• Egon Egon

    @Aiko C'est pas parce que tu me l'as expliqué que ça change mon avis sur le manque de smileys hein.

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  • Egon Egon

    J'inaugure le topic avec celle-ci : Ça fait partie des anecdotes que mes parents adorent raconter à tout le monde même encore aujourd'hui (les parents adorent mettre la honte à leurs enfants °_°). J'avais un camarade de classe qui était aussi un de mes voisins et comme on avait le même âge (mais genre vraiment, on a qu'un jour d'écart) et qu'on avait vite sympathisé, on passait tout notre temps ensemble (que ce soit à l'école comme chez nous). On avait quoi...5, 6 ans tout au plus ? On avait un jeu qui s'appelait "le papa et la maman" pendant une période et qui consistait à imiter un peu les adultes d'après nos grandes connaissances de chtis n'enfants. Le plus marrant c'était quand on se mettait dans mon lit déshabillés et tout (je vous vois venir et les enfants sont des êtes chastes alors prout !). Une fois, la sœur de mon ami est entré dans ma chambre pour venir nous chercher et elle a vu qu'on était à poils dans le lit en train de faire semblant de dormir, elle a prévenu les parents qui sont montés et qui nous ont fâchés en nous intimant de sortir fissa du lit et de se rhabiller.
    Ça peut paraître anodin mais je trouve ça plutôt marrant à plusieurs points de vue. Déjà la réaction des parents qui, d'un jeu innocent entre deux mioches, donne une connotation particulière et qui dépasse certainement l'entendement d'enfants de cet âge-là (enfin, à un certain point seulement). Et, d'un autre côté, de voir que si petits, les enfants ont déjà acquis des savoirs et des pratiques assez avancées du monde qui les entoure, seulement ils n'ont pas encore connaissance de la signification de ces pratiques.

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  • Egon Egon

    On a tous des trucs marrants, mignons, bêtes qui nous reviennent à l'esprit quand on pense à notre enfance. Genre, quand certains croyaient que l'expression "bouc émissaire" s'écrivait "bouc et misère" (ce qui n'a aucun sens mais quand on est gosse, on est peu con...certains le restent toute leur vie, mais chut). Ou le souvenir d'une blagounette que vous avez fait à votre frangin/frangine, les conneries entre camarades de classe...Bref, vous voyez le truc.

    Venez partager vos anecdotes croustillantes !

    posté dans Famille - Amis En lire plus
  • Egon Egon

    @jool a dit dans Échanges avec l'équipe :

    Est-il prévu de remplir un peu la section smileys ? Pour l'instant j'utilise ceux du smartphone, il manque les cools qu'on peut trouver ailleurs je trouve, là ceux proposés sont un peu cheapos !

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  • Egon Egon

    text alternatif

    Quand t'as jamais été très gracieux. °_°

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  • Egon Egon

    @jool En tant qu'ex strasbourgeoise, je vais difficilement pouvoir cracher sur la ville de mon cœur.

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  • Egon Egon

    @jool a dit dans Hola Coca Cola :

    Je suis un strasbourgeois

    Ta présentation aurait pu s'arrêter là. Ça suffit pour savoir que tu es un homme de bon goût. °_°

    posté dans Présentations En lire plus
  • Egon Egon

    Je m'en tamponne le coquillard mais d'une force...

    posté dans France En lire plus
  • Egon Egon

    @KypDurron Je te rassure, au départ quand elle s'était inscrite, c'était pour Hollande. sifflote

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  • Egon Egon

    @KypDurron C'est si choquant que ça ? Tu crois qu'elle l'a fait comment sa propagande pro-Macron ?

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  • Egon Egon

    @KypDurron Han pité, c'est trop ridicule. °_°

    posté dans Beauté - Mode En lire plus
  • Egon Egon

    Tain mouah aussi je pensais à sa barbe de hipster. Genre le mec ce serait le proto-hipster.

    posté dans Animations Communauté En lire plus
  • Egon Egon

    @Thilou Et tu as bien raison, c'est un véritable cancer ce truc.

