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ayamé
@icescream a dit dans Les aventures de Covid-19 dans le monde... :
le variant Delta nécessite 2 injections
Covid et ses petits nécessitent tous 2 injections avec une efficacité 2 semaines après la 2e.
Le gouvernement allège parce qu'il sait que s'il ne le fait pas, ce sera la révolution en + des fêtes sauvages.
L'été dernier, la contamination avait fortement baissé. Une donnée qui a peut-être joué dans les décisions prises.
Peut-être aussi pour inciter les derniers réfractaires à se faire vacciner. Ils seraient 44%.
20% de trop pour obtenir l'immunité collective. -
ayamé
@hornet : je le sais bien, je disais ça pour taquiner @Ronchon .
Il va apprendre la patience, c'est positif :). -
ayamé
@hornet : oh pitié, files lui la clé, on aime notre ronchon comme il est, mais 6x + casse-burnes...va t-on pouvoir l'encaisser ?
J'dis ça, j'dis rien, moi, je n'ai pas de burnes, je pense aux copains ;).
Et puis, oblige-le à nous montrer sa tronche : donnant-donnant, qu'on voit à quoi ressemble un casse-noisettes de 1ère ;). -
ayamé
@icescream : il y eut une période pas si lointaine où la tolérance avait progressé.
Et puis voilà : le soufflé retombe ! Comme montent de façon inversement proportionnelle
toutes les idées de l' extrême droite : contre les juifs, les homos et les trans, etc.
D'autres tout simplement les rejettent, parce qu'ils ont peur de ce qu'ils ne connaissent pas
et voient en eux un danger, une menace.
Ceci dit, c'est dans les " petits villages tranquilles " que l'attachement aux a-priori et
aux anciennes valeurs judéo-chrétiennes est le plus prégnant. Ceci explique cela. -
ayamé
@kallindra : je te comprends. Perso j'aime bien parce que cela m'évite d'écrire infirmiers et infirmières.
Maintenant, ne mettre qu'au masculin les pluriels ne me dérange pas , ce n'est pas sur ce détail que j'accuse le sexisme ;). -
ayamé
@marie-thérèse : je ne peux qu'être dacodac avec toi, merci pour l'article :), et en tant qu'infirmière,
je peux te dire que celui des infirmier.e.s est archi nul aussi !
Bon, il faudrait travailler à les améliorer pour qu'ils soient vraiment d'utilité publique ! -
ayamé
@dirty-cop : normal, l'être humain est incroyablement complexe et compliqué.
Faudrait qu'on imite nos cousins les singes : on aurait plein de problèmes en moins :))).@Sylareen : j'apprécie ton com. Perso, je n'ai aucun problème à voir l'autre comme non déterminé,
parce que je le vois avant tout comme un être humain avant de voir son genre.
D'autant plus quand il s'agit d'amitié et non de possible aventure amoureuse.
Oui, l'avis d'un non-binaire nous éclairerait bien. -
ayamé
@marie-thérèse a dit dans Les aventures de Covid-19 dans le monde... :
l' autorité éthique et morale
que tu évoques existe : elle s'appelle " Conseil national de l'Ordre des médecins ".
" Le Conseil national de l'Ordre des médecins est un organisme professionnel, administratif et juridictionnel de défense
et de régulation de la profession médicale ".
Il en existe un aussi pour les infirmier.e.s ( perso, j'aime bien cette forme d'écriture inclusive ).
" Créé par la volonté du législateur le 21/12/ 2006, il contribue à promouvoir la santé publique et garantit
à nos concitoyens le respect de la déontologie de la profession, le maintien d'une qualité de services et une efficacité
de la chaîne de soins auprès des populations ". -
ayamé
@sylareen : ce gars dont je parle a réussi à accepter son manque de virilité et à comprendre
que cela pouvait aussi faire partie de son charme.
J'entends ce que tu dis ( oui, je prends le temps de bien lire et d'analyser ).
Dans le fond, je le comprends même. Mais il n'en demeure pas moins une question de taille : le sexe.
Très intéressant, ton propos sur la non-binarité, un état bien différent de celui des trans qui soulève
de ce fait d'autres questionnements et d'autres problèmes.
Le sexe, ce petit organe caché qui plus est, qui ne sert pas qu'à la reproduction, ne peut en aucun cas être binaire, lui
et il va toujours poser problème dans la perception que quelqu'un a de sa non binarité.
Qu'on le veuille ou pas : il est soi M, soit F et on ne peut inclure sur une CNI la case :
sexe neutre en plus de celles M ou F.
Le langage étant genré, comment dire à ces personnes : tu es beau, tu es belle ?
