Je n'ai pas assez de patience pour ce jeu.
Mais il m'arrive d'y jouer parfois, selon les circonstances.
Une anecdote :
A l'armée, mon activité d'astreinte m'a permis de jouer (en amateur) contre une tablette ordinateur pendant mon temps libre.
Celui-ci possédait un petit écran digital sur lequel défilaient qq messages liés à la partie.
A un moment du jeu, celui-ci écrivit :
"C'est la 1ère fois que vous jouez aux échecs ?"
Jamais eu une telle honte devant une machine ! 
Sinon, j'ai découvert une chose que je considère importante : "selon l'angle de vue sous lequel vous jouez, votre logique de déplacement de votre pièce ne sera pas la même" !
Essayez, levez-vous, faites le tour, et vous verrez une autre solution... 
Et je déteste les parties rapides à la pendule (Blitz). 
nb : à noter que j'ai créé un sujet dans la section cinéma, à propos d'un film nommé : "Fahim"
Une biographie sur le joueur d'échecs franco-bengladais Fahim Mohammad.
Si cela vous intéresse, je vous invite à le voir si opportunité... 
Autre chose : j'ai toujours été intrigué par : "Le Turc mécanique" ou "Le joueur d'échec"
Un automate mondialement renommé dans les années 1770.
Il y a eu qq films sur cette histoire.
Construit pour l’archiduchesse Marie-Thérèse de Habsbourg, et dévoilé par Johann Wolfgang von Kempelen, le mécanisme semblait capable de jouer contre un adversaire humain, ainsi que de résoudre le problème du cavalier (un casse-tête qui exige de déplacer un cavalier afin d'occuper une seule fois chaque case de l'échiquier).
Jusqu'à sa destruction en 1854, il a été exposé par différents propriétaires en tant qu'automate.
Extérieurement, il avait l’apparence d'un mannequin habillé d’une cape et d’un turban assis derrière un meuble d’érable qui possédait des portes révélant une mécanique et des engrenages internes qui s'animaient lors de son activation.

Si un adversaire humain essayait de tricher, le "Turc mécanique" remettait le pion à sa place et, après plusieurs tentatives de triche, balayait l’échiquier du bras et envoyait valser toutes les pièces.
En fait, ce mécanisme permettait de masquer la profondeur du meuble, qui possédait un compartiment secret dans lequel un joueur humain pouvait se glisser, et manipuler le mannequin, comme un marionnettiste, sans être vu.
Grâce au talent de celui-ci, le "Turc mécanique" remporta la plupart des parties d'échecs auxquelles il participa en Europe et en Amérique durant près de 84 ans !
Y compris contre certains personnalités telles que Napoléon Bonaparte, Catherine II de Russie et Benjamin Franklin !!
Ironie de l'histoire, l’auteur britannique Philip Thicknesse écrivit en 1784 «Qu’un automate puisse être amené à déplacer correctement les pièces d’échec, tel un joueur pugnace, en réaction au jeu précédent d’un inconnu qui s’attache à jouer contre lui est PARFAITEMENT IMPOSSIBLE».
Article sur slate.fr
Article sur boites-musique.com