• S'inscrire
    • Se connecter
    • Recherche
    • Catégories
      • Communauté Actualité Cinéma Jeux Lectures Médias Musique Quotidien Séries Société
    • Récent
    • Mots-clés
    • Utilisateurs
    • Groupes
    1. Accueil
    2. ayamé
    3. Meilleur sujets
    • Profil
    • Abonnements 8
    • Abonnés 14
    • Sujets 47
    • Messages 9609
    • Meilleur sujets 5065
    • Contesté 25
    • Groupes 0

    Meilleurs messages postés par ayamé

    • Changer l'eau des fleurs

      Née à Gueugnon en 1967, Valérie Perrin est une photographe, scénariste et écrivaine.
      Elle travaille aux côtés de son mari, le réalisateur Claude Lelouch (1937).
      Son 1er roman, « Les oubliés du dimanche » (2015), a reçu de nombreux prix.
      En 2018, elle a reçu le prix Maison de la Presse pour son 2e roman : « Changer l’eau des fleurs ».

      Un roman de 664 pages en livre de poche, mais qui se lit comme qui rigole.
      Car Violette, l'héroïne, un ptit bout de femme très ordinaire, nous autorise à rentrer dans sa vie et même dans sa peau.
      Du coup, on n'est pas seulement témoin, on se fond en elle pour ressentir ses émotions, des douces et des mélancoliques aussi, mais comme je l'ai dit : sans pathos, sans dolorisme.
      On vit sa vie pas si facile, tellement humble, et au-delà, on se laisse porter par sa formidable énergie de vie.
      Les autres personnages du roman, ce pourrait être nous aussi tant leurs histoires, leurs secrets,
      leurs interrogations et toutes les petites choses de la vie pourraient être les nôtres.
      Il ne faut pas se fier au titre : un peu cucu la praline, on peut le dire, et ne pas croire qu'il s'agit d'un feel-good
      ( = pour se sentir bien ). Non : c'est un roman qui parle non seulement de la mort et de la perte d'êtres chers,
      mais bien plus de la vie, la vie quand-même belle à vivre.
      Ce livre est comme un pansement sur nos blessures, un doux coup de pied au cul pour nous faire avancer
      quand on sombre dans le pessimisme, et la démonstration qu'il y a du bonheur dans les petites choses de la vie.

      Avis de j'sais pas qui : " Gardienne de cimetière ? A priori pas folichon… Mais ce livre rayonne d’humanité.
      Violette est l’élément qui dédramatise la mort et la vie par la même occasion. Elle est là, elle vous écoute, elle est humaine.
      Et pourtant sa vie est parfois à pleurer ! Elle nous fait du bien, nous pousse à faire un pas après l’autre,
      à croire au positif et en l’avenir. Et il n’y a pas de mélodrame, pas de tristesse même s’il y a des drames.
      La vie est faite de rencontres, de coïncidences, de choix, de croisements…
      Saisissez les occasions d’etre heureux quand elles passent… Et pour croire en la vie, les petits plaisirs simples,
      les amis, la chaleur humaine, les livres, la compagnie des animaux, la nature…"

      Un extrait : " Que veux tu que je devienne si je n’entends plus ton pas, est-ce ta vie ou la mienne qui s’en va, je ne sais pas.
      Le sang des vignes de Porto. Je ferme les yeux. Et je savoure. Une seule gorgée suffit à égayer ma soirée.
      Deux dés à coudre parce que j’aime l’ivresse mais pas l’alcool.
      Mais comme je n’ai jamais eu le goût du malheur, j’ai décidé que ça ne durerait pas.
      Le malheur, il faut bien que ça s’arrête un jour.
      Moi, il n’y a qu’une étoile que je voulais attraper : la bonne.
      C’est sans doute pour cela qu’il y a des épitaphes plein les cimetières. Pour conjurer le sort du temps qui passe.
      S’accrocher aux souvenirs...."

