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    Meilleurs messages postés par Koursk

    • RE: Old

      M. Night Chalakouman n’est pas né de la dernière pluie. Sixième Sens, Signes, Incassable, Split, blablabla c’est quand même pas le premier rabougri venu on est bien d’accord ? Je pense qu’aujourd’hui ce mec a le Covid. Je n’ai pas d’autres explications pour justifier Old.

      Flashback : Dimanche dernier c’est la fête. C’est Halloween. Après 2/3 slaloms en voiture pour éviter les gamins qui quémandent des bonbecs (les pauvres, personne n’a ouvert la porte dans le village, tout le monde s’en balec, ils ont du bien geler) on décide de regarder un film qui fait un petit peu peur. Priorité donnée à The Mist.

      Mon amie « je l’ai pris en 1080p la qualité va être folle, roh la la ça va être trop bien ». Premier constat : 1.3 giga le film. Une couille dans le potager. Deuxième couille dans le jardin : Le film est codé avec le cul. Zoom X4 par défaut, gros plan pixelisé, les effets spéciaux de The Mist apparaissent comme étant aussi pourraves que ceux qui ont servis pour le Tron de 1982. Bref on coupe au bout de 10 minutes. Et c’est la qu’intervient la Providence, le Flash. Appelez-ça comme vous voulez.

      "Et pourquoi pas Old ?" ai-je suggéré. Mais quel conard.

      Je vais être violent voire agressif dans le post qui suit.

      Les acteurs c’est quoi ? Qu’est-ce qui se passe ? Ce sont des PNJ inexpressifs. Les persos secondaires de Julie Lescaut sont plus vivants que la totalité de ce casting. Ils sont venus pour faire les cakes. Mission réussie. Le doublage français est déplorable. Affligeant. Non madame un YACHT ne se prononce pas YATTE. Alors par contre les évènements se succèdent vitesse grand V. Ha ben mon p’tit bonhomme accroche-toi à ton slip. On pose le décor les 10 premières minutes. Et là tu te dis « pourquoi pas ? » Puis ça pulse dans tout les sens. Toi t’es mort. Toi fais pas iech. T’es mort ? Je suis triste ? Non j’ai pas le temps. PAF une comète dans le ciel. POUF un champ de carottes qui pousse. Les évènements défilent aussi rapidement que George Russell à Sakhir.

      Au bout de 30 minutes le verdict tombe dans un fracas : c’est de la daube. Mais une force occulte me pousse à me dire « il faut allez jusqu’au bout de l’aventure » il y a forcément une explication à ce bazar. Ho que oui il y a une explication. On te la sert à la toute fin pour te récompenser d’avoir été sage et d’avoir été patient pour subir ce gloubi-boulga à la sauce M. Night Koukouman. Fin bâclée, twist de fin risible, des raccourcis faciles, certaines scènes absolument ridicules. Monsieur Schalapouman c’est une honte. Je retourne à vos anciens films le coeur lourd.

      posté dans Films
      Koursk
      Koursk
    • RE: Les sujets qui vous font sortir de vos gonds

      Les gens qui ne respectent pas Code Quantum.

      posté dans Carte blanche
      Koursk
      Koursk
    • RE: QUIZ Sérieux - Plaisantins s'abstenir

      Ce fut un travail de tous les diables de rendre la chose accessible aux anti-sports. C'est une victoire personnelle dont je m'enorgueillis dans la limite du raisonnable. 👼

      posté dans Animations Communauté
      Koursk
      Koursk
    • RE: Joyeuses fêtes !

      Je vous souhaite à tous des opportunités de sourire et de vous petez le bide autant que faire que se peut (qui a la référence ?) avec des rillettes d'oie pour cette fin d'année.

      posté dans Vie du Forum
      Koursk
      Koursk
    • RE: Raconte ton plus beau voyage

      Je vais faire bref. (😐)

      Mon voyage le plus vivifiant, dépaysant et agréable fut sans doute à Crozon. J’aurai pu choisir du clinquant, du choc, du violent mais non car j’étais hypé depuis de longs mois par la perspective de sniffer l’air marin de la presqu’île de Crozon.

      Dans mon désir absolu de tout contrôler à l’avance, les grandes lignes de la semaine étaient tirés 3 mois à l’avance avec randonnées et visites prévues avec un horaire précis. Un jour bonus était exclusivement dédié pour les imprévues et le G.P.S était réglé au poil de cul. J’avais presque à l’avance la cartographie du Finistère dans la tête.

