Meilleurs messages postés par Cygoris

Les chœurs de la Corée du Nord chantent une autre version de "I want to break free"

"Les fleurs vont et viennent sous l'arche du temps,
au gré d'un froissement de givre en fin d'hiver,
avant que ne glissent les nuages annonçant le printemps,
à l'auvent de maisons ornées de fleurs de cerisiers près des rizières".

Image saisonnière du Japon, d'après Véronique BRINDEAU

Iliona : J'ai du mal

Johnny symphonique : "Requiem pour un fou" au ZENITH 2022 par Yvan Cassar

Tournée 2024

"Comprendre c'est éclairer l'avenir de la lumière du passé."

Robert-Vincent JOULE

Nous sommes vendredi 13.
AJA que ceux/celles qui avaient peur de ce jour s'appelaient des paraskevidékatriaphobes !!! (sic)

Et cette superstition phobique : la paraskevidékatriaphobie

Une des origines : "La mort de Jésus est restée l'élément de croyance phare dans l'imaginaire collectif médiéval, qui a conduit à faire de ce jour, un jour triste, de repentance, où jusqu'au début du XXe siècle on mangeait très peu, on évitait de festoyer, on évitait de se réjouir. Depuis, on considère qu'il ne faut absolument rien entreprendre le vendredi, synonyme de malheurs."

nb : Nous devons les jours de la semaine aux Romains, qui leur avaient donné le nom des 7 astres et divinités mythologiques. Lundi jour de la Lune ; mardi jour de Mars ; mercredi jour de Mercure ; jeudi, jour de Jupiter et vendredi, le jour associé à Vénus, soit la déesse de l’amour !

Le 13 avril 1912, le Titanic avait reçu plusieurs messages lui signalant des icebergs. Dans l'après-midi, un incendie est éteint dans la salle des chaudières no 5.
Il a coulé dans la nuit du 14 au 15 avril 1912.

Hélas, les attentats du 13 novembre 2015 en France ont eu lieu un vendredi

Le navire de croisière Costa Concordia a fait naufrage au large de la Toscane le vendredi 13 janvier 2012.

Sinon, la peur du seul nombre 13 est appelée : Triskaidékaphobie

Ce qui est dingue, c'est les attentions remarquées pour ce chiffre, par ex. :

• chez certaines compagnies aériennes, la rangée 13 n'existe pas ! (Air France ou Ryanair)
• Aucun siège au numéro 13 sur la quasi totalité des avions américains.
• Il n'y a pas de N° 13 sur une automobile de course
• Ni sur les portes dans certaines rues
• Certains hôtels ne proposent pas de chambre n°13
• Aux USA certains immeubles et gratte-ciels ne disposent pas d'étage n°13
• A New York, il y a bien une 13e avenue, mais personne n’y vit : c’est un bout de quai sans âme le long de l’Hudson !
• Essayez d'être 13 à table...

PS : Si le premier jour du mois commence par un dimanche, vous pouvez être sûr que le 13 du mois sera un vendredi ! Cette année 2023 en comporte deux : le vendredi 13 janvier et le vendredi 13 octobre.

leprogres.fr

@Music a dit :

@Cygoris Ce titre d'Iliona est pas mal.
J'avoue avoir beaucoup de lacunes en nouvelle scène française qui n'a jamais été mon truc, mais je trouve qu'on avance vers du meilleur............

Jolie voix, Solo.

Effectivement, de nouveaux artistes émergent presque toutes les semaines.
Dont certains méritent.
1 bien pour le public, 1 mal pour les anciens qui sont tt doucement poussés vers la sortie.

Telle, Lena Hall (“Zombie”)

Une artiste à forte intensité vocale qui réunit de manière authentique et explosive les mondes du Rock et de Broadway.

Au regard du titre "Strange Kind of Woman" (voir plus haut), un groupe de 5 femmes, appelé "Strangekindofwomen" en hommage à Deep Purple s'est créé.

Composé de Alteria, Eliana Cargnelutti, Paola Zadra, Margherita Gruden et Paola Caridi

Site : https://www.strangekindofwomen.com/about-us/

Interview
https://athenscalling.gr/strange-kind-of-women-an-interview-with-eliana-cargnelutti/

Démonstration de leurs potentiels et vocalises !

"Mistreated" (impressionnant à écouter pdt au moins 3')

"Child in Time"

"Smoke on the water"

Margherita Gruden

Paola Caridi

Voici une autre femme jugée majeure par l'Histoire :
La « Belle Liégeoise » , de son nom Anne Josèphe Terwagne, dite Théroigne de Méricourt.

