Messages postés par ayamé

@cygoris : c'est frais et joyeux. Et que dirais-tu de quelque-chose de plus sensuel ?

J'ai bien une autre phobie en plus de celle liée au vertige : me retrouver avec des gens, en avoir marre et envie de partir et ne pas pouvoir le faire. Devoir supporter cette situation jusqu'au bout, c'est pour moi une torture.
Ça me fait penser à " Huis clos " de Sartre. " L'enfer, c'est ( parfois ) les autres ".
Cette situation heureusement est exceptionnelle. Je ne fréquente que des gens avec lesquels je suis sûre de ne pas souffrir de promiscuité .

@cygoris a dit dans Que regardez-vous à la TV maintenant ? :

Mais je ne pense pas voir la suite.

Je m'étais fait la même réflexion. Mais je crois que je regarderai la suite, parce que je n'aime pas rester sur de l'inachevé, et pour Virginie : le plaisir des yeux .

@cygoris : j'ai regardé. J'ai trouvé que les réactions de certains personnages n'étaient pas crédibles, par ex : long silence et visage inexpressif pour enfin dire : " c'est bien toi ? tu es revenue ! " là où une expression de stupeur aurait été nécessaire.
Sinon, qu'elle est belle, Virginie Ledoyen : elle porte la série .

@plume : je pense plutôt qu'il y a eu confusion entre tes trouious ( ce mot me plaît beaucoup ) et les grosses poches d'air dues à l'absence de dégazage .
@Marie-Thérèse nous confirme que même sans l'opération de dégazage, son pain n'a pas ce problème, mais a t-il une mie aérée, il faut qu'il nous le dise .

@marie-thérèse : la question de @Plume voulait dire : est-ce que la mie est aérée ?

@jool a dit dans L'horoscope Gorafi :

Lion : Vous profiterez du retour du soleil pour vous pavaner avec vos petites lunettes de soleil de connard. Calmez-vous.

Petites lunettes, ça risque pas. Elles ne protègent pas une zone suffisamment étendue.
Et puis, de connard ? De toute façon, on est toujours le connard de quelqu'un, alors, never mind !

@myra-flore : je testerai ta recette avec ma farine, que de la T80 pour moi (pour mes pâtisseries aussi d'ailleurs ).
Comme @Plume, j'aime pétrir à la main, mais bon, on s'en passera .

@pompon : teste cette méthode, on ne peut juger de ce que l'on ne connaît pas et tu verras bien
si le résultat est satisfaisant pour toi.

@apis-32 : la contagion se manifeste entre 3 et 10 jours après le contact. Il te faut te retester dans quelques jours.
Ceci dit, tous les contacts ne sont pas contaminants, tu as de bonnes chances de passer au travers.

@Plume-de-phénix cherchait le mot pour désigner l'objet que l'on voit en 1er sur la photo, le rideau de porte.
Il n'a pas précisé si, dans sa nouvelle, il y a une vraie porte derrière ou pas .
Avec toutes nos propositions, il choisira celle qui convient le mieux à son histoire et à son propre style d'écriture .

@marie-thérèse : j'espère que les gens s'en souviendront ( entre autres choses de son bilan ), au moment de voter !

@pompon : j'ai choisi de voir le verre à moitié plein, parce que c'est bon pour ma santé physique et psychique, et ma foi, je le trouve très bon, ce demi-verre .

@vi-king : vieillir, c'est devoir certes renoncer à certains plaisirs, certaines passions, mais en découvrir d'autres.
Et quitte à vieillir, puisqu'il le faut, s'entretenir pour garder la meilleure forme possible.
C'est proche de la retraite que j'ai découvert qi gong et taï chi : ça me fait un bien fou .

J'aime beaucoup cette chanson-là :

Allez, pour le plaisir, en live au stade de France :

“J’aurais pu dire : Vieillir, c’est désolant, c’est insupportable, C’est douloureux, c’est horrible, C’est déprimant, c’est mortel.
Mais j’ai préféré « chiant ». Parce que c’est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste.
Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira.
Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance. On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.
On était bien dans sa peau. On se sentait conquérant. Invulnérable. La vie devant soi.
Même à cinquante ans, c’était encore très bien…. Même à soixante.
Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.
Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps, j’ai vu le regard des jeunes…..
Des hommes et des femmes dans la force de l’âge qui ne me considéraient plus comme un des leurs,
même apparenté, même à la marge.
J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard.
Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables.
Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans l’apartheid de l’âge.
Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants.
« Avec respect », « En hommage respectueux », « Avec mes sentiments très respectueux ».
Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ? Les cons !
Et du ‘cher Monsieur Pivot’ long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !
Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien.
Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve.
Rêver, c’est se souvenir, tant qu’à faire, des heures exquises. C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.
C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve. La musique est une drogue douce.
J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant soit l’Adagio du Concerto n° 23 en La majeur de Mozart,
soit, du même, l’Andante de son Concerto n° 21 en Ut majeur,
musiques au bout desquelles se révéleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au-delà.
Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement.
Nous ignorons à combien se monte encore notre capital. En années ? En mois ? En jours ?
Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.
Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.
Après nous, le déluge ?… Non, Mozart.”

Extrait du livre Les Mots de ma vie, de Bernard Pivot.
Conclusion : le temps qui passe est une douleur quand on le subit mais un bonheur quand on en jouit.

@plume-de-phénix : ta photo m'a donné envie d'écrire quelques lignes plutôt que de mettre comme ça, tout sec, le mot que tu cherchais. .

@plume-de-phénix : une porte en bois sombre mais garnie d'un rideau de bambou aux couleurs vives qui donnait vraiment envie de le franchir pour entrer dans l'établissement.
Il laissait présager d'y trouver à l'intérieur un décor tout autant exotique .

Olivier Veran a dit aujourd'hui sur France Info que pass sanitaire et vaccinal finalement ne servaient à rien. Le gouvernement osera t-il juger nécessaire de réintroduire le pass vaccinal un de ces 4 après avoir avoué son manque d’utilité ? Affaire à suivre.

@ragnar : on ne le dira jamais assez vu comme ces problèmes durent et perdurent .

@cynthia80 : oui, j'avais lu cette info qui m'avait un peu inquiétée.
J'ai chat et chiens qui dorment avec moi ( vi, j'ai pas d'homme à demeure, faut bien que je compense pour me réchauffer ).
Donc, proximité étroite : ils ont été dans les 80% de non contaminés quand j'ai eu le covid, ouf .