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ayamé
" L'amour commence par l'éblouissement d'une âme qui n'attendait rien
et se clôt sur la déception d'un moi qui exige tout " .
Gustave THIBON, philosophe . -
ayamé
@wolfen : pour les pétitions en ligne, je me souviens qu'une fois, ayant oublié que je l'avais déjà
signée, j'ai voulu réitérer l'opération et aussitôt j'ai reçu un message disant que je l'avais déjà fait.
Donc, le système est fiable. -
ayamé
@martin : arff, ce serait encore donner trop de pouvoir à ces gens-là.
La constitution de la 6e république prévoit : " Article 4 :
La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie
du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice. "
Dans la 5e, qui a la souveraineté nationale ? ....
Pas le peuple qui n'a que le droit de voter, puis de la fermer.
Si les représentants ne font pas leur boulot, en commençant par assister aux assemblées
et sérieusement ( sans dormir ou faire mumuse avec leur portable ), que des " punitions "
soient appliquées : avertissement pour commencer, au 3e, blâme, et si récidive : révocation.
C'est bien ce qu'il se passe dans la fonction publique.
Ces gens-là sont nos salariés : CQFD. -
ayamé
Lion : Du jour au lendemain, vous déciderez de vivre comme un oiseau et de construire un nid en haut d’un arbre.
Vous chanterez et mangerez des graines toute la journée. Ce sera un vrai tournant dans votre carrière.Eh bé, bingo, rien de plus vrai cette fois-ci.
J'ai installé dans mon arbre de vie mon nid construit avec soin pour qu'il réponde à mes besoins.
Je chante mais que pour ceux capables d'écouter mon chant et je ne mange que les graines qui me nourrissent vraiment.
( Quand je dis me, j'entends par là mes différents corps : physique, psychique, émotionnel ).Madrugada - industrial silence 2019 - Strange Colour Blue -
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ayamé
@fantome a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :
Asservis a un système qui n'utilise que la peur et l'argent comme seuls moyens de pression.
C'est bien ce que je déplore : je n'aime pas la tournure que prend notre société.
Perso, je suis à la retraite , suffisante pour que je ne vive pas trop mal.
Mais je pense à mes enfants et petits-enfants et je ne me réjouis pas des conditions de vie
qu'ils connaissent actuellement et qu'ils connaîtront plus tard.Pour finir, les choses ne reviendront jamais comme avant, mais tu as raison d'y croire.. l'espoir fait vivre.
Je le pense aussi, mais je veux garder encore un peu d'espoir que des gens couillus permettont
d'éviter, de par leurs actions ( pas à coups de pavés dans les vitrines bien évidemment ) ,
à empêcher que les gouvernants fassent " au bon gré et selon le bon vouloir du Roi ".Les vaccins, peu importe ce que j'en pense car je veux plutôt mettre l'accent sur le fait
qu'ils ne sont pas les seuls moyens thérapeutiques, qu'il existe des traitements vraiment efficaces comme l'ivermectine qui n'est pas interdite de prescription, mais qui fait mal voir le médecin prescripteur par les hautes autorités ( informées via circuit SECU, ARS etc... ).
Comme source, je donne celle-ci par exemple, car il y en a bien d'autres comme dit l'ami fantome :
Alexandra Henrion-Caude ( généticienne ) et Christophe Prudhomme ( médecin ) sur Sud radio :
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ayamé
@morphée : tu m'as donné envie d'aller voir pour le clitoris, et AJA que son éthymologie vient du grec,
ça je m'en doutais, de kleitorís qui signifie : clef ou fermoir.
c'est bien vu là aussi, le clito est bien une clé très importante pour ouvrir la porte du plaisir . -
ayamé
@overdozz : d'abord, ton histoire ne fait pas pitié.
La vie n'est un log fleuve tranquille pour personne que je sache.
Pour le fond du problème, je pense qu'il te faudrait avoir une bonne explication avec cet ami ,
lui dire ton ressenti et ta souffrance en rapport avec certaines de ses attitudes :
faire la gueule, jalousie, qu'il te rabaisse parfois...
Perso, je te dirai encore 2 choses :
. mon proverbe = il faut attendre que la pomme soit mûre pour la cueillir.
ce qui veut dire que tu n'es pas prêt pour une rupture pour l'instant.
Il te faut mieux cerner ton malaise et surtout en parler avec lui .
. " je devrais profiter de la vie plutôt que me remettre en question" :
les 2 sont nécessaires. Les remises en question nous font évoluer :
ce sont avec elles que l'on se construit et que l'on devient adultes...et même adultes :
il est bon d'en faire de temps en temps pour corriger certains tirs . -
ayamé
@dryanaide a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :
. Mais, mais je ne suis absolument pas d'accord que l'on vienne me traiter avec condescendance par rapport à mon âge, ou autre. Je ne le fais pas avec les autres, j'attends le même respecte envers moi.