Une femme sous la Révolution.
Née en 1762 à Marcourt, près de Liège, de parents laboureurs, Anne Josèphe Terwagne est surnommée Théroigne de Méricourt par le chevalier de Champcenetz, journaliste royaliste satirique qui transforma son nom en prénom et déformant son village natal Marcourt en Méricourt, devenant alors son nom de révolutionnaire officiel, également utilisé par la presse.
Elle mène d'abord une vie de mondaine qui la conduira d’Angleterre en Italie.

Arrivée à Paris en juin 1789, elle est rapidement gagnée aux idéaux de la Révolution et s’installe à Versailles dès le mois d’août pour suivre les travaux de l’Assemblée, où elle fait son instruction politique et tient le soir un salon, réservé aux hommes politiques.
Vêtue en amazone pour se donner une allure masculine, elle devint une figure très populaire des tribunes publiques.

Elle fonde en janvier 1790 avec Gilbert Romme le club des Amis de la Loi, devançant le mouvement des sociétés populaires qui devait s’épanouir quelques mois plus tard à Paris.
Ce club, qui avait pour objectif de tenir le peuple informé des travaux de l’Assemblée, n’eut qu’une existence éphémère, et Théroigne tentera sans succès d’en fonder un autre, celui des Droits de l’homme...

Puis elle s’engage en faveur de la guerre, réclame la chute de la royauté et prend une part active aux manifestations révolutionnaires, en particulier lors de l’assaut des Tuileries le 10 août 1792 qui consacre la déchéance du roi.
En 1793, elle prend parti pour les Girondins aux côtés de Brissot. En tant que partisane, elle est publiquement fouettée par des « citoyennes républicaines révolutionnaires » jacobines et sauvée in extremis par Marat.
Mais sa santé mentale ne survivra pas à cette nouvelle humiliation, et elle sera internée dans un asile en 1795. Elle mourra à la Salpêtrière en 1817 sans avoir retrouvé la raison.

Post scriptum : Elle réclamait notamment pour les femmes le droit de voter dans les sociétés, clubs et assemblées, et celui de s’organiser en corps armé.
L’enjeu était de permettre aux femmes de s’affirmer comme citoyennes à part entière et de sortir de la condition dans laquelle « l’ignorance, l’orgueil et l’injustice des hommes les tiennent asservies », paroles qu’elle a elle-même prononcées le 25 mars 1792 devant la Société fraternelle des Minimes.
En ce temps là, ce féminisme affiché rendit Théroigne de Méricourt suspecte aux yeux des révolutionnaires, et dès l’automne 1793, toute activité politique féminine fut officiellement interdite, avec la fermeture des clubs de femmes.

Source 1

Source 2

Un TV Film a été réalisé

@pompon a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :

Ca me fait penser à la dame âgée en Rolls qui se fait piquer une place de stationnement sous le nez par un freluquet empressé dans sa voiture de sport, quand celui-ci lui dit :

• "Jeune et rapide"

La femme n'hésite pas alors à lui massacrer son bijoux avec la sienne, et de répondre :

• "Vieille mais riche"

On part chez les Ados pour la soirée avec Fountains of Wayne de Stacy's Mom

Mais plusieurs années plus tard, le mythe du Père-Noël s'effondre...

En effet, le traîneau du Père Noël serait tiré par des rennes volants, hélas, après de longues recherches, on n'a malheureusement trouvé aucune espèce de rennes connue à ce jour sachant voler
(Mais il y a encore des raisons d'espérer si on pense qu'il y a plusieurs millions d'espèces d'organismes vivants qui ne sont pas encore classées).

Sinon, prenons la charge de travail du Père Noël :
Il y aurait plus de 2 milliards d'enfants dans le monde. On obtient ce nombre en se limitant aux personnes âgées de moins de 12 ans puisque c'est l'âge moyen en apparence raisonnable mais variable en fait selon les individus pour lequel le Père Noël perd toute crédibilité.
Puisque le Père Noël ne s'occupe pas des enfants musulmans, hindous, juifs et bouddhistes, cela réduit la charge de travail à 15 % du total, en fait #400 millions selon le bureau de recensement de la population mondiale.
Avec une moyenne de 3 à 4 enfants par foyer, cela nous donne à peu près 92 millions de foyers.

Le Père Noël a au moins 31 heures de travail pendant la nuit de Noël, à cause des différents fuseaux horaires et de la rotation de la terre, et en supposant qu'il voyage d'Est en Ouest (ce qui paraitrait cohérent).
Cela nous amène à 822,6 visites par seconde ; c'est-à-dire que pour chaque foyer chrétien "avec des enfants sages" , le Père Noël a un peu plus d'un millième de seconde pour :

• Freiner, puis Arrêter les rennes
• Se garer,
• Arrimer l'attelage (par sécurité)
• Sélectionner les présents,
• Bâcher les cadeaux,
• Sauter hors du traîneau,
• Dégringoler par la cheminée,
• Remplir les chaussettes de jouets,
• Placer le reste des cadeaux sous le sapin,
• Remonter dans la cheminée, (Remonter dans la cheminée !!)
• Détacher l'attelage,
• Reprendre place dans le traîneau,
• Relancer le convoi,
  et passer à la maison suivante.

