Tout allait bien par chez nous depuis le premier confinement puis les grandes vacances 2021 arrivèrent avec ses hordes de touristes débarquant pour souiller nos plages et maintenant on l'a dans le fion :

Meilleurs messages postés par Egon
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RE: Les aventures de Covid-19 dans le monde...
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RE: Vous avez carte blanche !
@LeaPierce Ah bon ? J'ai pas essayé de l'utiliser mais en ouvrant l'appli, ça a pas l'air de buguer. En plus, faut que je réponde à la tonne de messages de Prosti.
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RE: Super Mario Bros. le film (The Super Mario Bros. Movie)
@jool On va le voir vendredi soir, j'ai hâte. Tous les retours sont bons !
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RE: Les aventures de Covid-19 dans le monde...
Mais non, les inégalités n'existent pas, voyons. C'est une invention des gauchistes.
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RE: Vous avez carte blanche !
@LeaPierce On va attendre que le bug soit reparé alors. Ça tombe bien, j'avais la flemme de répondre maintenant.
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RE: Super Mario Bros. le film (The Super Mario Bros. Movie)
Il veut des popcorns, il résistera pas longtemps à sa gourmandise.
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RE: Les aventures de Covid-19 dans le monde...
@hornet islamo-gauchistes qui pratiquent la pensée woke. °_°
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RE: Spider-Man: Across the Spider-Verse
Nouvelle bande annonce sortie aujourd'hui :
Ça donne toujours envie mais pas besoin d'en dévoiler plus !
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Les frais d'inscription à l'université... pourquoi ?
Le sujet est toujours autant d'actualité et voici un documentaire qui résume assez bien la question (attention, il est dispo sur la chaîne tutube d'Arte jusqu'au 19 juin) :
Pour ceux qui ont la flemme de regarder la vidéo, voici quelques amorces sur la question :
Le documentaire s'intéresse notamment au cas du Royaume-Uni qui est passé de la gratuité jusque dans les années 90 à des frais allant jusqu'à 9 000 £ l'année en 2010. Pour mieux comprendre la logique politique, l'on peut notamment faire référence à ce que dit l'un des réformateurs sur la question : «Nous aurions pu décider de réduire le nombre d'étudiants à l'Université, de baisser le montant des bourses, de réduire le financement des universités, sans compensation. Mais nous avons opté pour une politique qui garantit le financement des universités, contribue à réduire le déficit et établit un système plus progressiste de remboursement par les étudiants.»
En fait, deux grandes questions sont soulevées dans ce documentaire : d'une part, la massification scolaire de ces dernières décennies qui a eu pour conséquence d'avoir beaucoup plus d'enfants scolarisés et plus longtemps, le nombre de bacheliers et d'étudiants a notamment explosé. On compte aujourd'hui plus de deux millions d'étudiants en première année de licence en France là où il y en avait seulement 300 000 dans les années 60, octuplant ainsi le nombre d'étudiants en 50 ans ! Vous imaginez le bond ? Et cette augmentation du nombre d'étudiants continue de croître, un rapport de l'enseignement supérieur indique d'ailleurs qu'en 2027 le nombre d'étudiants devrait atteindre les 2,80 millions si la dynamique reste la même dans les années à venir.
