'inquiète" avec limite un check de la part du dentiste.
Quand tu découvres 4,79 euros de remboursement de ta mutuelle au lieu des 324 euros prévus.
Quand tu réalises que ça va chier des bulles. -
Koursk
Moi j'ai ma lecture pour janvier depuis le passage du vieux dans la cheminée
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Koursk
M. Night Chalakouman n’est pas né de la dernière pluie. Sixième Sens, Signes, Incassable, Split, blablabla c’est quand même pas le premier rabougri venu on est bien d’accord ? Je pense qu’aujourd’hui ce mec a le Covid. Je n’ai pas d’autres explications pour justifier Old.
Flashback : Dimanche dernier c’est la fête. C’est Halloween. Après 2/3 slaloms en voiture pour éviter les gamins qui quémandent des bonbecs (les pauvres, personne n’a ouvert la porte dans le village, tout le monde s’en balec, ils ont du bien geler) on décide de regarder un film qui fait un petit peu peur. Priorité donnée à The Mist.
Mon amie « je l’ai pris en 1080p la qualité va être folle, roh la la ça va être trop bien ». Premier constat : 1.3 giga le film. Une couille dans le potager. Deuxième couille dans le jardin : Le film est codé avec le cul. Zoom X4 par défaut, gros plan pixelisé, les effets spéciaux de The Mist apparaissent comme étant aussi pourraves que ceux qui ont servis pour le Tron de 1982. Bref on coupe au bout de 10 minutes. Et c’est la qu’intervient la Providence, le Flash. Appelez-ça comme vous voulez.
"Et pourquoi pas Old ?" ai-je suggéré. Mais quel conard.
Je vais être violent voire agressif dans le post qui suit.
Les acteurs c’est quoi ? Qu’est-ce qui se passe ? Ce sont des PNJ inexpressifs. Les persos secondaires de Julie Lescaut sont plus vivants que la totalité de ce casting. Ils sont venus pour faire les cakes. Mission réussie. Le doublage français est déplorable. Affligeant. Non madame un YACHT ne se prononce pas YATTE. Alors par contre les évènements se succèdent vitesse grand V. Ha ben mon p’tit bonhomme accroche-toi à ton slip. On pose le décor les 10 premières minutes. Et là tu te dis « pourquoi pas ? » Puis ça pulse dans tout les sens. Toi t’es mort. Toi fais pas iech. T’es mort ? Je suis triste ? Non j’ai pas le temps. PAF une comète dans le ciel. POUF un champ de carottes qui pousse. Les évènements défilent aussi rapidement que George Russell à Sakhir.
Au bout de 30 minutes le verdict tombe dans un fracas : c’est de la daube. Mais une force occulte me pousse à me dire « il faut allez jusqu’au bout de l’aventure » il y a forcément une explication à ce bazar. Ho que oui il y a une explication. On te la sert à la toute fin pour te récompenser d’avoir été sage et d’avoir été patient pour subir ce gloubi-boulga à la sauce M. Night Koukouman. Fin bâclée, twist de fin risible, des raccourcis faciles, certaines scènes absolument ridicules. Monsieur Schalapouman c’est une honte. Je retourne à vos anciens films le coeur lourd.
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Koursk
Figurez-vous que j’ai réécouté le son suivant y a 15 jours en revenant de chez un ami à 6h30 du matin sur une route verglacée à faire des pointes à 45km/h en ayant l’impression de faire le rallye auto de Finlande. Si je lis un seul commentaire du type « on s’en branle » je sanctionne vos pseudos pour motif de double compte.