@Shanna L'image dans ton spoiler ne s'affiche pas.
On peut mettre un extrait du film ?
@Shanna L'image dans ton spoiler ne s'affiche pas.
On peut mettre un extrait du film ?
@hornet Tu t'es perdu en chemin pour atterrir dans cette partie du forum ?
Un livre publié l'année de votre naissance.
Le livre que je viens de terminer : Le Conquérant de Jan Kjaerstad entre dans la catégorie "belle couverture" (en même temps les éditions Monsieur Toussaint Louverture sont passées pro dans les jolies couvertures qui accrochent l’œil et donnent envie d'apprécier tant le contenu que l'objet livre en lui-même).
La fameuse couverture (rigide) :
Après 9 jours consécutifs de taf pendant les vacances de nowel (donc le moment de l'année où on a le plus de monde), je suis ENFIN en week-end pour les 4 prochains jours, ça fait du BIEEEEEEEN !
@Kallindra Mario passe même devant Spider-Man Accross the Spider Verse et devant le dernier Miyazaki.
Pour ma part, j'avance tout doucement. Peu de temps de lecture et puis aussi le fait que je ne choisis pas mes livres en fonction de la liste. Bref, je la complète aujourd'hui avec Le Double de Dostoïevski pour la catégorie "une œuvre dont le titre ne contient pas la lettre A".
C'est ce que le responsable débilos a marqué sur le plan de rush aujourd'hui. :facepalm:
J'en profite pour mettre ici l'avis que j'avais laissé sur un autre site après le visionnage de ce film :
"Ce film est intéressant parce qu’il soulève une question plus que pertinente et que beaucoup préfèrent souvent oublier pour éviter de perdre du temps à discuter ou parce qu’ils craignent de voir partir en poussière leurs certitudes : les faits peuvent être tordus dans le sens que l’on veut si on y prend pas garde. C’est d’ailleurs une idée clairement énoncée par un des membres du jury au cours de leur délibération. C’est un fait que les apparences sont souvent trompeuses et qu’il ne faut jamais être sûr de soi tant qu’on n’a pas pris le temps de peser le pour et le contre de chaque fait qui nous a été donné d’apprécier.
Tout au long du film, les personnages s’accrochent aux faits car selon ceux qui considèrent l’accusé coupable, ce sont les faits seuls qui sont les garants de ce qui est vrai ou non or, justement, tout s’efforce de démontrer le contraire au fur et à mesure que les minutes passent et que les membres de jury s’acharnent à débattre sur la véracité des témoignages à l’encontre de l’accusé.
Un témoin ne dit pas toujours la vérité, cela ne veut pas dire qu’il ment mais ses préjugés, son parti pris peuvent le persuader de donner une vision non véridique de ce qu’il a vu/entendu.
Et nous y voilà, à l’autre thématique marquante du film : les préjugés. En effet, les membres du jury appartiennent à différents milieux sociaux et cela va pas mal influencer leurs visions des choses tout au long des délibérations, ceux qui n’ont jamais mis les pieds dans un quartier pauvre ou ayant côtoyé les “voyous” de loin étant plus prompts à juger que les jurés issus des classes ouvrières. Plus les faits sont débattus, plus chacun commence à mettre en doute ses idées préconçues pour se faire une idée neuve de l’affaire qui les concerne.
Enfin, une autre thématique est abordée et pas des moindres, la responsabilité qu’il incombe à chacun de juger de la vie d’autrui. Certes, en tant que membres d’un jury, ils se retrouvent dans un contexte bien précis à devoir émettre un jugement qui aura une conséquence lourde sur la vie d’une autre personne mais c’est l’idée même de pouvoir autant influencer l’existence d’une personne à partir de quelques faits qui nous sont rapportés qui donne une énorme responsabilité et, par là même, l’obligation de ne pas prendre celle-ci à la légère…ce que font certains jurés au début en voulant en finir au plus vite avec les délibérations pour retourner à leur vie comme si de rien n’était.
Bien sûr, dans ce film il est aussi question de sujets que la psychologie sociale aime bien : les effets de groupes, la persuasion notamment, et ces phénomènes sont superbement portés et mis en lumière par les acteurs et la mise en scène."
@want-wish Ça me renvoie surtout à l'idée que je lis bien moins qu'avant et le fait que j'aimerais bien dégager plus de temps pour ça.
Je ne sais pas pourquoi mais aujourd'hui je suis motivayyyyyy ! C'est parti d'une discussion toute bête avec Prosti qui me motivait à reprendre une bonne hygiène de vie et ça m'a permis de me rebooster et de régler plusieurs choses que je repoussais depuis des jours voire des semaines. Comme quoi, il suffit de pas grand chose pour se bouger.
Nos réactions en sortant de la salle : "ah ouais tout ce ramdam pour ça ?". Encore un film totalement surestimé que l'on va monter au pinacle parce que c'est pas un "blockbuster MCU" mais un "film indépendant (de la franchise)".
Alors, oui visuellement c'est très beau, oui la musique se marrie très bien à l'ambiance du film, oui le jeu d'acteur de Joaquin Phoenix est très bon mais on me dit dans l'oreillette qu'on a légèrement oublié le scénario dans ce film réalisé par un premier de la classe.
On pourrait aussi ajouter d'autres incohérences mais Sylareen en a déjà mentionné dans son post. Et j'ai un peu la flemme aussi j'avoue. Bref, c'est un film potable mais on est très loin du chef d’œuvre.
Je coche, totalement par hasard puisque j'ai découvert après coup que c'était un roman publié l'année de ma naissance (1991) : Zephyr, Alabama de Robert McCammon (dont son roman post-apo sera enfin édité en français l'année prochaine !). C'était un très joli roman sur l'enfance.
Une autre bonne info de la journée : mon amie actuellement bloquée a l'étranger a réussi à trouver un avion pour Bâle ! Elle rentre dans deux jours et depuis la Suisse, elle devrait facilement trouver une liaison pour la France.
J'ai enfin pris le temps de le voir alors qu'il traînait depuis des semaines sur mon pc. Et le comble c'est que je l'ai vu au cinéma et en VF (parce que mon ami n'aime pas la VO).
J'ai craint pour les doublages mais ça va, c'était supportable et puis les acteurs connus avaient leur doubleur officiel mais quand même l'immersion est meilleure en VO donc je le rematterai dans ces conditions.
Sinon que dire ? J'ai vraiment bien aimé le concept de filmer en un long plan séquence (avec quelques coupes évidemment) parce que ça permet d'être au plus près des personnages et ça nous permet de ressentir le sentiment d'urgence comme eux. D'ailleurs, c'est filmer à la hauteur des personnages principaux, ce qui fait qu'on partage leur champ de vision et nous donne donc presque l'impression d'être à leurs côtés (sans oublier le fait que ça joue aussi sur l'angoisse dans les moments de fusillade et/ou de course contre la montre puisque la visibilité est réduite).
Je n'ai pas trouvé le temps long perso ! Par contre, il y a un passage que j'ai trouvé trop facile au niveau scénaristique, c'est vraiment le gros truc pour faire avancer l'action mais qui ne prend plus vraiment à force.
Ouf, ma dernière lecture entre dans les cases, je peux donc cocher : un roman écrit dans la première moitié du XXeme siècle avec Le Nuage pourpre de M. P. Shiel, qui est paru en 1901.