D'autre part, l'autre grande question soulevée est celle de la privatisation d'un service public. L'école est d'abord un lieu de savoirs or depuis quelques décennies, on est en train d'en faire un tremplin pour les entreprises. L'université doit se plier au marché du travail et doit elle-même devenir une entreprise rentable (cf. tout ce qui est fait autour de l'autonomie des universités qui doivent trouver leurs propres financements, des partenaires dans l'industrie et le privé...) et tout faire pour attirer les chercheurs les plus prestigieux, les étudiants qui vont leur permettre de gagner en valeur économique, de promouvoir les enseignements qui sont considérés comme les plus légitimes au sein de la société (économique), entendez par là ceux qui font de la maille, qui permettent d'acquérir des subventions pour les recherches, bref ce qui paraît compétitif aux yeux des entreprises privées ; mettant ainsi en danger la qualité de l'enseignement ainsi que sa diversité (on n'hésite plus à fermer des spécialités, des cursus qui ne « servent à rien », en sciences humaines, en langues, en sciences sociales, en arts notamment).Et pour désespérer un peu plus de l'évolution de l'enseignement supérieur dans le monde ces dernières années, il y a carrément un passage dans le documentaire qui m'a vraiment fait tiquer : c'est quand un des étudiants rattaché au service « communication et marketing » de l'université de Manchester (rien que ça, ça donne la couleur) est en train de promouvoir celle-ci auprès de potentiels étudiants (potentiels investisseurs à leurs yeux donc) indique qu'il y a notamment un Starbucks dans l'enceinte de l'université...sérieusement un Starbucks installé dans un campus ?! Ça ne vous choque pas qu'une franchise aussi représentative de l'ultralibéralisme dans toute sa splendeur s'implante au cœur d'un lieu qui ne devrait rien à voir avec ?
Enfin, le documentaire aborde aussi la question de l'explosion de la dette étudiante dans les pays qui ont mis des frais d'inscription élevés. On constate notamment aux États-Unis que près de la moitié des étudiants sont dans l'incapacité aujourd'hui de rembourser leur prêt étudiant. Il en va de même avec le Royaume-Uni où près de 45 % des prêts ne sont déjà pas remboursés (alors qu'il n'y a même pas dix ans que les frais d'inscription à 9 000 £ ont été mis en place). On sait aussi qu'à partir de 47 % de prêts non remboursés, l’État se retrouve dans une situation où il perd plus d'argent que lorsque les frais d'inscription étaient trois fois moins élevés.
Tout cela tend donc à montrer qu'un système qui veut marchandiser le savoir et, par la même occasion l'avenir de sa jeunesse, n'est pas viable sur le long terme tant sur un plan économique que social ; pourtant, il continue de se développer (ex : la France a récemment rendu payants les frais d'inscription pour les étudiants étrangers), pourquoi ?
Quel est votre avis sur la question ?
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RE: Vous avez carte blanche !
C'est beau de voir renaître de ses cendres un flopic. @LeaPierce °_°
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RE: Super Mario Bros. le film (The Super Mario Bros. Movie)
@Peri Perso, pour moi ce sera la VF sans hésiter. Les différentes bandes annonces ont suffisamment démontré qu'elle était bien foutue.
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RE: "Mauvaise en orthographe, et alors ?"
J'aime pô les fautes d'orthographe. J'en fais comme tout le monde et comme je me relis pas et que je suis assez tête en l'air, ça peut donner des trucs très moches (surtout quand on ajoute à ça les oublis de mots et le correcteur du téléphone qui fait nawak), que je m'empresse de corriger quand je retombe dessus parce que je me sens très bête !
Et donc comme j'essaye d'en faire le moins possible de mon côté, j'ai aussi du mal à ne pas corriger les erreurs grossières des autres. En fait, j'estime que ne pas savoir écrire un minimum correctement enlève toute crédibilité à un message, même si celui-ci se veut sérieux et/ou intéressant. -
RE: Vous avez carte blanche !
Je confirme que la bière est toujours dégueulasse même aromatisée à la cerise.
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RE: Asteroid City
J'espère qu'il sera mieux que son dernier film qui m'avait laissé totalement de marbre.
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RE: Pour me rendre à mon bureau...
@Shanna C'est surtout que tu es tranquille, tu vas à ton rythme. Ça donne une sensation de liberté que tu n'as pas quand tu es dépendant des transports en commun et la possibilité d'être plus rapide en ville qu'en voiture. Donc perso pour moi c'est évident que je préfère subir les éléments.
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RE: Pour me rendre à mon bureau...
@Shanna Plus qu'être prudente, faut avoir de bons réflexes parce que y a toujours des clampins pour te couper la route.
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RE: Vos résolutions pour 2021 ?
@Chibi J'ai comme l'impression qu'on cherche la guerre en 2021. è_é