      Alors la presqu’île de Crozon qu’est-ce que c’est que ce merdier ?

      C’est une presqu’île qui claque de par son positionnement aux petits oignons.
      Dans le fin fond du Finistère, juché sur des collines verdoyantes, elle vous offre un quadrillage de toute beauté avec la baie de Douarnenez au sud, la rade de Brest au nord, la mer Iroise à l’Ouest, porte d’entrée de l’Océan Atlantique. Des rivières et des cours d’eau en pagaille à l’est et un pont mastodonte qui fait frémir les slips : J’ai nommé le pont de Térénez, 1er pont courbe à haubans de France. On ne lésine pas avec le grandiloquent à Crozon.

      Mes pratiques maritimes d’assez bon niveau et mon degré d’expérience pour partir à l’aventure à l’autre bout de ma chambre qui sent le renfermé me permettait d’envisager cette semaine de vacances avec sérénité. Et pourtant si je sélectionne Crozon comme mon voyage favori, les couilles dans le potager furent nombreuses. J’en choisi une parmi la multitude. C'est plus fort que moi désolé.

      Le départ.
      .
      Jour 1 : L’affrontement des Dieux

      3h30 du matin. La rangée de slips propres est prête, 3 cagettes de bouteilles d’eau de 50cl sont disposées dans le coffre de la voiture, équipement full options de chez Décathlon, canette de Red Bull dans le collimateur, départ imminent. 4h40 de route, je veux être à 9h du mat’ prêt à dégainer et entamer la randonnée tambour battant.

      4h00 du matin : Départ. En confiance.

      4h20 du matin : Les emmerdes commencent. La veille du départ, le monsieur Météo France divulgua un communiqué national alarmant « alerte rouge inondations-pluie ». Un seul département concerné : Loire-Atlantique. Le premier département que j’allais rencontrer pour mon périple matinal ? La Loire-Atlantique mon con.

      Evidemment.

      Essuies glace à fond les manettes (le niveau ultime, le niveau 4, celui ou les balais râpent le verre du pare-brise), Poséidon me trolle. Les roues avant et arrière côté droit du véhicule s’enfoncent dans des crevasses d’eau qui me déporte. C’est du pousse-pousse d’auto-tamponneuse. J’oublie le déluge un instant. J’ouvre la vitre pour laisser filer la cendre de ma clope et je me prends 3 litres dans la gueule. La canette de Red Bull laisse échapper du liquide dans la boîte de rangement du véhicule à l’endroit même où j’avais disposé mes masques Covid. Bref c’est une catastrophe. Je suis à deux doigt de débarquer. Je maintiens le cap car j’ai foi en mon destin. La Loire-Atlantique n’aura pas ma peau. J’ai battu les Dieux. Mais très vite une autre menace se précise.

      9h14 : Dégustation de pain de mie-rillettes-jambon-beurre-chips-Monster Energy-gaufrette-cookies-brioche.

      9h15 : Je suis claqué.

      9h16 : Départ de la randonnée avec ma compagne au Belvédère de Rosnoen. Le Belvédère offre un coup d’œil superbe sur la montagne Menez Hom, des fleuves côtiers en veux-tu en voilà, les méandres de l’Aulne s’agitent. Le paysage se dévoile lentement mais sûrement.

      text alternatif

      Le slip s’aiguise. Le Belvédère offre même un départ vers un circuit de randonnée de légende « le saut du loup ». Banco !

      Circuit de légende mon cul.

      Dés le départ les emmerdes se signalent. Ce sentier de randonnée est une boucle temporelle dont on ne sort pas. Après un check-up de contrôle sur Google Maps on tourne à droite. A 11h25 j’ai réalisé qu’on aurait dû tourner à gauche car nous sommes entrés de plein fouet dans la boucle du Belvédère. Une forêt, un petit bois ou un champ avec des arbres, je ne sais pas mais ce que je sais c’est que le sentier du bois du Belvédère est un attrape-touriste. On descend, on remonte. On remonte. On redescend.
      A 9h35 point de vue sur une mouette sur le toit d’une chapelle. A 11h25 point de vue sur une chapelle avec une mouette sur son toit. Il y a un problème. Ou plutôt deux.

