• erwin erwin

    Mémoires d'une vie : l'âge adulte et carrière part:5

    je suivis les conseils de jacqueline mais les places étaient rares dans les universités en Flandres et me dirigeai donc vers les cours comme professeur dans des écoles privées telles l’école européenne ou je fus engagé sur le champs avec un contrat mais pas pour des temps plein comme prof d’économie et sciences politiques avec des jeunes universitaires en rattrapage dans ces branches et donc je complétais par des cours à domicile toutes matières à partir des humanités inférieures jusqu’aux cursus universitaires , je me retrouvais le matin à l’école européenne devant parfois des auditoires de 50 à 100 étudiants , j’assurais aussi les remplacements en humanité pour toutes matières et aussi j’obtins un temps partiel en langues germaniques (nl,anglais ,allemand) et le soir en déplacement à domicile chez les élèves en majorité de l’immigration et ou les parents souvent analphabètes étaient dépassés par les évènements et incapable de s’occuper de leur large progéniture , voilà comment je parvenais à payer loyer pension alimentaire et manger , je rentrais le soir tard vers 22h fourbu dans un quartier horrible et glauque dans les bas fonds de Schaerbeek près des rues fréquentées par les prostituées et les dealers de drogue , je n’étais jamais à l’aise , me trouvant un jour face à face avec une bande de jeunes d’origine maghrébine en petite moto disons mobylette ,de retour d’un souper chez Jacqueline l’ex prof , ils me bloquèrent avec leurs petites cylindrées , ayant a l’époque souplesse et endurance et maîtrise ( karaté ceinture noire , je savais que la règle en défense maximum 6 agresseurs , je restais calme et utilisai la psychologie et parlai avec le soi-disant chef de bande en lui vantant ses mérites de chef mais en reprochant cette petite cylindrée , touché par mes mots dans sa sensibilité de petit caïd , ils se retirèrent sur son ordre et me laissèrent rentrer chez moi , entretemps la propriétaire qui habitait au rez de Chée , me glissât un mot , mon ex épouse , je suppose touchée par les remords de sa malhonnêteté mais aussi par Astrid qui ne voulait pas que son père soit à la rue (la concierge m’avait signalé sa présence avec sa mère et qui parlait à sa mère, la propriétaire me fit part des dialogues entre sa mère et elle dont tu as fait assez de mal , laisse-lui au moins cela, om a tout perdu) à mon propos avait payée la caution de 2 mois soit 1600 euros , que je voulais régler dés que possible avec mes cours , les propriétaires patients vu mon statu et la précarité de ma situation et en connaissance de causes furent surpris , je pouvais donc enlever ce problème et quelques parts j’avais récupéré mon dernier salaire non reçu à mon départ de Deschanel , je pouvais donc enfin me consacrer a mes cours mais aussi m’inscrire sur internet sur un site de rencontres tard le soir . Après avoir rempli mon pédigrée et placé une photo ou j’étais beaucoup plus mince et svelte , je reçu de nombreuses réponses et une attira particulièrement quoique éloignée de mes désidératas à Mouscron d’une professeur de musique à l’académie de musique de Mouscron , j’y répondis ,sur la photo envoyée , apparut une femme de 1m60, cheveux noirs arrivant un peu avant le cou , maquillée, elle ressemblait fort à une présentatrice de la météo à la rtbf encore en service actuellement, elle aussi répondit très vite , elle vint me voir à Schaerbeek dans les bas fonds ou je logeais , chez des vendeurs de sommeil, avec sa yaris blanche passât le week-end avec moi m’attendant tard à mon retour des cours , car même le week-end , je travaillais , le samedi mati, 2H à l’école européenne pour les rattrapages des sciences po et éco et le reste chez les particuliers , j’avais dû me séparer même de ma chevalière reçue de père pour payer la caution et ce en la vendant au mont de piété à Bruxelles suprême honte pour moi , la rencontre avec Véronique fût concluante ,nous nous revîmes tous les week-ends pendant quelques mois puis prirent la décision de vivre à 2 , Véronique était petite ronde , les cheveux noirs de jais , belle femme , instruite , propriétaire à Mouscron d’une grande maison avec un imposant jardin pour ses 4 petits chiens anglais située rue des fleurs , divorcée battue par un mari violent , elle cherchait un homme protecteur et costaud bien éduqué et de bonne famille , elle était française de Roubaix et une vrai schti , fille unique avec une mère fortunée possédant plusieurs biens dont une grande maison plein pied à huy.Je déménageais une nouvelle fois espérant la dernière fois , inscrit à la maison communale , je m’installât chez elle , elle me dit ici tu es chez toi et tu seras à l’abri , tu ne dois plus t’inquiéter , redresse-toi , ce que je n’avais pas prévu au programme des festivités c’était sa fille , 35 ans , malheureuse en ménage et avec trop peu d’heures de prestations , elle était soprano à l’orchestre de Wallonie et était en difficulté dans son couple qui battait de l’aile , les problèmes recommençaient , elle vint habiter chez sa mère , et rebelote , les problèmes recommencèrent , un soir m’étant mêler d’une discussion entre elle et sa mère amicalement pour l’aider , elle apostrophât sa mère et la menaçât , cet homme doit partir ou tu ne reverras plus jamais tes petits enfants , elle cédât au chantage de sa fille mais fût correcte me laissant le temps de me recaser , ce que je fis pour finalement miraculeusement atterrir avenue louise chaussée de Charleroi , elle m’aidât comme Hanane pour le déménagement et ensuite un nouveau chapitre le plus beau de ma vie.

