Messages postés par Egon

The Last Of Us va être adaptée en série sur HBO par le producteur de la série Chernobyl (que j'ai toujours pas vu) et avec Neil Druckmann au scénario. C'est pas que je suis un peu hypée par cette annonce mais carrément !
Source ici.

Vu avec Keyser (qui est très chiant parce qu'il commente TOUT).

Quand on a vu The End of The Fucking World, on est pas vraiment dépaysé puisque cette série est adaptée d'une œuvre de l'auteur de BD Charles Forsman (en sachant que TEOTFW est aussi adaptée par Netflix (en format court), tout se recoupe). C'est le même rythme rapide, où l'on est pris un peu en cours de route où on apprend au fur et à mesure sur les personnages principaux. Le rythme s'intensifie d'épisode en épisode jusqu'au cliffhanger final.
Globalement, j'ai bien aimé même si je suis tout de même un peu blasée par certaines facilités scénaristiques récurrentes chez Netflix. Le personnage de Stanley est giga cool même si c'est le digne représentant du loser.

Deux moi. On suit l'histoire de deux jeunes trentenaires parisiens qui vivent dans le même quartier, rencontrent les mêmes difficultés dans la vie (solitude, ne pas savoir donner un sens à sa vie après différentes expériences de vie), se croisent régulièrement mais ne se rencontrent pas alors qu'ils semblent sur la même longueur d'ondes, ayant le même désir de combler un vide dans leur existence.
Plutôt pas mal comme film sans prétention. Je ne pense pas en garder un souvenir impérissable mais sur le moment j'ai trouvé que le ton utilisé pour décrypter la crise existentielle que vivent ces deux individus était juste, on peut facilement se reconnaître en eux si on a tendance à vivre pas mal dans sa bulle.

Enfin vu après que Prosti m'ait tanné pendant des semaines pour que je le regarde. Faut dire que j'avais la Director's Cut sur mon pc, soit 3h35 de film, de quoi décourager la flemmarde que je suis.
Ce que j'ai particulièrement aimé dans ce film, c'est l'absence de manichéisme et la vision sombre de l'univers des super-héros. L'univers nuance constamment des notions comme le bien et le mal et montre à quel point il est facile de glisser vers la folie quand on laisse n'importe qui agir selon sa vision de la justice (qui n'est qu'une vision parmi tant d'autres de celle-ci). En cela, les personnages du Comédien et de Rorschach sont ceux qui me paraissent être les plus intéressants. Deux visions totalement opposées, le cynique et le justicier, l'un ne prenant jamais rien au sérieux tandis que l'autre s'attache à chaque détail, et pourtant ceux-ci se retrouvent réunis dans le même groupe de super-héros avec un but semblable : "faire le bien", se débarrasser du crime qui pullule. Est-ce que l'un a plus raison que l'autre dans sa façon de percevoir ce qui est juste ? On serait bien tenté de dire à première vue que le Comédien est un connard fini qui prend plaisir à faire preuve de violence alors que Rorschach est avant tout un redresseur de tort qui agit avec un code moral... que nenni ! Les deux font preuve de la plus grande violence, n'hésitent pas à écraser ceux qui ne correspondent pas à leur vision du bien et se retrouvent tout à fait en marge de la société.
J'ai aussi eu un peu de mal avec la fin qui m'a semblé arriver comme un cheveu sur la soupe. De ce que j'ai lu ici et là, elle n'est qu'un ersatz de ce qu'est la vraie fin dans le comics. Dommage, elle fait trop précipitée et trop "happy end" pour le ton donné dans le reste du film, ça gâche un peu le propos.
Une des questions que le film pose est celle de savoir si la paix vaut-elle tous les sacrifices ? C'est une question que l'on pourrait poser à chaque fois qu'il y a une guerre autant dire qu'elle reste constamment d'actualité. L'histoire nous a montré de nombreuses fois que la paix est rarement une notion qui prime dans un rapport de force, c'est d'abord l'étalage de sa puissance et la nécessité de gagner, peu importe la méthode et les sacrifices que cela implique, qui pèse le plus dans la balance. La paix ne devient nécessité que lorsque le conflit a trop duré et que les forces de chacun des camps s'amenuisent, autant dire qu'à ce moment-là de nombreux sacrifices humains et matériels ont déjà eu lieu.

Putain, j'ai trop abusé sur la bouffe là je crois. Comme je n'ai pas eu le temps d'aller faire des courses aujourd'hui ni même de vraiment manger, je me suis faite livrer de la merde et là j'ai envie de vomir en pensant qu'il reste encore un truc énorme de frites alors que je décède déjà après avoir mangé ce foutu burger. x_x

Bienvenue sur le fofo !

@djino C'est révélateur du fait que les enfants sont très observateurs (et curieux de tout).

@KypDurron Non mais c'est toi qui fais pas la distinction entre très connu et hypra connu, j'y peux rien hein.

Donc oui c'est bien Le Doze.

Je fais sur ordi samedi sans faute (sinon je sais que l'on m'attend au tournant) !

AJA le mot "compersion" qui est le sentiment contraire de la jalousie.

@maxi C'est bien une star hollywoodienne très connue mais ce n'est pas Stallone.

@jool Tu devrais avoir honte de faire de fausse joie quand même. é_è

@jool Ah ça, ça m'intéresse ! Il sort quand déjà ?

@Godzapon C'est aussi ce à quoi j'avais pensé.

@Lu-a-lu Yep c'est bien ça !

@maxi Non.
@Kallindra Oui !

@maxi Nop, il est toujours dans le cinéma.

@maxi Non, tu t'éloignes là.

@maxi Non pour les deux !