      Car en forçant le rythme et oubliant que mes fantasmes de basketteur professionnel appartiennent à la nuit, je tire sur la corde raide du physique. Mais je ne m’écoute pas. Je ne m’écoute plus. Le programme est à tenir et nous devons sortir de la boucle. On sort de cette spirale paranormale à midi complètement claqué. J’ai les muscles chauds. Je ne ressens pas la douleur. J’ai soif de sensations pour le jour numéro 1. En quelques mots : M’en branle.

      Petit passage obligé sur le pont de Térénez histoire de voir ce qu’il a sous le capot.

      text alternatif

      C’est haut, c’est impressionnant, ça tangue un peu avec le vent. Je stresse et ça se ressent. Ou plutôt ça se sent pour reprendre l’expression de ma compagne. Bref. Je parle trop.

      On s’est offert également ce jour-là une petite virée dans un patelin charmant, Landévennec, qui offre la perspective d’apercevoir un prototype d'église ou je C pa trokoi de l’époque Renaissance-Néolithique-un truc d’un siècle passé donc. A peine franchi le seuil du mémorial on s’aperçoit que c’est 10 balles par personne. L’enrichissement culturel attendra on n’est pas pressé. Surtout que y a un MacDo pas loin.

      text alternatif

      Petite virée branlette à Morgat au soir, lieu de notre villégiature. Sa baie, son petit port, ses commerces. La plage et l’océan se devine au loin.
      Mais mon ventre gargouilla fort et l'envie de péter toutes les crêperies du coin dans un rayon de 40 kilomètres se fit sentir. Mais les triples-crêpes attendirent. Il était l’heure de déboucher le cidre dans l’appartement avec vue sur mer.

      text alternatif

      Le genre de boui-boui pour les adhérents du MEDEF qui coûte 1200 balles la semaine en haute saison. Prix divisé par 4 en octobre. Nous sommes la bourgeoisie nouvelle génération. Nous sommes le luxe. J’avais prévu de me baiser un homard au restaurant le lendemain car je suis inéluctable. Hélas trois fois hélas, au réveil du jour numéro 2 les emmerdes recommencèrent. Mais ceci est une autre histoire. Et comme il y a en tout 8 jours je vais arrêter là-dessus pour ce galop d'essai mais ne vous y trompez pas, Crozon restera mon coup de cœur ad viternam solo tutti quanti. (C'est du latin c'est pour faire genre je suis cultivé)

      posté dans Sorties - Voyages
      Koursk
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    • RE: QUIZ - Des affiches de films 2 - Peri est le gagnant !

      J'ai quand même une pensée sincère pour @Shanna qui concocte des quiz innovants et travaille d'arrache-pied pour nous divertir et qui retrouvera 48 heures plus tard son topic avec des débats sur Gorilles dans la brune ou Le seigneur des anus.

      posté dans Animations Cinéma
      Koursk
      Koursk
    • RE: Théâtre et confiance en soi

      Je n'ai jamais eu confiance en moi.
      J'ai joué plus jeune dans la pièce à succès Lucky Luke part en couille. Le rôle d'Averell Dalton. On m'a dit plusieurs fois que j'étais excellent dans le rôle du benêt. Je suis reparti avec un manque de confiance supérieur à ce qu'il était initialement.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      Koursk
      Koursk
    • RE: Le topic déprime (quand t'es triste)

      J'ai le droit d'aller sur le forum?
      Je suis pas vacciné.
      Quel bordel.

      posté dans Carte blanche
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    • RE: QUIZ en live - En criant son nom - Et son nom est Orabig (le gagnant) !

      Cimer M'dame @Shanna
      Ce fut comme d'habitude un long chemin de croix pour ma quête de victoire mais sache que ta quête de divertir au poil les membres (si j'arrêtai ma phrase à "membres" ça ferait bizarre) du forum est réussie sans l'ombre d'un doute. Le forum n'oubliera pas. Thank's.

      posté dans Animations Communauté
      Koursk
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    • RE: Présentation des couples

      -Dans quelles circonstances vous êtes-vous rencontré.e.s pour la première fois ?

      Après 6 mois d'intenses échanges, après moult refus, hésitations, questionnements, stress de ma part, il fut mis au point un rendez-vous. En territoire neutre. Avec du public autour en cas de danger. Elle débarqua du train dans sa tente Quecha (veste) et ses écouteurs, d'un air désinvolte, l'air de dire « oui bah ça va, on se voit quoi, pas de quoi fouetter une chatte » et moi je descendis de ma toto-mobile en me mettant sur la pointe des pieds pour dépasser les 2m officiellement, l'huile à barbe fusionnant avec la transpiration et le froc suintant la panique.

