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" J'ai vu à Saint Lazarre une dame de 88 ans qui a travaillé toute sa vie, qui pleurait : aidez-moi à manger. Jamais on baissera les bras, on est des gaulois, j'suis pas un casseur, suis un gilet jaune ".
Le feu de la colère n'est pas prêt de s'éteindre et c'est tant mieux.
Sur une pancarte à Nantes : " « Monsieur le Président, il suffit de traverser la rue pour entendre qu’on ne veut pas de la réforme des retraites ». Traverser la rue : on n'oublie rien de tous ses propos méprisants !