@jabba-the-hutt a dit dans Emmanuel Macron : quinquennat n°2 :
Et Juan Branco n'est pas quelqu'un de sérieux.
Je ne sais pas pourquoi tu cites ce monsieur, je ne l'écoute pas perso.
@jabba-the-hutt a dit dans Emmanuel Macron : quinquennat n°2 :
Et Juan Branco n'est pas quelqu'un de sérieux.
Je ne sais pas pourquoi tu cites ce monsieur, je ne l'écoute pas perso.
@jabba-the-hutt : l'info que j'ai postée = si la constitution est changée, le changement pour un septennat remet donc les compteurs à zéro, je l'ai lue quelquepart, je ne sais plus où.
Info ou intox ? La chose ne me paraît pas improbable...
@shanna : je n'aime pas les non-dits, alors, je règle tout au fur et à mesure.
Et s'il reste des secrets, c'est donc qu'ils sont insignifiants et qu'ils ne méritent pas d'être révélés.
Post mortem ? Vacherie si la révélation serait douloureuse pour les proches.
Je ne pourrais pas partir l'âme sereine.
Tiens, ça me fait penser au film " sur la route de Madison "
.
@baladou : on dirait un oeil de chat. En tout cas, c'est magnifique.
@jabba-the-hutt : certes, sauf si la constitution est changée et le changement pour un septennat remet donc les compteurs à zéro.
Macron, à n'en pas douter, admire Poutine qui lui sert de bel exemple !
@mai-tai : désolée, je ne me le sens pas. Il faut entre 6 et 12 participants, c'est bon, vous avez largement le compte
.
@pompon : il est d'usage de citer nos sources ou les auteurs dont on cite des phrases. De qui donc est ce poème ?
J'étais en train de lire quelques histoires " morales " que j'ai mises dans mes favoris et je suis tombée sur celle-ci .
Un fils alla visiter sa mère de 85 ans dans un EHPAD pour l’amener se promener en campagne.
À leur départ de sa chambre, il remarqua qu’elle avait oublié sa cane. " N’oublie pas ta cane, maman!» dit-il.
Elle le regarda d’un air sévère et dans des termes sans équivoques, lui expliqua que ce n’était pas une cane, mais un bâton de marche. " Quelle est la différence, demanda le fils. Elle répondit :
" Une cane, cela évoque un handicap. Un bâton de marche, cela évoque une capacité. Je suis capable ! " (Mike Moore) 

@jool a dit dans L'horoscope Gorafi :
Lion : Flirt avec un fétichiste des pieds qui insistera beaucoup pour que vous ne les laviez pas de la semaine. Faîtes-lui plaisir, il n’a pas une vie facile tous les jours.
C'est ok à condition qu'après, il me les lave amoureusement puis les masse, voire plus
.
@pompon : t'es un marrant, toi, vous vous tenez tous le bras
.
@plume : exact, sous forme d'apparts indépendants pour chaque famille, la classe et le luxe
.
@pompon : il s'agit de l’arbre-oiseau « arburacellu » qui est un chêne liège âgé de plus de 200 ans. Il se trouve au-dessus de Ghisonaccia, en Corse du Sud.
Et celui-là, en forme de tortue est tout aussi étrange.

Et celui-là, qui est-il ?

@lu-a-lu et @Mai-Tai : vous m'avez convaincue, les filles, je viens de le commander d'occase chez recyclivres, j'ai eu de la chance, c'était le seul exemplaire dispo.
@iris-0 : tout dépend de ce que l'on entend par soucis. Sinon, j'en pense qu'il est sain qu'un ado fasse des crises : c'est ainsi qu'il affirme sa personnalité, se forge le caractère et commence à prendre de l'indépendance d'esprit ( pour commencer ).
( Ça commence vers 3 ans avec les crises d'opposition et l'usage abusif du non
).
Dire : " je n'ai pas eu de soucis avec mon ou mes ados "...il vaudrait mieux dire : je n'ai pas eu de gros soucis avec.
Tous les cas de figure se voient : des ados qui piquent de grosses colères, mais qui ne posent pas de problèmes particuliers en dehors de ça.
Ds ados bien calmes, mais dont ça bouillonne à l'intérieur et qui un beau jour pètent un câble sans que l'on ne voit rien arriver ou presque.
@jean : autres temps, autres moeurs. On ne peut comparer ce qui n'est pas comparable.
De nos jours, on parle des adulescents ( mot-valise (contraction d'adulte et d'adolescence) qui désigne le prolongement de l'adolescence en dépit de l'entrée dans l'âge adulte ).
Je ne les critiquerais pas : les perspectives d'avenir pour eux, dans notre société actuelle qui est bien différente de celle que tu as connue ( et moi aussi d'ailleurs), que ce soit dans le domaine professionnel ou privé, ne sont pas réjouissantes pour beaucoup d'entre eux.
Logique voire légitime qu'ils veuillent se réfugier tant que c'est possible dans cet état presque de grâce où ils peuvent encore jouir de la ( l'insoutenable ? ) légèreté de l'être. Après, c'est cuit et ils le savent
.
@leapierce a dit dans Le ras-le-bol des femmes :
Le harcèlement se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique.
Tu as tout très bien dit : notion de violence et de répétition.
Un compliment n'est pas vécu comme harcèlement, un propos graveleux oui.
S'il ne se produit qu'occasionnellement, on se dira : il ( ou elle ) est lourdingue.
S'il se reproduit, ça devient lourd à supporter.
@sylareen : j'aime avoir du poids sur moi, c'est vrai que ça a un côté rassurant, protecteur.
En été, je me contente d'un drap, parce que rien, bin vi, il me manque quelque-chose.
Une question à @Barbouille : ces couvertures sont-elles chaudes ? Par dessus la couette, ne se sent-on pas comme dans une étuve ?
@zazoute : j'avais un piercing sur une narine ( un petit diamant discret ). Pas douloureux à la pose, mais hélas, mon corps ne s'y est jamais habitué : rougeur permanente et lègère douleur. J'ai fini par l'enlever, au bout de plusieurs semaines.
C'était sur la narine gauche, peut-être aurais-je dû tenter l'expérience sur la droite...