Je le raconte parce que ça n'avait strictement rien à voir avec le reste de mon rêve et en me réveillant, j'étais "keuwaaahhh ?" ce matin.
@Jool T'es apparu dans mon rêve cette nuit et tu faisais un long message révélation sur le forum avant de supprimer ton compte, en disant qu'en fait tu nous avais menti et que tu n'avais jamais vécu en Alsace. Ma tête dans le rêve ==> 
Ça y est, troisième picouze faite à l'instant. Déjà bobo au bras et avec la chance que j'ai, je serais possiblement HS demain. En plus, je me suis faite niquer, à quelques semaines près je devais avoir le Pfizer mais comme je viens de passer à la trentaine, on m'a refilé Moderna. 
Il me tente bien. Je le verrai quand il sera dispo en bonne qualité en ddl. 
Je vais commencer Le Double de Dostoïevski.
Le livre que je viens de terminer : Le Conquérant de Jan Kjaerstad entre dans la catégorie "belle couverture" (en même temps les éditions Monsieur Toussaint Louverture sont passées pro dans les jolies couvertures qui accrochent l’œil et donnent envie d'apprécier tant le contenu que l'objet livre en lui-même).
La fameuse couverture (rigide) :
Mon premier boulot, c'était en pharmacie. J'ai travaillé une bonne partie des étés pendant mes études dans la pharmacie dans laquelle travaillait ma mère. J'avais l'avantage de connaître tout le monde depuis l'enfance (les collègues comme la patronne), donc c'était un cadre plutôt sympa avec une ambiance conviviale/familiale.
J'étais là en renfort l'été pour gérer les stocks, les arrivées de médicaments, des grosses commandes estivales (pour compenser la fermeture de la pharmacie d'à côté pendant ses vacances, vu qu'on récupérait sa clientèle pendant trois semaines), faire des inventaires. Mais j'avais aussi l'occasion de taper des ordonnances tant que quelqu'un vérifiait ce que j'avais fait après.
Pour une première expérience de travail, c'était plutôt sympa. Le cadre, c'était comme chez moi. Je connaissais chaque recoin de la pharmacie depuis l'enfance et j'avais toujours l'habitude de passer derrière le comptoir alors ce job s'inscrivait dans la continuité et puis si j'avais un souci, je pouvais dire "maman, tu peux m'aider ? 
"
@koursk Y'avait pas de ceinture sur la banquette arrière, les suspensions étaient inexistantes. Quand on montait dans la dodoche de papy, c'était comme partir à l'aventure. On était tous fous avec mon frangin. 
@shanna Un emmerdeur plutôt. Je suis bonne pour appeler des centres de radiologie demain à ma pause. <<
Je galère depuis une heure pour trouver un créneau pour faire une radio. Je trouve enfin un centre de radiologie qui propose des horaires à peu près décents pour les gens qui bossent et... "non mais en fait ce praticien ne prend pas les gens sans lettre d'adressage ou alors cassez vous le cul à appeler le secrétariat sur vos heures de taf, bisou". Mais putain, si j'ai une ordonnance, c'est pour quoi ? Pour faire joli ?! Bande de glands.
Un petit quiz lecture, ça fait toujours zizir.
Bienvenue sur le fofo ! (Depuis le temps qu'on nous tease ton arrivée. 
)
@yoyo Bah c'est un peu le principe. Si on ne tient pas compte des avertissements, au bout d'un moment on se mange une sanction. Le ban n'est généralement pas définitif sauf cas extrême.
Un mec s'est dit que c'était fun de faire des travaux dans son appart à plus de 21h ? Quoi la baise ?! Lui, il va bientôt connaître le disque de pisse. è_é
Je n'ai pas lu ce livre ni celui qui lui a valu le prix Pulitzer mais son roman post-apo Zone 1. Il était assez original dans la façon de raconter son histoire. C'est un des romans du genre dont j'avais le plus apprécié l'ambiance sur mes lectures post-apo de ces dernières années.
@kallindra J'ai dans l'idée d'alterner entre les bouffes avec les gens et celles en solo quand l'envie m'en prend, ça devrait le faire.
Les gens dans le nouveau boulot : "oh tu sais, tu peux venir avec nous le midi dans la grande salle". "Tu sais qu'on mange dans la grande salle en général ? Pour éviter que tu restes toute seule". Sans compter les gens qui invitent directement.
Moi : "Euh oui oui, c'est cool." Difficile de faire comprendre que ça ne me dérange pas d'être seule pendant la pause, au contraire. J'aime bien avoir mon moment à moi pour lire un peu et aussi envoyer des messages à mes proches. En plus, on a justement un espace "pause lecture" dans le bâtiment, le pied ultime !
Bah là tout de suite, un remède miracle pour ne ne plus avoir mal à la tête. v_v
Sinon, rien de bien original : j'aimerais avoir du temps pour me consacrer à ce que j'aime faire et aux gens qui m'entourent. Et qui dit plus de temps, dit moins de travail voire plus de travail du tout.
J'ai qu'une hâte là, c'est de retourner chez le médecin dans deux joues pour qu'il me donne des médicaments qui vont enfin calmer ces maux de tête, parce que ça commence vraiment à lasser au bout de deux semaines (et j'accumule beaucoup de fatigue).
une lecture avec une belle couverture