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  • Egon Egon

    @Thilou a dit dans Thilou pour vous servir :

    votre maman

    C'pas vrai ! Ma môman elle fréquente pas les forums, elle est que sur Twitter ! é_è

    posté dans Présentations En lire plus
  • Egon Egon

    J'en ai pas non plus mais je kifferais trop avoir une salopette, c'est tellement cool. °_°

    posté dans Beauté - Mode En lire plus
  • Egon Egon

    Le sujet est toujours autant d'actualité et voici un documentaire qui résume assez bien la question (attention, il est dispo sur la chaîne tutube d'Arte jusqu'au 19 juin) :

    Pour ceux qui ont la flemme de regarder la vidéo, voici quelques amorces sur la question :

    Le documentaire s'intéresse notamment au cas du Royaume-Uni qui est passé de la gratuité jusque dans les années 90 à des frais allant jusqu'à 9 000 £ l'année en 2010. Pour mieux comprendre la logique politique, l'on peut notamment faire référence à ce que dit l'un des réformateurs sur la question : «Nous aurions pu décider de réduire le nombre d'étudiants à l'Université, de baisser le montant des bourses, de réduire le financement des universités, sans compensation. Mais nous avons opté pour une politique qui garantit le financement des universités, contribue à réduire le déficit et établit un système plus progressiste de remboursement par les étudiants

    En fait, deux grandes questions sont soulevées dans ce documentaire : d'une part, la massification scolaire de ces dernières décennies qui a eu pour conséquence d'avoir beaucoup plus d'enfants scolarisés et plus longtemps, le nombre de bacheliers et d'étudiants a notamment explosé. On compte aujourd'hui plus de deux millions d'étudiants en première année de licence en France là où il y en avait seulement 300 000 dans les années 60, octuplant ainsi le nombre d'étudiants en 50 ans ! Vous imaginez le bond ? Et cette augmentation du nombre d'étudiants continue de croître, un rapport de l'enseignement supérieur indique d'ailleurs qu'en 2027 le nombre d'étudiants devrait atteindre les 2,80 millions si la dynamique reste la même dans les années à venir.
    D'autre part, l'autre grande question soulevée est celle de la privatisation d'un service public. L'école est d'abord un lieu de savoirs or depuis quelques décennies, on est en train d'en faire un tremplin pour les entreprises. L'université doit se plier au marché du travail et doit elle-même devenir une entreprise rentable (cf. tout ce qui est fait autour de l'autonomie des universités qui doivent trouver leurs propres financements, des partenaires dans l'industrie et le privé...) et tout faire pour attirer les chercheurs les plus prestigieux, les étudiants qui vont leur permettre de gagner en valeur économique, de promouvoir les enseignements qui sont considérés comme les plus légitimes au sein de la société (économique), entendez par là ceux qui font de la maille, qui permettent d'acquérir des subventions pour les recherches, bref ce qui paraît compétitif aux yeux des entreprises privées ; mettant ainsi en danger la qualité de l'enseignement ainsi que sa diversité (on n'hésite plus à fermer des spécialités, des cursus qui ne « servent à rien », en sciences humaines, en langues, en sciences sociales, en arts notamment).

    Et pour désespérer un peu plus de l'évolution de l'enseignement supérieur dans le monde ces dernières années, il y a carrément un passage dans le documentaire qui m'a vraiment fait tiquer : c'est quand un des étudiants rattaché au service « communication et marketing » de l'université de Manchester (rien que ça, ça donne la couleur) est en train de promouvoir celle-ci auprès de potentiels étudiants (potentiels investisseurs à leurs yeux donc) indique qu'il y a notamment un Starbucks dans l'enceinte de l'université...sérieusement un Starbucks installé dans un campus ?! Ça ne vous choque pas qu'une franchise aussi représentative de l'ultralibéralisme dans toute sa splendeur s'implante au cœur d'un lieu qui ne devrait rien à voir avec ?

    Enfin, le documentaire aborde aussi la question de l'explosion de la dette étudiante dans les pays qui ont mis des frais d'inscription élevés. On constate notamment aux États-Unis que près de la moitié des étudiants sont dans l'incapacité aujourd'hui de rembourser leur prêt étudiant. Il en va de même avec le Royaume-Uni où près de 45 % des prêts ne sont déjà pas remboursés (alors qu'il n'y a même pas dix ans que les frais d'inscription à 9 000 £ ont été mis en place). On sait aussi qu'à partir de 47 % de prêts non remboursés, l’État se retrouve dans une situation où il perd plus d'argent que lorsque les frais d'inscription étaient trois fois moins élevés.

    Tout cela tend donc à montrer qu'un système qui veut marchandiser le savoir et, par la même occasion l'avenir de sa jeunesse, n'est pas viable sur le long terme tant sur un plan économique que social ; pourtant, il continue de se développer (ex : la France a récemment rendu payants les frais d'inscription pour les étudiants étrangers), pourquoi ?

    Quel est votre avis sur la question ?

    posté dans Études - Travail En lire plus
  • Egon Egon

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    Quels sont vos livres favoris tous genres confondus ? Ceux qui vous ont le plus marqué (et pour quelles raisons ceux-ci vous ont marqué en particulier ?) Ceux que vous pourriez relire plusieurs fois si vous en aviez l'occasion, le temps ? Ceux qui vous ont appris quelque chose du monde qui vous entoure, vous ont fait voir les choses différemment/élargi l'horizon ?

