Selon ce site je suis dépendante, irresponsable et frivole au possible. Ah et personne n'est capable de me supporter bien longtemps. C'est pas censé faire voir les choses sous un aspect positif normalement ?
Le signe c'est la chèvre.
Selon ce site je suis dépendante, irresponsable et frivole au possible. Ah et personne n'est capable de me supporter bien longtemps. C'est pas censé faire voir les choses sous un aspect positif normalement ?
Le signe c'est la chèvre.
Ça va certainement taper du côté de Manchester by the Sea pour moi vu que le film traîne dans mon disque dur depuis quelques temps déjà.
@Hornet On regarde pas tous ça sur la tv hein.
@Hornet WTF ? Tu vis dans quel monde ? Oo
Je fais une grève de crêpes, j'en ai suffisamment tourné et mangé pour un bon moment (même si une chtite à la crème de marron ou sucre cannelle, ça peut s'envisager).
Egon s'est déconnectée de ce forum de boomers.
Comme vous, j'adore l'odeur des livres mais seulement quand ils sont neufs. L'odeur des vieux livres est assez écœurante. Je pense qu'on est beaucoup à avoir pour premier réflexe de renifler les livres avant de les ouvrir.
Par contre, je n'y connais absolument rien en parfum. J'en porte rarement et le seul que j'apprécie pour son côté léger et discret, c'est Amour de Kenzo. Je suis moyen fan des gens qui se parfument et ne savent pas doser ou même qui ont besoin de s'en mettre en permanence. Je préfère largement ceux qui n'en portent que très peu voire pas du tout, c'est plus agréable. Sentir l'odeur de la personne, c'est mieux (sauf si elle pue vraiment la transpi bien ignoble) qu'un mélange fétide de déodorant et de parfum qui va juste nous irriter le nez au lieu de nous rendre la présence appréciable.
"Que nous passons rapidement sur cette terre ! Le premier quart de la vie est écoulé avant qu'on en connaisse l'usage ; le dernier quart s'écoule encore après qu'on a cessé d'en jouir. D'abord nous ne savons point vivre, bientôt nous ne le pouvons plus, et dans l'intervalle qui sépare ces deux extrémités inutiles, les trois quarts du temps qui nous reste sont consumés par le sommeil, par le travail, par la douleur, par le contrainte, par les peines de toute espèce. La vie est courte, moins par le peu de temps qu'elle dure que parce que de ce peu de temps nous n'en avons presque point pour la goûter. L'instant de la mort a beau être éloigné de celui de la naissance, la vie est toujours trop courte quand cet espace est mal rempli."
"C'est la faiblesse de l'homme qui le rend sociable : ce sont nos misères communes qui portent nos cœurs à l'humanité, nous ne lui devrions rien si nous n'étions pas hommes. Tout attachement est un signe d'insuffisance : si chacun de nous n'avait nul besoin des autres il ne songerait guère à s'unir à eux. Ainsi de notre infirmité même naît notre frêle bonheur. Un être vraiment heureux est un être solidaire : Dieu seul jouit d'un bonheur absolu ; mais qui de nous en a l'idée ? Si quelque être imparfait pouvait se suffire à lui-même, de quoi jouirait-il selon nous ? Il serait seul, il serait misérable. Je ne conçois pas que celui qui n'a besoin de rien puisse aimer quelque chose : je ne conçois pas que celui qui n'aime rien puisse être heureux.
Il suit de là que nous nous attachons à nos semblables moins par le sentiment de leurs plaisirs que par celui de leurs peines ; car nous y voyons bien mieux l'identité de notre nature et les garants de leur attachement pour nous. Si nos besoins communs nous unissent par intérêt, nos misères communes nous unissent par affection. L'aspect d'un homme heureux inspire aux autres moins d'amour que d'envie ; on l'accuserait volontiers d'usurper un droit qu'il n'a pas en se faisant un bonheur exclusif, et l'amour-propre souffre encore, en nous faisant sentir que cet homme n'a nul besoin de nous. Mais qui est-ce qui ne voudrait pas le délivrer de ses maux s'il n'en coûtait qu'un souhait pour cela ? L'imagination nous met à la place du misérable plutôt qu'à celle de l'homme heureux ; on sent que l'un de ces états nous touche de plus près que l'autre. La pitié est douce, parce qu'en se mettant à la place de celui qui souffre on sent pourtant le plaisir de ne pas souffrir comme lui. L'envie est amère, en ce que l'aspect d'un homme heureux loin de mettre l'envieux à sa place lui donne le regret de ne pas y être. Il semble que l'un nous exempte des maux qu'il souffre et que l'autre nous ôte les biens dont il jouit."
In L'Emile ou de l'éducation de Rousseau.
@Hornet Parce que t'as pas fait mieux que 25 ? Il était temps que tu investisses dans la PS4.
Il est trop bien ce jeu ! En trois essais, j'ai pas fait plus que ton score non plus parce que j'ai persisté à buter sur un jeu en particulier alors qu'apparemment c'est pas ça. v_v
EDIT : Je bloque à 35. Y'en a plusieurs qui me disent des choses mais je n'arrive pas à remettre les jeux. é_è
C'est beau tous ces chiffres 7 :
Oui, bah voilà. J'aime bien les nombres pairs mais aussi les chiffres qui s'alignent comme ça. Pourtant, je n'ai aucune passion pour les stats ou les maths. Et je ne mets jamais mon réveil sur des minutes aléatoires mais toujours qui se finissent par un 0 ou un 5.
@Hornet Fortes rafales de vent ici aussi depuis 2h.
@Hornet Tu en as combien cette fois-ci ?
Bienvenue sur le fofo !
Et la sociologie dans tout ça ?