      -Qu'est-ce qui vous a séduit.e chez ellui ?

      La double intelligence. Celle de la vie et celle de la culture. Dans mes heures de gloire, je ne me voyais pas si con que ça mais à ses côtés je reviens sur le podium des couillons dorés. Une fois le perçage de la carapace effectué on y trouve également une belle boîte contenant pèle et mêle, un humour décapant proche du no-limit (très important pour moi), le côté posé tout en ayant la tête dans les étoiles, la simplicité, une bonne dose de générosité, la surprise, la curiosité de TOUT, l'envie du grand monde, du voyage, notre rencontre débouchant désormais sur l'envie de voir la planète. Mais également l'empathie et une présence fondamentale dans les coups durs et les drames comme celui que je vis actuellement et puis bien sûr un petit visage qui provoque de furieuses poutous-party à toute heure de la nuit.

      -Que s'est-il passé entre votre première rencontre et l'"officialisation" de votre couple ?

      Une fois tonton rentré chez lui, coup de téléphone à la princesse. S'assurer que rien n'a changé. Rien n'a changé ? 5 jours plus tard, on officialise le barnum et nous voilà dans la danse.

      -Quel est le mode de fonctionnement de votre couple (exclusif/libre/à distance/sexfriend/etc...) ?

      Extrêmement libre. Chacun batifole à son aise. Elle dans la grande ville, moi dans les champs ruraux qui fleurent bon l'esprit d'antan. Sinon exclusivité totale. Pas eu besoin d'évoquer ça.

      -Quel est le trait que vous préférez chez votre SO ?

      L'humour. Moteur de la vie.

      -Quel est le trait qui vous fait le plus vriller chez votre SO ?

      La rigueur pour les courses. On fait une liste putain. Une liste. On rentre dans Leclerc et 5mn plus tard la moitié du caddy est remplie de merdes qui ne sont pas sur la liste. Je vrille.

      -Quelle est votre situation parentale (parents/fencesitters/childfree/childless) ?

      Doux Jésus pas de gosses. Jamais.

      -Quel est le régime officiel de votre couple (PACS/mariage/cohabitant/séparé) ?

      Union libre. Plus pour très longtemps. Abdullah Hamdoullah comme on dit au village.

      -Quelle place prend la sexualité dans votre couple ?

      C'est simple, on queute dans tout les sens. Une poignée de porte, une bouteille de cidre, une baie vitrée, tout est prétexte à envoyer Jésus direct dans la crèche. Sinon dans l'ensemble c'est plutôt calme. Frustrant parfois. Car j'ai souvent le zizi en forme aux heures sombres. 3 heures du matin, 6h15 et midi notamment. Pour le midi c'est chiant car à moins de déposer l'engin dans la gamelle de nouilles du collègue de travail, les options se limitent. On se débrouille, on fait la tambouille mais de là à dire que ça gicle dans tout les sens dans l'appart, non loin de là.

      -Une anecdote mémorable sur votre couple ?

      C'est possible oui. En soi la première rencontre est quelque peu mouvementé. Pour optimiser mes chances de me faire reluire la rondelle, j'ai quand même en 2 heures déployé tout mon talent. Chaussures Timberland dans de la merde de canard, gaufrettes achetées à Noz et j'ai tout bouffé, papier journal dans la voiture pour boucler les issues et jouer au prédateur. Et le tout un 14 février. Elle n'a pas bronché. Je l'ai choisi. Mais comme ça ne me concerne que moi ça colle pas du tout.