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  • erwin erwin

    Mémoires d'une vie : l'âge adulte et carrière part:4

    voyant la tête de mes petits bouts à table Nathan(4 ans) et aurore(7 ans) pas encore en âge de comprendre , cela me fendait le cœur de leur annoncer notre divorce , pourtant je pris mes responsabilités certes pas de gaieté de cœur , mais je les pris ,dans la vie un moment à plus de 30 ans , on doit montrer que l’on est un adulte et ne pas déranger ses Parents à répétition , les miens avaient été choqués gravement par le comportement de Michèle, il était insupportable de vivre dans le même environnement avec une femme que j’avais aimé et qui m’avais trahie et ce pendant que je travaillais pour le futur de ma famille et ce en bon père de famille, la déchirure fut houleuse , jusqu’à notre divorce , en effet à l’époque , la loi remaniée depuis lors , était qu’il fallait rentré à son domicile conjugal avant 24h , à défaut le ou la conjointe pouvait porter plainte pour abandon de foyer , ce que Michèle ne se privât pas de faire , m’attendant chaque soir dans le canapé avec des phrases du genre , tu as passé une bonne soirée ? Tu viens au lit on va dormir ? Il est vrai un soir , cela fut houleux et j’eu ces mots à son invitation à allez au lit , tu pues , tu sens mauvais , je n’ai pas envie de me salir avec une putain,j’étais très naïf et chevaleresque et gentleman et fit don par document notarial à Michelle de l’appartement pour qu’elle et les enfants furent à l’abris , et ce sur les conseils de ma seconde épouse , ironie du sort , 17 ans après sans plus aucuns biens , maman ayant dilapidé tout l’héritage de papa avec un gigolo et vendu l’appartement de Papa , me firent me retrouver sur le trottoir , mais revenons à notre histoire , divorcé après 13 ans de mariage , je quittai Michèle à la sortie du tribunal main dans la main , elle me regardât de ses yeux magnifiques et me dit on peut pas rester ami , tu étais un chouette type , je la regardai et un moment je doutais , mais j’avais été très blessé et je rejetai sa proposition , elle se vengeât très vite en m’éloignant de plus en plus des enfants malgré un acte de divorce clair et raccrochant lorsque je voulais parler aux enfants ou ne répondant pas a ma sonnerie lorsque je venais les chercher pour la garde alternée , ayant horreur de l’esclandre et des conflits et accaparé par ma carrière, je revis un peu Aurore et Nathan au début du divorce et depuis maintenant 23 ans , je n’ai plus revu mes 2 premiers enfants à ma profonde tristesse , Nathan est devenu un brillant Docteur en statistique à l’UCL à Louvain-la –neuve et Aurore est inspectrice de police judiciaire à Bruxelles , j’ai gardé jusqu’à sa mort un lien d’amitié avec Ivan le père de Michelle qui gardait de l’amitié pour moi et n’aimais ni l’adultère de sa fille ni son compagnon Jean-Pierre Braun professeur de gymnastique à Fernand Blum et qui fut éjecté au décès de Michelle avec Coralie fruit de sa relation avec Michelle par Nathan qui vendit l’appartement pour 350.000 EUROS et partageât avec sa sœur et sa demi-sœur et demi-frère ; Papa décédât donc en juin 1992 , et Maman et moi furent convoqués devant le notaire , Maman me proposât de prendre la gestion du patrimoine laissé par Papa en main , je lui signais donc une décharge chez le notaire , très grave erreur , Maman était une femme-enfant , elle rencontrât un gigolo et se fit plumer , lorsque rentrant dans mon nouveau ménage , je lui demandai , une partie de mon héritage , la réponse au téléphone fût , il n’y a plus rien , je rentrai dans une fureur immense , elle avait apuré les dettes de ce Monsieur en faillite de 2 magasins au sablon et m’avait donc répudié , le seul fils qu’elle avait , d’un statu d’icone pour moi , elle descendit très bas , n’osant plus jamais me regarder droit dans les yeux , j’ai gardé de la haine pour elle à jamais , la dernière fois que je la vis , ce fût pour présenter l’amour de ma vie ,Josianne !
    Après donc le divorce , je me remariais, suivant le rite protestant ; en effet l’église catholique refusait le divorce et le second mariage , avec Anne , je déménageais au 256 avenue Paul Deschanel à 1030 Schaerbeek dans un appartement de 80 mètres carrés et tant que nous étions 2 , cela suffisait , le début je reconnais fût beau , Anne célibataire depuis 10 ans suite à un échec amoureux avec un congolais universitaire , UNIVERSITAIRE AYANT FAIT 2 ans en histoire de l’art puis une école de secrétariat de direction avec diplôme , était en place à 500 mètres de mon travail dans le sanitaire , elle était la secrétaire d’un réviseur d’entreprise Bernard Bigonville ardennais d’Arlon , c’était un poivrot notoire , qui accueillait des prostituées à même son bureau , et ou Anne retrouvait fréquemment des bouteilles diverses de bières , vodka , champagne et whisky et petites culottes le matin à son arrivée au bureau, elle resta seule célibataire 10 ans, jusqu’à notre rencontre accueillit mes enfants comme les siens et plaçât la barre très haut , elle voulait minimum 4 enfants , nous nous mîmes à la tâche , Alexandre vint très vite , roux à la naissance un bébé souriant avec une bonne bouille , puis une fausse couche , l’appartement explosait tant sa superficie fût trop petite pour accueillir des enfants et accompagné par une marraine fouineuse , avare et envahissante et très riche , je sentais déjà un malaise récurrent , le manque de place ajouté à cette marraine que je me mis à détester , notre couple commençait à battre de l’œil , usé par un refus de déménager d’anne qui désirait rester pour sa marraine , je rencontrais une fille nommée Nadia Ots , directrice ressource humaine à La ligue des familles située à 200 métres dans la chaussée de Charleroi ou j’allais plus tard habiter quelques temps et rencontrer la femme de ma vie , ma Josianne . Usé et me sentant roulé sur mon choix, je quittais l’appartement tout un week-end , Nadia m’aimait passionnément était une superbe fille aux formes avantageuses petite avec un sacré caractère ,
    Elle me pressait de vivre avec elle dans son appartement , mais mon cœur de père vibrait et je revins à Schaerbeek , Nadia en pleurât les larmes de son cœur ,suppliât que je reste , mais ma place était près de mes enfants , j’avais déjà perdu mes 2 PREMIERS , je voulais garder mes 2 autres , pourtant , le caractère ombrageux de Anne devint insupportable , en fait elle souffrait de bipolarisme , elle était bipolaire , maladie très difficile à gérer ,je lui conseillais d’être suivi par un psy , ce qu’elle refusât , attaché à mes enfants , je fis bon cœur mais cela ne pouvait pas durer , et l’élastique se rompit lors de ses cinquante ans , elle avait organisé une fête invitant ses amis et collègues , je fus ignoré toute la soirée , elle était constamment avec Christophe un collègue , elle prit le micro fit des compliments à tous et appuyé pour Christophe , je fus ignoré totalement , pas un mot à tel point que occupé au disc*jockey et photo , je ne reçus rien à boire ni manger , je détestais son arrogance et son directeur un simple assistant social fils à papa bombardé directeur et un gamin totalement immature né le cul dans le beurre par piston socialiste et totalement en dehors de la réalité de la gestion d’une société de gestion d’habitation sociale , à la fin de la fête , alors que les invités partaient graduellement les uns après les autres , Anne dansât un long slow avec Christophe son jeune collègue français de 20 ans son cadet , à leurs yeux qui se croisaient , il ne fallait pas faire de dessin , elle terminât son long slow et vint me chercher pour danser alors que la salle était quasi vide ,
    Je refusai et déclinai et une violente altercation éclatât, je lui fis part de mon courroux et ne lui adressât plus la parole de toute la journée, les enfants Alexandre et Astrid grandissaient, et notre couple qui n’en était plus un, je refusais de dormir dans le lit conjugal, continuait à sombrer de plus en plus,
    Mais tenait uniquement pour les enfants , arrivé à l’âge de 12 ans j’inscrivis d’abord Alexandre puis ASTRID aux cours de Karaté et par la même occasion rencontrai , Van professeur de karaté d’un autre dojo , il me demandât si j’aimais les arts martiaux , ma réponse fût positive , en effet au service militaire j’avais appris le close combat , je suivis avec assiduité les cours de karaté avec Van (surnom) car il avait beaucoup d’humour , Van était ceinture noire 3 eme dan shudokan , une sommité en Belgique et à l’international , en 2014 , après beaucoup de travail dur et éprouvant j’obtins la ceinture noire 1ere dan shudokan , j’en fus très fier , Alexandre arrêtât à la ceinture marron comme Astrid .Un peu avant de rencontrer Ma Josianne , par hasard , assis à une terrasse place Flagey à Ixelles , j’entendis 3 jeunes discuter musique et dire quel dommage on a tout sauf un chanteur , piqué au vif , je leur proposais un essai avec eux , ils avaient une maison avec une cave transformée en studio de musique , ils jouaient de la cold wave , l’essai avec eux et ma voix et mes textes en anglais leur plurent , ils enregistrèrent un morceau vraiment réussi , mais je ne voulu pas continuer l’expérience , trop pris par mes cours, et quelques années plus tard avec Josianne , j’ai refait le même avec the foreign keys au roux, Les réunions de famille avec les Schreurs étaient d’un affligeant ennui ,
    Son frère véritable parodie de l’écolo bobo roulant en 4X4 et sa femme libanaise également en 4X4 elle fille d’un riche homme d’affaire libanais qui avait la particularité de lui donner une enveloppe de 1000 euros par semaine , désordonnée au maximum , je me souviens d’un repas mémorable de famille chez eux , ou pendait au-dessus de la table ou on mangeait le fil avec du linge et des petites culottes féminines , je me retenais afin de ne pas éclater de rire et aussi un autre jour , lors déménagement dans une villa cossue à boitsfort payée par le père libanais qui devrait être inscrit dans ce qu’il ne faut jamais faire dans un déménagement , caisses sans inscriptions , éparpillement des affaires dans le déménagement et j’en passe et in fine sa sœur Catherine , ce que l’on peut appeler un navet dans tous les sens du terme , bête , superficielle , ne s’intéressant à rien , laide ,grosse à l’excès ,très limitée intellectuellement et caissière au Delhaize et changeant de compagnons comme de chaussettes et quels compagnons , des poivrots ,sdf ,paumés et j’en passe , une vrai pièce de théâtre cette famille –là , comme dit l’adage on ne choisit pas sa famille , ces amis oui .Pour terminer cette histoire et ce mariage qui n’aurait jamais dû avoir lieu , j’aurais dû rencontrer Ma Josianne beaucoup plus tôt, nous partîmes pendant 8 ans systématiquement dans un gite loué par un fermier à Neufchâteau , ou au bout de quelques jours , je baillais d’ennui , c’est là aussi qu’un jour le fermier eu une nichée de chiots labradors aussi mignons les uns que les autres ; il nous proposât d’en prendre un et nous craquèrent pour un superbe chiot que nous prénommâmes Maxi , sans penser aux conséquences dans un appartement exigu de 80 mètres carrés , Maxi grandit vite adoré par toute la famille , à 6 mois il faisait 50 KGS et venait dormir dans le lit conjugal, il ronflait ,émettait des pets retentissants et particulièrement odorants et provoquait le fou rire des enfants, et était ultra présent , j’avais toujours connu les chiens depuis coco ma grand-mère qui possédait 2 adorables cockers de couleur marron pour Doudou et Schlamm couleur noir , avec Michèle nous eûmes un épagneul breton une fifille , a qui nous devions mettre un Pampers au fessier lors de ses règles , car en promenade , tous les chiens étaient derrière elle , provoquant ke fou rire du quartier huppé du bd Clovis et de mon père ; en 2007 , je fus interloqué par une publicité passée à la radio , c’était le début du crash économique et des subprime , pour ceux qui n’entendent rien en économie , les produits toxiques financiers et mauvais investissements du monde financier à cette époque , une société d’état à Bruxelles financée par Bruxelles-Wallonie prêtait à des taux très intéressants des montants à l’investissement pour des start-up débutantes , je fis donc un plan financier ,débutait par une asbl pour se transformer en sprl ;pour créer mon entreprise en évènements photo , vidéo ,sono ,studio , 4 parmi mes multiples passions , encadré par mon Ami Jacques Lombart avocat au barreau de Bruxelles et père de Benoit présent à mes 60 ans , Delhove réviseur d’entreprise et Franky van Bockstael expert-comptable de Flandres , le plan fut accepté par l’organisation financière mais au lieu des 70000 demandés j’en reçu 40 , déjà à l’époque , Franky dit casse cou , et pourtant Anne me poussât dans mon enthousiasme et je créais donc d’abord côté cœur asbl puis La sprl All events dreams , la société pris un début fulgurant , nous étions présents quasi partout à Bruxelles et wallonne ,mariage ,events divers , classé en 2eme position dans le ranking des organisateurs de fêtes , notre concurrent principal était sonocturne , nous étions présents aux plus grands salons du mariage , Namur ,Charleroi ,Bruxelles , j’eus jusqu’à 9 employés plein temps et une indépendante , montage vidéo , création d’album numérique italien haute définition ,reportage photo , vidéo et sono, en fait lors de l’époque ostracon Parant qui habitait à Wavre m’avait fait découvrir la défunte entreprise sénologie très similaire à All évents dreams mais en plus avec l’éclairage de scène de la société de Zaventem ou j’avais débuté ma carrière ; Ma société grandit rapidement et puis la crise des subprimes arrivât en 2009 , la fin arrivait , chute vertigineuse des commandes et ralentissement énorme de l’économie mondiale , je dû faire aveux de faillite en novembre 2011 à mon grand regret et retourné dans la vie professionnelle active.Puis arrivât la fin de ce mariage qui n’aurait jamais dû exister.
    Un peu avant et baillant d’ennui, ajouté à la promiscuité d’un appartement de 80 mètres carrés à 4 , je décidais de me lancer dans la politique , mais aucuns des partis traditionnels ne m’avaient réellement convaincus , j’eu des propositions du Cdh via Madame Milquet et du Ps via l’épouse célèbre d’un cousin éloigné certes , mais rien ne me convainquirent , en cherchant sur internet , dans les partis de centre-gauche , je tombais charmé sur la fraîcheur des idées d’un certain mouvement de gauche situé à Jumet et dont la Présidente était une avocate au barreau de Charleroi , Marie-Françoise Lecomte et je pris donc contact avec elle , un rendez-vous fut pris avenue Paul Deschanel à Schaerbeek ; la Présidente vint donc accompagnée de Francis Biesmans, c’était un mardi , une amie de l’époque Jacqueline fût présente au rendez-vous , Francis Biesmans qui plus tard fonderât Wallonie insoumise (sur des idées de Mélenchon politicien français), j’eu droit à un véritable examen en politique et économie , et motivation , je me présentais donc avec mes connaissances profondes en sciences politiques et économiques , ils avaient besoin d’un conseiller politique et économique pour leur parti naissant , au bout de 3h d’interview poussé , je reçu une carte de membre du parti et reçu une invitation pour la réunion générale du parti à Jumet , c’était en 2013 , juste avant les élections de 2014 , je partis donc un dimanche à Jumet , malgré les protestations de mon ex épouse , j’avais besoin d’air , et de créer un nouveau challenge , je fus donc conduit bénévolement en voiture par un gardien de la paix marocain de Saint-Josse que je rencontrais souvent au parc , tout près de Deschanel , la salle à Jumet était située derrière un café , cette salle était remplie à ras bord , 400 personnes dont beaucoup d’ouvriers de la métallurgie ,
    On me demandât d’observer , analyser , les discours politiques , et préparer une stratégie pour les prochaines élections, ce que je fis , il fallait créer une section dans toutes les communes bruxelloise , j’avais passé des heures à créer un dossier crédible pour la visibilité de ce nouveau parti centré sur 3 projets , un socialisme à visage humain basé sur l’écologie , le social et contre la mondialisation aveugle qui délocalisait et faisait produire dans les pays émergeants , tel la Chine , Inde mais aussi les pays de l’Europe de l’est ( pologne , Roumanie , Bulgarie ) , je fus donc convoqué une seconde fois au bureau politique , mais cette fois dans la périphérie de Bruxelles à Neder over Hembeek , dans un café avec une grande salle de fête , c’était un mardi soir ,
    À l’époque , libre de tout engagement professionnel , je pouvais donner tout mon temps à ce projet qui me séduisait profondément , le brave Hakim , me conduisit une nouvelle fois , j’y arrivais et demandai au comptoir , si le parti du mouvement de gauche était arrivé , les préposés aquiescèrent et à leurs mines , patibulaires , j’eu une prémonition , arrivé dans la salle , il y avait Biesmans , et la Présidente + 4 personnes qui me furent présentées comme le bureau politique pour tout Bruxelles , après présentation par Biesmans du projet , je fus à mon tour présenté , et nommé comme Directeur de campagne et patron de Bruxelles pour le mouvement de gauche , je présentais donc mon dossier , et qu’elle ne fut pas ma stupéfaction quand la Présidente coupât court à mon dossier , en indiquant la marche à suivre , distribuer des tracts au marché du midi , les photocopies des tracts étaient à nos frais , aucunes infrastructures de bureau , aucuns moyens financiers , face à un tel amateurisme , ma réponse fut sans appel , je démissionnai sur le champs , ne désirant pas mettre mon nom dans cette aventure pitoyable et remit ma carte et quittai la séance , les élections de ce parti fut un cuisant échec et me donnérent raison ,  Lors des élections de mai 2014, le MG obtient 0,07 % des voix !
    Un jour , je reçu un appel comme tous les midis de Anne ma seconde épouse , qui étant occupée à la cafétaria de son travail n’avait pas le temps de sortir, et me demandait d’allez chercher des vêtements pour les enfants place Saint-Josse , ce que je fis , quelle ne fût pas ma stupéfaction de la voir a la pizzaiola chez Giovanni à table avec un certain Christophe son collègue français ,et main dans la main , comme expliqué précédemment , j’ai horreur des esclandres , donc caché sur la place saint-Josse , j’attendis 1h que Anne retourne au bureau et j’allais voir Giovanni que je connaissais puisque fréquentant régulièrement cet endroit avec des clients , il me remit copie du ticket visa payé par mon ex épouse , je rentrais donc à la maison , le soir elle rentrât toute guillerette de son travail après que j’avais été chercher les enfants à l’école et fait diverses tâches ménagères et préparé le souper et contrôlé les devoirs des enfants et particulièrement Monsieur Alexandre surnommé le bien heureux(film célèbre) tout en dilettante et qu’il fallait secouer avant qu’il ne devienne un bon à rien heureusement il a bien changé , il est universitaire , il était flemmard ado à l’opposé de sa sœur elle très dans ses études. Mon ex épouse rentrât donc ,je lui demandai avec malice , si sa journée avait été bonne et aussi si ses sandwiches étaient bons , elle me répondit comme d’habitude , suite à sa réponse , la mienne fût cinglante , je lui mis sur le nez la copie du ticket visa , elle devint rouge pour son gros mensonge , je restais calme et lui annonçais que j’allais voir mon avocat pour entamer une procédure de divorce , c’était un vendredi soir , tout le week-end , elle fut hors de la maison , me laissant seul avec les enfants incrédules ; je ne voulais en aucuns cas que nos problèmes de couple les touchent et les avaient toujours préservés, elle passât tout son weekend avec ses desesperate housewive comme je les avaient surnommées Toutes des célibataires de longues durées , elles firent une virée à PARIS assistèrent à une soirée streap-tease avec des chippendales (authentique) ,
    Nous fîmes chambre séparé , elle me dégoutait , passait des films pornos quand les enfants étaient couchés , et cerise sur le gâteau téléphonait le soir à son Christophe , j’attendais avec impatience le divorce et le contrat de Jacques Lombard pour partir , à l’époque nous avions un compte commun bien que mariés en séparation de biens , je lui versais tout mon salaire sur ce compte et avions tous les 2 procuration et cartes de banques , un jour je découvris , rentré à la maison les extraits visas à concurrence d’un solde dû de plus ou moins de mémoire , une dette contractée de 10000 EUROS , ELLE s’achetait HABILLEMENT et chaussure uniquement haut de gamme avenue louise et rue neuve , je ne m’en occupait pas , elle gérait son salaire comme elle le voulait , mais je lui fis remarquer car nous avions signés ensembles pour cette budget line contractée chez Dexia banque , n’ayant jamais accès à cette ligne de crédit et même sans carte , naïvement encore une fois , je ne m’en préoccupais pas, elle me répondit ne t’inquiètes pas , je gère et ce ne sont pas tes affaires , l’atmosphère devint irrespirable , de plus avec sa maladie bipolaire , elle piquait des colères même devant les enfants ; je lui fis remarquer de ne pas mêler les enfants à nos problèmes graves de couple, au contraire elle les mit au milieu du champs de bataille , manipulât les enfants de façon scandaleuse, je reçu ordre de quitter dans les 5 jours l’appartement avec mes bagages et en prime bouquet final le fidèle chien maxi , innocente bête jetée comme son maitre à la rue , dans ma naïve conviction , je pensais pouvoir récupérer mon argent sur le compte , elle avait tout vidé , je me retrouvais sur le trottoir avec valises et le chien ,et 50 euros dans mon portefeuille, ironie du sort , elle lui avait acheté un nouveau collier récemment avec gravé dessus un cœur et son nom. Me retrouvant dans la rue face à des voisins médusés que je croisais depuis 17 ans et qui clairement tournaient la tête, pour ne^pas voir, c’est là que vous découvrez le vrai visage des gens et particulièrement des grenouilles de bénitier, vous voyez les personnes qui veulent se donner une bonne conscience en allant à la messe le dimanche. Des gardiens de la paix de Saint-josse qui passaient dans la rue prendre leurs services au parc voisin , en effet saint-josse était à côté de Schaerbeek , la population majoritairement turque dont emir kir bourgmestre de saint-Josse qui habitait le quartier , était composée d’immigrés de toutes nationalités , les gardiens de la paix au nombre de 4 , albanais ,turque et marocains , qui me connaissaient et m’avaient en sympathie , nous parlions souvent lors de mes sorties avec maxi de foot et des pays et leur mal être loin de leur pays , s’appitoyèrent sur mon sort , je me retrouvais tremblant de peur d’être sdf ce jour-là et de passer la nuit dehors et la folle Anne qui criait à tue tête par la fenêtre , un jour à la rue , un jour à l’hôtel , j’avais 50 euros sur moi et tout était complet dans les refuges que j’appelais , un gardien de la paix s’occupât de mon chien , il était albanais , il me dit calme toi , je vais mettre ton chien à l’abri à la fourrière le temps que tu trouves un toit , maxi aboyait complètement perdu , Brigitte qui habitait un peu en face dans l’avenue et que je croisais régulièrement en promenant Maxi , elle qui avait voué sa vie à son mari paraplégique et aux animaux , elle récupérait les chats abandonnés et les replaçaient dans des familles , vint aussi à l’aide, elle allât sonner chez ses voisins à la recherche d’un toit pour moi pour me poser , Maman ayant tout vendu , alors qu’au début de ce mariage j’avais tablé en cas de malheur sur un repli à l’appartement de mon père , tout s’écroulait , j’étais complètement perdu , Brigitte remuât ciel et terre , même un journaliste de radio de la RTBF que je voyais souvent en me promenant et avec qui nous parlions sciences politiques avec passion et qui habitait le quartier dont le malheur était d’avoir un enfant handicapé appelât sa femme pour proposer le grenier temporairement pour m’accueillir , c’est là que vous voyez le vrai visage des gens , au prêtre de la paroisse que je fréquentais aux messes le dimanche je demandais aide , il me répondu , je ne peux rien faire mon fils , adressez vous aux cpas .Depuis lors ajouté aux cas de pédophilie récurrent de l’église , j’ai déserté la croyance catholique .Aucunes solutions concrètes et le temps passait , alors je téléphonais à Jacques Lombart , lui précisant que ma situation était critique , il me demandât 10 minutes pour trouver une solution , il tint parole , 10 minutes après le gsm sonnait , le mien , la femme de benoit Hanane venait me chercher avec sa camionnette , elle arrivât m’aidât à prendre mes bagages et je me retrouvais à uccle chez benoit et hanane , hanane au nom des 2 , m’acceuillit avec chaleur , mis à ma disposition une chambre libérée par ses 3 enfants en plus des 2 filles de benoit qui venaient une semaine sur 2 loger.
    Mes 2 tantes étaient aux abonnés absents , et me dirent débrouille toi Arnaud , toi pair de Flandres (nom donné aux personnes ayant un titre ou responsabilité ) tu trouveras tout seul une solution , j’étais de plus en arrêt maladie ,et mon salaire imposant fondait sur ce statu,
    J’y restai 3 mois , le temps de me retourner et surtout récupérer mon chien adoré , lâchement abandonné par toute une famille , avec le temps , la rancœur s’évacue , ma haine justifiée restera gravée à jamais ,ce quelle a fait est révoltant utilisé sur le mensonge et la manipulation , elle fit même retirer les numéros de GSM des enfants pour que je ne puisse plus les contacter , je fis faire une enquête par un inspecteur de police judiciaire que je connaissais (ayant fait son mariage de façon très brillante s’était lié d’amitié avec moi et m’avais dit tu as réussi le plus beau moment de ma vie , mon mariage, si tu as besoin de moi un jour je serai là, et il tint parole , mon ex femme bien que brillante intellectuellement avait un passé psychiatrique et fut membre d’une secte très dangereuse , l’église de scientologie, fichée à la police judiciaire donc, j’avais des craintes pour mes enfants , j’appris bien plus tard après le divorce qu’elle avait emmené Alex et Astrid chez une amie à elle psy mais surtout membre de cette secte à Bruxelles , mon ami inspecteur , ne pouvait pas faire plus et me conseillât de prendre un avocat pour demander des dommages et intérêts pour dommages moraux subis. Au bout donc de 3 mois passés à UCCLE , et bénéficiant et partageant avec cette famille le souper hallal puisque Hanane musulmane pratiquante mais non voilée, faisait la cuisine . JE cherchais un appartement et surtout récupérer mon pauvre chien , je fis connaissance aussi avec Jacqueline ex professeur en sciences économiques à l’université libre de Bruxelles , retraitée qui me conseillât vivement de reprendre une chaire vacante éventuellement disponible en Flandres à la kul ou à la vub à Bruxelles vu mes diplômes d’études et ce via éventuellement les connaissances politiques en Flandres de père , père décédé en 1992 , et ou à sa messe d’enterrement il y avait le gratin de la classe politique et d’affaires de Flandres , l’église était comble et c’est surtout au moment de son dernier souffle de vie à Bordet chez les malades du cancer en phase terminale que j’ai pleuré la première fois de ma vie , père qui était le pilier me cédait la place , je devenais enfin un homme mature . j’avais si peu connu mon père un homme si droit à qui je disais toujours papa profite de ton temps libre pour faire ce que tu aimes la lecture et les promenades , et il répondait , j’en profiterai à ma pension , il ne la connut jamais , j’ai si peu connu mon père que j’aimais tant , il avait tout fait pour nous mettre à l’abri du besoin , laissant un somptueux appartement de 200 mètres carrés situé à 2 pas des communautés européennes et qui vaudrait en vente en 2020 , au bas mot 600.000 euros ou en location 2000 EUROS minimum vu l’immobilier à Bruxelles flambant pour de tels quartiers plus un avoir bancaire de 600000 euros , maman était placée en maison de retraite et avait au décès de papa , proposer de gérer les biens , je rappelle que j’étais fils unique et héritier testamentaire devant notaire , elle rencontrât un gigolo en faillite de 2 magasins de fleurs et son cadet de 35 ans , elle crut au grand amour épongeât toutes ses dettes et dilapidât toute la fortune accumulée de papa , je le découvris lors de son placement en maison de retraite et fût atterré , tout était à reconstruire voila une des raisons qui me poussèrent à créer mon entreprise beaucoup plus tard , tout cela me revenait à mon départ de chez benoit , je me mis donc à la recherche d’un appartement pouvant accueillir un chien autre problème , aucuns n’acceptaient un animal et je fus contraint la mort dans l’âme de m’en séparer , j’en pleurais toutes les larmes de mon corps , au refuge , il me regardât droit dans les yeux fixement (les chiens ne parlent pas ce sont leurs yeux ) toi aussi tu m’abandonnes , ma haine restera à vie pour mon ex épouse rien qu’à ce propos,faire du mal à un animal ne passera jamais , je veillai néanmoins à ce qu’il ne fut pas euthanasié si au bout de 6 mois , il ne trouvait pas de nouvelle famille , un jour , 3 mois après le refuge me téléphonât pour m’apprendre qu’il avait été adopté par une famille avec des jeunes enfants dans le brabant wallon , néanmoins j’en ai gardé une grande tristesse avec le temps celle-ci s’est dissipée Josianne ma chérie m’a apaisée à ce propos, je trouvais finalement un appart dans une maison chez des vendeurs de sommeil , je n’étais jamais tombé aussi bas, je