Le psy que j'ai évoqué n'a en rien cherché à l'influencer quant au choix, il l'a juste aidé à mieux cerner son complexe, de là,
à le dépasser, et c'est le patient qui a lui-même fait le travail d'acceptation.
Sa pseudo non-binarité n'était qu'un moyen de défense contre son mal-être.
Pseudo et malgré tout, tout autant respectable pour la souffrance qu'elle a occasionnée.
A signaler : ce gars dont je parlais n'avait aucune sexualité actée, ni avec filles, ni avec garçons.
Il vivait sa libido autrement que par le biais de ce sexe qui fait couler beaucoup d'encre, à plein de niveaux ;). -
ayamé
@icescream a dit dans Les aventures de Covid-19 dans le monde... :
Pour ce qui est l'hydroxycloriquine il y a quand meme eu moults essais réalisés de par le monde mais ils ne semblent pas avoir été probant jusque la.
Ils l'ont été, mais sur un trop petit nombre de patients. Il aurait fallu l'étendre à plus de monde, et c'est
à ce moment-là, comme par hasard, que l'interdiction de l'utiliser est tombée.
Tu vois, ce sont toutes ces réactions gouvernementales en dépit du bon sens qui me dérangent fortement.
Ils pondent des lois et ne les appliquent ou les traficotent qu'au gré de conjonctures dont les tenants
et aboutissants ne sont pas clairement expliqués...
Pas étonnant donc que des gens doutent et que certains en deviennent complotistes : le grand mot à la mode, mdr. -
ayamé
@icescream : mais vous le faites exprès ou quoi ? J'ai parlé d'essais encadrés, avec des protocoles bien explicites, ceux définis par le cadre de la loi. Faut bien me lire et ne pas déformer mes propos ;).
Pour mémoire, ma phrase : " leur appliquer les mêmes protocoles que pour tout autre médicament, les procédures sont connues et éprouvées." -
ayamé
@peri : pour tout nouveau traitement quel qu'il soit, on le teste d'abord sur un panel d'individus
avant de l'étendre à l'ensemble de l'humanité. C'est la règle.
Je ne vois donc pas en quoi c'est complexe de faire pareil avec Hydroxychloroquine et Ivermectine :
leur appliquer les mêmes protocoles que pour tout autre médicament, les procédures sont connues et éprouvées.
Encore une fois : pourquoi 2 poids-2 mesures ?
" demander aux médecins et patients qui le souhaitent de jouer les apprentis sorciers " :
ptdr, c'est pourtant ce qu'il se fait pour tout nouveau médicament.
Les volontaires sont même rémunérés pour servir de cobayes. Allons, tu ne l'ignores pas quand-même. -
ayamé
@leo : " Il y a un 'terrain' de questionnement préalable et la plupart n'iront pas jusqu'à une transition complète. Mais c'est en ce cas plus un désir qu'un besoin.
J'ai dit, et c'est TRES différent que la plupart des trans ont été travesties ".Pfiouh ! Je n'ai pas tout lu de vos débats, ils me donnent mal aux cheveux !
J'ai juste envie de rebondir sur les phrases de Léo ci-dessus mentionnées.
A l'hosto où j'ai bossé, j'ai eu un patient qui était exactement dans ce cas-là : désir et non besoin
de devenir une femme parce qu'il n'arrivait pas à renoncer définitivement à son statut d'homme.
Du coup, il se travestissait, portait les cheveux longs et prenait des hormones, sachant que tout cela
n'avait rien de définitif et était réversible.
Ainsi, il reprenait une allure masculine de temps en temps et de ce fait, ne pouvait envisager l'étape
de la transition complète. Il était dans une terrible ambivalence.
Que penser de ce garçon ? Désir d'originalité ou trouble de la personnalité ?
Le psy qui s'occupait de lui l'a aidé à comprendre ses vraies motivations et à arriver à faire un choix
libre et assumé. Résultat : il a préféré rester un mec, assumant alors le fait que le fond de son problème
était de ne pas être assez viril ( corps, voix, traits du visage, gestuelle, etc). -
ayamé
@peri : j'aurais dû écrire " volontaires " en gras. Je dis juste qu'on laisse les médecins et les patients
qui le souhaitent poursuivre les essais, aucune obligation pour ceux qui ne veulent pas bien entendu.
Donc oui, c'est simple. -
ayamé
@icescream: absolument, et c'est bien pour les patients hospitalisés que des traitements
comme Ivermectine sont nécessaires et sauveraient beaucoup de monde, comme le stipule @Delnis .