      Sinon je jouerais la carte de 2 gugus à la curiosité inassouvie. Quand ils se rencontrent ça matche bien et ça donne l'envie de se carapater. Pour rester sur des souvenirs de moins d'un an, sinon je vais écrire un livre, je pense notamment à la soirée de l'année dernière au fin fond de la Hongrie, à voir les illuminations, les feux d'artifices à 200 emplacements différents sur le Danube et me dire que quand même en peu de temps on en a fait des conneries et des excursions mouvementées. D'une manière générale, chaque voyage a réservé son lot de moments inoubliables. De très bons et de très intenses, comme lors de notre première journée en Autriche à chercher un hôpital pour la princesse désenchantée dans Vienne, avec pour seul bagage linguistique de ma part un bien senti « guten tag » ainsi qu'une impossibilité de nouer un contact fiable (les doigts dans les fesses de l'autochtone ne donnent pas les mêmes résultats qu'avec mes collègues de travail). L'élue est en danger. Seul son homme peut la sauver n'est-ce pas ? Un résultat en dent de scie avec des pancartes à déchiffrer du type « HALZUNG CHLIBETICH ZARZOUTECHLAM BOCH » Bref. Il lui fallait consulter pour des gonflements et une possible allergie au potentiel inquiétant et avec moi elle a finit dans l'unité des arrêts cardiaques. N'est pas germanique qui veut.

      Arrêtons-nous là.

      posté dans Amour - Sexe
      Koursk
      Koursk
    • RE: Unpopular opinion
      • Les chats c'est mignon 5 minutes mais ça ne me fait pas vibrer outre mesure.
      • Les Koh-Lanta en Papouasie, les Koh-Lanta avec les vainqueurs, les Koh-Lanta versus Prédator, les Koh-Lanta de la renaissance, les Koh-Lanta le mardi, le vendredi, le dimanche et les jours féries, bref quelle folie.
      • Je suis heureux de connaître enfin un été sans soleil.
      posté dans Carte blanche
      Koursk
      Koursk
    • RE: QUIZ - La réponse adéquate - Mai Tai super adéquate !

      Performance de haut vol. Je me place parmi les candidats au sacre, j'ai le poing rageur, je suis en feu. Nonobstant mon corps brûlant je suis épaté par la constance et la réflexion de @Shanna pour se renouveler dans le divertissement.

      posté dans Animations Communauté
      Koursk
      Koursk
    • RE: Vos talents de cuisinier(ère)

      Les plaisirs culinaires et moi on est pas très copain mais j’apprends au fur et à mesure et en tant qu’adulte il faut savoir être polyvalent du coup je vous propose un tuto pour un vrai repas :

      Le bol de pain charcutier sur son lit de coulis de produit laitier

      • 75 grammes de jambon blanc Si vous êtes blindé de tune vous pouvez opter pour du Fleury Michon, si vous êtes en gestion financière du Monique Ranou peut suffir.
      • 194 grammes de pain. Là aussi question de prestige : Si vous êtes flambeur vous prenez le pain directement en boulangerie sinon un pain congelé de trois semaines dur comme.. Bref ça suffira aussi.
      • 22 grammes de beurre doux. Ou demi-sel. Ou salé. Ou extra fin. On s’en fou j’ai pas compris la différence. Bref 22 grammes de cette substance jaunâtre.
      • Pour les citadins qui votent écolo vous pouvez agrémenter le tout d’une demie-feuille de salade pour l’esthétique.
      • Un couteau qui coupe + couteau de rechange.

      Recette :

      • Essayez d’ouvrir le paquet de jambon au niveau de « l’ouverture facile »
      • Si échec, démontez le paquet avec le couteau et transpercez-le en plusieurs points
      • Si pain boulanger : Découpez-le sur 16 centimètres en extérieur pour éviter de faire exploser à l’impact toutes les miettes sur le carrelage.
      • Si pain congelé : Frappez-le sur la huche à pain pour qu’il se fende au milieu.
      • Ouvrir la barquette de beurre et insérez-y le couteau en toute sérénité en effectuant une courbe.
      • Si la lame du couteau se fend, prendre le couteau de rechange et poignardez la plaquette de beurre en plusieurs points et rassemblez le paquet de merde que vous aurez réussi à extraire.
      • Etalez ce bazar sur le pain. Remarque Tuto : Si le deuxième couteau est aussi hors d’usage, prendre les miettes de beurre à la main et semez-les sur l’une des extrémités du pain comme pour semer des petits cailloux.
      • Prendre la tranche de jambon à l’arrache avec les mains et collez là sur la surface terrestre du pain qui a été badigeonné par le produit laitier.
      • Pour la touche finale comme précédemment préciser, vous pouvez recourber les bords d’une feuille de salade et recouvrir l’ensemble de l’œuvre pour parfaire l’esthétique du projet.