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  • erwin erwin

    Mémoires d'une vie : l'âge adulte et carrière part:3

    travaux divers dont la salle de bain et la cuisine , l’appartement était en duplex , avec un petit escalier qui menait à notre chambre à gauche et une pièce au grenier que je fis rénové pour accueillir un 2ème enfant , un peu avant le décès de père, Maman m’annonçât que mon futur était assuré , et que Papa avait tout prévu notarialement , au niveau pécunier et puis au décès de mon infortuné père , effectivement Papa laissait l’usufruit à ma mère , l’appartement de mes parents achetés par Papa à son nom, j’en étais l’héritier unique , donc un appartement valeur actuelle 600000 euros situé tout près de la Cee , avec une cave et un grand bureau situé , entre le rez de chée et le 1er étage , vous y ajouter 600000 euros de cash bancaire et divers bon d’état,
    Très pris par mes occupations professionnelles, je veillais à prendre 25000 euros valeur de l’époque (1992) qui finançait les fournitures manquantes pour l’appartement et la chambre à droite de la nôtre pour un 2ème enfant, pas d’euro à cette époque-là et quelle qualité améliorée de vie en plus !
    Ma mère me proposât la gestion des comptes, et moi en confiance totale avec ma mère qui était une icone, acceptât, lui signant procuration, mal m’en pris ! Car lorsque lors du second mariage , je contactais ma mère , pour prendre , une autre part de l’héritage pour m’installer et apporter ma part dans ce mariage , quelle ne fut pas ma stupéfaction d’apprendre par elle , qu’il n’y avait plus rien ,j’exigeai de voir tous les comptes et extraits , elle avait tout dilapidé et même vendu l’appartement et apuré les dettes de son gigolo qui possédait 2 magasins de fleurs au sablon , il s’appelait Beguin authentique !
    Après tout cela , je remplis mon devoir de fils , et plaçait ma mère dans un home , en effet ce Beguin avait bien sur quitté le navire , n’ayant plus un clou à bord, après cela , mes visites furent rares chez ma mère, trahi ,renié et déshérité par sa faute , néanmoins, je lui présentais beaucoup plus tard ma Josianne chérie , quel dommage de ne pas avoir rencontré Josianne à cette époque-là , nous nous serions mariés , aurions-eu de magnifiques enfants et avec une ardennaise comme mon amour , cela ne se serait jamais passé ainsi , et oui destinée !
    Michelle voulait 3 enfants minimum, nous nous mîmes donc à la tâche , Michèle fit une fausse couche puis 3 ans après accouchât de Nathan Douglas Morisson (en mémoire de Jim Morisson) petit blondinet aux cheveux blonds comme le soleil , Michèle pour gagner un meilleur salaire fit les nuits mais s’usât pour sa santé , elle dormait le jour , et le week-end soit je passais mes journées au parc ou maman venait s’en occuper lorsque j’étais pris par mon travail très prenant , notre vie de couple en pâtissait , le caractère de Michèle changeât , fatiguée de plus en plus , elle ne supportait plus le bruit et désordre inévitable faits par les enfants , malgré que notre chambre était à l’étage , notre appartement était un très grand duplex avec une grande terrasse ou nous pouvions en été souper à 10 facilement et c’était bien utile car quand la tribu Prunier débarquait avec compagnons et enfants tout était bien nécessaire, une terrasse sans sans vis-à *vis , avec ascenseur , nous étions au 3eme étage et mes parents au premier . Maman devint de plus en plus envahissante et une violente altercation eu lieu entre Michelle et Mère,
    Michelle lui interdit l’entrée de l’appartement et un conflit larvé s’installât entre mes Parents et elle , j’étais déchiré entre les 2 petit à petit notre amour s’étiolât et Michèle fit la connaissance d’Antonio ouvrier espagnol et de 14 ans son aîné , elle me le présentât comme un ami bienfaisant , en réalité , il était son amant ,naïf malgré les mises en garde de coco ma grand-mère qui les croisait la journée pendant que je travaillais main dans la main, de cette amitié adultère naquit Amaury prénom choisi pour des résonnances aristocratiques , Michèle me présentât Amaury comme étant mon 3 ème enfant , déjà à l’époque Coco qui s’était rapprochée de nous en vendant Wépion (sujet de discussion houleux entre père et ses 2 sœurs dont la rivalité et jalousie féroce entre elles , l’une Chabichou avait épousée un riche homme d’affaire Georges Bertrand pdg de Publi-air société spécialisée dans la publicité aérienne avec une flottille se trouvant à Temploux et ou le bar est toujours propriété de ma tante qui finit sa vie (88 ans ) avec un homme de 40 ans son cadet à Doha entre autres, Chabichou était et est une ravissante femme évidemment vieillissante ,
    Moune aussi, elle avait épousée un électromécanicien qui devint celui de Publi-air et donc Moune se sentait rabaissée et lors de l’héritage de Wépion, Chabichou qui avait il est vrai complété la maigre pension d’indépendant de Coco avec une substantielle aide mensuelle, voulut se rembourser sur Wépion et Père sortit la phrase elle crèvera avec son fric dans sa tombe à Chabichou.
    Revenant à Sotramon , j’y restais 10 ans , jusqu’à sa faillite, Lhoost ayant pris le bouillon avec des affaires avec le Dictateur Mobutu , qui ne payait pas ses factures ou avec parfois 8 mois de retard alors que Sotramon devait payer ses fournisseurs, pour terminer l’épisode douloureux Sotramon ,celle-ci avait aussi un département industrie et envoyait des ouvriers en maintenance aux Acec Charleroi , forgeries de Clabecq , Caterpillar Gosselines , Boel la Louvière.
    Après 12 ANS à Zaventem et 10 ans à Sotramon , Creyfs intérim avec qui j’entretenais avec la directrice commerciale lieve Van imschoot( femme souriante et de caractère à la flamande) des relations presque plus que commerciales me convoquât à Anvers ou une proposition magnifique m’était faite , area manager pour les agences creyfs de Bruxelles mais la condition sine qu’anone , savoir conduire , je m’inscrit à l’auto-école , en effet avec du temps libre et ayant reçu 1an et demi payé par le fonds de fermeture des entreprise , la loi renaut venait juste de passer , je m’y consacrais , je réussis le théorique les yeux fermés ,mais au pratique , le contrôleur moniteur me dissuadât de continuer et du coup les portes de creyfs interim furent fermées. A l’époque l’internet était à ses balbutiements , j’allais tous les matins au forem voir les offres d’emplois , je trouvais assez rapîdement du travail dans le sanitaire grâce à mes antécédents professionnels et mes connaissances de 4 langues ( nl ,f, english , duits) pour rappel , régendat en langues ; j’y restai 8 ANS , m’ennuyant à mourir dans une ambiance déplorable ou le personnel était traité comme des mouchoirs à jeter avec des crises d’agressivité ou le jeune patron eut un jour une crise d’agressivité avec un délégué commercial parce qu’il ne faisait pas assez de chiffre , il s’appelait Dimitri , nous le revîmes plus tard avec ma seconde épouse et encore plus tard avec la femme de ma vie JOSIANNE, mais chaque fois la relation ne durât pas , Dimitri trop penché sur l’argent.Encore en fonction dans le sanitaire , je cherchais un nouvel emploi sur le conseil de ma deuxième épouse , et trouvai un nouveau job nettement plus en phase avec mes études supérieures , un poste de directeur administratif mais dans le domaine de l’alarme que je découvrais , chance pour moi beaucoup de clients étaient issus soit de la haute bourgeoisie ou noblesse ou aristocratie belge et surtout flamande ; A cette époque aussi ma vie privée prit un nouveau tournant avec la rencontre fortuite due aux scouts ou ma fille ainée et son frère fréquentaient les activités le dimanche , c’était une espagnole basque peu souriante très sévère , le visage marqué et on pu le comprendre quand elle m’appris qu’elle avait été abandonnée par son père à l »âge de 9 ans avec sa petite sœur et son petit frère et sa Mère .Entretemps mon couple qui battait de l’aile suite au mensonge de Michelle sur Amaury les yeux noirs et cheveux noirs et portant l’adn infaillible de son amant espagnol et qui portait mon nom , me fit prendre la décision   de divorcer , ce fût très dur pour moi , mais l’atmosphère devenait irrespirable , je ne faisais plus chambre commune avec mon épouse qui me dégoutait au plus haut point .Et de plus c’était mon appartement , père prévoyant avait été au notaire pour l’établir à mon nom et avait veillé à ce que notre contrat de mariage soit en séparation de bien ,

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  • erwin erwin

    Mémoires d'une vie : l'âge adulte et carrière part:2

    et me demandât si la compagnie d’une amie à elle aussi de Waterloo mais fort seule à Bruxelles me dérangeait , celle-ci blonde avec des yeux bleus ou on se perdaient dedans vint donc souper à la maison avec Brigitte , Père , souriant malicieusement , se doutait de la trame de cette rencontre , par contre de ma part , je me retrouvais devant un dilemme cornélien , la blonde ou la brune ?
    Père poussait pour Brigitte beau parti financier , j’avais un bountch pour Brigitte comptable de métier , très jolie fille qui me plaisait , ordonnée , me ressemblant fort , mais Michèle étudiante infirmière à Saint-Pierre habillée hippie , ouverte aux autres , passionnée par le rock et la musique me fit flancher ,la rupture fût directe avec Brigitte au grand désappointement de Père , Brigitte était fille unique , Michèle ainée d’une fratrie de 3 enfants , je dû attendre 3 ans avant de l’épouser , le temps qu’elle finisse ses études d’infirmière , elle obtint le diplôme d’infirmière graduée et fit toute sa carrière à l’hôpital Saint-¨Pierre au service prénatal ,jusqu’à son décès inopiné en 2010 suite à un cancer généralisé de la peau , bien sur je fus présenté à sa famille et ses parents et son frère et sa sœur , l’accueil fût chaleureux , cette famille était d’origine française d’Auxerre , habitait à Waterloo , Patricq était devenu un brillant ingénieur industriel et avait fait polytechnique , il défilât d’ailleurs devant le Roi à une fête nationale avec le célèbre chapeau à plume des polytechniciens , il épousât une fonctionnaire européenne dont il eut un fils , mais le mariage ne tint pas longtemps , pour des problèmes financiers , en effet le salaire de Daniela était le double de celui de Patrick alors que simple secrétaire de Direction alors que Patricq avait atteint le sommet des études , les polytechniques et gagnait un salaire indigne de ses études ,cette différence de salaire totalement injuste et disproportionné entraînât très vite le divorce, je mariais donc Michèle en grande pompe , le mariage à l’auberge de Lindekemaele à Woluwé financé à 60 % par père eut lieu et fût magique , des cadres de ma société précédente et même le Directeur vinrent me souhaiter bonheur , nous emménageâmes rue général gratry avec un propriétaire patron d’une société de chauffage, immonde et avare , à l’époque , j’avais rencontré par hasard Bernard Jacques surnommé Ben , nous sympathisâmes immédiatement , il était extraordinaire , cultivé dans tous les domaines , multi instrumentiste et surtout guitariste (électrique hors pair ) excellent cuisinier, nous passions des soirées mémorables à 2 à parler de plein de sujets très intéressant et je goûtais à sa cuisine italienne raffinée et un rosé millésimé , Ben était électricien et manuel et intellectuel , j’étais admiratif , Ben était orphelin et célibataire endurci et d’une timidité maladive vis-à-vis des femmes mais fidèle à la mort en amitié , et comme les Doors groupe phare de mon adolescence , nous formâmes un groupe composé de Michèle mon épouse à la batterie , Ben guitare , et moi-même au chant et Jean-Luc débutant à la basse , je composait les textes en anglais influencés par Baudelaire et Verlaine et en anglais , Ben sachant que nous n’avions pas de formation de solfège inventât un système de ligne de temps et l’on savait ou chaque instruments aussi bien la voix que les autres devaient intervenir et the Open Door, la porte ouverte fût créé, nous répétions dans la cave chez mes parents , la particularité , c’est que celle-ci avait la chaudière de mes Parents comme compagnie, et elle faisait beaucoup de bruit , je la débranchais constamment à chaques répétitions , ma mère en hiver descendait immanquablement la rallumer provoquant le fou rire général de notre groupe , le groupe atteint son sommet , lorsque nous décidâmes à la majorité d’allez enregistrer dans un studio renommé à Manchester en Angleterre, nous nous cotisâmes ensembles pour payer les frais conséquent de production , Factory records était le nom de la société et ou le Producteur fou génial Martin Hannet produisait les groupes mythiques de la new wave et cold wave de l’époque (exemple le groupe mythique Joy Division et son chanteur fils désigné de Jim Morisson , j’ai nommé Ian Curtis, celui-ci se pendit en pleine gloire lorsque sa fiancée lui fit le chantage moi ou le groupe , nous arrivâmes à Manchester connue pour son club célèbre de foot mais aussi pour sa région en pleine récession économique victime du thatchérisme de l’époque néolibéral (Maggie Thatcher première Ministre de l’époque) , Manchester ou la jeunesse anglaise était au chômage , les usines d’un autre âge fermant les unes après les autres.
    Nous enregistrâmes donc 10 morceaux , Martin Hannet était plus occupé aux raccordements de câbles qu’autres choses et imperturbable , il répétait play taken easy , nous jouions donc dubitatifs mais lorsque nous entendîmes le résultat final nous fûmes scotchés par le résultat , un son de cathédrale magnifique , ce fut notre seul moment de gloire , excepté un concert en public à Blankenberge ou pour seul salaire les boissons et nourriture à volonté payés par le bar propriétaire du podium sur le bord de mer , le résultat fût convaincant puisque les badauds affluaient en nombre écouter notre musique.
    Papa vint même nous écouter fût admiratif , le groupe continuât 2 ans et inexorablement des groupîes de tous bords et particulièrement des filles venaient aux répétitions , nous avions déménagés dans des entrepôts dédiés aux groupes de rocks situés à Molenbeek, l’endroit était lugubre entouré de bandes de jeunes désœuvrés casseurs , nous n’étions jamais à notre aise , Michèle enceinte de notre premier enfant Aurore et très impliquée dans son travail chez les prénataux à Saint-PIERRE , diminuait en concentration et était moins impliquée à la batterie , le groupe pris la décision de se séparer d’elle , elle le pris très mal , des conflits débutèrent dans notre ménage et elle ne voulut plus voir tout ce monde , les conflits éclatèrent entre les petites amies des musiciens et le groupe fût dissous . Je ne revis plus jamais les musiciens .
    A l’époque , toujours amoureux de la musique , je rencontrais les mousquetaires composés de Giovanni , Eric , et Patrick et Roberto , habillé punks , je m’entendais bien avec tous et particulièrement Giovanni italien et universitaire et le beau et ténébreux Roberto espagnol qui quitta le milieux en épousant la fille d’un banquier d’affaire renommé , Giovanni lui devint chanteur guitariste d’un groupe punk –new-wave the Actors qui eut un concert à l’ancienne Belgique bondée de fans , puis Giovanni quitta tout pour Toulouse ou il vit toujours et ou il a créé une école de théâtre réputée (simuli théâtre) .
    Aurore , ma première fille naquit à Saint-Pierre , père était bleu fou de sa petite fille et l’emmenait bébé dans son landau faire de grandes promenades au parc du cinquantenaire , notre petit et coquet rez de chée aménagé avec gout par Michelle devint rapidement trop petit malgré le charme de son jardin en été mais aussi de sa chaudière qui tombât une fois en hiver en panne , lors d’un hiver particulièrement froid et ou nous dûmes attendre 3 semaines avant l’intervention de Monsieur Rachin propriétaire chauffagiste , un comble !
    Papa dût le menacer d’avocat pour qu’il bougeât, face à tous ses tracas ou mes Parents accueillirent Michèle et Aurore bd Clovis 49A, je restais à la notre maison en attente du propriétaire et de sa visite .Après une réunion de famille avec Père, Michelle et moi-même, nous prîmes la décision de déménager et surtout d’acheter, par le pur des hasards et ayant reçu carte blanche de père de rechercher un bien, je tombai sur une affiche bd Clovis même mais au 22 ,
    2 appartements de 200 Mètres carrés étaient à vendre en indivision, nous visitâmes donc ensembles les lieux et après annonce du prix ridicule pour une telle superficie, Père obtint avec facilité à sa banque un prêt et nous offrit comme cadeau de mariage notre appartement , nous recevions en cadeau de mariage un vaste et agréable appartement sans loyer et crédit pour débuter notre vie d’adulte. Que demander de plus pour être heureux !
    Bien entendu , il fallait décorer et y apporter meubles et ustensiles , petit à petit , l’appartement devins coquet , bien décoré avec 2 goûts différents mais harmonieux , nous fîmes appel à Ary pour le gros œuvre ( tapis plein) et autres

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  • erwin erwin

    Mémoires d'une vie : l'âge adulte et carrière part:1

    La carrière professionnelle

    Avec les diplômes obtenus, plusieurs possibilités s’ouvraient à moi, le privé, ou l’état,
    Avec les pistons paternels toutes les portes étaient ouvertes , via le Cdnv ou Papa était membre mais également du boerenbond , je pouvais entamer une carrière à l’abri de toutes inquiétudes à l’état , et également dans le privé , ou plusieurs grands patrons , flamands , m’accueilleraient à bras ouverts , dans différentes branches de l’industrie , du commerce , militaire même , mon vœu était de diriger , je ne me voyais pas périr d’ennui dans un emploi subalterne , j’avais faim de direction , de diriger des hommes , c’était dans mon adn , mon caractère.
    Je choisis donc le privé , grave erreur , mauvais choix ?
    J’allais porter toute ma carrière le poids de mon choix , Papa me fit débuter chez un ami à lui , dans la construction métallique , c’était une grosse pme avec 250 OUVRIERS Et 50 EMPLOYES , elle était spécialisée dans les balises d’aérodromes et la scénographie de théâtre et située dans le zoning industriel de Zaventem , en clair cette société était dans la construction , clé sur porte d’un théâtre et ce via une sous-traitance de Georges Parant , scénographe et Directeur département théâtre Sotramon , Papa en accord avec le patron de cette société , me fit passer à tous les services , pour comprendre les rouages d’une pme, depuis le collage de timbres sur le courrier sortant , jusqu’à la direction des ressources humaines , j’y restai 12 ans , mais la jalousie et le trop grand train train et le fils du Patron , fils à Papa et un total incapable à son poste ; prenant des décisions absurdes et également mettant en continuel conflit la Direction du personnel et le puissant syndicat Acv (csc flamande) représenté par le surnommé « Pape Clément Wij « m’usére dans mon rôle de directeur du personnel .
    Au bout de 12 ans , d’un conflit continuel avec des grèves à répétition , faites par une direction générale représentée par le fils et la fille à Papa de la famille , je reçu une proposition de Sotramon ,via Georges Parant scénographe réputé internationalement , le théâtre du Varia est son œuvre à Bruxelles , cette proposition , être le directeur administratif de Sotramon et mettre de l’ordre chez eux , à plus de trente ans , j’arrivais au sommet de ma carrière , c’était un mardi après-midi , j’avais pris congé , et je signais un contrat avec Sotramon qui allait devenir mon amour professionnel , je signais pour un contrat et salaire encore plus imposant que la précédente , ou déjà j’avais un salaire confortable , dés le lendemain , je remis ma démission, j’étais resté 12 ans à Zaventem , à la stupéfaction aussi bien de la direction et du syndicat , Clément Wij , le Pape lui qui en une seconde pouvait mettre toute l’usine à l’arrêt et qui faisait trembler la Direction vint me voir , et essayât de me dissuader de partir , vantant mes capacités de diplomatie alors que j’étais en tenaille entre Le Pape et la Direction que je représentais, le nouveau challenge proposé à Sotramon était alléchant , mettre de l’ordre représenter Monsieur Lhoost Administrateur-délégué aussi bien au conseil d’administration , à la Direction générale ,au conseil d’entreprise et délégation syndicale , j’étais rentré directement dans le pouls de l’entreprise et il y avait aussi l’acv flamande présente et même omniprésente , mais le contact fût très respectueux , en effet , Lhoost le Patron adoré et respecté par son personnel et malade suite à une maladie contractée en Egypte m’avait confié quasi son poste et pouvoir directionnel , et m’avait présenté à tout le staff de direction et le syndicat et les contremaitres de la société, il faut savoir que Sotramon à l’époque était une pme avec 100 ouvriers et 30 employés, faisait un chiffre d’affaire de 360 millions d’anciens francs belges et avait trop vite grandie sans réelle structure administrative et organisationnelle .Seul hic à l’époque , vu la maladie de Monsieur Lhoost , celui-ci avait un associé à 2 % que l’on voyait rarement et qui passait en coup de vent au bureau , très nerveux , et surtout bordélique avec ses papiers , confondant les caisses privées , les siennes et celles de sotramon, un jour en épluchant les facture de sortie que Nicole la chef comptable m’apportait chaque semaine dans le signataire pour accord ,quel fut ma surprise une facture au nom de l’associé , il s’appelait pierre dubois domicilié à ophain et donc pour 500 euros de roses avec son écriture de pattes de chat , à imputer I NDUSTRIE 134 soit caterpillar gosselies, je n’étais pas né de la dernière pluie et me doutait que ces roses n’étaient pas destinées aux contremaitres de caterpillar , je déposai donc la facture sur le bureau de Monsieur Lhoost , il venait le vendredi comme dubois , ma porte légèrement ouverte , j’entendis un éclat magistral de la voix toute puissante du patron, pierrot dans mon bureau immédiatement , il reçut un savon de première, et fut remballé avec fracas et sa facture, depuis ce moment-là Je fus surnommé Robespierre par tout le personnel qui se méfiait de ce jeune technocrate issu des belles écoles en l’occurrence moi-même, autres particularités croustillantes , Monsieur lhoost n’était plus libre à partir de 14H , il recevait une dame différente tous les vendredis , et je sus plus tard par sa secrétaire Danièle sancturum , elle-même une de ses maîtresse , ces secrets d’alcôve , le point culminant étant le vendredi à 17H ou ponctuellement 5 différentes voitures de luxe se parquaient dans le garage rue waelhem à schaerbeek et en sortaient 5 femmes avec vison et tutti quanti , elles venaient chercher leur rente hebdomadaire (authentique)  ; en petites touches , j’amenais ordre , rigueur et méthodologie a la flamande dans une jeune entreprise pour laquelle , j’avais les yeux de Chimène , plusieurs réalisations à mon actif, nous étions je rappelle fin des années 70 , création d’un magasin avec cartes sur le mode du Colruyt qui allait révolutionner la gestion de stock avec ses fameuses cartes magnétiques, gestion des élections syndicales , création d’un service du personnel compétent ,j’assistais au cours de formation en direction des ressources humaines , accompagnait parfois les ouvriers du département industrie dans leur mission de maintenance aux acec Charleroi , forges de Clabecq , Caterpillar gosselines , Wiggins tape à nivelles, création d’un service achat et d’un règlement de travail nécessaire car un jour je tombais sur Marcel ouvrier soudeur à l’argon en train de boire des cannettes de bière en plein travail , il reçut 2 avertissements et il récidivât , et à mon grand regret , je le licenciais sur le champs malgré des qualités indiscutables de soudeur à l’argon. Mes journées étaient très remplies et diverses, pas question de routine. A ce moment j’entamais aussi une amitié avec Bob Rutten Directeur division théâtre de mon employeur précédent et Jean Stockbroecx Directeur research and developpment du même employeur et Georges Parant directeur de la division théâtre de Sotramon(toutes ces personnes ont existés et ne sont nullement le fruit d’imagination quelconque, Stockbroek , j’ai fait son mariage photo de sa fille , Bob Rutten habitait Chaumont –Gistoux, Georges Parant à Wavre) , une fois par mois , Georges nous entrainait tous dans ses virées nocturnes ou il claquait des sommes folles en une nuit dans des bouis bouis chics du Sablon .Au bout d’un moment , je saturais , Parant m’avais pris sous son aile , mais sa vie dissolue , me dégoûtait mais il était délicat de lui déplaire , il était une sorte de Danton à Sotramon ( voir la révolution française ) heureusement la femme de Georges (copie de Barbara la célèbre chanteuse française),Nicole mit le haut-là et Georges se calmât .A L’époque , en privé , je m’étais marié à une superbe blonde aux yeux bleus , l’histoire fût magnifique au départ , un jour la fille du propriétaire de mes parents 49a Bd Clovis avec qui j’avais plus que sympathisé , allant jusqu’à un flirt poussé , Brigitte donc fille d’un propriétaire terrien , bon parti suivant mes parents et devenue ma nouvelle petite amie du moment était brune , petite rondelette , les yeux noisettes , elle me téléphonât de sa villa parentale à Waterloo , et me demandât si la compagnie d’une amie à elle aussi de Waterloo mais fort seule à

