Mais je déteste le pseudo Koursk car c'est plus joli avec un "i". é_è

Meilleurs messages postés par Egon
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RE: Les mots que vous détestez
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RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
Hourra, le logiciel remarche à peu près, on va enfin pouvoir bosser correctement. C'est pas trop tôt.
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RE: Joker (2019)
@KypDurron Ça fait sa mauvaise langue sans poker. C'toi le ringard has-been, dinosaure de Mathusalem !
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RE: Avoir un chien
@Hornet Elle est hyper culpabilisante. Il nous appelle de son regard tout tristounet et larmoyant pour nous obliger à l'adopter !
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RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@Hornet C'est ce que j'ai cru comprendre ouais. Je suis novice dans l'art de rien foutre au travail tout en donnant l'illusion d'abattre une montagne, l'adaptation est difficile. °_°
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RE: The Irishman (2019)
Je m'étais tellement renseignée que je ne savais même pas que c'était tirée d'une histoire vraie (et que les personnages mentionnés avaient vraiment existé), il m'a fallu être en plein dans le film pour m'en rendre compte.
Le film est effectivement long, 3h30 faut le vouloir ! Je l'ai d'ailleurs regardé en deux fois mais ce n'est pas à cause d'hypothétiques longueurs (sérieusement, je n'ai eu envie de zapper aucune scène) mais simplement parce que j'étais fatiguée et que je savais qu'il fallait que je sois un minimum disponible pour le film.
Le casting est juste génial : Pesci, De Niro, Al Pacino ! (je n'ai d'ailleurs eu d'yeux que pour ce dernier pendant tout le film, il excelle à jouer le sanguin et arrogant Jimmy Hoffa). Voir ces acteurs réunis pour jouer à nouveau dans un film qui parle de mafia, c'est juste un pur plaisir.
Comme l'a dit Honey, c'est un film aussi très esthétique. Il est même assez contemplatif puisque la plus grande partie de l'intrigue correspond aux souvenirs que Frank Sheeran est en train de raconter à quelqu'un (à la fin du film, on constate d'ailleurs que ses souvenirs peuvent s'adresser à plusieurs personnes et pas forcément qu'à sa fille Peggy comme je le croyais au début). En fait, l'intrigue se déroule sur trois temps différents qui s'entremêlent et finissent par converger vers un point précis. On a la fois le temps présent (où Frank Sheeran est dans ses dernières années de vie), le passé (qui a pour point de départ sa première rencontre avec Russell Buffalino) et le moment où Frank et Russell partent pour faire un voyage de réconciliation entre deux branches de la mafia (qui est aussi, on va s'en rendre compte au fur et à mesure que l'histoire se définit, que c'est là que se situe réellement le point de bascule).
Il y a pas mal d'humour dans les dialogues (je pense notamment à Jimmy Hoffa qui aime bien se payer la tête des mafieux qu'ils considèrent comme un gros tas de glandus) et de scènes cocasses (effectivement celle de l'anecdote autour du poisson mais je pense aussi à la réunion entre Hoffa et Pro).Bref, j'ai kiffé et ça m'a donné envie de revoir Scarface (parce que ça fait giga longtemps et que Al Pacino) et aussi Glengarry Glen Ross (parce que c'est un film à dialogue savoureux et que The Irishman est aussi avant tout un film centré sur les dialogues).
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RE: L'animal en vous
@Thilou Parce que je suis aussi farouche quand je m'y mets, très fourbe et que j'aime bien me comporter de façon très débile. °_°
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RE: Partagez tout ce que vous voulez
@Koursk Ah ouais, t'en profites quand je suis pas dispo. Vilain. Pour la peine, je boycotte.
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RE: Cats (2019)
@Shanna Ahah ouais, y'avait un mec sur Reddit qui avait partagé un thread où l'on pouvait lire les critiques de la presse américaine et c'était assez poilant (avec beaucoup de jeux de mots à base de chats).
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Les frais d'inscription à l'université... pourquoi ?
Le sujet est toujours autant d'actualité et voici un documentaire qui résume assez bien la question (attention, il est dispo sur la chaîne tutube d'Arte jusqu'au 19 juin) :
Pour ceux qui ont la flemme de regarder la vidéo, voici quelques amorces sur la question :
Le documentaire s'intéresse notamment au cas du Royaume-Uni qui est passé de la gratuité jusque dans les années 90 à des frais allant jusqu'à 9 000 £ l'année en 2010. Pour mieux comprendre la logique politique, l'on peut notamment faire référence à ce que dit l'un des réformateurs sur la question : «Nous aurions pu décider de réduire le nombre d'étudiants à l'Université, de baisser le montant des bourses, de réduire le financement des universités, sans compensation. Mais nous avons opté pour une politique qui garantit le financement des universités, contribue à réduire le déficit et établit un système plus progressiste de remboursement par les étudiants.»
