Comme le sujet vient de remonter depuis mon dernier post, et au vu des échanges qui en découlent, j'en profite pour rajouter mon grain de sel d'après ce que mon compagnon m'a expliqué et ce que j'en ai vu.
Il faut savoir que certains peuvent rompre le jeûne à tout moment en cas de maladie ou de "faiblesse" sans pour autant craindre une éventuelle punition divine parce qu'ils n'ont pas réussi à tenir jusqu'à la fin du mois.
Ceux-là sont "pardonnés". Le Ramadan et l'Islam ont tout de même une souplesse et une tolérance.
Les enfants, les femmes enceintes et les femmes pendant leur période menstruelle ne le font pas.
Par contre, ceux qui sont capables d'aller jusqu'au bout et n'ont donc pas de "circonstances atténuantes" sont au contraire très sensibles au fait que s'ils ne respectent pas les "interdits" auront peur d'une éventuelle punition divine et se tiennent donc "à carreau" pendant ce mois saint.
On choisit (décide) de faire le Ramadan, rien n'est imposé donc quand je lis plus haut qu'un père a imposé à son fils de le faire à sa place, ça m'étonne un peu, mais bon, il devait avoir ses raisons.
Comme je l'ai dit sur mon précédent post, je vais faire le jeûne cette année encore mais en essayant de tenir plus longtemps (puisque je n'ai pas d'opération chirurgicale de prévue cette année).
C'est toujours un choix de ma part, rien ne m'est imposé, ça m'a plu l'an dernier et ça m'apprend beaucoup sur moi-même. Aussi, ça me rapproche également de certaines valeurs de l'Islam en lesquelles je me reconnais. Je m'inspire donc beaucoup de cette religion qui est très accès sur la spiritualité et le respect et l'amour de son prochain ainsi que le partage et l'entraide que l'on retrouve pendant le mois du Ramadan encore plus que pendant le reste de l'année.
Je vais donc une nouvelle fois "accompagner" avec plaisir mon ami et tout faire comme lui (à part bien sûr les prières) mais le même respect des horaires, et tout et tout
Merci à @WatchTheCat d'avoir tout bien expliqué plus haut