• ayamé ayamé

    @dryanaide : et que penser de la chanson de Nick Conrad :" pendez les blancs ".
    1er couplet : " Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs.
    Attrapez-les vite et pendez leurs parents. Écartelez-les pour passer le temps.
    Divertir les enfants noirs de tout âge, petits et grands. Fouettez-les fort, faites-le franchement.
    Que ça pue la mort, que ça pisse le sang. .Pendus aux arbres dans le vide sidéral.
    Que ces fruits immondes procurent un spectacle fascinant ".
    Je suis effarée. Heureusement, cette chanson a été supprimée de youtube.
    Mais elle a eu le temps d'être écoutée et d'imprégner certains esprits dérangés...

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  • ayamé ayamé

    @wolfen : bin moi, le hard rock, j'aime pas. J'ai aimé l'Ukraine pour ses sonorités originales.
    Quant à notre française : la classe ! A côté des autres nanas hyper strassées et hyper sexy, elle a dégagé du vrai.
    De l'Espagnol, j'ai aimé ses vocalises à la fin de sa chanson.
    J'ai aussi aimé le chanteur représentant la Suède, 19 ans le garçon :


    Et la Lithuanie aussi.

    On ne peut tous avoir les mêmes goûts musicaux .

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  • ayamé ayamé

    @moving : une bonne parenthèse que d'aller au parc . Ça fera du bien à tout le monde 🙂

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  • ayamé ayamé

    @moving a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :

    j’ai eu le malheur de lui dire avec certitude qu’on irait au parc aujourd’hui... GRAVE ERREUR.

    Pourquoi grave erreur ? Vous ne pouvez pas aller au parc aujourd'hui ?

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  • ayamé ayamé

    @bebetouxx : bien, les choses se précisent.
    . Tu dis : " impression d'être différente ". Tu sais, tu n'es pas la seule à la ressentir :
    qui n'a pas ressenti ce sentiment de solitude parce que les autres ne sont pas en phase avec soi-même ?
    De ce fait, on ne peut se confier qu'à de très rares personnes.
    . " Ils m’écoutent qu’à moitié et ils auront tout oublié le lendemain " :
    chacun a sa vie à mener, ses propres soucis et si on peut écouter ceux des autres, on ne peut pour autant les porter sur la durée.
    . A te lire, je comprends que tu as des choses sur le coeur dont tu as grand besoin de te soulager :
    certaines sont très intimes et si souffrantes pour toi que tu sens bien que tu ne peux les confier
    à n'importe qui. Tu as besoin de réponses, d'explications pour mieux te comprendre toi-même.
    Tu te demandes sûrement : pourquoi suis-je comme ça ?
    Il s'est peut-être produit dans ton enfance quelque-chose, même d'anodin, mais qui t'a blessée et tu l'as vécu
    comme un sentiment de " trahison ". ( Un jour, l'enfant découvre que ses parents ne sont pas des dieux
    qui peuvent l'aider et le soutenir à tout moment et il le vit comme une " trahison " au sens figuré ).
    Comme tu es hypersensible, pour te protéger, tu t'es barricadée derrière un mur de méfiance.
    Tu sais, beaucoup d'autres réagissent ainsi.
    . Comme tu es étudiante, tu as droit à du soutien psychologique pris en charge comme te le dit @icescream .
    Et tu peux aussi bénéficier en + de la sophro par le biais de la mutuelle.
    Des solutions existent : il ne faut pas hésiter à aller les chercher.

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  • ayamé ayamé

    @bebetouxx : explique mieux ta solitude : est-elle réelle ou est-ce un sentiment de solitude ?
    Sentiment de solitude ne signifie pas qu'il est moins pénible à vivre .
    Des gens pourtant entourés peuvent le ressentir.
    C'est même un malaise plus profond qui demande effectivement plus d'écoute.
    Tu dis : " depuis très longtemps "...depuis ton enfance ?
    Vois avec ta mutuelle si elle rembourse des séances de sophrologie : elle entre dans les soins remboursés.
    La sophro peut t'aider pour ton problème.

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  • ayamé ayamé

    J'ai beaucoup aimé l'Espagnol et il termine dans les 3 derniers, sniff.
    L'Ukraine m'a beaucoup plu aussi.

