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Gaip
Ma pile à lire est répartie dans tout mon appart... Si j'en faisais une vraie pile, elle ferait bien un ou deux mètres de haut. Je vais donc m'abstenir, mais je suis de tout cœur avec vous
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Gaip
Moi je suis une Brusseleir... Mais mon accent bruxellois n'est pas exagéré, je pense...
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Gaip
J'adoooore les axolotls et leur air d'aliens trop choupis !
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Gaip
Première primaire, 6 ans...
L'institutrice vient voir ma mère : "Est-ce que votre fille mange bien, le matin ?"
Ma mère : "Oh oui, deux gros bols de céréales !"
En fait, aux récréations, je ramassais le pain donné aux pigeons pour le manger!
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Gaip
Non mais moi, j'ai jamais compris ce débat entre "pain au chocolat" et "chocolatine"... On dit "couque au chocolat", non ?!?!
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Gaip
Ciel du matin sur Bruxelles... Après quelques jours de pluie, ça valait bien un petit cliché...
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Gaip
Je réagis à ce topic, non pas pour donner une réponse à Mothra2000, mais pour contredire un peu tous ceux qui disent d'office : "mauvaise idée"
J'ai vécu une situation relativement similaire, j'ai envoyé un message légèrement différent de celui envisagé par Mothra, et la personne et moi avons renoué.
C'est différent de Mothra2000 car :
- Cette fille et moi étions amies depuis plusieurs années.
- Elle m'a ghostée en période Covid.
- Mon message ne demandait pas d'explications, ce n'était pas ce que je cherchais.
- Je n'étais pas amoureuse de cette fille, c'était uniquement amical.
Et donc, mon témoignage n'est pas pour inciter Mothra à envoyer le message souhaité et demander des explications, mais juste pour dire à tous : "Non, un gosthing n'est pas voué à être éternel, ce n'est pas forcément peine perdue..."
Donc, maintenant que les bases sont posées, voici mon histoire.
Mon amie, que j'appellerai Pimprenelle, et moi nous connaissions depuis plusieurs années. Nous faisions des soirées jeux de société ensemble, chez l'une, chez l'autre, des restos-cinés régulièrement, et d'autres activités plus occasionnellement. Nous étions proches, je l'appréciais beaucoup et j'adorais tous ces moments en duo (ou plus).
Et puis, un jour, via Messenger, on prévoit d'organiser une sortie. Elle me dit : "Je te réponds demain." Puis plus rien. Je la relance, quelques jours plus tard, rien. J'envoie des SMS, aucune réponse. Un mail aussi, je crois. Rien. Je me dis qu'il doit y avoir un truc qui va mal dans sa vie et je la relance quelques semaines plus tard, toujours sans succès. À un moment, je contacte une connaissance commune, qui me rassure sur le fait que Pimprenelle est bel et bien vivante. Mais rien de plus.Finalement, je laisse couler, mais je ne comprends pas et je suis triste.
Le temps passe, environ un an, je crois. Si je ne me trompe pas, les derniers messages échangés étaient en janvier-février. Puis le contact avec l'ami commun vers juin-juillet.
Et en décembre, vient le temps des voeux de fin d'année. Une période que j'affectionne et qui est toujours l'occasion, pour moi, de dire aux gens qu'ils comptent pour moi.
Alors, je lui envoie un message aussi. Quelque chose du genre : "Je ne sais pas ce qui m'a valu d'être ghostée, mais peu importe, j'espère que tu vas bien. Sache que j'ai adoré tous les moments passés ensemble et notre belle amitié. Je te souhaite le meilleur pour l'année à venir et les suivantes. Peut-être qu'on se recroisera à l'occasion. Bisous."
Je n'attends rien à la suite de ce message. Un an sans contacts, c'est long. Mais pourtant, elle répond. Le message dit, en gros : "J'allais mal. J'ai dû couper tout ce qui était important et me demandait de m'impliquer. Je ne sais pas comment redevenir amie avec toi car je t'ai fait beaucoup souffrir et que des simples excuses ne suffisent pas. Je suis désolée pour tout ça."
Ça m'a fait un bien fou de la lire ! Et, contextualisé, ben, ayant moi-même fait une dépression pendant le confinement, je me devais d'être compréhensive pour ce que d'autres avaient pu vivre de leur côté. Alors, j'ai proposé qu'on se voie dans un contexte style festival, avec d'autres gens, pour éviter les blancs gênants. Elle a accepté. Et on a renoué.
Bien sûr, dire que c'est "comme avant" serait mentir. On n'a jamais totalement levé le voile sur ce qui s'est passé pendant les mois sans contacts. Cela la regarde et, si un jour elle veut en parler, elle le fera. Sinon, ce n'est pas utile pour nourrir notre nouvelle relation. Pimprenelle refait partie de mes amies. Je me suis blindée, quand même : je sais maintenant qu'elle pourrait, si les aléas de la vie s'en mêlaient, disparaitre à nouveau. Donc, je m'investis de façon moins intense. Mais je l'apprécie toujours autant, on parle toujours de tout, on passe toujours des moments extras ensemble.Bref, tout ce roman pour dire : non, ce n'est pas forcément une mauvaise idée de revenir quelques temps après un ghosting... L'amitié, c'est aussi ça : pardonner et aimer, sans jugement.