Mais pas en le donnant 8 jours après, mais dés les débuts de la maladie !
Personne ne m'enlèvera de la tête ce que je pense au sujet des magouilles et de l'influence exercée
par les grands lobbyings pharmaceutiques sur les décisions politiques.
Je souhaite ardemment que les politiques laissent les médecins et les patients volontaires continuer
les essais avec Ivermectine et autres molécules afin de soigner, mais aussi dans la foulée ,
de faire avancer les recherches et les adaptations qui s'avèreraient bénéfiques.
Merde, cela fait partie de la liberté de prescrition du médecin et du consentement éclairé du patient !
A quoi servent les lois si elles ne sont pas appliquées, hein, mon bon monsieur ? -
ayamé
@icescream : le mot traitement signifie : ensemble des moyens mis en oeuvre pour favoriser la guérison.
Ces moyens ne sont pas que les médicaments. On parle bien de traitement chirurgical par exemple.
Le vaccin n'est pas un traitement au sens curatif du terme , tu as raison.
Mais il est bien l'un des moyens qui permet de guérir plus vite si on attrape quand-même la covid.
Donc @Marie-Thérèse a aussi raison de le voir comme un traitement préventif.
Bref, vous avez raison tous les 2.
" Si le vaccin etait un traitement, il suffirait de l injecter aux personnes en réa pour les guérir"
Même des traitements efficaces ne le sont pas à 100%. Exemple : les antibiotiques confrontés aux résistances. -
ayamé
@icescream : désolée, garçon, au-delà des apparences, il y a ces questions tabou :
pourquoi 2 poids-2 mesures ? Pourquoi avoir arrêté les essais avec Hydroxychloroquine et Ivermectine alors que leur efficacité se montre
et leurs potentiels effets secondaires bien moins graves que ceux de Remdésivir ? Pourquoi cette omerta ?
Ta pneumologue ne se les pose pas ? Je connais des médecins qui se les posent.
Ils savent très peu de choses, mais ils en savent au moins une : des efforts pourraient être portés sur les traitements
et pas seulement sur les vaccins. L'un n'empêchait pas l'autre, alors pourquoi ce refus ?
Il est utile de regarder par le petit bout de la lorgnette aussi.
Pour ma part, j'arrête là le débat, on tourne en rond ;). -
ayamé
@icescream a dit dans Les aventures de Covid-19 dans le monde... :
Quant au Pérou, la pauvreté a interdit à combien de gens d'être soignés avec Ivermectine ?
Ben quelques posts au dessus c était censé être pas cher ?!J'aime bien quand tu fais l'idiot que tu es loin d'être
.
Ivermectine n'est pas chère pour nous ( 20-25 euros le traitement complet ), mais pour
les pauvres du Pérou, c'est cher quand on sait que leur smic est de 230 USD soit 190 euros.
@Delnis a mentionné les bons arguments ci-dessus.
Pourquoi empêcher des essais avec Ivermectine et dans le même temps, donner l'AMM au Remdésivir
sans essais sérieux au préalable ? Pourquoi 2 poids-2 mesures ?
Ça interroge tout de même, non ? Réponse : l'une n'engraisse pas Gilead et consorts, l'autre oui. -
ayamé
@icescream a dit dans Les aventures de Covid-19 dans le monde... :
Tous les pays ne vont pas dans la meme direction
Depuis novembre 2020, l'OMS ( organisation MONDIALE de la santé ) déconseille Remdésivir.
Mais il reste du stock puisqu'il fut rapidement déconseillé après sa mise sur le marché.
Fin octobre, Gilead avait annoncé que le remdésivir lui avait déjà rapporté près de 900 M$ au 3e trimestre.
Mais ce stock, faut bien l'écouler et les poches de ces gens-là ne sont pas encore assez remplies.
Quant au Pérou, la pauvreté a interdit à combien de gens d'être soignés avec Ivermectine ?
On ne nous dit pas tout ! Théorie du complot ? Tiens, ici aussi, je reprendrai bien du fromage :))). -
ayamé
@icescream : je viens de lire ton 1er lien.
" Suggérant une utilisation modérée d'autres médicaments comme le Remedesivir et le Tocilizumab, la directive conseille de n'utiliser
le premier que chez certains patients Covid-19 hospitalisés modérément/gravement sous oxygène d'appoint dans les 10 jours
suivant le début de la maladie ".
Remdésivir est maintenant interdit en France et en Europe car on sait qu'il est hautement toxique et parfois mortel !
Et en Inde, ils le prescrivent quand-même ???
J'en pense qu'il y a anguille sous roche, vi, je suis une complotiste ;).