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  • ayamé ayamé

    @apis-32 : j'aime la blanche aussi en été, avec une rondelle de citron.
    Et l'ambrée, miam.

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  • ayamé ayamé

    @apis-32 ah tu aimes la bière aussi. Sur Millau, il y a un café qui propose des bières artisanales aveyronnaises : blonde, ambrée, brune, pas de racisme, ahaha.

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  • ayamé ayamé

    Voilà, merci @Lissilma et @bebetouxx : il est important de parler aussi des formes légère de la covid,
    lesquelles sont les plus nombreuses 😉 .

    @Kachina : avant de vacciner, il serait effectivement judicieux de faire la sérologie.
    Il doit y avoir quelques accidents, je pense, de personnes vaccinées dans la situation que tu décris,
    et qui font de mauvaises réactions, mais ça : on ne nous le dira pas !

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  • ayamé ayamé

    @humain-en-detresse : il y a une faille, non pas dans notre système, mais dans le système mondial.
    Une partie du problème se résoud par l'éducation : plus une femme est éduquée, instruite,
    moins elle fait d'enfants.
    L'autre partie est politique et économique : ce n'est certes pas avec l'ultra libéralisme qu'on va aider
    les pays pauvres qu'au contraire on exploite honteusement.
    Je rêve d'une vraie économie alter mondialiste qui redonnerait plus d'autonomie à ces pays et
    des moyens pour s'en sortir chez eux.

    posté dans Carte blanche En lire plus
  • ayamé ayamé

    @martin : j'en pense que ce n'est jamais avec du rejet qu'on résoud un problème !
    Martin Luther King n'aurait jamais voulu ça !

    posté dans Carte blanche En lire plus
  • ayamé ayamé

    @humain-en-detresse : t'inquiète, tout cela est digéré depuis plusieurs années maintenant.
    Je vis bien et sais profiter " en conscience " des bonnes choses de la vie 😉 .

    posté dans Présentations En lire plus
  • ayamé ayamé

    @humain-en-detresse a dit dans Vous en pensez quoi du flux et reflux des migrants :

    Rappeler moi la France quelle est sa devise

    Un petit exemple : avant, dans la ville où j'habitais, il y avait très peu de sdf , du coup,
    tout le monde ou presque donnait la pièce pour qu'ils puissent manger.
    Aujourd'hui, il y en a tant qu'on viderait son porte-monnaie en un rien de temps.
    Les restos du coeur voient le nombre de demandeurs augmenter drastiquement d'année en année.
    Forcément, arrive un moment ou le trop fait déborder la coupe.
    Pas de méprise sur ma pensée : je ne justifie pas le manque de " fraternité ".
    Je dis juste qu'à un moment, on ne peut porter toute la misère du monde sur nos seules épaules.
    Oui, elle était émouvante, cette image de ce Sénégalais dans les bras de cette jeune femme
    de la Croix Rouge ou de je ne sais plus quel organisme d'aide aux migrants.
    Mais combien en plus de lui, des centaines, avec la même détresse...
    On en fait quoi, qu'avons-nous à leur proposer ?
    Il y a eu la guerre du feu, nous en sommes à la guerre de l'eau qui provoque aussi des famines.
    C'est aussi un des aspects du problème qu'il ne faut pas occulter.

    posté dans Carte blanche En lire plus
  • ayamé ayamé

    Peu présente sur le site en ce moment, j'ai mon fils aîné en télé-travail chez moi, comme je vous l'avais dit
    ici-même, et c'est du bonheur en barre. Des apéros en " distanciel ", on passe à ceux en " présentiel ".
    Quand il sera parti, je me mettrai aux tisanes, ce ne sera pas du luxe, mdr.