      Et voilà le travail.

      jambon-beurre3.jpg

      Demain nous apprendrons la fricassée de bar au gingembre sur son velouté de châtaignes entouré d’un lit d’écrasé de pomme de terre.

      posté dans Cuisine
      Koursk
      Koursk
    • RE: Le jour où, mort de honte, vous vous êtes senti très seul

      A 14 ans c’est les premiers amours, la fête, la rébellion et les mobylettes. A 14 ans pour moi c’était de marquer sur un cahier de texte quand une fille me faisait la bise, les soirées lecture(s), la soumission et le vélo. Mais au milieu des ténèbres il y avait un espoir : Le foyer.

      Le foyer d’une commune située à 3 kilomètres de mon village. Il regroupait la petite dizaine d’adolescents de ces communes et était le lieu ou il fallait être pour jouer au billard (il n’y avait qu’une seule couleur, quelqu’un avait volé les boules rouges) ou au baby-foot. Les leaders emmenaient même des Kronenbourg. Et il y avait les filles. Enfin une fille pour être précis. A 15 kilomètres à la ronde. Alors les mâles alphas du bled fourbissaient leurs armes le mercredi après-midi. 3 kilomètres de trajet à faire pour rejoindre le foyer.

      Le gang sorti les bécanes, les mobylettes, RCX, SPX, scooter. La fille, elle, chevaucha délicatement la RCX noire et orange de l’un des leaders du gang. Je vous le donne en mille c’était moi. Uniquement dans mes sorties de rêves le matin avec la zezette tourmentée. Moi j’enfourchais un vélo. Un vélo d’adulte bleu et blanc. Un vélo de course avec des poignets recourbées. La classe. Il me niquait la colonne vertébrale mais je n’avais pas le choix, nous étions sans le sou. La RCX noire et orange avec pot ninja carte noire attendrait 2 ans de plus. J’avais un pack de panaché dans le sac-à-dos, un livre et des Kinders. Ils avaient la bière pour homme, des pétards et des joints. Elle s’éloignait. Irrésistiblement.

      Au départ du village-étape, je montais sur mon vélo. Je regardai la bande s’éloigner rapidement avec les mobylettes pour rejoindre le foyer 3 kilomètres plus loin. Très vite je me mets en danseuse. Très vite je me claque les ischios jambiers dans la première montée. Le col de la Villette à 2% de pente sur 150 mètres. La honte. Le panaché commence à faite pschiiiit. Les capuchons vont sauter. Je suis en difficulté. Mais c’est dans la panade que les amis font vœux d’amitié. L’un des gars à mobylette freine et se met au même niveau que moi.

      Il est l’heure de rentrer dans l’histoire. Il est temps d’utiliser la technique que tous les amateurs de bicyclette connaissent alors que leurs potes roulent avec des bécanes : S’accrocher à l’épaule du joueur de mobylette et se laisser entraîner par la puissance du bolide et effectuer le trajet sans stress ni effort. Ha les conards. Si j’avais su. Main gauche solidement arrimé sur l’épaule de mon fidèle destrier, main droite sur la poignée droite du vélo, je suis chaud. La mobylette arrive très vite à sa vitesse de croisière (50km/h), des sensations que vous ne connaissez pas. Mais je suis là pour vous les retranscrire au mieux. Je vibre. Les secousses sont réelles. Les canettes de panaché claquent sa race mais ça tient.

      Flirter avec les éléments ça ne me fait pas peur (comme dirait Amel Bent dans sa chanson chépakoi). On franchit le mur du son du village et on s’offre une pointe à plus de 60km/h à la faveur d’une descente. Le vélo tremblote du cul, les poignées s’agitent, les Kinder fondent. C’est le défi de trop. Le carter arrière de la mobylette ( le carter c’est un gros bout en plastique qui recouvre des éléments de la mobylette et lui donne un style cool) (no rage de mon explication aux petits oignons), donc, merde je suis perdu dans mon écriture à cause de la parenthèse explicative.

      Alors oui, donc le carter de la mobylette de mon copain est décalé de quelques centimètres par rapport aux autres morceaux en plastique. J’espère que vous suivez car je sais plus ce que j’écris. Il y a donc un décalage qui décale. Suivez-bien car ce décalage-là va avoir son importance. Et moi pendant ce temps-là je ne tournais pas les manivelles mais j’avais la tête qui tournait. 60km/h de pointe, bourrasque dans la gueule, moustique(s) dans la bouche et ma main gauche proche de la tendinite des doigts à force de m’agripper à mon cocher. D’ailleurs transit par le froid et le manque de force, ma main lâche l’épaule de mon sauveur. Pas si grave. J’effectuerai le reste du trajet en roue libre si je puis dire.