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  • erwin erwin

    Mémoire d'une vie: le service militaire obligatoire

    Le service militaire
    Un peu avant le service militaire , entrée à l’université avec Master obtenu en sciences économiques et politiques et ensuite vint le service militaire.
    A l’époque le service militaire était obligatoire et était divisé en 2 durées ,
    Soit celui de simple soldat ou d’officier Cor , sur les conseils judicieux de mon Père qui l’avait lui-même fait en terminant major de sa promotion , j’optais pour le service Cor , je suivis donc la formation pour être officier , j’avais demandé une affectation dans l’informatique qui était à ses balbutiements à l’époque et à ma stupéfaction ce fût la logistique et Aix-la-Chapelle , j’arrivais dans une Allemagne ou le nazisme était encore latent et ou la population allemande malgré que le pays était en plein essor économique gardait une haine profonde contre les troupes d’occupation.
    Je fus incorporé au 8eme bataillon de logistique situé à Aix-la-Chapelle, proche de la frontière belge et des cantons rénimés (Eupen, Malmédy),
    Dans ce bataillon j’eu 2 propositions d’affectation , soit celle officier responsable du mess des officiers ou officier responsable de la sécurité de la caserne en tant que Police militaire , pas trop pour la cuisine et le brouet servi aux militaires , je choisi faute de choix autres , la police militaire , nous étions 4 officiers cor à la tête de 40 miliciens et chapeauté par le rsm de compagnie (l’adjudant-chef Lothaire) qui avait suivant une tradition très british malgré son grade inférieur droit de mettre aux arrêts un officier jusqu’au rang de Capitaine , les responsabilités étaient de diriger , planifier les horaires des miliciens , gérer la sécurité de la caserne et les dépôts de munitions , les balles et munitions mise à disposition étaient comptées , si il manquait une balle sans justificatif à l’inventaire journalier , c’était passible de conseil de guerre , à l’époque la guerre froide avec la Russie communiste faisait rage , l’Allemagne de l’est était occupée, de plus j’avais un chenil dans mes multiples tâches à gérer , je fis connaissance des chiens , de superbes bergers allemands et malinois dressés ,
    Un chien magnifique malinois de 2 ans retint mon attention il s’appelait Rex , un jour comme tous les matins , les miliciens portaient les gamelles alimentaires aux chiens , je voulus y aller personnellement mais accompagné par un milicien ,je fis connaissance avec ce chien qui m’accueilli par les crocs bien acérés et grognant à plein poumon , je lui parlais en allemand et lui habitué à parler en français (le bataillon était composé de 70 % de francophones) , le chien s’assis et devint calme et fit aller sa queue , à partir de ce jour-là Rex devint mon compagnon favori , aussi bien pour les gardes nocturnes que par hobby lors de mes jours de repos. Je faisais connaissance de l’aspirant sous-officier adjudant Jean-Luc Bettermier de Liège, nous sympathisâmes, il avait la même passion pour la musique.
    Au fil du temps , une franche camaraderie s’installât entre nous , bien que d’un milieux très différent , il avait suivi la filière menant aux travaux manuels et était fils d’agriculteur ( authentique) , le respect était mutuel , me voyant souvent dans mes pensées , il me proposât un jour de l’accompagner à la journée de la femme à Malmédy , il faut savoir qu’à l’époque , j’étais totalement célibataire et sans affectation sentimentale , le fantôme de Pascale me poursuivait impitoyablement , Père à l’époque m’avait accompagné chez son beau-frère , psychiatre réputé à Bruxelles rue vilain xxiv , François Debauche , mais rien n’y fit , je passais donc un week-end de permission avec mon copain Jean-Luc , la journée de la femme ( coutume de cette contrée) permettait à toutes les femmes même mariées de rencontrer des hommes ,
    Nous allâmes donc à un bal , alors que Jean-Luc allègrement dansait un slow avec une demoiselle de cette contrée , je restais au bar à siroter un coca , en effet , j’avais en aversion POUR la bière et les beuveries , il faut dire que lors du rituel de baptême à l’entrée du service militaire , je fus dégouté à jamais des alcools durs tels le whisky , vodka , bière et tutti quanti , donc accosté au bar et méditatif dans ma solitude , une jeune fille m’accosta , et me proposât de danser avec elle , Greta était ravissante , brune avec des cheveux de jais et des yeux bleus , petite , rondouillette et bien potelée , Greta allemande par son père et belge par sa mère , m’accompagnât dans une danse sur la chanson de Abba ‘ Fernando’ , j’étais un piètre danseur , mais elle ne me laissait pas indifférent , nous eûmes un début de flirt , Greta était comptable , avec le service militaire , je revins plusieurs fois la voir , je rencontrais ses parents , mais l’éloignement de Bruxelles et de mes Parents , terminèrent de nous éloigner et le début d’amourette se terminât à la fin du service militaire.
    Durant le service militaire , le commandant d’unité , m’avait pris en sympathie , flamand lui aussi , je rappelle que nous étions minoritaires dans notre génération , il était d’origine de Gand ou toute sa famille habitait , il connaissait ma famille et m’avait repéré à mon entrée en fonction , il adorait les échecs , le Monopoly et le stratego , 3 jeux cultes et donc cherchait un compagnon de jeux , il me dispensât des manœuvres et donc , je devins son partenaire , il m’avait tellement à la bonne , qu’un jour , il m’invitât à souper et me présentât sa femme et surtout sa fille , Johne , c’était une très jolie rousse avec des tâches de rousseur et des cheveux roux , il y avait un peu de Isabelle Huppert , dans son physique , il me vantât la carrière militaire et ses avantages , poussât pour que je courtise sa fille et même me proposât d’apprendre à conduire gratuitement à l’armée , quelle sottise à l’époque de ma part , j’aurais eu le permis c , gratuitement à l’armée , mais je déclinais les offres , avoir une maison même gratuite mise à disposition mais entouré dans la rue d’autres militaires , même lorsque nous étions au jardin , les voisins étaient des militaires , cela ne me convenait pas , et Johne , je l’aimais bien sans plus , je ne ressentais pas la décharge électrique du coup de foudre , il ne m’en tint pas rigueur et resta bienveillant à ma personne , il fit d’ailleurs un rapport élogieux pour un futur employeur pour après mon service militaire. Dernière mission avant la démobilisation , allez récupérer des miliciens dans un dancing à Aix-la-Chapelle , je fis route depuis la caserne avec 2 jeeps , j’étais le seul officier , accompagné d’un sergent d’active et de 6 soldats volontaires de carrière , l »ambiance était électrique , en effet des miliciens souvent ivres draguaient les jeunes allemandes devant leurs fiancés allemands , une bagarre générale éclatât , un jeune allemand , un colosse en vint aux mains avec un milicien belge ivre et avec un tesson de bouteille à la main , me souvenant parfaitement de mon instruction à l’école des aspirants-officiers, j’élevai la voix entouré par mon escorte et l’expérimenté sergent-major Lanthier et demandais aux belligérants de se calmer , en prévenant qu’après 2 avertissements , ce serait un tir de revolver et ensuite tir aux jambes , mes 2 avertissements sans réponse , je tirais 1 balle en l’air , la détonation assez forte calmât les esprits , les miliciens furent rapatriés manu militari et envoyés au cachot et envoyé au conseil de guerre le lendemain , la moyenne d’âge était de 20 ans pour ces miliciens , je ne les revis plus jamais après.
    Je finis donc le service militaire, sortant sous-lieutenant de ma promotion,
    L’effet de l’uniforme de sortie faisait effet avec mon grade clairement affiché sur ma veste , les miliciens me saluait et quand j’arrivais à la gare centrale à Bruxelles , mes parents et particulièrement Papa me serrât dans les bras , tenue impeccable ,chaussures cirées , crâne rasé , j’étais devenu un jeune adulte et Maman que j’adulais à l’époque , me sortit la phrase , quel beau mec mon fils , papa était très fier , et je soupçonnais une mini larme aux yeux , père ne montrant jamais ses sentiments et avec un visage très fermé. J’étais très fier et fort ému,
    Dans le train qui nous ramenaient d’Aix la chapelle à Bruxelles (3 h de train),
    Se trouvait dans mon compartiment, une ravissante femme officier-médecin,
    Elle terminait, elle un contrat en cdd, elle était ravissante, brune châtain, les yeux verts et un très joli visage, elle avait 7 ans de plus que moi, et elle allait être un moment cours mais important dans le début de ma vie d’adulte.
    Elle s’appelait Karin Degeynst, habitait à l’époque à Jette à Bruxelles et était célibataire, durant le voyage, nous n’avons cessé de nous regarder et parler ensemble et le tilt du cœur avait fait mouche des 2 côtés, à l’arrivée à Bruxelles, nous nous échangeâmes nos cordonnées et promirent de nous revoir, et effectivement un jour après mon retour chez mes Parents, Karin m’invitait chez elle. Nous passâmes finalement tout le week-end et je dormis le samedi chez elle , je prévins ma mère qui n’était pas vraiment contente , alors je ramenai Karin chez mes parents pour souper le dimanche et elle conquis ma mère très possessive et impitoyable vis-à-vis des jeunes filles que je fréquentais , les classant directement dans la bonne ou mauvaise colonne , Karin fût dans la bonne , il faut savoir que Karin avait une jambe dans le plâtre suite à une chute de cheval , elle possédait son propre cheval surnommé tigron qu’elle adorait et louait à l’année un box pour lui , tous les week-ends , elle allait le monter et s’en occuper , c’était sa passion , ses parents étaient divorcés , le père , homme d’affaires était un antiquaire réputé au sablon , Karin me le présentât, homme distingué très british , il fumait la pipe , quand à sa mère , dépressive et seule , elle était placée dans un home psychiatrique pour personne riche , je la vis , et son accueil fût courtois. Notre idylle durât 2 ans et demi , durant sa convalescence , elle vécu chez mes parents et y fût traitée avec chaleur par ma mère , je pensais de plus en plus à un mariage et donc choisi de terminer mes études supérieures en cycle court pour obtenir un master en sciences politiques et « économiques avec en plus un régendat en langues germaniques en cours du soir , j’obtins le tout avec grande distinction , par hasard quand Karin fût délivrée du plâtre , elle décidât de reprendre la ou plutôt sa messe dominicale , pourquoi , factuellement , ayant fait une pose avec la religion , elle y allait seule , mais un dimanche , elle insistât pour que je l’accompagne , j’acceptai , telle ne fût pas ma surprise de découvrir que l’église fréquentée était mormone , je le dis à Père qui me signalât que cette organisation était une secte , et je découvris le pot aux roses , en effet dés sa revalidation , Karin exigeait que nous nous voyions que le week-end pour fortifier nos sentiments , avant le mariage , j’étais dubitatif , un jour que je passais le week-end chez elle , je découvris un slip d’homme dans la salle de bain , mes yeux s’éclairèrent de stupéfaction , je repris mon manteau et mes affaires et claquais la porte illico pour retourner chez mes Parents, Karin courût après moi dans la rue en pleurant et en demandant de l’écouter , je fus je reconnais blessé et grossier avec elle , lui faisant comprendre que je n’avais nullement l’intention de me salir dans un lit ou un autre homme s’était posé , Karin demandât pardon et voulut m’expliquer des histoires abracadabrantes comme quoi sa religion lui permettait de fréquenter plusieurs hommes et que ce n’était nullement un péché , malgré que 7 ans nous séparaient , j’avais suite à une précédente idylle douloureuse pris la philosophie suivante , chat échaudé craint l’eau froide , je rompis sur le champs cette idylle et lui ramenai à la porte de son domicile , ses cadeaux et sa gourmette avec son prénom gravé , elle pleurât de chaudes larmes et demandât milles fois pardon pour l’incompréhension avec sa religion , je fus intransigeant , ne me voyant pas me marier et faire de cette femme , la future mère de mes enfants , j’en fus aigri et profondément blessé !
    Durant cette période , je fus immonde avec la gente féminine , jetant plusieurs filles comme des mouchoirs par vengeance ,j’eu pourtant un immense flash , lorsqu’à l’été 1978 , j’assistais à l’Atomium au concert du mythique groupe de reggae Steel Pulse qui venait de sortir son premier et magnifique album Handsworth revolution , Laetitia , superbe jeune fille , la vingtaine,bien ronde avec une belle poitrine (j’ai toujours privilégié les femmes rondes et bien potelée aux antipodes des normes des mannequins ultra-mince et quasi sans poitrine , pour moi insipide , incolore mais rarement inodore comme tout être humain , de cette jeune femme rayonnait une lumière encore accentuée par cette superbe journée d’été et de la musique lumineuse et ses mélodies parfumées de Jamaique, elle était ravissante , des grands yeux noirs et une longue chevelure noire de jais , Laetitia avait une particularité , elle était en chaise roulante et les jambes paralysées à vie , j’en tombais complètement sur le charme et lui parlai directement et sans ambage l’embrassais fougueusement et la serrait dans mes bras , à cette époque célibataire , sans attaches sentimentales , Laetitia , me dit , tu es amoureux moi aussi , mais vas-tu supporter un boulet toute ta vie , pourras-tu accepter ce poids , je pleurais à chaudes larmes , complétement fou d’elle , nous passâmes un moment magique , je pensais au futur à 2, et comment la présenter à mes PARENTS , nous gardâmes contact après cette journée mémorable , mais encore des années après , j’ai regretté ma décision de ne pas continuer mon chemin de vie avec elle , Laetitia qui était orpheline suite à l’accident de voiture avec ses parents qui avait causé la paralysie de ses 2 jambes . Père intervint en m’ordonnant d’arrêter cette conduite indigne de son fils , lui si droit et honnête , père aussi insistât sur ma naïveté et de la corriger , à cette époque , le samedi soir était magique , mes Parents invitaient tous les samedis , plusieurs connaissances issues de tous les milieux (arts , finances , politique , scientifique ) une sorte de soirée des lumières , j’y étais à chaque soirée admiratif et tout petit à savourer l’échange de toutes ces connaissances , je me délectais littéralement , durant ces soirées , apparût Gaëlle , jeune fille du même âge que ma personne , elle illuminait de sa présence , les soirées ou elle était présente et était une copie conforme de l’actrice française Brigitte Fossey que j’avais découverte dans le film la Boum , je lui fis une cour assidue et le peintre juif Martin Reisberg connaissance de mes Parents qui l’avait introduite à ces soirées souriait à ce début d’idylle , Gaëlle était bretonne de souche , elle me fit découvrir le groupe français de musique progressiste Ange et son chat , un magnifique chat de type angora , notre relation fût belle mais écourtée par ma faute , pour 2 raisons , elle ne correspondait pas à mon type de femme qui était cheveux noirs , petite et potelée , elle était grande , châtain clair , les yeux verts et quasi sans poitrine , pourtant père l’admirait tout comme ma mère ,elle était étudiante à l’académie des arts à Bruxelles , et était brillante dans les arts plastiques mais surtout aussi au piano et au théâtre , nous discutions souvent de Molière que je continue à aimer , particulièrement les fourberies de Scapin ,Il faut savoir que Molière à son époque était financé par le roi de France , en échange d’une promesse , il pouvait se moquer de toutes les catégories de la société française excepté la noblesse et le Roi , ce que d’ailleurs Molière respectât à la lettre ! À cette époque aussi, elle me fît découvrir la commedia Del ARTE, en effet, une troupe de troubadours professionnels venant d’Italie, donnait une unique prestation à Braine-l’Alleud, je fus subjugué par le spectacle grandiose, cracheurs de flamme associé à un humour décapant et les masques vénitiens.
    Bien plus tard, je créais un scénario personnel de Commedia Del ARTE, mais jusqu’à actuellement 63 ans, le scénario à mon grand regret n’a pas été interprété. Gaëlle devint par la suite après notre idylle, une brillante actrice de Théâtre en France.