      Comme un bonus, il y a une petite phrase au début de chaque chapitre, par exemple :
      Ch 4 : " L'être est éternel, l'existence un passage, la mémoire éternelle en sera le message ".
      Ch 53 : " ne pleurez pas ma mort, célébrez ma vie ".
      Ch 57 : " le destin a fait son chemin mais il n'a jamais séparé nos coeurs ".
      Ch 69 : " rien ne peut la faner, rien ne peut la flétrir, cette charmante fleur se nomme souvenir .

      Voilà : vous l'ai-je bien vendu ? Perso, j'achète beaucoup de mes livres en version livre de poche pour quelques euros,
      pour pouvoir en acheter plus 😉 .

      changer l'eau des fleurs.jpg

      posté dans Littérature
      ayamé
      ayamé
    • RE: Quelles sont les qualités d’un bon président ?

      Un bon président, c'est celui qui se rappelle que démocratie signifie aussi que l'on n'ignore pas
      les minorités politiques et qu'il n'est pas interdit d'accepter leurs idées quand elles sont valables.
      Mais pour ça, il faut avoir assez d'humilité...

      posté dans France
      ayamé
      ayamé
    • RE: La chanson engagée

      L'un de mes chanteurs préférés, qui m'émeut jusqu'aux tripes avec ses chansons.
      Beaucoup ont été à l'époque censurées sur les antennes.
      Jean Ferrat, chanteur engagé, censuré -

      -
      Jean Ferrat - Ma France ( 1969 )-
      -
      " Picasso tient le monde au bout de sa palette. Des lèvres d'Éluard s'envolent des colombes.
      Ils n'en finissent pas tes artistes prophètes de dire qu'il est temps que le malheur succombe......
      Leurs voix se multiplient à n'en plus faire qu'une, celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs
      En remplissant l'histoire et ses fosses communes. Que je chante à jamais celle des travailleurs. Ma France ".

      posté dans Parler Musique
      ayamé
      ayamé
    • RE: Les croisières

      J'ai fait une croisière sur le Nil, pas sur un paquebot comme ont fait mes parents, mais sur une felouque pour 6 personnes. Nous étions un groupe de 12, il y avait donc 2 felouques. Ce fut un voyage dans le style que décrit @Mai-Tai : détente, paysages, visites diverses et variées. J'en garde un souvenir inoubliable. J'ai hélas perdu mes photos pour vous en montrer quelques-unes 😞 . J'avais fait entre autres la même photo de coucher de soleil que @wawa007 .

      posté dans Sorties - Voyages
      ayamé
      ayamé
    • RE: La vaccination et vous

      @ytica et @Etiquator : il faudrait que toutes les personnes victimes ou leurs proches portent plainte,
      qu'un collectif soit créé comme pour le Médiator afin que tous les effets secondaires recensés
      soient enfin reconnus et non vus comme des fakes.
      Je sais qu'il y a déjà quelques plaintes portées devant les tribunaux, mais combien ?
      C'est soigneusement caché. Dans combien de temps encore, combien de victimes faudra t-il
      pour que la vérité soit mise au grand jour ?

      posté dans Bien-être
      ayamé
      ayamé
    • RE: Partagez tout ce que vous voulez

      @marie-thérèse : les pavés ont été utilisés lors des grandes manifs de mai 68 😉 .

      posté dans Carte blanche
      ayamé
      ayamé
    • Les Louves

      les louves.jpg
      Aujourd'hui, je propose : " une lecture publiée l' année de votre naissance " ( 1955 ) : " Les louves " de Boileau-Narcejac.
      Elle pourrait aussi aller dans " une oeuvre qui a été adaptée en film " car elle le fut par Luis Saslavsky en 1957.
      J'aimerais beaucoup maintenant voir ce film.

      " Le "héros" raconte ses pensées les plus intimes ainsi que ses émotions.
      Le tandem Boileau-Narcejac entraine le lecteur en une descente aux enfers, en un enfer psychologique,
      vers une fin qu'on peut subodorer mais qui n'en est pas moins cauchemardesque ".
      Dit comme ça, ça paraît glauque, mais c'est quand-même très plaisant à lire.
      Au fil des pages, on voit l'étau se resserrer autour de lui.
      J'en suis à la moitié, j'ai hâte de finir la lecture pour savoir ce qu'il advient de lui.

