@shanna a dit dans Donnie Darko :
3)il se passe quoi dans Donnie Darko ?"
Maintenant je pourrais enfin répondre à cette fameuse question et briller en société.
@shanna a dit dans Donnie Darko :
3)il se passe quoi dans Donnie Darko ?"
Maintenant je pourrais enfin répondre à cette fameuse question et briller en société.
J'en ai lu quelques-uns quand j'étais plus jeune, mais j'ai toujours préféré les aventures sanglantes de Mack Bolan alias L'Exécuteur.
J'ai vu la première trilogie quand j'étais môme, mais ça ne m'a pas marqué plus que ça, même si j'ai adoré L'Empire contre-attaque. Ado j'ai découvert la seconde trilogie, j'ai trouvé La menace fantôme et L'attaque des Clones à chier. Mais La Revanche des Siths par contre, c'était une très bonne surprise, j'ai énormément apprécié le ton plus sombre de cet opus, qui renoue avec L'empire contre-attaque, c'était ultra-violent dans mes souvenirs
Acteur mono-expressif au melon aussi gros qu'un ballon de baudruche, mais ô combien je l'adore ! Ça me fait mal au cœur de le voir aujourd'hui jouer dans des téléfilms à deux sous même pas dignes de figurer sur Syfy à 1h du matin.
J'avais le DVD qui traînait en version Director's Cut depuis des années et des années, prenant la poussière dans un carton paumé au milieu de fiches d’impositions et de revues cochonnes (vestiges de mon adolescence). J'ai toujours eu la flemme de le mater, malgré le fait que le film était encensé partout. Le fait qu'il soit proposé pour le challenge du mois d'Avril m'a donné un sacré coup de fouet pour le regarder, et mon Dieu que ça en valait la peine de fouiner dans ces vieux cartons moisis. C'est même pas une claque que je me suis pris, c'est un putain d'uppercut ! Ce film m'a littéralement retourné le cerveau, tout ces questionnements sur l'existentialisme, la religion, la sexualité, la solitude, la famille, l'amour et surtout le sacrifice. Comment j'ai pu passé à côté de ce chef d'oeuvre ?
Vu deux fois, ce n'est pas le meilleur film de QT, mais c'est son oeuvre la plus personnelle jusqu'à maintenant. La découverte de ce Los Angeles désenchanté et des rouages d'Hollywood à cette époque à travers les yeux d'un acteur has-been et de son pote cascadeur est un exercice captivant, y a pas à dire, Tarantino connait son sujet et en fait profiter le spectateur. Chaque séquence transpire la passion pour le cinéma, on sent une vraie maîtrise derrière,
Ryan Reynolds, ce gars là me les brise, il joue toujours le même rôle, celui du gentil blagueur/cogneur dont le passe temps et de sauver la veuve et l'orphelin, mais attention, il le dit et le répète, ce n'est pas un héros.
Le Petit Prince
Au Nom de la Rose
Mystic River
To Live and Die in L.A, sorti en 85 et réalisé par William Friedkin, le génie derrière L'Exorciste, French Connexion et Le Convoi de la peur.
C'est l'histoire de l'agent de l'US Secret Service Richard Chance (incarné par Gil Grissom William Petersen) jeune flic casse-cou et tête brûlée et qui se lancera dans une quête vengeresse et obsessionnelle à la recherche de Rick Masters (Le Bouffon Vert Willem Dafoe), un faussaire de talent, après que ce dernier ait abattu son vieil équipier de sang-froid. Dans son enquête, Chance va peu à peu dévier des méthodes traditionnelles pour basculer dans l'illégalité la plus totale, précipitant sa chute et entraînant avec lui son nouveau partenaire l'agent John Vukovich (John Pankow).
Une oeuvre transcendante, probablement la plus plus aboutie de son auteur. On y retrouve toutes les caractéristiques ou presque, de tout ce qui fait William Friedkin, une ambiance crasseuse, une ville grouillante de parasites, des flics à la moralité douteuse, une course poursuite dantesque (le film en vaut la chandelle rien que pour cette scène), et bien entendu une BO qui déchire et qui se marie parfaitement avec le style énergique et le montage clipesque du film.
Bref, c'est un monument du polar, à consommer sans modération.
Revu à l'occasion du challenge de ce mois-ci, toujours aussi poilant. Dommage qu'il n'y ait jamais eu de suite.
@peri Là c'est crade.
Et ça c'est le french kiss façon Xénomorphe.
Je viens de le finir. Bon film, la réalisation est soignée, les acteurs sont excellents, surtout Micheal Fassbender, qui s'est donné à fond pour le rôle.
Je pense que c'est un moyen d'immortaliser le souvenir de la personne décédée, c'est un moyen de se dire que la mort n'est pas définitive, enfin je crois.
@Peri a dit dans Les choses grotesques dans les films :
parce que -manque de bol pour eux- ils vivent dans une dimension fictionnelle régie par des producteurs avide de thunes.
C'est ça le véritable film d'horreur.
Par contre cette révélation, ça ferait un sacré twist.
Dans les films d'horreur impliquants un tueur en série ou un monstre quelconque, les protagonistes parviennent toujours, à un moment ou à un autre, à prendre le dessus sur le méchant, mais au lieu de l'achever comme il se doit alors qu'il est au sol, ils s'enfuient comme des cons pour mieux se faire massacrer après.
@Delnis J'ai vu Le Duelliste l'autre jour, c'était assez cool.
La vraie question à propos de Superman qui me turlupine, c'est comment il fait pour porter un costume de super-héros en spandex, avec cape et bottes comprises, le tout sous un costume bon marché ?