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Gaip
Ah oui, contente que ce sujet soit remonté...
Quand j'ai écrit celui sur Pico Bogue,
J'ai trouvé ce gag :
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Gaip
Ha, la contraception !
Perso, j'ai pris des hormones pendant une dizaine d'années. Puis du jour au lendemain, pensant qu'elles étaient à l'origine de mes migraines, j'ai décidé d'arrêter.
Diminution conséquente des migraines, effectivement + augmentation, que dis-je, explosion, de la libido...
Pour moi, les hormones, c'est la memerde. L'avantage d'être en couple avec une femme, c'est que je ne risque pas de tomber enceinte et peux donc, sans crainte et sans devoir trouver une alternative, cesser de prendre la pilule!
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Gaip
@Kachina Voilà deux images de ce jeu, dessinées par Marie Cardouat :
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Gaip
@Godzapon
J'adore l'idée des petits mots de gourous !!! Il n'est jamais trop tard pour s'y mettreJe me lance dans une nouvelle collection
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Gaip
Ha, les règles...
Avant, je trouvais ça dégueu, désagréable, je trouvais que les serviettes et tampons avaient une odeur, que c'était dégoutant, gênant, et qu'en plus au bout de quelque temps d'utilisation, je me tapais des démangeaisons, voire des boutons (probables allergies aux produits s'y trouvant). Bref, je détestais être réglée, c'était une semaine atroce car je me sentais nauséabonde, sale, inconfortable.Alors un jour, j'ai acheté une cup + des serviettes lavables. Ça a changé totalement mon rapport aux règles !! C'est devenu (si l'on excepte les soucis psychologiques dus aux hormones et les crampes insupportables du premier jour) une semaine comme les autres.
Il m'a fallu apprivoiser la cup, j'ai eu des accidents (taches de sang sur les vêtements, difficultés à la retirer et gros stress, WC sali, fuite, ...). Mais au bout de deux périodes menstruelles, c'est bon, je l'ai totalement adoptée, mieux maitrisée, et c'est maintenant "les doigts dans le nez" ! (ouéééé, en vrai, ils sont ailleurs, les doigts, mais avez-vous besoin des détails ?!)
Les serviettes lavables ont, elles, pour avantage de ne pas causer de soucis dermatologiques. Je les utilise parfois la nuit, quand la cup me dérange. Mais pas tous les mois, car la plupart du temps, je porte celle-ci non-stop du jour avant jusqu'au jour après les règles. Je ne suis pas totalement convaincue car au bout d'un certain temps (je veux dire : de plusieurs utilisations et lavages), je trouve qu'elles ont une odeur aussi. Moins "anormale" et désagréable que les serviettes jetables, mais pas "simplement l'odeur d'un vêtement".Quant au flux machin brol, j'ai du mal à imaginer... En tout cas, ça me semble inapproprié pour moi, car je ne sens pas les choses
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Gaip
Je me disais : "À répondre en parallèle avec l'arrivée d'un nouveau dessin, je vais encore manquer l'occasion de marquer un point..." Puis j'ai vu le dessin et je me suis dit : "Ah ben... de toute façon, je ne l'aurais pas eu, le point !"
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Gaip
Je suis d'une sagesse désespérante
Je n'ai jamais séché de cours. Ah si, une fois, en école sup'. Et je m'en souviens encore tellement j'avais honte. Et pourtant... J'avais attendu le quart d'heure académique avant de me barrer, le prof étant "juste" très en retard.
Je ne bois quasi pas. Je n'ai jamais trop bu, juste parfois été un peu joyeuse.
Je ne fume pas, et n'ai jamais fumé un joint. J'ai testé de l'herbe légale et un space cake il y a quelques mois, et ni l'un ni l'autre n'ont eu d'effet, ce qui m'a totalement enlevé l'idée de réessayer.
Je suis ultra honnête. Au point que si un restaurateur ou vendeur se trompe dans la note, je le corrige, même quand c'est à mon avantage. Enfin, depuis quelques mois, j'ai cessé ça, et je profite juste des erreurs des autres, après tout, quelques euros, c'est toujours ça de gagné
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Je n'ai pas de sexualité débridée ou de nombre de conquêtes impressionnant... Mais bon, ouf, dans ce domaine, j'ai quand même quelques petites histoires à mon actif, qui me font dire que je ne suis pas si sage que ça sur tous les plans. (Non non, pas la peine d'essayer, je ne dirai rien !)