      Extrait en 4e de couverture : " La porte se referma. J'étais seul avec ces 3 femmes qui tenaient ma destinée entre leurs mains
      et pouvaient, à chaque minute, me détruire. Maintenant, il n'y avait plus rien à tenter. J'étais leur chose ".

      1196719084.jpg

      posté dans Littérature
      ayamé
      ayamé
    • RE: On a giflé Macron (choquant)

      @delnis a dit dans On a giflé Macron (choquant) :

      quant au complot: voir le siècle

      Je me marre : la nouvelle insulte à la mode = vous êtes des complotistes !
      Bon, j'en suis une...et alors ? Je ne vais pas changer la face du monde pour autant 😉 .

      posté dans France
      ayamé
      ayamé
    • RE: Les chansons françaises à l'international

      @delnis : j'aime, que dis-je, j'adore la chanson française, j'adore ma langue maternelle.
      Mais cela ne m'empêche pas de trouver l'anglais " fun " et sympa à parler.
      Voilà, c'est dit. Alors, en chanson francophone connue à l'international, il y a l'incontournable Céline Dion...
      bin je la contourne, je préfère Isabelle Boulay 🙂 .
      Cette reprise d'une chanson de Barbara me donne des frissons.

      posté dans Parler Musique
      ayamé
      ayamé
    • RE: Les vacances : vous partez cet été ?

      Je pars 3 semaines, du 7 au 28 juillet. Vacances partagées entre la région parisienne, la Normandie ( les 2 lieux de mon fils aîné ) et la Sarthe où réside mon amie. Volontairement, quand je suis en vacances, je ne me connecte à rien : sevrage bénéfique pour mieux profiter IRL 🙂 .

      posté dans Sorties - Voyages
      ayamé
      ayamé
    • RE: La vaccination et vous

      @jabba-the-hutt a dit dans La vaccination et vous :

      Il faut sérieusement arrêter de comparer en chiffres brut des populations dont le réservoir de base n'est pas du tout comparable

      Admettons que le réservoir ne soit pas comparable. Il n'empêche que les gens vaccinés ne devraient pas
      attraper de formes graves, " ils " nous l'ont affirmé. Hors, ils encombrent tout autant les services de réa
      et se retrouvent à 54% à décéder contre 46% de non vaccinés. Et personne ne s'en émeut ?

      tête-sien-sable-homme-autruche-clipart_csp65315610.jpg

      posté dans Bien-être
      ayamé
      ayamé
    • RE: Les trucs insupportables

      @sylareen : faut se coller à eux et écouter ce qu'ils se disent. Ils vont vite te laisser les doubler 😉 .

      posté dans Carte blanche
      ayamé
      ayamé
    • La Nuit de feu

      la nuit de feu.jpg
      Phrase sur la couverture du livre de poche : " Sur terre, ce ne sont pas les occasions de s'émerveiller qui manquent, mais les émerveillés ".

      Ce livre ne peut se décrire, on ne peut en faire une analyse, pas même le résumer.
      Parce qu'aucun mot ne peut signifier ce qui ne se laisse pas enfermer dans un quelconque signifiant.
      EES le dit ainsi ( je ne spoile rien en révélant ce passage de son livre, mais il m'a paru intéressant de le révéler à ceux qui ne liront pas ce récit : La Nuit de feu ) :
      " Cette énergie inébranlable, indomptable, à l'oeuvre dans l'univers, je m'absorbe en elle.
      J'en reçois des messages, difficiles, non à saisir car ils s'imposent, mais à transcrire dans le langage.
      Les mots ont été inventés pour décrire les objets, les sentiments, des réalités humaines.
      Coment désigneraient-ils ce qui les dépasse ou ce qui les fonde ? Comment des termes finis exprimeraient-ils l'infini ?
      Comment les étiquettes du visible estampilleraient-elles l'invisible ?
      Ils inventorient le monde, or, je pénètre dans l'au-delà du monde.
      Plus j'avance, moins je questionne. Je circule au sein d'un lieu sans pourquoi.
      Je brûle, je fusionne, je perds mes limites, j'entre dans le foyer...
      La confiance du croyant offre une façon d'habiter le mystère. Le mystère, lui, subsiste...
      Nous devons reconnaître et cultiver notre ignorance. L'humanisme pacifique coûte ce prix-là.
      Nous ne sommes frères qu'en ignorance, pas en croyance.
      Ce ne sera qu'au nom de l'ignorance partagée que nous tolèrerons les croyances qui nous séparent, que nous respecterons l'autre, le même que soi, celui qui voudrait savoir et qui ne sait pas ( car le mystère subsiste ).
      Seuls, les arguments rationnels ont le pouvoir d'emporter l'adhésion, pas les expériences.
      Je n'ai fait qu'éprouver, je ne prouverai donc pas, je me contente de témoigner.
      Une nuit sur terre m'a mis en joie pour l'existence entière. Une nuit sur terre m'a fait pressentir l'éternité
      ".