Et tu as bien raison : nous avons tous à nous apporter les uns des autres et comme tu le dis si bien :
" C'est de la confrontation des idées que naissent de nouvelles idées et solutions. "
Mais @fantome ne t'a pas traitée avec condescendance par rapport à ton âge puisqu'il dit :
" Loin de moi l'idée de te prendre de haut, d'ailleurs je ne connais pas ton âge ni toi le mien, donc ^^". -
ayamé
@loutre : le point de vue de @fantome ne dit pas que les gens sont des crétins, c'est ce que toi tu en déduis.
Il dit : " Toutes ces mesures visent à restreindre les libertés et assoir un contrôle de masse plus "performant",
grâce a ce virus (qui est une bonnes excuse) ça va plus vite à faire accepter aux peuples ".
Il critique les actions gouvernementales et non les gens.
Et moi, je déplore que ce gouvernement nous instille chaque jour la peur. Et relis ma réponse à Barbouille :je ne suis pas contre certaines formes de confinement, je suis contre celles
qui n'ont pas de sens comme la fermeture des commerces dits non essentiels.
Quand tu dis : " trop long à mettre le confinement en place, pas assez longtemps et
est resté trop ouvert aux frontières ", je suis tout à fait d'accord .Hélas, nous ( fantome et moi ) ne pouvons pas deviner de comment nos propos seront compris
voire déformés parce que mal interprétés. -
ayamé
@dryanaide : c'est amusant, chacune de nous retient ce qu'elle a envie de retenir ;).
Moi, j'ai surtout retenu les gladiateurs non d'élite perdant en rang social et les pourcentages de survie.
Et la phrase de Cicéron que j'ai mentionnée :
" « Un gladiateur, même moyen, ne pleure pas , écrivait Cicéron, ne change pas de visage ; il reste ferme,
il tend la gorge sans faiblesse ». -
ayamé
@madarjeen a dit dans Droit au Blasphème en France :
Donc même s'il existe un droit au blasphème qu'il faut protéger, les croyants sont tout à fait en droit de critiquer certaines pratiques du blasphème. Et il se peut que parfois ils aient raison, quand le blasphème est utilisé juste pour le plaisir de choquer gratuitement, ou pire, qu'il sert à cacher un discours plus douteux (raciste, antisémite ou autre).
Ton écrit développe ce que je disais plus haut :
" Froisser quelqu'un et le blesser en " blasphémant ", quel intérêt, quelles conséquences ? "
Au-delà des définitions pour lesquelles on chipote, il y a les notions de respect et de dignité
de la personne, et je les vois bien absentes du débat.
Entre critiquer, se moquer et aller plus loin en blasphémant ( mettez le mot que vous voulez,
le résultat est le même : il y a insulte ou injure ), il y a une bonne marge dans laquelle s'engouffrent
certains athées pour rabaisser le croyant pratiquant.
Et je le redis : cela ne favorise pas le bien vivre ensemble et ne peut que créer et durcir des communautarismes
à ne pas respecter ce qui est sacré pour certains.
Du temps ( lointain ) où je vivais à Maisons-Alfort dans une cité, il y avait beaucoup de musulmans
et on se respectait et même on sympathisait bien plus que de nos jours,
sans doute parce qu'il n'y avait pas à cette époque autant de liberté, ou à minima on n'en abusait pas,
dans la verbalisation de propos " blaspématoires ". -
ayamé
@dryanaide : merci à toi pour cette vidéo : c'est toujours intéressant d'élargir les points de vue.
Il y est dit, à bien l'écouter, que les gladiateurs qui n'étaient pas d'élite étaient mis au ban de la société
et qu'ils perdaient en rang social ( donc un sort pas très enviable ).
Quant aux chances de survie mentionnées,dit l'auteur, elles sont au départ de 9/1 pour passer à 4/1 pour le perdant
puis au cours du 3e cycle de notre ère, de 3/1 et de 2/1 pour le perdant.
Il emploie aussi le terme de " carnages ".
Pour la mise à mort, l'empereur donnait au peuple le droit de la demander, ce qu'il faisait au cri de jugula, pouce tourné vers la gorge.
Conclusion : valait mieux être un gladiateur d'élite et être une star pour bénéficier de la clémence du peuple en cas d'échec...
tant qu'on est vu comme une vedette.
PM Veyne ne dit donc pas tant de bêtises que ça. -
ayamé
@leapierce : ok, historienne, mais est-elle spécialiste de la Rome antique comme PM Veyne ?
Bon, j'arrête là, je vais me faire traiter de super emmerdeuse sinon, mdr. -
ayamé
@peri a dit dans Droit au Blasphème en France :
J'ai insulté un concept, une idée
Quoiqu'il en soit, le résultat est que cela ne facilite pas le savoir vivre ensemble.
Je suis anti-cléricale, mais je ne m'autorise pas pour autant à insulter une religion,
ce qui ne m'interdit pas non plus d'émettre un avis critique sur certains dogmes et rites.
Froisser quelqu'un et le blesser en " blasphémant ", quel intérêt, quelles conséquences ?
Le bien vivre ensemble, pour eux dans le respect de nos valeurs laïques et pour nous,
dans le respect de leur foi qui doit rester dans la sphère privée me paraît important. -
ayamé
@leapierce : curieuse de nature, je suis allée voir les sources. Il s'agit de :
. Anne Bernet : une biographe, romancière et essayiste française.