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  • ayamé ayamé

    @humain-en-detresse : tout ce que tu dis évidemment me parle.
    Tu viens de me faire revivre ce qui a aussi composé une partie de ma vie professionnelle.
    J'ai fini ma carrière après 40 ans de bons et loyaux services comme toi, par un burn out.
    Pas de TS pour moi, mais je me suis pété sans accident pour l'expliquer 3 tendons de la coiffe des rotateurs d'une épaule.
    J'en avais trop lourd sur les épaules, dixit la psychosomatique.
    Tu dis : " désolé je suis remontée à bloc " : et bien, c'est une bonne chose, cela prouve que
    tu as encore un peu d'énergie, de force vitale pour lutter contre ce qui te tue à petit feu.
    Pour l'instant, ta colère est nécessaire. Après, grâce au travail psycho que tu fais,
    tu arriveras comme moi à faire la résilience de ce qui a tant fait souffrir.
    Je te souhaite de retrouver rapidement sérénité et joie de vivre, tu l'as plus que bien mérité.

    posté dans Présentations En lire plus
  • ayamé ayamé

    Qu'est-ce que la tristesse : " l'envahissement de la conscience par une douleur morale qui empêche
    de se réjouir du reste ( merci, mister Google ).
    Avec empathie, on va écouter celui qui répand sa tristesse sur soi mais l'on sait que nos mots
    ne lui permettront pas vraiment " de se réjouir du reste " : alors bien sûr, on en ressent un certain malaise.
    On espère que notre regard bienveillant permettra à cette personne, l'espace d'un instant,
    de ressentir un peu de réconfort.
    Mais comme dit leo, il y a cette notion de trop. Quand une personne nous inonde trop de sa tristesse,
    se produit l'effet domino : on se retrouve comme contaminé par sa tristesse, on la sent en soi
    s'attaquer à notre joie de vivre.
    C'est encore plus vrai quand la tristesse n'a pas de fondement bien déterminé, ce que Baudelaire nommait le spleen,
    ce mal de vivre que l'on ressent parfois parce qu'il fait partie intégrante de la condition humaine.
    Papa Freud l'associait à thanatos, la pulsion de mort, mais il y a en face eros : la pulsion de vie,
    qui réclame son dû de réjouissances.
    Alors non : la tristesse n'attire pas, au mieux tentons-nous de l'adoucir, mais si elle dure trop longtemps,
    il est légitime de vouloir la fuir, parce que c'est eros qui l'exige.
    Je ne vois pas cela comme de l'individualisme, mais juste comme la nécessaire préservation de soi,
    de l' intégrité du moi qui aspire à s'épanouir et non à s'étioler : tel est le but de la vie, non ?

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  • ayamé ayamé

    @humain-en-detresse : comme toi, infirmière et ayant travaillé plusieurs années en soins palliatifs.
    Ces morts-là, perso, je les ai vues comme des libérations parce qu'il n'y a rien de plus pénible à vivre
    que l'agonie : avec son lot de souffrances, de détresse, de solitude.
    Voilà pourquoi je suis pour le droit de mourir dans la dignité, comme on dit pudiquement.

    Pour la mort de ceux qui nous ont été très proches, c'est le caractère irrémédiable qui nous est
    insupportable, c'est ce vide qu'ils laissent dans notre coeur que personne d'autre ne peut combler
    qui fait qu'une petite partie de soi est partie avec la personne dcd.

    Peur de la mort ? Que de celle de mes enfants si elle survenait avant la mienne, parce que cela
    n'est vraiment pas dans l'ordre des choses...tant de choses sont absurdes dans notre vie humaine,
    à cause de tous les pourquoi qui n'ont pas et n'auront pas de réponse de notre vivant.

    Ce qui est curieux, c'est que nous les humains, comme pour défier la mort, nous avons ce que l'on appelle
    des conduites suicidaires : tabac, alcool, mises en situation dangereuse...

    Il ne faut pas laisser la mort pourrir trop longtemps nos pensées, je vois ça comme une offense à la Vie
    et comme le titre du livre de Monique Brossard-Le Grand, j'ai juste envie de dire :
    " Chienne de vie, je t'aime! " 🙂

    posté dans Sciences Humaines et Sociales En lire plus
  • ayamé ayamé

    @delnis : quand j'ai changé de voiture, j'avoue que le duster me plaisait beaucoup :
    mais comme tu le précises, il n'est pas fait pour conduire le plus souvent en ville, d'autant que
    je suis souvent seule ou avec mes chiens, de petite race ( des jacks russell ) qui sont ravis
    sur la banquette arrière.
    Sinon, je vais chez mon père 1 fois/mois , à 250 kms de chez moi : ma C3 fait bien le job.
    Avant la C3, j'avais un berlingo : j'ai adoré cette voiture.

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