oui mais cette conclusion se base sur des calculs issus de l'observation des primates, de leur durée de gestation, de leurs molaires etc.
Mais quand bien même ce serait vrai physiologiquement, pour moi l'aspect sociétal est tout aussi important. Et ce qui se passe chez les primates n'est pas forcément transposable à l'homme et la société.
Justement nous sommes des primates et le fait d'être humain ne change pas ça, les recherches portent sur la famille du genre donc cela nous inclu bel et bien, c'est d'ailleurs préciser. Je trouve ça assez présomptueux du genre humain que de se classer à part des primates sur un plan physiologique mais l'article prend bien en compte notre famille de primate à nous et fais un comparatif avec les autres mammifères.
Mais effectivement, si l'on prend en compte l'aspect culturel, je comprend ton raisonnement.
Ce pourquoi j'ai bien parler uniquement de la physiologie, en gros la manière dont nous sommes programmée par dame nature au delà de notre capacité de raisonnement, qui deforme ce que nous sommes car il ne faut pas oublié que notre culture n'est pas suivre ce pourquoi nous sommes génétiquement fait.
@Heidi
Je m interroge sur la vision ,la conception de ces femmes qui allaitent pour moi plus que de raison.
La question est bonne et mérite d'être posé : c'est quoi la bonne raison de la fin de l'allaitement ? Ce que dis la société ou ce qu'a prévu dame nature ?
Veut elle en faire un enfant collé à elle tout le temps ?
Donc pour toi l'allaitement long empêcherait ou retarderai une certaine autonomie chez l'enfant ?
Après quand on parle d'allaitement long, on est plus du tout dans l'exclusif.
Le sein apporte du réconfort aussi c est certain mais jusqu’à quand cela reste admissible ?
Une goutte dans la liste de tout les bienfaits qu'apporte l'allaitement.
Il ne faut pas oublier qu'un allaitement long n'a que comme définition de long car il est basé sur le point de vue de la société ainsi en France on considère qu'à plus de 6 mois c'est le cas, comme l'OMS. D'ailleurs l'OMS recommande de poursuivre un allaitement de complément jusqu'à 2 ans voir plus. Sachant qu'il est admis (et donc avec consensus) que le sevrage chez les humains est entre 2 à 4 ans.