En fait, deux grandes questions sont soulevées dans ce documentaire : d'une part, la massification scolaire de ces dernières décennies qui a eu pour conséquence d'avoir beaucoup plus d'enfants scolarisés et plus longtemps, le nombre de bacheliers et d'étudiants a notamment explosé. On compte aujourd'hui plus de deux millions d'étudiants en première année de licence en France là où il y en avait seulement 300 000 dans les années 60, octuplant ainsi le nombre d'étudiants en 50 ans ! Vous imaginez le bond ? Et cette augmentation du nombre d'étudiants continue de croître, un rapport de l'enseignement supérieur indique d'ailleurs qu'en 2027 le nombre d'étudiants devrait atteindre les 2,80 millions si la dynamique reste la même dans les années à venir.
D'autre part, l'autre grande question soulevée est celle de la privatisation d'un service public. L'école est d'abord un lieu de savoirs or depuis quelques décennies, on est en train d'en faire un tremplin pour les entreprises. L'université doit se plier au marché du travail et doit elle-même devenir une entreprise rentable (cf. tout ce qui est fait autour de l'autonomie des universités qui doivent trouver leurs propres financements, des partenaires dans l'industrie et le privé...) et tout faire pour attirer les chercheurs les plus prestigieux, les étudiants qui vont leur permettre de gagner en valeur économique, de promouvoir les enseignements qui sont considérés comme les plus légitimes au sein de la société (économique), entendez par là ceux qui font de la maille, qui permettent d'acquérir des subventions pour les recherches, bref ce qui paraît compétitif aux yeux des entreprises privées ; mettant ainsi en danger la qualité de l'enseignement ainsi que sa diversité (on n'hésite plus à fermer des spécialités, des cursus qui ne « servent à rien », en sciences humaines, en langues, en sciences sociales, en arts notamment).Et pour désespérer un peu plus de l'évolution de l'enseignement supérieur dans le monde ces dernières années, il y a carrément un passage dans le documentaire qui m'a vraiment fait tiquer : c'est quand un des étudiants rattaché au service « communication et marketing » de l'université de Manchester (rien que ça, ça donne la couleur) est en train de promouvoir celle-ci auprès de potentiels étudiants (potentiels investisseurs à leurs yeux donc) indique qu'il y a notamment un Starbucks dans l'enceinte de l'université...sérieusement un Starbucks installé dans un campus ?! Ça ne vous choque pas qu'une franchise aussi représentative de l'ultralibéralisme dans toute sa splendeur s'implante au cœur d'un lieu qui ne devrait rien à voir avec ?
Enfin, le documentaire aborde aussi la question de l'explosion de la dette étudiante dans les pays qui ont mis des frais d'inscription élevés. On constate notamment aux États-Unis que près de la moitié des étudiants sont dans l'incapacité aujourd'hui de rembourser leur prêt étudiant. Il en va de même avec le Royaume-Uni où près de 45 % des prêts ne sont déjà pas remboursés (alors qu'il n'y a même pas dix ans que les frais d'inscription à 9 000 £ ont été mis en place). On sait aussi qu'à partir de 47 % de prêts non remboursés, l’État se retrouve dans une situation où il perd plus d'argent que lorsque les frais d'inscription étaient trois fois moins élevés.
Tout cela tend donc à montrer qu'un système qui veut marchandiser le savoir et, par la même occasion l'avenir de sa jeunesse, n'est pas viable sur le long terme tant sur un plan économique que social ; pourtant, il continue de se développer (ex : la France a récemment rendu payants les frais d'inscription pour les étudiants étrangers), pourquoi ?
Quel est votre avis sur la question ?
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RE: Les mots / citations de vos amis qui vous ont émus
Ce ne sont pas tant les mots que les parcours de vie de chacun qui me touchent.
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RE: Cats (2019)
@Hornet Je pense que c'est le genre de films à voir en étant bien défoncé !
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RE: "Mauvaise en orthographe, et alors ?"
J'aime pô les fautes d'orthographe. J'en fais comme tout le monde et comme je me relis pas et que je suis assez tête en l'air, ça peut donner des trucs très moches (surtout quand on ajoute à ça les oublis de mots et le correcteur du téléphone qui fait nawak), que je m'empresse de corriger quand je retombe dessus parce que je me sens très bête !
Et donc comme j'essaye d'en faire le moins possible de mon côté, j'ai aussi du mal à ne pas corriger les erreurs grossières des autres. En fait, j'estime que ne pas savoir écrire un minimum correctement enlève toute crédibilité à un message, même si celui-ci se veut sérieux et/ou intéressant. -
RE: Jojo Rabbit
Déjà vu et j'ai bien aimé même si j'avais quelques craintes à cause de la BA. En soi, l'humour n'est pas si irrévérencieux que cela mais il reste plutôt bien employé dans la plupart des passages et le film est touchant.
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RE: Pour me rendre à mon bureau...
@Shanna C'est surtout que tu es tranquille, tu vas à ton rythme. Ça donne une sensation de liberté que tu n'as pas quand tu es dépendant des transports en commun et la possibilité d'être plus rapide en ville qu'en voiture. Donc perso pour moi c'est évident que je préfère subir les éléments.
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RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
Je fume pas le miel starfoullah