Elle a notamment écrit de nombreux romans et essais historiques.
. Georges Ville : un agronome, chimiste et pharmacien français.
Perso, je me suis appuyée sur un vrai historien :
Paul-Marie Veyne qui est un historien français, spécialiste de la Rome antique. -
ayamé
@leapierce : ok, je n'ai pas vu. Quoiqu'il en soit, je fais confiance à l'historien Paul-Marie Veyne.
Mais pas de problème : on a le droit de ne pas être d'accord et la controverse fait partie de tout débat . -
ayamé
Le blasphème à mon sens, c'est quand une personne croyante outrage sa propre religion.
Mais cette idée doit-elle pour autant autoriser les non croyants à insulter et injurier une croyance ?
Une croyance dont la laïcité stipule bien :
" impartialité et neutralité de l'État à l'égard des confessions religieuses " :
une neutralité qui induit donc que l'on ne se permette pas d'insulter une foi et d'agresser un croyant.
Les violations de tombes juives : alors, blasphème ou pas ?
En tous les cas, atteinte inadmissible à la dignité des personnes et incitation à la haine.@allezsavoir a dit dans Droit au Blasphème en France :
J’aime la liberté mais quand on échange avec autrui c’est le respect qui prime à mon sens.
Du respect de part et d'autre et cela éviterait les durcissements que l'on observe,
dans un camp comme dans l'autre.
Il me semble autrement plus important de veiller à ce qu'aucune religion ne s'immisce
dans la sphère publique, un autre point de la laïcité.
Veiller donc à ne pas la laisser entrer, ne serait-ce que par le plus petit trou de souris. -
ayamé
@anonymelus : difficile de " rester à sa place " comme tu dis dans certaines circonstances.
L'être humain est faible, certes, et cela justifie qu'i soit pardonné pour certaines " fautes ".
Tu n'es pas sale : tu es humaine, comme tout le monde, et tu dois absolument te pardonner à toi-même.
Pardonner ne veut pas dire cautionner. Il s'est passé ce qu'il s'est passé, tu en tires la leçon,
mais de grâce, ne t'inflige pas pour autant la double peine : ça n'avancerait à rien de toute façon.
Allez jeune fille : redresse la tête, pour ton fils aussi qui ne mérite pas d'être lui aussi puni
en ayant une mère qui a perdu la joie de vivre. -
ayamé
@dryanaide : désolée, je ne suis pas convaincue, pour plusieurs raisons :
. quelles sont les sources sur lesquelles s'appuient l'auteur de cette vidéo ???
C'est facile de faire une vidéo pour amuser la galerie .
. est interviewé dans le lien que j'ai mis Paul-Marie Veyne qui est un historien français,
spécialiste de la Rome antique, membre de l'École française de Rome,
professeur honoraire du Collège de France. Il se permettrait de raconter des fakes ?
. la citation de Cicéron, qui vivait à cette époque, serait aussi un fake ?
Certes, les gladiateurs étaient volontaires ( pas tous quand-même comme dit même dans ta vidéo ),
il n'y avait pas systématiquement mise à mort mais assez souvent toutefois.
Nos avis sont diamétralement opposés, mais quelle importance, nous en avons le droit au nom
de la liberté d'opinion et d'expression à laquelle on veut encore croire. -
ayamé
@dryanaide a dit dans Que diront les historiens du futur à notre sujet :
Ils diront la même chose que nous quand on étudie l'Antiquité. Pour rappel, les Gladiateurs étaient les supers Stars de l'époque comme nos footballeurs aujourd'hui et ils avaient une vie plus enviable que la plupart des habitants de l'Empire Romain.
Une vie plus enviable ? Certes, ils étaient considérés comme des héros avec moult avantages,
mais sur le temps de leur courte vie seulement, car n'oublions pas que chaque combat se terminait
par la mort du perdant.https://www.lhistoire.fr/les-gladiateurs-ou-la-mort-en-spectacle
" Il y a évidemment maints exemples d’atrocités dans l’histoire.
Mais la gladiature avait ceci de particulièrement cruel qu’elle consistait à faire se tuer deux hommes volontaires pour en divertir d’autres.
L’H. : Comment le vaincu était-il tué ? Se laissait-il faire sans fuir ou sans tenter une dernière fois de se battre ?
P. V. : Il était égorgé par son adversaire. Et son point d’honneur était alors de rester digne et courageux devant son bourreau, de ne pas fuir la sentence du public, de ne pas montrer de crainte devant la mort et de se laisser abattre honorablement.
« Un gladiateur, même moyen, ne pleure pas , écrivait Cicéron, ne change pas de visage ; il reste ferme, il tend la gorge sans faiblesse » Tusculanes . Il se cachait simplement le visage avec son bouclier pour ne pas voir arriver le coup fatal. La chose passionnante, pour le public, était de contempler le vaincu attendant la sentence....
Mais ce qui était majoritaire, c’était la cruauté, la jouissance de voir le sang couler, de contempler un homme mourir.
Plaisir encore plus fort si le combat s’était prolongé."
Une vie plus enviable, vraiment ?