      Effectivement.

      En lâchant l’épaule de mon gars, la pointe de la poignée gauche de mon vélo trouve le moyen de s’encastrer dans le petit trou/décalage du carter de la mobylette de mon copain. Moi je suis pas un con. Je détecte les emmerdes quand elles se présentent. Je commence à gueuler « arrête la mob’ bébé » (j’appelle mes copains « bébé » no jugement stp). Evidemment au milieu du vacarme des bécanes avec leurs pots d’échappements digne des vaisseaux de Star Wars, ma voix de jeune boutonneux ne porte guère.

      Puis quelques secondes pour l’éternité. Mon vélo avance tout seul. La pointe de la poignée encastrée dans la mobylette. Le vélo continue d’avancer. Tout droit. Je lève les mains en l’air à faire des signes. C’est la farandole du comique qui perds les pédales au sens propre comme au figuré. Le vélo continue d’avancer. Un peu moins droit. Même franchement en biais. La pointe de la poignée se détache. Mon vélo est comme une moto lors des Grand-prix sur un virage. Le bitume est ma patrie et je m’écrase comme une merde. Le bitume brûle et râpe ma peau sur de long centimètres. La douleur est assez forte. Mes canettes de panaché (technique pour séduire la belle) (j’apprendrai plus tard qu’elle fumait des Lucky Strike avec Frédéric cet enfoiré) ont explosés en plein vol. Les Kinders n’ont plus de surprise(s) dans l’œuf, c’est la déchéance. La bande continue le trajet l’air de rien. Je fais connaissance avec mon sang. Puis l’un des gars se retourne. Je suis l’attraction. Toujours. Tout le temps. Merde.

      posté dans Carte blanche
      Koursk
      Koursk
    • RE: QUIZ - Do, ré, mi - Peri a gagné !

      En direct du quiz.
      14 minutes que j'y suis. 7éme question sur 30.
      J'en chie des vertes et des pas mûres.
      Je me revois y a quelques jours en vous lisant ici-même "mais qu'est-ce qu'ils ont ceux-là, Do-ré-mi ça laisse des possibilités immenses, c'est cadeau bordel"
      J'y retourne. A+

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    • RE: Cooking challenge 2021

      @Egon @Hornet
      Je suis un peu en colère contre les poulets.
      C'est quasi de l'arnaque à grande échelle.
      Dés fois je suis invité chez des gens, c'est curieux ça, et là ils sortent des énormes poulets qui visuellement sont fantastiques.
      Alors bon, comme je suis un gros cochon qui mange en plongeant les doigts dans les pots de rillettes je me dis que je vais faire preuve de bonne manière et utiliser des couverts.
      Dés le début c'est la merde cette histoire, il faut désosser l'engin en simulant la sérénité.
      Mais d'entrée de jeu je panique. J'écarte la peau visqueuse que je ne tolère pas en combattant avec la fourchette. Tu perds 30% de la composition de l'offrande.
      Là je commence à avoir la dalle et j'accélère le tempo mais j'ai jamais de chance et je me retrouve avec des trucs durs (ça doit être ce qu'on appelle des os) dans la bouche qui défonce mes couronnes dentaires qui servent à mâcher.
      Après faut simuler des problèmes de toux et demander du sopalin pour expulser en scred le résidu de poulet.
      Tout les trucs durs en combiné sur le morceau de poulet enlève à nouveau 25% de la composition totale.
      Au final, j'attrape que les morceaux de blanc de poulet au nombre de 4 fines lamelles après avoir fusillé une fourchette qui se plie sous les coups de boutoirs.
      4 fines mini-tranchettes par demi-kilo de poulet ce qui représente 12% max du contenu total.
      "c'était bon?"
      "ben oui mais je prendrais bien 3 ou 4 desserts"
      😢

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    • RE: Vous avez carte blanche !