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  • erwin erwin

    Mémoires d'une vie : l'adolescence et les humanités

    Je commençais donc mon adolescence et mes études secondaires dans une grande école privée en Flandres pendant les 3 premières années, la discipline y était drastique, le port du veston et cravate obligatoire, c’était les années 70, les longs cheveux, les pattes éléphants pour les jeans,
    Cette école accueillait du beau linge comme ont dit , beaucoup d’enfants de la haute bourgeoisie mais aussi de la noblesse flamande , dont 2 frères qui devinrent dans les années 80 , des dirigeants du CDNV actuel et anciennement Parti-social chrétien cher à feu Paul Vandenboeynants , je terminais ces 3 premières années avec grande facilité , mes Parents avaient optés pour latin-science , déjà à l’époque les mots haut potentiel étaient rédigés par le comité d’enseignant , je terminais ce cycle avec une moyenne de 92 pourcent dans toutes les branches , j’avais faim d’apprendre , d’ouvrir ma culture , je dévorais les livres et aidaient souvent des condisciples ayant des difficultés , particulièrement en mathématiques , chimie et physique , vu le strict protocole de cette école privée et ou les inscriptions étaient triées sur le volet , un jour , j’eu un moment de révolte , en effet mes cheveux avaient poussé et étaient devenus très longs , jusqu’aux épaules , je les regroupais avec une discrète ficelle et cachait la queue dans le col de chemise , je me présentais donc sans cravate avec un pull à col en v et un pantalon patte d’éléphant , je fus à mon entrée dans l’école attrapé par le Préfet qui m’agrippa et me conduisit à son bureau , j’eu droit à un savon en règle , il dit que l’école n’était pas un lieu de hippie et que la cravate était obligatoire , je lui rétorquais que j’en avais une et déboutonnai ma chemise , la cravate était dessinée sur ma poitrine.
    Je fus renvoyé 3 jours , mon Père curieusement très à cheval sur l’ordre et la propreté , demandât sur le champs une réunion avec le Préfet , la réunion fût houleuse , Papa en colère , demandât si je sentais mauvais , si mes résultats scolaires étaient mauvais , ce n’était pas le cas , il décidât donc de changer d’école , curieusement Papa toujours strict sur l’étiquette n’avait rien contre les cheveux longs de la jeunesse de cette époque ni contre les jeans patte d’éléphant , par contre , les résultats scolaires devaient être de top niveau ce qui était le cas , un jour ou à une rare exception , j’étais rentré à la maison avec un 7,5 sur 10 en mathématiques , je le dis à maman , Papa rentrait invariablement vers 20 heures tous les soirs et allait même le week-end travailler , maman lui annonçât le résultat , sa réaction fût de directement m’interpeller , ik heb gehoord dat u heb 7,5 percent gekregen in mathematische , kom aan de tafel , père me fit réciter 1000 fois mes erreurs et ce jusqu’à minuit , le lendemain , je revins avec un 9 sur 10 , il dit ça va sèchement.
    Père avait avec Maman fumés des cigarettes Peter Stuyvesant jusqu’à ses 30 ans, puis décidât d’arrêter immédiatement avec Maman, Papa était d’une sobriété monacale, se permettant une fois par an d’allez vers les fêtes dans un Irish coffee situé près du Parc du cinquantenaire, et là il goûtait avec délectation une bière Guinness accompagnée par des morceaux de fromages chester et un cigare havane. Mon adolescence fût bercée par les études mais aussi par la musique progressiste de l’époque incarnée par Pink-Floyd, et également par Genesis celui de Peter Gabriel, j’assistais à l’époque au premier concert de ce groupe à la ferme v, je fus admiratif devant les prestations de ce groupe avec une musique somptueuse et les masques de Peter Gabriel.
    A cette époque-là avait lieu aussi , ce que l’on appelait le bal des débutants , dans une grande salle célèbre à l’époque à Bruxelles  ,le concert noble, il réunissait le gratin de la jeunesse dorée issue de la noblesse et haute et riche bourgeoisie , le but était de fiancer avec des bons partis cette jeunesse , j’en faisais partie , papa me présenta à une vicomtesse et à une autre issue d’une famille très riche à l’époque , mais je voulais choisir en dehors de ce milieu et surtout que ma future femme me plaise et que j’en sois réellement amoureux et non par intérêt de bon parti . Anecdote parmi tant d’autres , le voyage à Anvers pour voir au Kiel (bourgade d’Anvers) et au stade du Kiel , celui du Beerschot à l’époque du légendaire Lothar Emmerich centre-avant hors-norme à l’époque , il faut savoir qu’à l’époque ce Beerschot là , jouait la tête de la première division de football et était l’ennemi juré de l’Antwerp , depuis , les 2 clubs ont connu des fortunes différentes , le Beerschot lutte pour remonter de 2ème en première division et l’Antwerp est 3eme de 1ere division , toujours est-il que Père m’offrit pour mes excellents résultats scolaires , d’allez avec lui voir , le grand Ajax Amsterdam de Johan Cruyff en amical face au Beerschot , inutile de dire , que j’avais mon écharpe d’Ajax autour du cou et j’étais un des rares supporter de la séduisante équipe hollandaise , l’ambiance était bon enfant et les supporters du beerschot , me donnait une tape amicale sur l’épaule ,le résultat fut sans appel , 0-4 pour Ajax avec une démonstration de Johan Cruyff mythe et anthologie du club, à l’époque pas de hooligans , quand au quartier du Kiel (faubourg d’Anvers) , il était paisible dans une Flandre , ou il faisait bon vivre , pas de ghetto comme actuellement en 2020 , ou les djellabas et nicab côtoient les rares têtes blondes qui résistent , autres temps autres mœurs et ou l’on s’étonne du ras le bol généralisé des habitants de Flandre face à l’invasion et la non intégration de l’immigration qui impose ses valeurs sans se soucier le moins du monde , des habitants qui y habitent depuis des générations et avec des valeurs catholiques , et ou de façon compréhensible et justifiée , les partis Nva et Vlaamse belang cartonnent dans les sondages , face à des partis tels le CDV et Spa (centre-droit et gauche) qui eut ferment les yeux face à cette implosion de 2 cultures diamétralement opposées.
    J’assistais un jour à une chasse à cour , dans la pure tradition avec équipages habillés avec bonnets noirs , veste rouge et pantalon blanc et bottes noires , les cors de chasse et la meute de bassets artésiens , lors des comptes de la chasse , une personne dont j’ignorais l’identité , montrât fièrement ses trophées dont un magnifique cerf , personnellement touché par le sort de ces animaux que j’ai toujours admiré et aimé , j’allais à sa rencontre en lui disant du haut de ma jeunesse , il n’y a pas de quoi être fier , avec un fusil à lunette , oseriez-vous l’attaquer à main nue , Papa présent , me dis , tu ne sais pas à qui tu parles ! C’est un gouverneur de province en Flandres ! Il voulut que je présente mes excuses, ce que je refusais obstinément, le Monsieur bon enfant le pris sur le compte de la fougue de la jeunesse, papa décidât que l’incident était clos.
    L’histoire de l’argent de poche fût un moment mémorable aussi , un jour , j’allais voir mon Père pour un rêve , avoir un peu plus d’argent de poche mais aussi un projet une moto Kawasaki , en effet Ary un de mes potes d’enfance , venait parfois me chercher avec sa bécane comme il l’appelait , Ary était le cadet d’une fratrie de 4 enfants , une sœur et 2 frères , tous travaillaient dans l’entreprise familiale Lim sprl située Chaussée de Louvain près de la place Daily dans le domaine de la plomberie , Ary avait aussi un magnifique chien , un braque , je le revis beaucoup plus tard à l’époque de mon premier mariage , mais le charme était rompu , en effet je n’avais oublié , le moment ou à mes 17 ans , il me piquât ma petite amie de l’époque , une certaine Josianne Hustin , oui , oui , la nièce du chanteur compositeur Jacques Hustin (authentique) , en effet Ary l’avait attiré avec un superbe cabriolet reçu en prêt de son Père , Ary avait 2 ans de plus que moi et travaillait aussi dans l’entreprise familiale ,IL avait arrêté ses humanités au degré inférieur et avait appris sur le tas avec son père le métier , Ary avait un grand talent dans les mains , je tiens à préciser que nullement je ne ou n’ai dénigrer les métiers manuels bien que personnellement nul en ces domaines, Ary donc profitât de la cabriolet et séduit Josianne puis la jetât comme un vieux mouchoir après avoir profité d’elle , elle revint sonner chez mes parents , me demander pardon , mais ma réponse fût cinglante et je la rejetais sans pitié , bon revenons à nos moutons , j’allais donc voir mon père , il me fit comprendre , que l’argent ne tombait pas du ciel , lui qui avait connu la disgrâce et la honte , d’un père qui eut sa faillite d’une magnifique menuiserie ( 40 ouvriers à l’époque) bombardée par les alliés , ma grand-mère Clary dit Coco dût vendre ses propriétés pour éponger les dettes , de cette époque Père en gardât , une grande amertume , lui qui dût financer lui-même ses études universitaires , en donnant des cours de mathématiques , physique et chimie. Père me demandât de trouver des copains et m’envoyât passer un week-end chez un ami à lui , grand propriétaire terrien qui faisait de grandes rénovations dans son immense propriété située à Merelbeke en Flandres , le travail exténuant consistait à déménager des poutres longues de 2 mètres d’un hangar à un autre , il y en avait au bas mot 300 , cela pris tout le week-end , le dimanche soir , je me présentais chez ce Monsieur pour recevoir pour mes copains et moi-même la dîme pour le travail accompli , quand je vis ce qu’il me remit , je fus très déçu et fâché , je rentrais donc à la maison et mon père à la tête que je fis , ouvrât son portefeuille et me donnât une fameuse différence , en fait il était de connivence avec son ami et il voulait voir ma réaction face à la valeur de l’argent . Je poursuivais donc mes humanités dans le cycle supérieur avec mon ami Waldemar, avec 10 longueurs d’avance sur le reste de la classe, la lutte constante avec lui pour le premier et deuxième strapontin, Waldemar qui devint par la suite Docteur en médecine et qui prit une autre direction à la sortie des rhétos. Je terminais donc la rhéto avec 92 % dans toutes les branches, excepté la gymnastique que je détestais par-dessus tout, le cocasse de la chose, fût que Waldemar terminât le cursus avec 93 %, le soir ou je rentrais à la maison Père impatient me demandât les résultats, je lui dis et il me répondit de façon cinglante, tu n’as pas honte toi un fils de Flandre un pur belge, terminer 2 ème derrière un fils d’immigré polonais !
    Ironie du sort, quelques temps avant, j’avais fait des sottises, en effet un ami de Papa, possédait une grande ferme, et je ne trouvais rien de mieux pendant que Père était occupé à discuter, d’ouvrir les étables et de se retrouver avec tous les animaux de basse-cour dans la ferme.
    Mes fesses furent bien marquées ce jour-là, je reçu une mémorable tripotée avec un espèce de fouet, mes fesses restèrent rouges longtemps.
    De cette adolescence , j’eu comme tout garçon de mon âge plusieurs flirts normaux à cet âge , aucunes de ces relations ne débouchèrent vraiment sur des fiançailles , depuis Pascale Verdigh paix à son âme , premier flirt à 14 ans , en passant par Josianne Hustin, Gisèle surnommée Marylin Monroe par père, et en continuant avec une superbe sicilienne Sandra Ormando que je connu un peu avant le service militaire , et que je retrouvais lors d’une permission main dans la main avec un autre garçon italien qui lui faisait la cour, le père m’ayant vanter la fidélité sicilienne ! ( j’étais au 3 ème chasseur Ardennais école d’ instruction de candidat-officier pour le service militaire avant l’Allemagne) aucunes ne me lièrent ,
    Jusqu’à, jusqu’à …… Pascale Buelens, 115, rue des 3 tilleuls à 1170 Boitsfort, elle fréquentait l’athénée de la Brise ou elle terminât ses humanités inférieures sans fruits.
    Un jour , c’était un soir Lydia , une jolie et charmante jeune fille pour laquelle j’avais uniquement des sentiments d’amitiés alors qu’elle me faisait une cour assidue et que même mes parents appréciaient énormément , me présentât une amie dénommée Pascale , celle-ci était solitaire , fille unique et voulait un peu sortir de sa monotonie , constamment près de ses parents , ce soir-là mon cœur eut ce que l’on appelle de fortes palpitations , Pascale rondouillette , petite 1M60 , des cheveux noirs de jais et des yeux bleus était une superbe jeune fille , j’en tombais follement amoureux et lui fit une cour assidue , elle me fit languir 2 mois puis m’annonçât qu’elle me donnait son cœur pour la vie et serait la mère de mes enfants et se marierait avec moi , j’en pleurais de joie dans les bras de ma mère , Père souriait et pensât probablement à son amour d’enfance à lui , il souriait , je fus donc présenté aux parents de Pascale qui me firent un accueil chaleureux et respectueux , Raymond Buelens était mécanicien-dentiste , il travaillait à la place Saint-Josse , Maggie était femme de ménage , ils étaient tous 2 issus d’Overijse donc flamands , il fût décidé avec Maggy très près de sa fille unique que j’avais droit à voir Pascale et venir le mercredi et samedi , les autres jours je pouvais lui téléphoner le soir . Ensuite logique des choses, les Parents se rencontrèrent, bien qu’issus de milieux très très différents, un lien liaient mes Parents, flamands chez mes beaux-parents, Père voulait le bonheur de son fils et Maman tombât sous le charme de Pascale et elles furent copines. Apaisé donc je pouvais me préoccuper de terminer mes rhétos en toute tranquillité , nous fûmes fiancés 2 ans , très amoureux , mais progressivement l’emprise de Maggie devenait de plus en plus étouffante , Maggie veillait sur sa fille unique exagérément et notre amour s’effritât , me perturbant grandement , la première année , je partis en vacances en Espagne avec Pascale et ses Parents , ce fût un désastre , tant Maggie fût possessive et ne nous laissait jamais seuls à 2, la seconde année , Raymond me fit connaitre à Boitsfort dans les locaux ou il allait le samedi jouer aux cartes ou à la pétanque, il me présentât comme son futur beau-fils et fiancé officiel de sa fille , quelques temps plus tard , il me proposât, de l’accompagner voir son club préféré le Racing White au stade Fallon , je l’accompagnai donc , ce club qui devint plus tard suite à une fusion le Rwdm , fruit de la fusion avec le Daring de Molenbeek , mais mon cœur de supporter était pour le club de Bruges époque de Raoul Lambert surnommé lotte par les supporters , Lotte était le meilleur centre-avant de Belgique.
    Peu après, Raymond et Maggie me proposèrent de repartir avec eux au Portugal pour les vacances, chat échaudé craint l’eau froide, je déclinai poliment l’invitation à la grande déception de Pascale, ce jour-là il y eu une cassure du côté de Pascale.
    Il faut savoir qu’à cette époque, je fréquentais Raoul et son frère qui étaient à la Brise eux aussi,
    Pascale à la fin des vacances me téléphonât pour m’apprendre que nos fiançailles étaient rompues,
    En fait, je l’appris par la suite, le frère de Raoul, était parti à la même destination en vacances, avait dragué Pascale et me l’avait chipée, j’eu à cette époque une réunion très houleuse avec Raoul, je le pris par le cou et sans l’intervention de Papa, Raoul aurait pu se retrouver avec un cocard à l’œil.
    Je ne le revis plus jamais de ma vie. J’en gardais pendant une décennie les séquelles avec une grave perturbation dépressive, Papa qui veillait de près sur moi, me fût d’un grand secours, à cette époque vu un mariage imminent, j’avais terminé mes études secondaires et passais directement au service militaire pour rentrer le plus vite dans le parcours professionnel après.
    Ayant dans notre famille un renommé Psychiatre François Debauche époux d’une des sœurs de Papa , il s’occupât de moi et à cette époque , je fis la connaissance de sa femme de 20 ans sa cadette d’âge , une ravissante brune spitante qui m’attirait beaucoup , mais je ne voulu pas de scandale familial et donc ,je stoppais le début d’idylle , il faut dire que François fût marié à la sœur cadette de Papa , papa était le petit dernier de la fratrie ; François à l’époque était reconnu dans le métier et était une sommité dans sa branche, il n’eut pas d’enfants avec ma tante Moune , mais 3 enfants pourtant portait son nom , mes 3 cousins donc, étaient issu de la relation adultère qu’entretenait ma tante avec Pierre Lafosse , ce secret de famille était chuchoté par père et toute la famille , ils divorcèrent en bon terme et Pierre reconnu officiellement ses enfants génétiques , Bouby surnom , Georges et Thierry , mes cousins que j’ai rarement côtoyé dans ma vie tout comme les 2 enfants de Chabichou l’aînée de la fratrie qui perdit Olivier tué , en pleine jeunesse, dans un accident de moto , le flamboyant de tous mes cousins , beau ,brillant et ayant tout l’argent , les filles et des études brillantes terminées comme ingénieur commercial Solvay comme Bouby , tous mes cousins ont terminé leurs études comme ingénieurs dans des branches différentes, excepté le frère d’olivier chez chabichou ,
    Oisif qui ratait tout ce qu’il entreprenait et se noyait dans l’alcool , je le détestais , un jour à l’enterrement de Coco , incinération en crématorium , il était saoul et riait aux éclats devant toute la famille , étant l’ainé des petits-fils de Coco , je le remis à l’ordre devant tout le monde , nous les petits-enfants venions de perdre la meilleure des grands-mères.