Voilà... Faut que je vous avoue : si j'étais pas parfois un peu chiante, je serais (trop) parfaite
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Gaip
Petites bestioles rencontrées pendant une balade dans les Vosges.
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Gaip
Vous avez déjà rencontré une personne qui :
- pleure ou crie ou rit ou … rapidement et soudainement ?
- vous parait susceptible car prend mal la moindre critique, même sensée être humoristique ?
- accorde énormément d’importance à des détails qui vous semblent futiles ?
- réfléchit sans arrêt et se tracasse pour – selon vous – des « banalités » ?
- semble repérer quand vous allez mal alors que vous voulez le cacher ?
- vous dit ce que vous avez besoin d’entendre, parait bien vous comprendre ?
- aime être avec des gens… mais pas trop longtemps ?
- est une « éponge émotionnelle », ressentant en elle les émotions de son entourage ?
- a besoin de dormir pour être « bien dans sa tête » ?
- passe beaucoup de temps à marcher, dans la nature surtout ?
- apprécie la présence d’animaux ?
- ne supporte pas l’odeur de tel ou tel parfum ?
- vous demande régulièrement de baisser le son de la télévision, ennuyé par le bruit fort ?
- ne sait pas prendre de décisions, même basiques comme un plat au restaurant ?
- a du mal à supporter les films d’horreur ou des scènes violentes ?
- parait facilement anxieux, stressé, dans son quotidien ?
- n’aime pas des masses la compétition, préfère par exemple les sports individuels ?
- etc.
Il y a de fortes chances qu’il s’agisse d’une personne dite « hypersensible ».
L’hypersensibilité est une caractéristique qui touche environ une personne sur cinq.
Il y a à cela des aspects plutôt positifs et enrichissants, et d’autres négatifs et perturbateurs…
En gros, un hypersensible va réagir plus fort que la moyenne à une même stimulation.
Cela peut toucher les cinq sens, il sera par exemple très sensible à la lumière ou à certains bruits, certaines odeurs, les contacts avec certaines matières, …
Cela peut toucher le domaine émotionnel : il ressentira les émotions de façon plus importante… les siennes… et celles des autres (empathie exacerbée).
Et de façon générale, il aura tendance à réfléchir sans arrêt, ne pas savoir s’arrêter de penser, de réfléchir à ce qui leur a été dit ou ce qu’ils ont dit, d’analyser…Les hypersensibles sont conscients de réagir avec excès, d’être débordés par certaines émotions.
Quand on le leur fait remarquer, souvent par des remarques cinglantes ou blessantes (de type : « Tu es fragile » « Tu t’énerves pour un rien » « Il faut t’endurcir »), ils en culpabilisent et se trouvent « bizarre », « incompris », « malheureux ».C’est difficile pour un hypersensible d’évoluer dans la société, où l’on est sans cesse sollicités par des stimulations diverses (auditives/visuelles/…) et où l’on côtoie de nombreuses autres personnes.
Pourquoi ? Simplement parce qu’ils sont facilement « débordés » par les émotions ressenties, et pètent plus facilement un câble en cas de surplus, ce qui les fait passer pour irrationnels par leurs proches…
Mais cette caractéristique comporte (heureusement) aussi des tas de traits positifs !
L’hypersensibilité permet d’avoir une compréhension quasi immédiate des émotions traversées par l’interlocuteur, une grande capacité d’empathie, et d’être par conséquent une personne « en phase » avec ses proches, appréciée pour son sens de l’écoute et ses réactions justes. Décrits comme compréhensifs, ce sont des personnes à qui l’on se confie facilement.
Une personne hypersensible est également très facilement émerveillée par les petits bonheurs du quotidiens, peut savourer de voir un oiseau passer devant elle et l’observer avec des yeux d’enfants.
L’hypersensible est souvent généreux, diplomate et cherche à ne jamais faire souffrir l’autre.
(C’est d’ailleurs ce qui fait qu’il réfléchit énormément, car il se demande toujours s’il s’est bien exprimé, s’il n’a pas été mal compris, s’il n’a pas blessé involontairement. Ou encore, il réfléchit à ce qu’il aurait dû/pu dire, à comment réparer telle situation conflictuelle sans dégâts, et j’en passe.)Les hypersensibles sont souvent créatifs et inventifs. Beaucoup ont un gout pour l’art. Sinon, ils utilisent leurs ressources dans des domaines « humains » (enseignement, médecine, …).
Ils sont consciencieux et perfectionnistes. Ils sont également idéalistes et authentiques.
Ces personnes aiment sincèrement aider les gens, ça leur donne le sentiment de faire quelque chose d’utile, de bien, de nécessaire.
(J’ai plein d’images sur le sujet… Je les mettrai petit à petit.)
Bon, j’vous ai fait un petit topo sur « ce que c’est »…
Alors, vous avez reconnu l’un ou l’autre de vos proches ? Voire vous-mêmes ?
Quels sont vos trucs pour gérer les trop-pleins émotionnels ?