Nous pouvons en parler.
Lettre de rupture que je n'enverrais jamais
Bonjour (nom de la bien aimée)
Je ne sais pas par ou commencer pour ce dernier mail ? Mais maintenant que j'ai pris conscience que tu ne reviendras jamais en arrière. Je vais tout t'avouer sur le pourquoi je n'ai jamais pu avoir une confiance totale en toi, et je ne m'attache qu'a tes actes et aux paroles qui en découlent, çà pourra , j’espère te servir dans ta (future) nouvelle relation...
Tu as choisi d'en finir entre nous 6 ans pile poil, quasiment jour pour jour, ce n'est sûrement pas un hasard, tu l'avais prévu depuis bien longtemps déjà. Je l'avais ressenti les deux dernières fois ou l'on s'est vu, la chanson de Renaud (Manu) m'as ouvert les yeux la dessus, j'ai su a ces moments la, que je ne te reverrais plus (ça rime en plus) ça c'est confirmé la dernière fois ou tu aurais pu me demander de venir, car tout était en place pour le faire, tout allait bien, sauf que tu avais invité tes amis, j’étais prêts a venir, j'aurais aimé les connaître, un mot de toi, mais tu n'as rien dis, ce qui m'as rappelé ce que tu m'avais ecrit l’année dernière. Je te cites « tu ne m'inviteras jamais avec tes amis, car tu avais peur de mon comportement, et que tu m'inviterais encore moins si j'avais mon fils » ??? toi qui garde tout tu pourras le retrouver, j'ai toujours su me tenir en société, et je suis plutôt de bonne compagnie a en croire tous le monde . . Ça n'aide pas a avoir confiance quand on sait tout çà, Pourtant je n'ai voulu voir que les bons cotés de notre relation. Je t'ai aimé,
Je suis le seul être humain qui sache tout de toi, plus que tes amis, plus que ta propre famille, tes forces, tes faiblesses, tes peurs, tes doutes, tes convictions... Tes bontés, tes bassesses... Je t'ai vu a l’œuvre pas mal d'année avec le pauvre (nom du conjoint de l’époque), avant de le quitter, tu as tout étudié, tout réglé, tout minuté, même ses sentiments étaient calculés dans les moindres détails, et tout ça t'as pris deux ans, j'en étais presque admiratif ! Au jour d'aujourd'hui, je me sens un peu complice. Et je savais que mon tour viendrais, quoique je fasse, quoique je dise, surtout le jour ou tu m'as dit, je te cites « Ce n'est pas pour toi que je le fais, je l'aurais quitté un jour ou l'autre de toute façon », ça m'avait fait redescendre de plusieurs étages, surtout que ce pauvre gars n'as jamais rien fait pour mériter ça... Toi qui cherche la sérénité et la tranquillité, (sic) tu avais tout ça avec lui, et plus même, en toute honnêteté.. Mais comme d'habitude tu t’étais attachée a des détails sans grande importance pour te justifier (la branlette sur des femmes noires en particulier) et ça t'arrangeais bien... Ça n'aide pas a avoir confiance quand on sait tout çà, Pourtant je n'ai voulu voir que les bons cotés de notre relation. Je t'ai aimé
OUI, je sais tu ne recherche pas d''homme... Ce sont les hommes qui te trouvent comme pour toi et moi, comme pour tous les hommes de ta vie, tu ne recherchais pas d'homme et pourtant, tu en as trouvé. (je ne citerais pas les réseaux sociaux tu es abonnée a tous ceux qui existent sur terre).... Tes amants, par contre, c'est toi qui les cherchent, jusqu'à allez dans des bars pour une soirée entre copines et repartir avec un inconnu, quelle qu'en soit la raison, quelle femme fait çà ? il faut bien qu'il y ai toujours des exceptions a la règle. Je ne doute pas une seconde, que lorsque tu auras , je te cites « des fourmis dans la minette » tu baiseras avec le premier qui te plairais. Y a pas d'age pour çà . Et dans le fond, tu as certainement raison. Tu as toujours eu des problèmes avec les hommes, ça date pas de moi, et tu en auras toujours. Tu ne te poses pas la bonne question, tu ne te remets jamais en question, c'est toujours la faute de « l'autre », tes réquisitoires contre moi sont assez clairs, ma psy était effarée quand je lui montrait nos dialogues, ce que tu nommes comme « Mes » crises, je ne t'ai jamais dit ce qu'elle me disait, pour te préserver, pour me préserver aussi.... Ah oui, en aparté, ne dis plus jamais a un homme qui te poses la question : Aimes tu le sperme ? « non, J'aime ton sperme » tout en sachant que tu l'avales avec tous les hommes ou presque, le sperme (nom de la région) doit avoir un goût iodé, c'est cool pour toi. Ça n'aide pas a avoir confiance quand on sait tout ça. Pourtant, je n'ai voulu voir que les bons cotés de notre relation . Je t'ai aimé.
Tu devrais avoir « une médaille » pour être resté tout ce temps avec moi... No comment
Tu trouveras toujours a redire sur un homme, au début, tout nouveau tout beau, puis viendras le temps ou les notations commenceront.. invariablement, inexorablement, sûrement. Tu es et sera toujours une éternelle insatisfaite. Peut être te résigneras tu avec le temps, d'accepter l'inacceptable par simple peur de te retrouver seule, car l'homme dont tu rêves n'existe pas. Ça n'aide pas a avoir confiance quand on sait tout çà, Pourtant je n'ai voulu voir que les bons cotés de notre relation . Je t'ai aimé.
Je vais répondre a ma dernière question qui était, si nous ne sommes plus un couple, que serions nous l'un pour l'autre ? Tu as dit je te cites « je n'en sais rien ». Bien sur que tu le sais. Tu aimerais me garder en « ami ».. Mais tu sais que pour moi c'est impossible, sex friend oui, juste ami, non... et je m'assure par ce mail que ta haine et ton sentiment de destruction seront si fort que tu ne l'envisagera même plus. Si tel était le cas.
Peut être nous croiserons nous un jour, le (nom de la région) n'est pas si grand. Si tu avais envie de répondre a ce mail, car tu aimes avoir le dernier mot, abstiens toi s'il te plais, je jure sur mes gosses que je ne le lirais pas.
Je m’arrête la, car moi aussi j'en aurais des pages et des pages... Et ça ne changerais rien a mon problème, qui est que je t'aimerais toujours.
Je sais ce qu'est l'amour... l'amour c'est aimé l'autre personne tout en sachant clairement ce qu'elle est. Et je suis juste très lucide.
et de plus c'est bien plus pernicieux que ça, il faut voir plus loin, quand les commerces exigeront de toi de montrer patte blanche pour n'importe quoi, on en reparlera aussi. Que tu ne pourras plus allez faire tes courses sans qu'on viennent t"emmerder, on en reparlera aussi... contrôlé par le quidam du coin qui n’aura aucune autorité pour le faire, on en reparlera. Et l’état très vicieux dira, "ha mais moi, je n'impose rien" 
!