      Mais écoutez-le parler de ce qu'est la vraie foi, de ce qu'est le mystère de la condition humaine : " elle ne fait pas de bruit, c'est une musique intérieure ". Elle devrait " permettre de mieux vivre ensemble parce que Dieu n'est pas un objet de savoir " et dangereux sont ceux qui prétendent savoir :que Dieu existe ou qu'il n'existe pas, " cela conduit à l'intégrisme religieux ou athée ".

      posté dans Littérature
      ayamé
      ayamé
    • RE: Ceux dont les fautes sont flagrantes peuvent-ils encore nous diriger ?

      @delnis a dit dans Ceux dont les fautes sont flagrantes peuvent ils encore nous diriger :

      Non mais sérieux vous voyez le petit marchand de chaussure, bijoutier ou restaurant filtrer ses clients ? "pas de Pass vous rentrez pas" , non mais plus con que ça tu meurs

      D'autant que si on ne peut acheter en magasin, et bien : on commandera encore plus sur internet.
      Amazon entre autres vend tout ce que l'on désire, youpi.
      Et de nombreux commerces font aussi de la vente en ligne.
      Bon, sans blague : qui va contrôler que les commerces ont bien exigé le pass ?
      Il sera prévu des contrôles aléatoires afin que la peur fasse son office.

      posté dans France
      ayamé
      ayamé
    • RE: Le coin des mélomanes incompris

      @LeaPierce et @biquette : " mangez-moi ", j'avais acheté le cd à mes fils qui adoraient cette chanson. C'est plein de bons souvenirs pour moi comme pour eux 🙂 .

      posté dans Parler Musique
      ayamé
      ayamé
    • RE: Un petit tour d'Ecosse

      @Music : vraiment, tu nous gâtes avec ce reportage photos et coms. Je suis éblouie 🙂 .

      posté dans Sorties - Voyages
      ayamé
      ayamé
    • RE: La vaccination et vous

      @want-wish : depuis le début, je suis contre la vaccination obligatoire.
      J'étais et je suis toujours pour le principe du volontariat, du libre choix et de l'explication
      aux gens dits fragiles ( co-morbidités ) du ratio bénéfice-risque.
      Quant aux effets secondaires du vaccin, plus de 2500 ont été recensés en Europe, quoiqu'en dise @Hornet,
      et encore, c'est sans compter ceux qui ne sont pas déclarés.
      C'est, je l'avais dit dans un com je ne sais plus où, ici certainement, très peu face aux millions de gens vaccinés,
      mais quand ça tombe sur des gens dont des jeunes qui étaient en bonne santé et qui respectaient les mesures barrière,
      on dira d'eux que c'est juste un dommage collatéral !
      Nous ne sommes pas respectés : tant qu'on n'oblige pas, je m'en tamponne le coquillard.
      Mais pas pour notre jeunesse que l'on maltraite honteusement !

      posté dans Bien-être
      ayamé
      ayamé
    • RE: Partagez tout ce que vous voulez

      @pompon : je sais pas à quoi tu carbures en ce moment, mais c'est d'la bonne pour t'inspirer si bien 😉 .