    Bref, quels sont ces livres que vous recommanderiez sans limite ?

    posté dans Parler Lectures En lire plus
  • Egon Egon

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    Preacher est une série (produite par AMC) tirée du comics éponyme de Garth Ennis. Elle nous raconte les aventures d'un révérend d'une petite ville (Jesse Custer) du sud des États-Unis qui voit le nombre de ses fidèles se clairsemer un peu plus chaque semaine et dont la foi est éprouvée. Un jour, il va entrer en contact avec une entité divine - Génésis - qui va lui donner le pouvoir de faire plier chaque individu à sa volonté par la seule force de sa voix. Fort de ce pouvoir et apprenant que Dieu a quitté le Paradis, Jesse décide de partir à sa recherche pour lui demander des comptes. Il sera aidé par son amie Tulip et un vampire vaurien Cassidy.

    La série compte 4 saisons de 10 épisodes (la dernière saison débutera le 4 août prochain). Si vous aimez les histoires déjantées, les personnages loufoques et que vous n'avez rien contre un peu de violence, eh bien vous devriez vous laisser tenter par cette série car elle est vraiment cool !

    (Et, bien évidemment, je conseille aussi de lire le comics où les divers personnages, principaux comme secondaires, sont encore mieux développés et où la violence est encore bien plus crue).

    En fait, Preacher c'est succulent parce que ça défonce tout sur son passage, ça n'hésite pas à taper sur la religion (forcément), la vie américaine, la violence, certaines formes de sexes déviants (d'ailleurs y'a bien pire dans le comics), l'amour, le pouvoir...
    Il y a une bonne dose d'humour noir, une pincée de cynisme et pas mal de folie dans chaque personnage.

    Vous l'avez vu, qu'en avez vous pensé ? Vous l'avez pas vu, qu'attendez-vous ?

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  • Egon Egon

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    (Attention bibi a ressorti un extrait de travail sur l’œuvre, comme ça, ça vous donne une légère idée de comment on traite une œuvre littéraire à la fac) :

    Et cette fois-ci je vais vous parler d'un roman d'un auteur phare de mon adolescence, j'ai nommé Hermann Hesse et de son œuvre L'Ornière. Nombreuses sont les thématiques qui reviennent continuellement dans l’œuvre d’Hermann Hesse, c’est notamment le cas de l’opposition entre nature et esprit (au sens spirituel), la société pervertit, brise l’individu, le savoir seul ne suffit pas à rendre l’individu heureux.
    L’Ornière a été publiée en 1906. L’histoire se centre sur le jeune Hans Giebenrath, un adolescent aux capacités intellectuelles (on dira plutôt « de travail ») exceptionnelles et qui va être poussé par ses professeurs, le pasteur de la ville et son père à passer le concours pour entrer au séminaire de Maulbronn. Cela, dans le but de devenir pasteur, avenir des plus glorieux pour la fine fleur des jeunes gens d’Allemagne à cette époque. Le roman fait partie de ce que l’on appelle le Bildungsroman, c’est-à-dire le genre du roman d’éducation, on suit donc le jeune Hans depuis ses révisions pour le concours d’entrée au séminaire, son année en tant que séminariste, puis sa chute progressive avec le début de sa dépression jusqu'à sa descente aux enfers.
    Le roman s’inspire en grande partie du vécu d’Hermann Hesse qui a lui-même été séminariste à Maulbronn. Celui-ci s’en est échappé à peine six mois après y être entré (à l’instar du personnage Hermann Heiler). On peut donc supposer qu’à travers cette oeuvre, Hesse nous évoque ses propres sentiments d’adolescents et critique un système, une vision des choses qui lui déplaisaient à cette âge-là et qui l’a lui-même mené à la dépression au même âge que le personnage de Hans.

