Messages postés par Dirty Cop

@marie-thérèse J'accepte volontiers.

@marie-thérèse Je te retourne le compliment.

Bande annonce du prochain film de Guillermo Del Toro, Nightmare Alley.

Y a pas que 4 American Pie, en fait y en 8. Dont une tripotée de spin off sortie directement en DVD.

Je l'ai tous vu et aussitôt oublié. Je préfère les 2 premiers.

Pas besoin d'aller au ciné pour regarder Bac Nord

Avec une pince à épiler.

Balance : Vous écouterez sur France Inter des acteurs riches et célèbres parler de leurs doutes sur la vie en ponctuant le tout de références sur le cinéma italien des années 60.

Permettez moi d'en douter.

James Gunn prépare un nouveau projet pour DC
Article Ecranlarge
Je parie que c'est une adaptation de Lobo

Staline et Hitler était clairement de droite

Staline de droite ? À un moment faut vraiment arrêter de refiler ses casseroles sales aux autres, ça en devient indécent.

On fait la trêve tout le monde et on revient à de l'actualité Zemmourienne avec une possible bonne nouvelle (pour moi)

@plume a dit dans Tournoi des séries :

Cold case

Grand fan de cette série.

@godzapon Tes rêves on dirait la 4ème Dimension.

@ayamé Ça va bien plus loin que ça. L'antisémitisme d'Hitler ne suffit pas à lui seul pour expliquer son expansionnisme militaire. En fait c'est intrinsèquement lié avec sa politique économique. Les Nazis ont essayés de développer l’autarcie économique par un protectionnisme massif, pour échapper au commerce international. Il fallait étendre les frontières du Reich jusqu’à ce qu’il permette l'autosuffisance nationale.
La guerre était inévitable parce que les finances du Reich étaient dans une situation trop catastrophique. Et cette expansion militaire faisait justement écho aux considérations raciales du mouvement, antisémitisme qu'on retrouvait d'ailleurs chez de nombreux socialistes du 19ème, dont Karl Marx, Charles Fourrier, Alphonse Toussenel et même Jean Jaurès. Pour qui le Juif était le représentant ultime de la haute finance et du grand capitalisme.
La guerre permettrait, en partie, de maintenir en vie l’État national-socialiste.

Mais ça c'est un sujet qui est étudié bien plus amplement dans le livre.
Voilà, maintenant j'en ai vraiment fini.

@peri J'ai eu le même rêve, sauf que c'était pas un rêve mais une vidéo sur Twitter.

Purée ce topic tombe bien, j'ai rêvé la nuit dernière que j'étais dans un hélicoptère avec Tom Hanks et qu'on survolait une sorte de zone de guerre quelque part en Europe de l'Est, et là le co-pilote me file un gros M60 et m'aide à le recharger, et je me mets à tirer sur les soldats en bas, mais ça ne me suffit pas, et je me mets à sulfater des vieillards avec des masques à oxygène, puis un mec en fauteuil roulant que j'ai transformé en passoire. Ensuite l'hélico se pose et moi et Hanks on explore un vieux hangar abandonné, mais son compteur Geiger se met à sonner et là il tombe comme une mouche, il a été irradié par de l'uranium planqué quelque part, des tâches noires ont commencés à apparaître sur sa peau et il meurt. Je sort du hangar en courant, y a un bus, la porte arrière est ouverte et un type veut montrer, c'est quelqu'un de connu, mais j'arrive plus à me souvenir de qui, bref...je lui tire dessus sans raison ou si, je crois que j'aimais pas ses fringues, et je monte dans le bus, qui roule vers le soleil couchant. Fin.

Psychopathe vous dites ? Probablement.

Dernière intervention sur le sujet, lisez ce bouquin si vous en avez l'occasion et faites vous votre propre avis. Ça ne va peut-être pas dans le sens du "consensus général" si cher à Peri, mais je répondrais qu'il en faut un peu de tout pour s'instruire.

J'ai jamais vu le film (les Wachowski c'est pas ma tasse de thé), mais à cause de l'affiche, j'ai pendant un petit moment vraiment cru que Jamel Debouzze jouait dedans.

@etiquator Au lieu de se ruer sur le PQ, les gens vont se ruer sur les bains de bouche si on faisait ça.

@pompon a dit dans Décès :

un exemple pour nous

Faut pas exagérer non plus.

@peri a dit dans Éric Zemmour en roue libre :

Au contraire même, merci

Mais je t'en prie, tout le plaisir est pour moi.

Série de 88 épisodes, répartis en 7 saisons et diffusée entre 2002 et 2008 par FX (USA) et Canal+ (France).

L'inspecteur Vic Mackey dirige la Brigade de Choc "Strike Team", une unité d'élite de la police de Los Angeles, son QG est situé dans "Le Becail" une vieille église transformée en commissariat de fortune dans le quartier de Farmington, le pire et le plus malfamé de tout L.A.
Mackey et son équipe sont souvent épinglés par leurs supérieurs, il faut dire que leurs méthodes pour combattre le crime sont assez peu...conventionnelles (brutalité, corruption, meurtre...) cela dit, ils obtiennent des résultats, et à Farmington, c'est tout ce qui compte.
Mais au Bercail, il n'y a pas que la Brigade de Choc qui fait la loi. Le Capitaine David Aceveda, carriériste qui veut à tout prix se lancer dans la politique, dirige le commissariat, son intégrité sera mise à rude épreuve. L'officier Julian Lowe, jeune recrue honnête partagé entre son homosexualité refoulée et sa foi dans les enseignements de la Bible. L'inspecteur Claudette Wyms, détective hors pair, est la boussole morale du commissariat. L'inspecteur Holland Wagenbach, brillant criminaliste, est obnubilé par la raison qui pousse les meurtriers à passer à l'acte.
Tous sans exception devront faire face à la misère et au désespoir qui ronge les habitants de Farmington, en proie à la pauvreté et à la violence de plus en plus insoutenable des gangs.

Avis:
Chef d'oeuvre, ici on est pas dans le Los Angeles des starlettes et des tapis rouges, bienvenue dans la dure réalité du bitume. Filmé avec caméra sur épaule, le réalisme est au rendez-vous, on est en totale immersion dans cet espèce d'anti-chambre de l'enfer où tout le monde est sur le fil du rasoir. La réalisation nerveuse créer un sentiment d'urgence tout au long des épisodes.
Les personnages principaux sont les membres corrompus de la Strike Team, dont la création a été inspiré du véritable scandale Rampart, impliquant l'unité CRASH et qui a entaché la réputation de la police de L.A.
Les auteurs n'y vont pas de main morte, les épisodes sont d'une noirceur et d'une densité rarement atteinte à la télévision, parfois à la limite du supportable. Une descente aux enfers aussi douloureuse qu'inexorable, qui prend vie notamment grâce à une direction d'acteurs d'une très grande qualité et d'une intensité sans failles.
The Shield, une série tendue et complexe, qui vous prend aux tripes dès le premier épisode, dont vous serez vite accroc et qui ne vous laissera pas indemne.