@delnis
Ne jamais oublier que les premières définitions de la révolution c'est la notion de rotation complète d'un corps mobile autour de son axe et donc le retour périodique au même point.
La révolution française, n'a eu d'effet que de remplacer (cette à grand fracas et de manière théâtrale) l'aristocratie (qui s'est fait discrète) par la bourgeoisie (qui a pu alors prospérer).
Mais, si le peuple a gagner en liberté et condition de vie, il est resté dans le même "état" d'incapacité d'émancipation.
Voir même pire puis-qu’avec l'uberisation de la société, on assiste comme au 19éme siècle à la création d'une classe toujours plus populaire et toujours plus asservie de travailleur pauvre (on a remplacé la personne physique du patron de mine par la personne moral de l'entreprise de service sur plateforme mais l'asservissement est le même).
Notre système aujourd'hui ne peut aller vers la méritocratie parce qu'il est structurellement incapable de le permettre.
Au contraire, il se structure progressivement pour fabriquer les conditions nécessaires à l'émergence d'une nouvelle classe ultra-populaire.
Et le pire, c'est que c'est même le peuple qui va défendre des mesures qui pourrait au contraire aller dans le sens de la méritocratie.
Je pense notamment à la taxation ultra massique de l'héritage qui est un jeu de passe passe totalement inégale dans la méritocratie.
Bref, c'est pas gagné...







, ce twist 
euh comment dire, faut oublier 