    En effet, tout au long du récit l’on constate que le rôle et l’importance du jeune garçon dépendent de la présence ou de l’absence de la connaissance scientifique dans sa vie. Au début de L’Ornière, elle est prépondérante et occupe les journées entières de l’adolescent, même lorsque celui-ci est censé être en vacances. Cela étant, Hans n’a donc aucun contact avec les autres, ce qui le conduit à être enfermé dans une tour d’ivoire par ses enseignants. Néanmoins, la rencontre avec Hermann Heilner - qui deviendra son ami l’espèce de quelques mois - va lui permettre de comprendre que la connaissance ne doit pas déterminer complètement les rapports entre individus, elle ne doit pas les éloigner, les séparer mais, au contraire, être une façon de se rapprocher et de participer activement à la société. L’intellectuel, le scientifique doivent être pleinement ancrés dans la communauté, si ils estiment que celle-ci n’a rien à leur offrir, ils s’isolent du monde et se retrouvent ainsi complètement déconnectés du monde social et des normes qui la régissent.
    Dans L’Ornière, Hermann Hesse critique donc le fait que la connaissance scientifique désacralise le social, le religieux, le rapport de l’homme à la nature - qu’elle considère comme préoccupation indigne du savant -, et sa volonté de s’approprier tous les domaines de connaissance.
    Cette appropriation, qui relève de la volonté du profane à expliquer le sacré, détruit justement ce qui est considéré comme sacré. Par profane, l’on entend un individu extérieur au cercle du sacré, c’est-à-dire, pour prendre un exemple, un savant non religieux qui va traiter de la religion. Or, c’est le fait de déconstruire le sacré qui nuit à la société et aux individus, car cela détériore le système de valeurs qui est à la base de la communauté et des liens qui unissent les individus entre eux. Dès lors que l’on remet en question les fondements de la société (ce qui est sacré), les individus la composant se sentent perdus et sont désunis car plus aucun lien ne les lient entre eux. C’est justement ce que tous les sceptiques dénoncent à la même époque (Weber, Durkheim, Broch…).

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  • Egon Egon

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    On the Beach de Nevil Shute, publié en 1957, est un roman de science-fiction et plus précisément appartenant au genre post-apocalyptique. L'intrigue se déroule en Australie, seul endroit de la carte épargné par les radiations nucléaires qui ont ravagé le reste de la planète, suite à une guerre qui sévissait entre différents pays de l'hémisphère Nord. L'on suit un groupe de survivants qui vit les derniers mois, les dernières semaines de leur existence avant que les radiations n'envahissent l'horizon.

    Le roman s'inscrit dans les craintes classiques de l'époque : après la seconde guerre mondiale et la bombe H et alors que l'URSS et les États-Unis sont en pleine guerre froide, la menace du nucléaire est dans tous les esprits, l'irrépressible peur que l'un des pays finisse par craquer et passer à l'action et le traumatisme d'Hiroshima et Nagasaki font que les abris anti-nucléaires poussent comme des champignons dans les jardins des particuliers, que les suspicions que l'autre soit un communiste (aka un ennemi) sont omniprésentes et toutes ces tensions, ces angoisses transparaissent dans la littérature de l'époque.
    On the Beach, évoque un monde dévasté par ....
    Au travers de ses personnages, il nous révèle aussi la vanité de l'existence : que faire quand demain n'existe plus ? En tout cas, on ne peut décemment pas continuer à mener son existence comme si de rien n'était : "Work just for the sake of working ?" she enquired. "It sounds simply foul." (ce n'est pas en français parce que la traduction est datée et quasi introuvable). Être le dernier bastion de l'humanité, c'est déjà compliqué au niveau matériel car toutes les ressources sont limitées et certains domaines d'activités deviennent totalement désuets (en effet, on nous montre par exemple que les voitures sont inutilisées car il n'y a plus suffisamment d'essence, les distances redeviennent donc grandes entre les différentes villes, régions, les magasins, les bureaux ferment car il ne sert plus à rien d'acheter autres choses que les produits de premières nécessités...), les individus se replient sur eux-mêmes et se laissent couler vers une forme d'indolence, cherchent à fuir l'idée de leur fin inextinguible par différents moyens (en travaillant pour le personnage du commandant de sous-marin, en s'enivrant pour les plus jeunes, en se réfugiant dans la religion...).
    Et puis, comment continuer à vivre quand l'on sait que ses proches et quelques milliards d'autres personnes ne sont plus ? Qu'est-ce qui pousse l'individu à continuer quand même de se lever tous les matins et d'accomplir les tâches que l'on attend de lui ? Comme le commandant Towers, officier de la navy qui se trouvait dans son sous-marin au moment où les États-Unis ont cessé le contact, qui a pu constater en navigant autour des côtes américaines que la zone est morte, qui sait donc pertinemment que sa vie passée est terminée mais qui persiste à gérer son sous-marin comme il l'a toujours fait et à vivre dans ses souvenirs.
    Mais il est aussi question d'espoir, celui que, malgré l'absence de communication avec le reste du monde, malgré les radiations, il y ait certains endroits épargnés, la possibilité que les choses ne soient pas inéluctables. Cette idée est notamment portée par l'équipage du sous-marin qui explore les eaux américaines pour mesurer le taux de radiation et chercher un signe de vie. Le monde est mort mais les individus ne cessent jamais d'espérer car il est difficilement imaginable pour l'esprit de considérer qu'un jour il peut cesser d'être.

    Le livre a été adapté au cinéma sous le même titre en 1959 et réalisé par Stanley Kramer.

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