En supposant que chacun de ces 92 millions d'arrêts sont équitablement répartis sur la surface du globe (ce qui certainement est un peu faussé mais que nous admettrons dans l'intérêt de nos calculs), nous en sommes maintenant à une maison tous les 1,26 kilomètres pour un voyage total de 121.155.200 kilomètres !
Sans compter les voyages transocéaniques, les arrêts pour le fourrage des valeureux rennes, pour leurs besoins physiologiques, ainsi que ceux du Père Noël, et pour faire ce que la plupart d'entre nous doivent faire au moins une fois toutes les 15 heures (mais une fois par an, une nuit blanche sera tolérée).

Cela veut dire que le traîneau du Père Noël se déplace à une vitesse moyenne de 1040 kilomètres par seconde, soit 3500 fois la vitesse du son !!

On est certes encore loin des vitesses relativistes, mais, à titre de comparaison, le véhicule le plus rapide jamais fabriqué par l'homme, la sonde spatiale Ulysse, se déplace à la vitesse relativement étriquée de 43,8 kilomètres/seconde, et un renne conventionnel, donc non-volant à priori, plafonne à 24 kilomètres/heure !?!
Supposons toutefois que les rennes volants, eux, sont capables d'atteindre des vitesses supersoniques grâce, disons ….. à l'effet de l'esprit de Noël.

En supposant aussi que chaque enfant reçoit en tout et pour tout un jeu de société de taille moyenne (poids #1 kg), le traîneau transporterait alors environ 321.000 tonnes de présents en charge !
Sans oublier le Père Noël qu'on a toujours décrit comme étant ostensiblement obèse (ajoutons donc # 120 kg).

Sur terre, un renne conventionnel ne peut pas tirer, disons, plus de 150 kilos (gravité oblige). Même en supposant qu'un renne volant puisse tirer 10 fois la charge normale (soit 1T5 !), on n'arriverait pas au bon résultat avec 8 ou même 9 d'entre eux.
Non, il faudrait en fait "252 000 rennes" ! Un renne (anémique) pesant en moyenne 75 kilos, on arrive à une charge totale de 396000 tonnes, sans compter le traîneau !

Considérons donc que 396000 tonnes se déplaceraient à 1040 kilomètres par seconde.
Cela provoquerait alors une énorme résistance de l'air. Les rennes serait en fait élevés à la même température qu'une navette spatiale rentrant dans l'atmosphère terrestre.
Les deux rennes de tête absorberaient donc une énergie de # 4.3017 joules !!

R = C x ρ x S x v²
C : coefficient caractéristique du mobile (résistance aérodynamique)
ρ : masse volumique de l'air (kg/m3)
S : surface du maître couple (m²) [section droite perpendiculaire au mouvement]
v = vitesse relative (m/s)
Poids = m x g
m : masse de l'objet
g : accélération de la pesanteur
acriv.org
owl-ge.ch

En bref, ils se désintègreraient quasi instantanément, tout en exposant les rennes qui les suivent !
Les 252000 rennes serait donc entièrement pulvérisés en moins de 4 millièmes de seconde !!

Le Père Noël, entre-temps, lui est soumis à une force centrifuge égale à 17500 fois la gravité terrestre (9.81).
Un Père Noël de 120 kilos serait cloué au fond de son traîneau par environ 20601 tonnes de pression !!
Cette force le tuerait forcément sur le coup, lui broyant les os, pulvérisant sa chair, bref, le transformant en gelée rose.

Conclusion :
Si un jour le Père Noël a vraiment livré des jouets au moment de Noël, il est maintenant mort depuis longtemps.
Désolé pour ceux qui perdent ici leurs dernières illusions.

'Po aime' de Ronsard à toutes les mignonnes de + de 50 ans, et à toutes les autres pour qu'elles aient le temps de l'apprendre avant.

Mignonne, allons voir si l'arthrose
Qui ce matin, tant m'ankylose
Depuis qu'a sonné mon réveil
Pour clore une nuit de sommeil
Aura perdu de sa vigueur
Après un footing d'un quart d'heure.
Las ! Voyez comme sont les choses,
Il faudrait que je me repose.
Mes maux, loin de se calmer
Las, las, ne cessent d'empirer. Ô vraiment, marâtre nature
Avec l'âge la douleur perdure !
Donc, si vous m'en croyez, mignonne,
Tandis que votre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté
Avant que ne ternisse votre beauté,
Pour assouvir toutes envies
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie !

(Reçu par Internet)

Original : Les Odes

@Elenwey a dit :

AJA
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Je connaissais le mot baragouiner.
Mais pas son origine.
Merci

Changeons un peu d'instruments