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  • erwin erwin

    Mémoires d'une vie : les années 60 et l'enfance

    Né donc dans la savane (Wamba près de Stanleyville) dans une colonie belge (Congo belge) à l’époque et surnommé Matata mingui (sacré phénomène en kiswahili)) par les boys qui s’occupaient de la maison de mes parents et du ménage,
    Un jour Maman crû à une cravate oubliée par Papa sur la fenêtre de ma chambre de bébé, elle prévint Papa et un boy, en réalité, il s’agissait d’un serpent venimeux, le boy lui coupât la tête, déjà un signe du destin.
    J’y suis resté 2 ans, puis les troubles et émeutes ont débuté, les congolais voulaient l’indépendance, et ils l’obtinrent en 1960, les blancs commençaient à être pourchassés par les simbas, jeunes fanatiques financés et abreuvés d’alcool par les nationalistes de l’époque, Papa à l’époque était gouverneur de Province, il prit la décision suite aux graves événements de quitter le pays qui était à feu et à sang.
    Laissant tous ses biens derrière lui, nous fûmes rapatriés par les paras belges venus nous aider.
    La Belgique à l’époque connaissait déjà des troubles importants entre la Flandre et la Wallonie, et déjà l’autonomie était dans l’air du temps, mais aussi beaucoup de grèves en Wallonie et mouvements sociaux.
    Papa avait tout perdu , et il avait une famille à nourrir , il prit le temps avec moi et Maman de s’accorder un moment de réflexion , nous partîmes donc en Espagne , une semaine dans les Baléares , nous assistâmes à une corrida , et nouveau message du destin , un javelot d’un toréador , pourtant planté dans le dos d’un taureau , atterrit suite aux gesticulations de l’animal à 1 mètre de ma personne , nouveau coup du destin . Tout ceci est authentique
    Après cette semaine aux Baléares , nous prîmes un avion et arrivâmes à Bruxelles , dans un froid glacial ,  accueilli par Coco ( Clary Dumon de Chassart….) ma grand-mère paternelle , nous passâmes quelques jours à Wépion ( villa des Uyttendaele) , le temps de trouver une habitation à Bruxelles , ce fût rue de l’association tout près du monument au soldat inconnu , Papa via les connaissances familiales , allât se présenter à Petrofina ou il fût reçu de façon peu respectueuse par Monsieur le Marquis de Radigues , Directeur général à l’époque de Petrofina , en effet ce Monsieur avait l’habitude de frotter les clinches de porte avec son mouchoir(authentique) , il reçut donc mon Père qui du haut de son mètre 92 , lui serrât la main , le début de la conversation fût Monsieur de Ledeberg d’où tombez vous ?
    Papa calme et droit comme un i , lui répondu , je ne tombe de nulle part , je suis venu ici pour grimper , Papa fût engagé séance tenante avec un poste de Directeur administratif , je vécus un début d’enfance que l’on appelle doré , placé dans un pensionnat en Wallonie , stricte sur l’uniforme et la tenue avec des méthodes d’un autre temps , ou le fait de parler en classe était puni d’un coup de règles sur la paume des mains ,un jour le souper était composé de chicon cuit , je refusai le repas , on me plongeât la tête dans l’assiette , depuis ce jour-là j’ai une horreur affirmée à vie des chicons cuits, un autre jour ayant mal répondu à une question d’un instituteur , je fus placé dans une pièce peinte en noir et laissé une demi journée seule dedans , encore il y a très peu de temps le fait de se retrouver dans le noir me donnait des angoisses, je suivis en plus de ma scolarité , des cours de français et anglais et allemand dans une école privée, à cette époque Papa était très pris par son travail et gravissait à la vitesse de l’éclair les échelons de la hiérarchie , il était constamment en voyage avec Maman, et lorsque j’étais en congé , je voyageais aussi , j’avais la sensation d’être une petite valise itinérante , je voyais mes Parents une fois par moi , inutile de dire que j’étais un petit garçon triste , mélancolique et renfermé ,se sentant abandonné, ma Grand-mère maternelle coco heureusement venait me chercher 2 fois par mois et je passais les moments libres à Wépion La Pairelle (propriété de mes grands-parents paternels) , jouant avec Canichette un adorable canard blanc , mais aussi avec la fille des voisin Claire Drion très jolie fille aux grands yeux noirs et cheveux noirs , les Parents de Claire ,les Drion avait rachetés toutes les propriétés de mes grands-parents , les Drion sont connus à Eghezée pour leur usine de construction métallique , ils étaient les voisins de mes Grands-parents paternels.
    Après 2 années à Bruxelles, Papa reçut une proposition d’une société allemande qui à l’époque était fantastique pour sa carrière, il démissionnât de Petrofina et fût engagé comme CEO à Hoechst société allemande dans le textile, il y ferrât toute sa carrière, par après Hoechst devint Hoechst Celanese, société rachetée par un géant américain, c’est là que Papa deviendra par la suite CEO pour l’Europe (sommet de sa carrière). Mes Parents donc déménagèrent en Allemagne et ou les nostalgiques du nazisme étaient encore présents , Papa qui était polyglotte ( 7 langues) s’intégra rapidement au contraire de Maman moins à l’aise avec une population froide et avec une autre culture et mentalité , pendant ce temps-là , je continuais dans mon pensionnat jusqu’à la fin de mes primaires que je terminais avec mention excellence dans toutes les branches , à la sortie des primaires , je parlais et écrivait en 4 langues (nl , f,anglais et allemand ) , il n’y avait qu’une branche ou j’étais moins brillant , la gymnastique !!!
    Par contre, je pratiquais l’équitation, le tennis, le golf, l’escrime à fleuret moucheté et surtout le football, le badminton, le volley et hand-ball et Ping pong, papa fut un moment B3 en classification. Papa voyant ma passion pour le foot et certaines qualités remarquées chez l’entraîneur de l’époque du Crossing de Schaerbeek m’affiliât au club , j’y jouais en meneur de jeu ou faux numéro 9 qui affolait la défense adverse , un jour je fis un match en junior UEFA contre Anderlecht et ses juniors , un certain Jos flion défenseur d’origine congolaise me fit un tacle par derrière , j’évitai de peu la blessure grave , je revins vers lui en colère et lui dit recommence encore une fois cela et je retombe de tout mon poids sur ta jambe et tu pourras allez à l’hôpital , je ne le vis plus du tout après dans mes parages, l’entraineur s’appelait Omer Van Boxelaere et l’équipe première était la terreur des grands clubs tels Anderlecht , le Standard de Van Moer , il faut dire qu’à l’époque le Crossing avait de solides arguments , Jos Smolders gardien de but anversois de 1M92, terreur des centre-avants , les frères Sulon , et le regretté centre-avant Roger Claessen (ex standard) . C’est là que ma bande de copains devint réalité (les 2 Eric , Milan , Luc , Jean-Marie Coquette mais aussi mon inséparable ami Philippe , perdu de vue et retrouvé sur Facebook a la soixantaine mais qui avait fortement évolué vers d’autres horizons très différents des miens.
    L’époque aussi ou nous allions le dimanche à l’église de Ledeberg et ou 3 sièges nous étaient réservés avec nos noms inscrits sur une plaque vissée au dos, quand en premier mon imposant Père et très respecté de la population rentrait en premier suivis de Maman et moi-même, les paroissiens étaient debout, et baissaient par respect la tête à notre passage. Père par son statu d’aristocrate fût contacté par le Parti-social chrétien flamand pour l’intégrer et en devenir une figure politique, mais il déclinât préférant sa carrière mais restât membre à vie du parti social-chrétien flamand, in het midde van de twee, comme ont dit de ce parti et à mon tour je le suis resté fidèle à chaque élection.
    J’étais également lors de mes passages en week-end en Allemagne chez mes Parents , très vite convié à l’écoute de la musique et la peinture ,la littérature , le théâtre , l’opéra , le cinéma, , j’ai hérité de mon défunt Père , l’ouïe musicale , un jour lorsque Père revint définitivement à Bruxelles , je fus définitivement initié à la musique , en effet à chaque bulletin brillant , je reçu d’abord une encyclopédie de musique , il me donnât 15 jours pour en apprendre les rudiments puis m’interrogeât , les réponses furent acceptées , et il passât un deal avec moi , à chaque bulletin ou résultat brillant , je reçus des sous pour allez avec lui à la discothèque nationale louer un 33 tours , le tout premier fût Peter and the Wolf de Prokofiev ,
    La suite se transformât avec les Beatles et la Pop music.
    Papa donc prenant conscience qu’il fallait se rapprocher de son fils, obtint de ses dirigeants aux Usa que son Headquarter fût déménagé d’Allemagne à Bruxelles avenue Louise, ou il travaillât jusqu’à sa mort en 1992. Particularité, Père était très respecté à son travail et chaque matin, le même rituel, sa secrétaire Nadine, annonçait l’arrivée de Père à ses bureaux, tout le personnel était debout formant une haie d’honneur et le saluant à son entrée, j’y ai assisté personnellement, ayant à un moment voulu être près de lui, un jour ou j’étais en congé scolaire.
    Papa avec son originalité des baskets avec un costume et cravate du meilleur goût choisi par ma mère, il avait adopté la mentalité américaine mais gardait son côté martial, il rentrait et chaque fois disait Heren, messieurs.
    Papa n’a jamais conduit de sa vie ni ma mère , avait été mis à sa disposition un chauffeur avec voiture de fonction , c’était les années 60 , à notre époque , c’est quasiment révolu , même les cadres supérieurs roulent eux-mêmes sauf exception , tel les Ministres par exemple , donc lorsque Père venait me chercher au pensionnat , imaginez l’effet pour mes condisciples d’infortune de voir un des leurs , avoir la porte ouverte d’une rutilante voiture de direction l’accueillir avec le chapeau et la tête baissée en signe de respect du chauffeur.
    Et tout était à l’avenant , petit garçon , le contact avec mon grand-père imposant patriarche des Uyttendaele de Ledeberg était le vous et le monsieur avec son petit-fils et son fils , alors que dans l’autre famille celle maternelle , le contact était froid , mais on m’appelait par mon prénom, de plus l’étiquette était la règle , bienséance , rigueur toute flamande et les valeurs du travail , de la valeur morale , de la distinction , de l’humilité , de la piété et de la foi et honneur , Père qui dût se construire et grandir par ses propres moyens victime de la faillite de son père , mon père, détestaient entre tout les noblions comme il les appelaient , les parvenus et les grenouilles de bénitier, il avait le sens de la valeur de l’argent , et disait toujours , il y a 2 choses qui ont de la valeur la brique et l’or et il avait parfaitement raison , il y avait aussi ,la pudeur , je n’ai jamais vu mes parents nus et donc ni mes enfants suite logique , on ne pleurait pas chez les hommes et un baiser d’un père à un fils ou une accolade était très rare sauf pour de grandes occasions telles la remise d’un diplôme ou une promotion hiérarchique , voilà pour vous situer l’environnement familial , du côté maternel , bien que fort gâté monétairement par ma grand-mère maternelle petit-fils unique oblige , pas question de baisers d’une grand-mère à son petit-fils , froide et distante et encore plus avec Père , il n’oubliait jamais l’humiliation et la honte pour son honneur quand il vint demander la main de ma mère comme l’exigeait le protocole de l’époque , honte car désargenté suite à la faillite de grand-père , c’est ma mère qui payât personnellement son costume , honte de l’accueil glacial des Hastir voyant un flamand venir demander une fille moitié wallonne moitié hongroise , et de plus aristocrate honorifique non noble et désargenté , leurs visions furent nettement différentes plus tard quand , il revint mais avec chauffeur et voiture de fonction de direction et fraîchement nommé Directeur-général ou si vous voulez pour ceux non féru de l’anglais , CEO pour l’Europe , qu’elle hypocrisie , plus tard , je gardais bien ancré en moi et comme une gifle toute ma vie , ce que Papa avait subi , car j’étais très fier de mon père et de notre famille flamande et je n’ai jamais renié ni mes racines ni mon sang flamand , je le suis et le resterai toute ma vie , même si père fut sévère , il m’aimait et le montrait parfois par petites touches , comme lorsque je revins du service militaire avec ma tenue d’apparat d’officier sous-lieutenant ou il me pris dans les bras et me serrât fort en disant , je suis fier de toi , ou quand à 30 ans , je fus nommé directeur-administratif d’une entreprise métallique de 150 PERSONNES .

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  • erwin erwin

    Mémoire d'une vie : les racines

    Mes racines

    Gantois d’origine et particulièrement de L ou ma famille était suzeraine au moyen-âge,

    Un titre honorifique et non nobiliaire fût reçu par un aïeul pour sa vaillance dans les combats de la bataille des éperons d’or à Kortrijk ( Courtrai ) avec écusson voir les manuels scolaires pour les dubitatifs ou ne connaissant pas l’histoire élémentaire de la Belgique , le titre de Chevalier et le petit Kasteel (château) situé à L et ce titre porté de père en fils depuis cette époque de mâle en mâle jusqu’à nos jours et l’auteur de ces mémoires , je m’en souviens vaguement c’était une magnifique propriété, j’y allais parfois petit enfant avec mon père voir mes arrière-grands-parents , après beaucoup de recherches a mes 30 ans , je peux maintenant rédiger les mémoires de ma famille , nous descendons des Vikings , c’était un seigneur Viking issu des Baronnies du nord qui s’unit à une riche roturière gantoise possédant un florissant commerce de fleurs à l’époque ,

    De ce mariage naquit 3 garçons , dans la règle de l’époque et par décision de Harald le patriarche , un seul portât les écussons et le titre de Chevalier à Gand et suzerain de L , les 2 autres frères prirent vœu de vassalité à respectivement Audenarde et Aalst (Alost) , mais revenons à notre époque contemporaine , mes arrière-grands-parents paternels étaient donc de L , du côté paternel , mon arrière- grand-père paternel se nommait A U de L et mon arrière grand-mère Lena Van H était issue de la haute bourgeoisie flamande, mon arrière-grand père paternel est décédé sous les bombardements allemands à Ypres lors de la guerre 14-18 , mes grands-parents paternels se nommait C D de C très riche héritière de diverses propriétés , c’était ma Grand-mère , et quelle grand-mère ! elle qui décédât à 92 ans et qui faisait du parachutisme encore à 70 ans, était ma confidente et meilleure amie à mon adolescence, elle écoutait le week-end Pink Floyd en ma compagnie et Fernand héritier d’une immense fortune accumulée au cours des siècles , leur mariage fût dans les années 30 , un évènement couru par le gratin de la vie mondaine en Flandres et en Wallonie , il remit sur son lit de mort l’épée et l’écusson à mon père avec le rite ancestral du genoux sur le sol , les mots de notre écusson sont humilité , piété , foi et honneur, mon père fit de même à la fin de sa vie avec ma personne , j’avais 36 ans et Papa 60 .

    J’étais Père de N D M U (hommage au chanteur des Doors) une des idoles de mon adolescence, Nathan a 34 ans et est Docteur en statistiques à l’université catholique de Louvain-la-Neuve et de A U officier de Police judiciaire à Bruxelles ma fille aînée et 38 ans.

    Du côté de mes arrières- grands-parents maternels , tout ce qu’il reste comme traces , c’était des Hongrois issus de la haute bourgeoisie hongroise , ils avaient fuis le communisme et s’étaient refugiés à A , mon arrière grand-mère maternelle ouvrit un commerce de tabac florissant ou les troupes aussi bien allemandes qu’alliés venaient lors des permissions s’équiper lors de la guerre de 14-18 , de là vint également des richesses en propriétés diverses. De mes grands-parents maternels, M H et S J respectivement Directeur d’école à M et M, j’ai donc du sang hongrois qui coule dans mes veines !

    De mes Parents , Papa , P U de L fils de F et C épousât J H fille unique de M et S , J à l’origine était son deuxième choix , en effet après de brillantes études universitaires (scientifiques) Père fût éconduit par une Comtesse dont il était éperdument amoureux , avec dépit Papa épousât ma mère , le jour ou il vint demander sa main à ses parents (usage à l’époque , il devait suivant le refus des Parents faire 3 injonctions ou sommations, c’était la règle de l’époque , maintenant les nouvelles générations font une progéniture avant de se marier et même démissionne avant d’avoir trouver un nouvel employeur , autres temps autres mœurs, cherchez l’erreur , et les Parents de ma Mère ne désirant pas unir leur fille à une autre culture (flamande ) , refusèrent 3 fois , dés lors Papa partit avec Maman au Congo et se marièrent là-bas, sans plus de consentements. Maman eut une vie éloignée de tous soucis matériels toute sa vie, maman n’a jamais travaillé et donc pouvait s’adonner à ses passions les poèmes et la peinture, et comme elle j’ai eu une jeunesse que l’on peut appeler dorée, et à l’abri de tous soucis,

    Papa était un très bel homme, très grand 1M92, il avait une telle prestance qu’il en imposait naturellement, Maman très jolie femme mesurait 1M63, cheveux noirs et yeux bleus, toujours habillée et tirée à 4 épingles comme Papa, qui avait l’originalité malgré des costumes sobres de porter systématiquement des baskets Adidas, Papa ne supportait pas le désordre et le chaos, j’en ai hérité.

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  • erwin erwin

    L'ouragan économique qui arrive va constituer une déflagration catastrophique pour la France , les effets économiques du Coronavirus vont plongé l'état français dans ce qui risque d'être un véritable cyclone économique , plongeant le pays dans une austérité longue et pénible .

    Un tsunami économique va s’abattre sur la France

    La crise économique, engendrée par la crise sanitaire, est plus grave que prévu. Si l'économie repart tout doucement, le gouvernement annonce une récession "brutale".

    Un tsunami économique va s’abattre sur la FranceIstock
    1 - Crise économique : "Le plus dur est devant nous" 2 - Crise économique : vers une explosion du chômage ? 3 - Choc économique : le budget de l’Etat atteint un déficit record
    Un véritable "choc économique". Alors que la phase 2 du déconfinement, synonyme de reprise d’activité pour différents secteurs, a été lançée en juin 2020, le gouvernement est revenu sur ses prévisions. Cette année, la contraction du Produit intérieur brut (PIB) français, connaîtra une chute vertigineuse. Annoncé à 8% en avril dernier, il est désormais évalué à 11%.

    Pauvreté, chômage, famille : l’Insee dresse le portrait d’une population française en crise c'est ce qui attend la population avec la cascade de faillites qui arrivent , particulièrement dans le commerce de détail et aussi des fusions de grands groupes (agro-alimentaire) , industries diverses , commerce de détails.
    "La croissance en France en 2020, la récession plutôt – le terme est plus adapté – sera de -11 %", Ce chiffre a été présenté par Gérald Darmanin au Haut Conseil des Finances publiques. Il a été intégré dans le troisième projet de loi de finances rectificative pour 2020, qui a été présenté en Conseil des ministres en juin.

    Crise économique : "Le plus dur est devant nous"
    le plus dur est devant nous", Et d’ajouter : "Le choc de la crise a été extrêmement violent en France" puisque l'économie a quasiment été à l'arrêt pendant plus de deux mois. "Cela va se payer dans la croissance (...) Le choc économique est extrêmement brutal. Il faut nous donner toutes les mesures, toutes les solutions pour relancer la croissance en 2021".

    La France mise en effet sur les plans de soutien aux différents secteurs affaiblis par la crise sanitaire (tourisme, automobile, aéronautique, etc.) ainsi qu’au plan de relance, qui doit être présenté en septembre 2020.

    Le gouvernement néolibéral Français remanié a la conviction absolue que la stratégie adoptée de soutien aux secteurs, d'accompagnement des salariés et de modernisation de notre tissu productif, permettra de rebondir en 2021".

    Je suis très sceptique car n'oublions pas l'isf qui suivant Macron devait relancer l'économie par l'apport des riches d'investissements en France qui a été un flop total !!! A jouer à l'apprenti sorcier on s'y brûle !

    Et le chômage ?

    toutes les mesures de soutien pour le secteur des cafés/restaurants, de l’hôtellerie, de l’événementiel, de la culture et du sport. Le Fonds de solidarité sera maintenu jusqu’à la fin 2020 et sera amélioré

    L’accès au 2ème volet du Fonds de solidarité sera simplifié. Jusqu’à présent, pour pouvoir bénéficier de l’aide de 10 000 €, la condition était d’avoir demandé un prêt garanti par l’État et de se l’être vu refusé. Cette condition va être retirée

    Toutes les entreprises de ces secteurs pourront continuer à bénéficier du chômage partiel jusqu’à la fin 2020. Elles seront aussi exonérées de cotisations de mars à juin.

    Mais aussi une catastrophe mondiale !

    L’éclatement imminent d’une crise financière mondiale est de plus en plus annoncé. L’an dernier, l’alarme était aussi bien sonnée par Jean-Claude Trichet, ancien président de la Banque centrale européenne, que par un « économiste atterré » à la grille de lecture économique sensiblement différente comme Benjamin Coriat. En octobre 2018, Nouriel Roubini, le professeur d’économie américain qui avait prédit la crise de 2008, prévoyait dans Les Échos l’éclatement en 2020 d’une crise suivie d’une récession, « encore plus sévères et prolongées que celles d’hier ».

    Georges Ugeux, professeur de finance internationale à la Columbia University School of Law, et ancien vice-président de la bourse de New York, écrivait aussi dès mai 2018 sur son blog du monde.fr : « Nous ne pouvons plus ignorer le risque d’un tsunami qui va déferler sur nos économies au plus tard à la fin de 2020 ». Ce texte de blog, ainsi que de nombreux autres, ont été compilés et augmentés d’analyses mises à jour par son auteur, dans un ouvrage publié en mars 2019 : La descente aux enfers de la finance (Odile Jacob).

    Ce qui alertait déjà de nombreux observateurs, et que souligne à son tour l’auteur, c’est l’explosion des dettes souveraines. Les États, surendettés (notamment en Europe et aux États-Unis), pourraient ainsi constituer l’élément névralgique du prochain « tsunami financier ». Le niveau mondial de dette publique est passé de 27 milliers de milliards de dollars en 2005 à 63 milliers de milliards de dollars en 2018. Et même si la crise n’émane par des États, le surendettement public les privera de la capacité d’intervention qui avait permis d’amortir les effets de la crise en 2008.