      J'ai découvert pour la toute première fois y a quelques jours le principe des caisses de magasin sans caisse, sans caissière. C'est un concept novateur.
      J'arrive tout penaud chez Décathlon pour faire le plein de cochonneries anti-pluie. J'arrive à la caisse. Pas un péquenaud à 100 mètres à la ronde. Je me retrouve dans l'espace de stockage du magasin pour quémander une assistance. J'ai l'impression d'être dans la zone 51 tellement faut pas violer l'espace vital de la zone de stockage de Décathlon. Le mec m'envoie moitié chié comme quoi "ouin-ouin c'est des caisses automatiques, tu passes tout seul, tu raques et tu te barres".
      Caisse auto-de-quoi?
      J'ai soupesé chacun de mes articles sur la borne bien sagement. Le bazar affichait 165 euros alors que y en avait pour 85. Une dame m'a demandé de l'aide parce qu'elle captait rien. J'ai vu la détresse dans ses yeux. Alors que les gars de Déca faisaient les cons au rayon tricycle. En adepte de la modernité j'ai franchi l'épreuve sans trop de dommage mais je vous raconte pas le stress quand il a fallu franchir le paillasson infra-rouge avant la sortie. Le truc qui détecte les vols. J'étais sûr de sonner. Mais tout s'est bien passé. M'enfin quand même, le progrès j'vous jure.

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    • RE: Blind Test en direct ! thème : les OST, victoire de Wolfen !

      Mais cette arnaque à la fin. J'attends depuis 40 secondes que les messages arrivent à la page 15 et je percute par le plus grand des hasards que vous êtes déjà arrivé à la fin de la page 16 du topic.

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    • RE: Mon dernier resto

      Mon dernier restaurant s’annonçait bien.
      Ce fut difficile.

      Lors de ma dernière journée de vacances avec ma jeune compagne ce mois-ci, j’ai décidé de voir les choses en grand. Il me fallait marquer des points importants car la nuit précédente j’avais pas mal gazé (stress). Visite de la côte bretonne, océan Atlantique à perte de vue, air vivifiant qui chatouille les narines, l’heure était venue de se restaurer. Il me fallait un boui-boui local pour taper fort et c’est tout naturellement que je m’arrêtais à un restaurant dont la spécialité bretonne était le burger-frites avec option sauce bien grasse.

      Le menu XXL présentait une farandole de mets gourmets : Burger-Frites donc, avec s’il vous plaît jus d’orange inclus pour 14 euros. Bon prince je décidai de porter mes couilles et d’offrir (en cash) ce menu des Anges. Serveuse chaleureuse au possible. Une dame d’un âge certain au verbe truculent. J’adore. Mais hélas trois fois hélas, les couverts de base étaient une option dont nous n’avons pas pu bénéficier.

      Pas de verres. Nous n’étions pas désireux de boire directement à la carafe. Après deux rappels amicaux nous avons subtilisés les bols à cidre pour boire de l’eau. Puis devant l’absence du jus d’orange, j’ai porté mes attributs (de nouveau) pour réclamer notre dû en précisant que celui-ci était inclus dans le menu. (Mon 6éme sens sentait déjà une douille à ce moment-là).

      Puis le burger arriva. Une fière allure le cochon. J’avais envie de le péter en 30 secondes. Malheureusement sans fourchette et sans couteau, c’était compliqué. La serveuse ne revenant plus malgré le rappel de l’espoir et ayant déjà jouer au héros à réclamer à cor et à cri notre jus d’orange Minute Maid, j’ai envoyé en mission suicide ma copine en mode commando directement en cuisine pour ramener des couverts. (no fake) Puis au moment fatidique pour régler l’addition j’ai bien évidemment pris conscience que les jus d’orange des enfers étaient facturés en supplément alors qu’ils étaient inclus dans le menu de base. Mais j’ai chié dans mon froc et je n’ai pas osé émettre une protestation et j’ai payé le montant exigé. Objectif : Un bon resto en novembre sans prendre une douille.

      posté dans Cuisine
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    • RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)

      Quand tu vas chez le dentiste pour t'équiper full options à 500 euros la couronne.
      Quand malheureusement le dentiste est d'origine d'Europe de l'Est et ne bite pas grand chose à la langue de Molière.
      Quand je m'assure que le package proposé rentre bien dans le cadre de l'offre de la sécu "100% remboursé".
      Quand je m'entends répondre "T'inquiète, t'inquiète" avec limite un check de la part du dentiste.
      Quand tu découvres 4,79 euros de remboursement de ta mutuelle au lieu des 324 euros prévus.
      Quand tu réalises que ça va chier des bulles.

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