      posté dans Carte blanche
      ayamé
      ayamé
    • L'Éléphant bleu

      Heureusement que je ne suis pas influençable en lisant certaines critiques sur Babélio !
      Par ailleurs, j'avais déjà lu l'un de ses romans, " La fille du ciel " pour savoir que j'aime son écriture.
      J'aime sa plume légère capable de décrire sans dolorisme les choses douloureuses de la vie et sans fausse pudeur celles du sexe : elle emploie parfois des expressions croustillantes pour les décrire. Oui, elle s'autorise à parler comme un homme, pourquoi, y a t-il un vocabulaire réservé à chaque sexe ?
      Dans ses romans, elle parle d'amour aussi, mais sans concession parce qu'il ne faut pas taire l'amour qui blesse et qui salit : il existe et il fait mal. ( Elle n'a rien retenu des contes de fées et de princesses de son enfance et c'est tant mieux ) .
      Alors oui, cela peut en déranger certains.
      Dans ce roman, on ne peut que s'attacher au personnage principal, Sirikit, une jeune fille qui raconte son enfance en Thaïlande puis ses 17-18 ans à Londres.
      " YL nous fait découvrir Londres des années 70, avec ses excès, ses exentricités et ses personnages hauts en couleurs.
      Sirikit croise le destin d'hommes et de femmes qui transpirent le mal être ".
      Ce livre n'est en aucun cas triste et se finit bien 🙂 .

      Quelques citations extraites du livre qui ne spoilent rien de ses aventures :

      " J'ai coupé les ponts avec ma famille. Plus rien ne me lie à personne. Ivresse de l'inconnu. Impression de naître pour la seconde fois, de me trouver tout nue devant mon destin comme dans ce drôle de cauchemar que je faisais petite fille ".

      " Je découvre que le racisme, c'est un peu comme les boutons, ça ne râte jamais l'occasion de faire éruption. Il suffit d'une indisposition ".

      " La sculpture est la démonstration éloquente de cette violente pulsion animale qui caractérise le désir humain, poursuit-il en la parodiant grossièrement ( contexte : une journaliste qui le gonfle ), l'Anti-Cérébral, chère madame, la création pure, le contact direct avec la matière, l'éjaculation perpétuelle à l'état brut, à la différence de ces intellos, de ces scribouillards honteux qui s'asticotent frénétiquement le gros cervelet en camouflant leur libido congestionnée derrière les mots, oui des mots et même pas des gros ".

      Livre trouvé dans la boîre à livres de mon village : couverture abîmée, mais toutes les pages sont nickel.

      YL 1.jpg

      YL 2.jpg

      PS : pourquoi l'éléphant bleu ? Parce qu'il représente en Thaïlande celui qui se sent différent, inadapté ou inadaptable, et de ce fait se démarque du reste du troupeau.

      posté dans Littérature
      ayamé
      ayamé
    • RE: Ceux dont les fautes sont flagrantes peuvent-ils encore nous diriger ?

      @allezsavoir a dit dans Ceux dont les fautes sont flagrantes peuvent ils encore nous diriger :

      Croyez vous que la corruption gangrène aussi le marché des vaccins?

      La corruption engendrée par les lobbyings pharmaceutiques et pétro-chimiques , il y a belle lurette qu'elle gangrène la politique et tous ceux qui le peuvent ne pensent qu'à en tirer du profit.

      @Izanami : qu'auraient-ils pu proposer d'autre ?

      • Une fermeture des frontières radicale et plus précoce, cela aurait vraiment freiné la circulation contaminante du virus.
        Mais il ne fallait pas trop pénaliser les échanges internationaux.
      • Accorder du crédit aux essais thérapeutiques au lieu de les condamner ou de les freiner.
        Le seul qu'ils ont autorisé, c'est le remdésivir qui a eu des conséquences désastreuses.
        mais il fallait écouler le stock et faire de l'argent avant de l'interdire.
        Tous les pays sont englués dans une économie de marchés ultra libérale et qui qu'c'est-y
        qui en paye prix fort ? Pas eux assurément !
      posté dans France
      ayamé
      ayamé
    • 1
    • 2
    • 27
    • 28
    • 29
    • 30
    • 31
    • 253
    • 254
    • 29 / 254