    Triangle des Bermudes
    Mais au-delà des États, l’économie mondiale est aujourd’hui rendue vulnérable par ce que Georges Ugeux appelle « le triangle des Bermudes », c’est-à-dire l’interconnexion des trois acteurs principaux du système : les banques, les Banques centrales et les États. « L’argent est plus concentré que jamais. Le système est devenu complètement cohérent, avec pour conséquence que si l’un des éléments du système saute, les autres éléments ne sont plus en mesure de l’aider », nous explique l’auteur. C’est l’enchevêtrement des capitaux, des relations de pouvoir et d’une certaine forme de corruption qui rendrait ce triangle des Bermudes si consistant et dangereux.

    Georges Ugeux, professeur de finance internationale à la Columbia University School of Law et fondateur de Galileo Global Advisors.
    Pour comprendre cette situation, Georges Ugeux nous invite à revenir sur ce qu’il s’est passé depuis 2008. Pour sauver un système bancaire alors au bord du gouffre, les banques centrales ont actionné deux leviers réputés stimuler l’investissement et la croissance. Une politique de quantitative easing d’abord, qui consiste en l’achat massif de titres publics financé par de la création monétaire. Ces liquidités étaient supposées inonder les marchés pour encourager l’investissement. Deuxième levier corolaire du premier : les banques centrales américaine (la « Fed »), européenne (BCE), anglaise ou japonaise ont drastiquement baissé les taux d’intérêts pour permettre aux banques de se refinancer.

    « Les économistes se sont trompés : la croissance n’est pas venue, l’emploi n’est pas venu »

    Premier problème : les rachats massifs d’actifs publics – et privés – ont considérablement dégradé le bilan des banques centrales. Une politique largement injustifiée selon Georges Ugeux : « Il fallait intervenir en 2008. Les banques ont rapidement été sauvées et ont rapidement remboursé. Mais les banques centrales occidentales ont continué à faire exploser leur bilan, au nom d’une théorie voulant qu’il faille absolument baisser les taux d’intérêt pour relancer l’économie. Je dis et je répète que les économistes se sont trompés : la croissance n’est pas venue, l’emploi n’est pas venu ».

    « Arnaque » des États
    Les bilans de la Fed, de la BCE et de la Banque du Japon sont, à eux trois, passés de 4 à 15 milliers de milliards de dollars, hypothéquant sérieusement leurs capacités d’intervention en cas de crise. « La dette publique italienne, c’est 2 300 milliards d’euros. Imaginons une crise, une perte de confiance et une vente massive d’obligations italiennes – ce qui est déjà petit à petit en train de se passer. Il n’est pas sûr que M. Draghi [le président de la BCE, ndlr] ait les moyens d’aider, contrairement à ce qu’il déclare. Et même si la BCE peut intervenir, il y a un risque de voir se développer une méfiance vis-à-vis des banques centrales elles-mêmes. Les banques privées se sont aussi mises jusqu’au cou dans les dettes publiques. Donc si une crise éclate, qu’il y a une contagion, par exemple sur la dette souveraine française, personne n’en ressort. »

    Car c’est bien là le deuxième point du triangle des Bermudes que dénonce Georges Ugeux : la politique de faibles taux d’intérêts a permis aux États de se surendetter à bon marché. Une « forme d’arnaque aux finances publiques » pour permettre aux gouvernements de continuer à vivre au-delà de leurs moyens, juge le professeur. Or, la hausse des taux d’intérêt est inéluctable à court terme. Elle a déjà eu lieu aux États-Unis et devrait intervenir rapidement avec la fin indispensable du quantitative easing. Cette hausse pourrait déclencher un « tsunami » en accélérant la dégradation des finances publiques, mais aussi en provoquant une crise des crédits ou des valeurs immobilières ou commerciales, comme cela s’est passé avec les subprimes aux États-Unis en 2007.

    Vices éternels des banques
    La troisième pointe du triangle, le secteur bancaire privé, a en effet également de lourdes responsabilités dans la vulnérabilité du système. Tout a été dit et écrit depuis 2008 sur la cupidité, l’irresponsabilité, les fraudes et les mensonges qui nous ont conduit à la crise de 2008. Le problème, c’est que « la mentalité des banques n’a pas changé », déplore Georges Ugeux, dont l’ouvrage compile les références aux cas de fraudes et scandales à coup de milliards de dollars, rarement sanctionnés à la mesure des enjeux. « Se croient-ils au-dessus des lois ? […] Ce sentiment de surpuissance est loin d’être éradiqué au somment des institutions financières ou dans les salles de marché », alerte l’auteur.

    « Il faut se poser la question de la valeur sociale des outils financiers »

    Certaines avancées ont tout de même été réalisées pour réguler le secteur. « En termes d’exigences de fonds propres, on est allé assez loin », estime Georges Ugeux. « Les produits dérivés et la titrisation reviennent en revanche en masse [ils ont joué un rôle majeur dans la crise de 2008, ndlr]. Mais ils ne sont absolument pas indispensables, on a vécu sans pendant très longtemps. Il faut se poser la question de la valeur sociale des outils financiers. Ça amuse beaucoup de gens dans les salles de marché d’utiliser ces produits mais, in fine, la valeur ale est totalement nulle. »

    L’auteur accorde une attention particulière dans son ouvrage aux banques européennes, dont il dénonce la « gloutonnerie ». « Traditionnellement, les banques européennes ont racheté beaucoup plus d’emprunts d’États qu’aux États-Unis. Elles ont aussi des activités de produits dérivés faites en interne alors qu’elles sont hors banque aux États-Unis. Les banques européennes sont beaucoup trop grosses. La moitié de leur bilan seulement sert l’économie. L’autre sert notamment à faire des produits dérivés, des produits structurés, des activités interbancaires, etc. »

    Corruption systémique
    Les maux étant désignés, se pose la question du remède. Certains économistes plaident pour une stricte séparation des banques d’affaires et des banques commerciales, comme cela avait été mis en place aux États-Unis après la crise de 1929 par le Glass-Steagall Act, finalement abrogé en 1999. « Pendant cette période-là, les banques faisaient vraiment de la banque, s’occupaient de leurs clients. On ne faisait pas cette espèce de casino géant : les banques d’affaires ont tout intérêt à multiplier les titres parce que c’est comme ça qu’elles font de l’argent », abonde Georges Ugeux. Lui ne juge pourtant pas qu’une stricte séparation soit nécessaire. Une réelle régulation serait déjà un grand pas en avant : « Depuis 1960, il y a une crise bancaire tous les 5 ans. Comme le dit Larry Summers, ancien secrétaire au Trésor sous la présidence de Bill Clinton, ça fait 50 ans que les banques nous disent que cette fois, elles ont compris, qu’elles vont mettre de l’ordre dans leurs affaires, mais elles ne le font jamais. »

    « Si les dirigeants ne prennent pas le problème à bras le corps, dans les deux prochaines années, ça va faire très mal »

    Le nœud du problème, c’est que les intérêts des différents acteurs sont trop étroitement liés pour qu’un régulateur indépendant puisse réellement réguler. Le cas de José Manuel Barroso, passé de la présidence de la Commission européenne à la banque d’affaires Glodman Sachs, illustre à lui seul cette culture des « portes tournantes » que l’auteur dénonce comme un système de corruption généralisée. « C’est tout un système qui a dérivé et est devenu incestueux. Le triangle des Bermudes n’est pas un mythe », insiste-t-il, mentionnant en renfort l’ouvrage de Raghuram Rajan, ancien directeur de la banque centrale indienne, The third pillar : how markets and state leave the community behind (soit : Le troisième pillier : comment le marché et l’État abandonnent la communauté). « Tout ce monde-là, y compris les banques centrales, mène la planète, pas nécessairement très bien, et surtout pour défendre ses intérêts. »

    Austérité sociale
    Reste qu’au-delà des marchés financiers, c’est la situation de surendettement des États eux-mêmes qui risque de nous entraîner vers une crise dès 2020, écrit Georges Ugeux. « J’ai dit 2020 pour insister sur le double message de l’urgence et de la marge de manœuvre qu’il nous reste pour prendre des mesures, mais je n’ai aucune idée de la date exacte. En tout cas, si les dirigeants ne prennent pas le problème à bras le corps, dans les deux prochaines années, ça va faire très mal », estime l’auteur.

    La bonne nouvelle, c’est que l’éclatement d’une crise des dette souveraines ne serait pas encore inéluctable. La mauvaise, c’est que les gouvernements, engoncés depuis dix ans - à l’instar des acteurs financiers - dans un mélange « de déni et de mensonges », martèle Georges Ugeux, ne prennent pas le chemin de l’austérité budgétaire indispensable pour assainir les comptes publics et éviter la crise. Pour lui, il faudrait rapidement et simultanément mettre en place une baisse des dépenses, une hausse des impôts sur les sociétés et la vente des « actifs non stratégiques » de l’État.

    « Il faut fiscaliser les avantages sociaux »

    Prôner l’austérité en période de crise sociale exacerbée est un exercice périlleux et devra nécessairement être « équitable » souligne l’auteur. Les iniquités sociales sont précisément le fruit de cette collusion entre élites financières et politiques qu’il dénonce : « La société est en conséquence en conflit avec le monde des entreprises et les gouvernements. Les « gilets jaunes » ne sont qu’une émanation parmi des dizaines d’autres de ce sentiment que tout est organisé en dehors d’eux et contre eux, sentiment qui est réel ». De fait, le patrimoine des dix plus grandes fortunes de France est passé de 60 à 250 milliards d’euros depuis la crise financière, rappelle son ouvrage.

    Parmi les solutions avancées, la suppression des niches fiscales qui « n’ont pas de sens » et « le conditionnement des avantages sociaux » qui, contrairement à ce que suggère l’appellation, pourrait être une mesure d’équité sociale. « Si vous touchez 500 euros par mois, c’est normal que l’enseignement soit gratuit ou que vous bénéficiez d’allocations familiales. Mais si vous gagnez 500 000 euros, ce n’est pas normal que vous ayez exactement les mêmes avantages. Il faut donc fiscaliser les avantages sociaux », propose Georges Ugeux.

    De même, il faudrait largement monter les impôts sur les sociétés, selon l’auteur. Il s'agirait là d'un juste retour des choses puisque l’endettement des États vient aussi largement du manque à gagner généré par la mondialisation et la concurrence fiscale qui en a résulté. « La France ne peut rien faire seule, il faut une harmonisation fiscale au niveau européen. » Mais les mêmes maux de collusion et de corruption font alors à nouveau surface dans l’analyse du professeur de finance internationale : « Aujourd’hui, les États sont entre les mains des entreprises. Elles ont infiltré tout l’appareil des États, les conseils d’administrations contiennent des anciens ministres et inversement, c’est complètement symbiotique. Vous verrez qu’on ne touchera pas à l’impôt sur les sociétés en France. Ça rend presque inéluctable l’éclatement d’une crise. »

    La fin de la croissance ?
    Parmi les nombreuses autres mesures préconisées par l’auteur, on retrouve, en vrac, l’indispensable création d’un fonds monétaire européen, l’éclatement des banques centrales pour créer des fonds d’investissements détenteurs des emprunts d’État, ou encore l'encadrement des bonus et rémunérations « obscènes » qui ont retrouvé des niveaux d’avant crise au sein des banques d’investissements et des hegde funds, « condition sine qua non d’un renouvellement de la culture incestueuse de la finance ».

    Reste une interrogation après avoir écouté les préconisations de Georges Ugeux : l’éclatement de crises, de même que l’endettement exponentiel des différents acteurs concernés, ne sont-ils pas structurellement indissociables d’un modèle économique fondé sur la croissance ? Si l’on veut éviter de jouer encore longtemps à Sisyphe dans les décennies à venir, ne peut-on pas plutôt imaginer un monde sans croissance, comme le propose par exemple sa consœur Kate Raworth ?

    « Pour des raisons démographiques, l’Europe pourrait s’arrêter de croître sans problème »

    L’endettement n’a rien d’inévitable, répond Georges Ugeux, tout en rappelant que « la croissance de l’Occident depuis 1970 se fait de façon artificielle, à coup d’emprunts, ce qui explique aussi les dettes publiques ». Quant à la croissance en elle-même, « elle n’a rien d’indispensable pour l’économie, ni pour les entreprises, ni pour lutter contre le chômage. C’est une fausse idée », assure-t-il. « Les Japonais ont par exemple une population en décroissance, ils vont perdre 20 millions de personnes dans les quinze prochaines années. Même si l’économie ne croît pas, il y aura une croissance par tête qui sera réelle. Pour ces raisons démographiques,’Europe pourrait aussi s’arrêter de croître sans problème. »

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  • erwin erwin

    Bonjour à tous et à toutes , amateur éclairé , je possède une collection impressionnante en musique de tous styles mais particulièrement la très belle musique , j'ai une préférence pour la lounge , chillout , et le jazz. Tout cela associé à une sono haut de gamme de 1000 watts et mon home studio multimédia , la musique prends une grande part de mon temps de pensionné.

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  • erwin erwin

    Bonjour à tous ,
    au 18 ème siècle entre 2 rois , Louis XIV et Louis XIV , le peuple français subissait , la faim , l'injustice et la non connaissance , excepté la noblesse , le clergé et la bourgeoisie , à cette époque apparut la création de cercle des lumières , dont le but que les porteurs du savoir , s'échangeaient leurs connaissances et ensuite allaient les distribuer au peuple et aux petit peuple , c'était interdit et tout se faisait de façon clandestine . Molière pourtant financé à l'époque par la monarchie , se moquait vertement de la noblesse et de la bourgeoisie (les fourberies de Scapin) , mais avait reçu ordre de ne jamais se moquer du Roi sous peine de suppression de son financement . Le siècle des lumières fût les prémices de la révolution française et la fin de la Monarchie de l'époque .

    Bonne lecture
    
    Erwin

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  • erwin erwin

    La matraque et le consensus revisités par le gouvernement Macron

    Le gouvernement Macron élu par le peuple français face aux dangers Lepéniste, gouverne avec un gant de velours dans une main de fer,

    Une gestion toute néolibérale et finalement très proche de son prédécesseur Hollande ou l’on parlait de social-démocratie mais qui finalement ressemble comme 2 gouttes d’eau au diktat Macron.

    Imposé par le pacte budgétaire Européen , la France comme les autres membres est obligé de remettre ses comptes à jour et particulièrement de redresser les comptes publics , mais c’est la manière qui est sujette à caution.

    En effet en enlevant l’impôt sur les grandes fortunes , dans l’espoir que celles-ci investissent dans l’économie , alors que tout le monde financier sait les délocalisations et fermetures d’usines dues à la mondialisation, et en imposant par paliers toutes les classes sociales françaises , Macron s’est mis à dos un mécontentement général à cause des injustices flagrantes avec une levée de boucliers de toute la population, le mouvement des gilets jaunes ,venu de la base et de tous milieux sociaux a créé un fossé croissant entre le quidam de la rue et des technocrates du gouvernement, glaciaux et fermés au dérèglement sociaux , le gouvernement Macron tâtonne avance et recule au gré de la colère du peuple , sans trouver une solution au problème du déficit public.

    Vitrine et victime d’une Europe sans anti-dumping confrontée à une concurrence déloyale des pays d’Asie ou les acquis sociaux sont inexistants et la main d’œuvre corvéable à merci.

    Mon pronostic personnel, c’est que ce gouvernement néolibéral ne sera pas réélu, le problème est que la gauche ne présente rien de différent, faisant passer le socialisme en social démocratie pour lui donner une image plus douce, alors que dans le contenu, l’action est la même et que l’autre solution politique est l’extrême droite nationaliste anti-européenne qui veut fermer les frontières, donc mission impossible en France.

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  • erwin erwin

    Mémoire d'une vie : préliminaire 2

    Ceci n’est pas une histoire banale ,elle est en fait une fresque historique avec des acteurs réels , comme dans toute bonne représentation théâtrale et ce en 8 actes, ce sont les mémoires d’une vie loin de la banalité, pas de ligne linéaire , droite et au contraire , une vie dans le tumulte , la joie ,le bonheur mais aussi ,la déchéance , la tristesse , le désespoir , un ensemble de faits , de vécus , aux antipodes de l’indifférence , du nombrilisme et du repli sur soi , de la superficialité de certains êtres humains de notre époque .

    Quel ennui qu’une vie linéaire sans intérêts que son train train journalier, la vie est si belle et si courte sur terre, que l’ouverture à la culture et aux multiples facettes de celle – ci enrichissent notre parcours sur terre.

    Je suis né le 8 décembre 1956 à Wamba (ex Congo Belge), fils unique de Josette H poétesse et peintre et de Philippe U de L CEO (Directeur général) pour l’Europe d’une multinationale américaine jusqu’à sa mort, en 1992 à Bruxelles

    Mes Parents sont tous deux décédés. Je suis fils unique donc seul et orphelin et apatride,complètement dépouillé pour plusieurs raisons,trop grande naiveté après une période de la vie, celle de mon premier divorce , mais aussi par une mère indigne qui m’a privé des biens familiaux conséquents laissés par mon Père par testament pour me mettre à l’abri financièrement , heureusement ,j’ai eu la chance de rencontrer la lumière,celle d’une magnifique personne , j’ai nommé l’amour de ma vie, elle se reconnaitra à ses lignes , ma J , fille de la terre et des vraies valeurs de la vie,qui m’a ouvert son cœur et la confiance en l’avenir, je n’ai ni frère ni sœur, des cousins certes, mais que je ne vois jamais, en effet, déjà père , fils cadet d’une fratrie de 3 enfants ne voyaient que rarement ses 2 sœurs, drôle de famille ! Pas de parrain non plus , je ne l’ai jamais connu , tout ce que je sais , c’est qu’il était un riche diamantaire anversois et c’était au congo un ami de mon père et pour le peu que je sais de ma mère,il s’est disputé violemment avec mon Père , en effet il faisait la cour à ma mère , mon Père a mis le haut-là ,

    Et l’a rayé de son carnet d’adresse. J’ai très peu connu Père , très absorbé par son travail , les moments furent rares ou il était à la maison et ou il s’occupait de moi , sa vie durat 60 ans , je le regrette car j’aimais énormément mon Papa, lui si droit , si majestueux par sa taille (1m92) mais aussi par son intelligence au-dessus du lot et par le respect de l’étiquette , de l’éducation à la flamande,

    Dont je suis très fier de la perpétuer.

    J’ ai décidé par hommage à mon père de me faire appeler Erwin , le prénom voulu à la base par mon père , Maman désirant elle A pour une touche plus francophone dans un univers fort flamand et que je revendique , le nom U ( du hors de la vallée avec le titre honorifique de L lui réel lui a trop souvent été associé à un cousin éloigné certes mais qui provenait de la branche d’Audenarde et de plus ,je considère ma vie comme une grande fresque historique ou je fus acteur principal dans diverses scènes , V est un nom d’emprunt pour échapper à la trop grande ressemblance du nom U trop rapproché du cousin éloigné et des socialistes wallons représenté par une célèbre membre de la famille d’Audenarde par alliance issue de la classe ouvrière de Seraing et dont je ne partage en aucuns cas les idéologies politiques , je me suis renseigné pour voir le coût d’un changement en V et Erwin , mais le prix demandé était trop onéreux et étant acteur de ma propre vie et comme tout acteur qu’il soit au cinéma au théâtre quoi de plus normal que de prendre un nom de scène , la mienne , celle de ma vie, j’ai choisi et gardé et garderai et le prénom et le nom jusqu’à ma mort et fièrement en hommage à mon Père bien-aimé.

    J’ai renié la religion catholique et toutes autres formes de pensées religieuses , prônant plus une morale laîque elle basée sur des valeurs oui attachées à celles occidentales (catholique) mais indépendante de celle-ci pour différents motifs ,

    Pendant des années, que ce soit à L ou à Bruxelles , j’ai fréquenté avec conviction et passion les messes et puis un jour , j’ai découvert une coquille vide , lorsqu’à une époque de ma vie après mon second divorce , je fis appel à l’aide à cet organisme et ou la réponse cinglante fut « je ne peux rien faire pour vous mon fils , il faut s’adresser au cpas « (ceci est authentique) .

    Pour terminer , je suis bien le patriarche , un parmi tant d’autres , me direz-vous mais tout de même de 4 enfants , mais orphelin d’eux !

    In fine, il est à noter que le nom U est issu d’une faute d’orthographe d’un greffier du moyen-âge, en effet l’orthographe correct devait être uit (hors) et nom U (sans signification) authentique aussi !

    Je dédie ce premier ouvrage à ma grande et majestueuse femme J le tout grand amour de ma vie.

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  • erwin erwin

    Mémoire d'une vie : préliminaire 1

    Imaginons , le héros du livre , bien-né , comme on disait il y a longtemps , aristocrate , qui a grandi dans le luxe et l'aisance et réussi de brillantes études pour passer dans la vie d'adulte ou il va connaître le bonheur mais aussi la descente aux enfers , trahi par 3 femmes ( sa propre mère et ses 2 premières épouses ). Et qui par miracle ne se retrouvera pas sdf , grâce à un de ses rares amis , qui le receuilli chez lui .
    La suite arrive avec le préliminaire 2 Bonne lecture Erwin

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  • erwin erwin

    Avec la formation d'un nouveau gouvernement et particulièrement un attelage avec la Nva côté flamand et en filigrane le vlaamse belang , et une nouvelle réforme de l'état inévitable entraînera l'implosion de notre sécurité sociale et encore une fois , la répartition des miettes par la Flandre , la Wallonie , Bruxelles-capitale et les cantons germanisés d'Eupen , Malmédy etc.... Un avenir sombre guettent les régions ainsi divisées , car le principe à la base est la solidarité entre les composantes de la future ex: Belgique , et inévitablement va rejaillir le pib par régions et le nombre d'habitants et qui sont les assistés (chômage, mutuelle (assistés) , Cpas (assistés) , soins médicaux , et la aussi une société à l'américaine ou avec une assurance privée , vous avez droit à une couverture sociale , sans vous êtes à la rue , ce que prônent les néolibéraux , a la différence des Usa , ou en Belgique , vous payerez des assurances privées tout en continuant à payer des impôts , qui alors ne couvriront plus à vous couvrir en sécurité sociale gratuite mais remplaçée par les dettes de l'état belge à rembourser (pacte budgétaire,déficit public , dette majeure (Marshall seconde guerre mondiale) et nouvelle dette suite au prêt par la CEE, pour relancer notre économie défaillante avec le coronavirus.
    La sécurité sociale c'est quoi ?

    La sécurité sociale est un système d'assurance sociale qui comprend toutes les prestations auxquelles ont droit les assurés et qui ont pour objet de compléter ou remplacer le revenu professionnel du travailleur afin de le préserver des conséquences de certains risques sociaux.

    Le terme "Assurance" implique la notion de risques contre lequel on désire se protéger. Dans le cadre de la sécurité sociale, il s'agit de risques sociaux c'est-à-dire, tout événement empêchant la personne d'avoir un revenu professionnel: la sécurité sociale lui assure alors un revenu de remplacement; ou affectant le niveau de vie de la personne: le coût des soins de santé, la charge de famille qui alourdissent les dépenses des ménages, la sécurité sociale assure alors un revenu de complément.

    On parle d'assurance sociale parce qu'il s'agit d'un système d'assurances (on cotise pour couvrir les risques que l'on pourrait rencontrer soi-même) mais qui diffère des assurances privées parce qu'il est fondé sur la solidarité.

    Quand on souscrit une assurance privée, la prime est fonction de l'importance du risque et la compagnie d'assurance peut refuser de prendre en charge un risque certain (on n'assure pas quelqu'un qui est déjà gravement malade). Dans la sécurité sociale, les cotisations sont fonction des revenus: une personne présentant un risque élevé payera des cotisations en fonction de son revenu dans les mêmes proportions qu'une personne ne présentant qu'un risque faible.

    Ainsi, ce système réalise une redistribution des revenus au sein de la société: des jeunes vers les vieux, des bien-portants vers les malades, de ceux qui ont du travail vers les chômeurs, des hommes vers les femmes.

    On décide librement de prendre une assurance privée. Par contre, la sécurité sociale est obligatoire pour tous les travailleurs.

    Grâce à la sécurité sociale, le taux de pauvreté en Belgique atteint les 15,5 %. Sans sécurité sociale, ce taux avoisinerait les 43,1 %tip.

    Histoire de la sécurité sociale
    "L'histoire de la sécurité sociale est indissociable de l'histoire de l'industrialisation mais aussi de l'histoire du mouvement ouvrier. La réponse à apporter au problème de l'insécurité d'existence va devenir l'enjeu d'une formidable lutte entre forces rivales de la société belgetip.

    Pauvreté et vulnérabilité de la classe ouvrière
    La révolution industrielle du 19e siècle a favorisé l'essor économique de la Belgique mais a provoqué en même temps une pauvreté importante au sein de cette nouvelle classe qu'elle a créée: la classe ouvrière. Celle-ci, tirant son unique moyen de subsistance de la "location de sa force de travail", apparaît comme particulièrement vulnérable. D'autant plus que l'urbanisation et l'exode massif des populations des campagnes vers les villes ont entraîné la rupture des solidarités familiales et communautaires. L'industrialisation elle-même et le mode de production ont généré de nouvelles formes de malheur social: convulsions économiques entraînant le chômage, accidents du travail dus au machinisme, etc...

    Le monde politique de l'époque, se conformant aux thèses libérales classiques, est opposé à toute intervention des pouvoirs publics dans ce qu'il considère comme un domaine privé. Et souvent, il explique la pauvreté par des arguments moraux et religieux. Si l'ouvrier qui ne peut plus travailler se trouve dans un état d'extrême dénuement, c'est parce qu'il a été imprévoyant et n'a pas épargné. Pour remédier à ce défaut de prévoyance, il faut l'éduquer.

    Mais ce discours moralisateur nie une donnée fondamentale: les salaires des ouvriers sont tellement faibles qu'ils suffisent à peine à permettre leur subsistance et la propension à épargner est donc quasi nulle.

    Les caisses de secours mutuels
    Certains mécanismes de protection sociale existent cependant. Il y a des structures de bienfaisance, des hospices, des hôpitaux mais cette aide induit un rapport tutélaire où le pauvre est assimilé à un "enfant", situation inacceptable pour le mouvement ouvrier qui tentera, dès lors, de s'organiser lui-même.

    Des caisses de secours mutuels sont créées à l'instigation d'ouvriers qualifiés, de bourgeois philanthropes ou de patrons ayant des préoccupations sociales. Mais gérées de manière élémentaire et regroupant un nombre trop restreint de membres, elles se révèlent incapables d'offrir des garanties sérieuses. L'État va donc intervenir pour faciliter la création et le développement de ces sociétés mutualistes.

    Le modèle allemand
    Sous la pression d'un mouvement ouvrier qui se développe et s'organise partout en Europetip, le pouvoir politique va devoir intervenir dans la question sociale.

    Ainsi, entre 1883 et 1889, le gouvernement allemand, dirigé par Bismarck, institue le premier système d'assurances sociales obligatoires dans les domaines de l'assurance maladie, des accidents de travail et de la vieillesse. L'objectif de Bismarck est, assez cyniquement, de répondre aux revendications ouvrières pour désamorcer le développement du mouvement socialiste.

    De la liberté subsidiée aux assurances sociales obligatoires
    Le modèle allemand ne convainc pas l'État belge qui préfère adopter une politique fondée sur le principe de la liberté subsidiée: la personne décide librement de s'affilier et de cotiser et l'État accorde éventuellement une aide sous forme de subsides.

    1898: subsides aux mutuelles reconnues;
    1900: loi sur l'assurance vieillesse qui met en place un système de pensions libres soutenues par des subventions de l'État.
    À la fin du 19e siècle, des caisses de chômage apparaissent au sein des organisations syndicalestip et sont soutenues par les pouvoirs locaux.

    Mais ce système de liberté subsidiée s'avère incapable d'assurer une réelle sécurité d'existence à la classe laborieuse, la plupart des ouvriers restent "imprévoyants" et l'État doit se résoudre à mettre en place des assurances obligatoires:

    1903: première législation obligatoire consacrée aux accidents de travail;
    1911: régime d'assurance vieillesse et décès obligatoire pour les mineurs.
    La crainte d'une contagion de la révolution soviétique et le suffrage universel qui permet aux socialistes d'arriver au gouvernement belge vont favoriser le développement des assurances sociales obligatoires alimentées par des cotisations des patrons et des travailleurs.

    1924: assurance pension obligatoire pour les ouvriers (1925 pour les employés);
    1925: indemnisation des maladies professionnelles;
    1930: système obligatoire d'allocations familiales;
    1936: congés payés.
    La mise en place de la sécurité sociale: l'arrêté-loi de 1944
    Durant la Deuxième Guerre mondiale, patrons, représentants des syndicats et quelques hommes politiques vont négocier un Pacte social qui, en échange de la paix sociale, se propose de développer un système coordonné de sécurité sociale moderne. Il s'agit de "Tout changer pour que rien ne change et faire disparaître la lutte des classes" tip.

    Le projet définit le futur système de sécurité sociale autour de quatre axes:

    Rendre obligatoires l'assurance chômage et l'assurance maladie et conserver les structures déjà créées pour les pensions et les allocations familiales;
    soumettre tous les salariés à l'assurance;
    centraliser la perception des cotisations;
    rendre les assurances sociales plus généreuses qu'avant-guerre pour qu'elles constituent un réel remplacement de revenus.
    Ce projet va séduire le gouvernement belge revenu d'exil en septembre 1944 parce qu'il est très facile à mettre en œuvre. L'Arrêté-loi de 1944 innove donc très peu si ce n'est en créant un organisme unique de perception des cotisations (l'ONSS). Les dispositions légales en matière de pensions et d'allocations familiales sont celles d'avant-guerre, seules les prestations sont majorées. L'assurance maladie-invalidité et l'assurance chômage deviennent obligatoires mais on conserve les organes de prestations d'avant-guerre (les mutuelles et les syndicats).

    L'essor de la sécurité sociale
    Les "trente glorieuses" (1944-1974) se caractérisent par un essor économique et social considérable mais aussi par une généralisation progressive de la condition salariale. Celle-ci devient la référence à partir de laquelle se déterminent les droits sociaux. Les indépendants eux-mêmes se définissant désormais aussi comme travailleurs, veulent bénéficier de la sécurité sociale. En 1967, naîtra donc un régime de sécurité sociale pour les travailleurs indépendants.

    Certaines prestations (les soins de santé, les allocations familiales) couvrent progressivement l'ensemble de la population.

    L'impact de la crise économique
    Le premier choc pétrolier de 1974 va révéler de manière criante les faiblesses de l'économie occidentale: industrie vieillie très sensible à la hausse des prix de l'énergie et des matières premières, forte concurrence internationale…. Les entreprises ferment ou restructurent. Le chômage va connaître une croissance vertigineuse. La Sécurité sociale voit ses dépenses s'accroître alors que les recettes baissent.

    L'État, qui doit faire face à une dette publique considérable, va rétablir son équilibre budgétaire notamment en se désinvestissant progressivement du financement de la sécurité sociale. Son intervention passe de 30% du budget de la sécurité sociale à moins de 15%.

    Pour compenser ce retrait, on augmentera les cotisations et on aura recours au financement alternatif constitué d'un pourcentage des recettes de TVAtip affecté à la sécurité sociale et, depuis 2008, d'une petite partie des recettes du précompte mobiliertip

    Durant les années de crise, on assiste également à une limitation des prestations et surtout à une différenciation selon la situation familiale. C'est l'apparition dans tous les secteurs de la sécurité sociale de la notion de "cohabitant" qui, parce qu'il peut compter sur un conjoint ayant des revenus, verra ses indemnités diminuées considérablement.

    On rompt ainsi avec le principe même de l'assurance puisque les droits acquis ne dépendent plus uniquement des cotisations. On réintroduit aussi la notion de besoin.

    Enfin, il est à noter que faire appel à la solidarité familiale, génère dépendance et reproduction des inégalités sociales mais aussi fraudes et contrôles.

    Les évolutions récentes de la sécurité sociale
    L'octroi des indemnités était lié au fait d'avoir cotisé et d'être confronté à la réalisation du risque. Cette légitimité est progressivement remise en question et il est exigé du bénéficiaire, principalement du chômeur, qu'il adopte une attitude responsable et s'engage à tout mettre en œuvre pour sortir de sa situation. C'est le principe de l'activation des allocations.

    La sécurité sociale est aussi l'objet d'attaques idéologiques incessantes par les tenants du discours néolibéral largement dominants dans les institutions internationalestip et qui voudraient lui substituer un modèle fondé sur l'assurance privée. De fait, progressivement, le taux de remplacement des prestations sociales (le rapport entre les prestations moyennes et le salaire moyen) s'est détérioré, incitant d'une part les particuliers à prendre des assurances complémentaires (épargne-pension, assurance hospitalisation etc…) et d'autre part, l'État à prendre des mesures correctives visant uniquement les plus démunis et plus particulièrement les travailleurs pauvrestip. "À la place d'adapter les recettes (de l'État) aux dépenses, on a de plus en plus adapté les dépenses aux recettes comme dans une situation de rationnement"tip.

    La crise de la dette souveraine apparue en 2010 et due à la nécessité pour les États de secourir les institutions financières s'est traduite par des plans d'austérité qui touchent les dépenses de protections sociales. Les discours d'inspiration néolibérale ont repris vigueur insistant sur la nécessité de résoudre le problème du « trou » de la sécurité sociale.

    Ainsi, un peu partout en Europe, a-t-on pris des mesures visant à reculer l'âge de la retraite, flexibiliser le marché du travail et rendre le chômage plus difficilement accessible.

    Mais ces mesures, loin de relancer l'économie, contribuent à un appauvrissement des populations et à une diminution de leur pouvoir d'achat.

    La Belgique suit le mouvement général. Ainsi en 2012, les pensions et le chômage ont connu des réformes importantes.

    Par ailleurs, la longue crise gouvernementale a abouti à une nouvelle réforme de l’État qui va toucher directement la sécurité sociale puisqu'elle prévoit le transfert vers les communautés et les régions des allocations familiales, du contrôle de l‘activation des chômeurs et d'autres matières relevant de l'assurance soins de santé ou de l'assurance chômage.

    Cette réforme pose de grandes questions. Outre qu'elle remet en question le principe de solidarité et la place des partenaires sociaux dans la gestion de la sécurité sociale communautarisée. On peut s'interroger sur l'efficience d'une sécurité sociale dont les risques reposeraient sur une assiette de population réduite et qui risqueraient de voir s'accroître les coûts de gestion en même temps que la multiplication des administrations qui la mettent en œuvre.

    De plus, sa mise en œuvre concrète révèle des problèmes d'une incroyable complexité surtout en matière d'allocations familiales.

    Cette évolution de la sécurité sociale n'a fait l'objet d'aucun réel débat au sein de la société.

    Comment est organisée la sécurité sociale?
    Le système de sécurité sociale mis en place en 1944 repose sur 4 principes fondamentaux:

    le principe de l'assurance obligatoire pour tous les travailleurs;
    le principe de la solidarité: on ne cotise pas pour soi, il y a des transferts entre les catégories sociales;
    le principe de la séparation entre les régimes des travailleurs salariés et des travailleurs indépendants;
    e principe de la gestion paritaire: les organisations syndicales et patronales sont associées à la gestion de la sécurité sociale.
    La sécurité sociale des travailleurs salariés comprend sept secteurs:

    l'assurance maladie invalidité;
    l'assurance contre le chômage;
    les allocations familiales;
    les pensions;
    les vacances annuelles des ouvriers;
    les accidents de travail;
    les maladies professionnelles.
    La sécurité sociale des travailleurs indépendants est moins développée et comprend 4 secteurs:

    les pensions;
    les allocations familiales;
    l'assurance maladie invalidité;
    l'assurance faillite.
    Les fonctionnaires sont soumis à un régime distinct qui varie selon qu'ils soient nommés ou non, qu'ils travaillent dans une administration locale (communes et provinces) ou non sauf pour l'assurance soins de santé qui est la même que celle des travailleurs salariés.

    Chaque branche de la sécurité sociale a conservé une grande autonomie.

    Comment est financée la sécurité sociale?
    La Sécurité sociale est financée par les cotisations sociales des employeurs et des travailleurs et des subventions de l'État.

    Les cotisations sociales
    Les cotisations sociales sont la principale source de financement (à deux-tiers en moyenne) de la sécurité socialetip.

    Plus d’infos :

    socialsecurity.be - La sécurité social - Tout ce que vous avez toujours voulu savoir[icon pdf]
    socialsecurity.belgium.be - La protection sociale en Belgique : données sespros 2010[icon pdf]
    Sécurité sociale des travailleurs salariés
    Les travailleurs d'une part, les employeurs d'autre part, payent des cotisations calculées proportionnellement au salaire brut des travailleurstip.

    Ces cotisations sont prélevées par l'ONSS (Office national de sécurité sociale) et ensuite réparties dans les différents secteurs.

    Secteurs Cotisations trav (%) Cotisations patron (%) Cotisations totales(%)
    Maladie-invalidité
    soins de santé 3,55 3,80 7,35
    indemnités 1,15 2,35 3,50
    Chômage 0,87 1,46 2,33
    Pensions 7,50 8,86 16,36
    Prestations familiales 0,00 7,00 7,00
    Accidents du travail 0,00 0,30 0,30
    Maladies
    professionnelles 0,00 1,00 1,00
    Total 13,07 24,77 37,84
    Source: Sécurité sociale (01/01/10)
    Erwin

    posté dans Monde En lire plus
  • erwin erwin

    @Lavinia merci à Lavinia et Myraflore .

    posté dans Présentations En lire plus
  • erwin erwin

    Bonjour Astrid , non pas encore , en fait , je propose de l'exposer sur ce forum et que vous disiez ce que vous en pensez . Erwin

    posté dans Loisirs En lire plus
  • erwin erwin

    Bonjour à tous , j'ai le plaisir d'annoncer la création de mon premier livre , intitulé "mémoires d'une vie"

    Ce livre est dédié à ma femme et à tous les courants progressistes et positifs , de tout horizon ou culture, qui apportent sur notre terre , un courant pluraliste , progressiste et de pensées positives.

    Aussi bien dans la culture dans sa globalité , dans les arts ,le social et dans l’humain ,dans l’écoute et l’ouverture au monde dans lequel nous vivons.

    Erwin

    posté dans Loisirs En lire plus