@Olivier a dit dans Le Bonheur du jour ! :
. pour moi une hotte c'est le gros truc au-dessus de la table de cuisson... bref la formulation m'a fait rire )*
Tu as déjà oublié la hotte du père Noël ?
@Olivier a dit dans Le Bonheur du jour ! :
. pour moi une hotte c'est le gros truc au-dessus de la table de cuisson... bref la formulation m'a fait rire )*
Tu as déjà oublié la hotte du père Noël ?
Croire au destin signifierait que nos vies sont tracées d'avance et que nous ne pourrions donc rien y changer.
Je ne crois pas que le destin soit totalement fixé d'avance, mais je pense que nous sommes bien guidés
par des influences issues de nos racines socio-culturelles.
Métaphoriquement parlant, je dirai que je crois que nous avons tous notre arbre personnel, différent de celui des autres,
un arbre que je nomme " l'arbre des possibles ".
Le seul libre-arbitre que nous ayons, c'est celui de monter à l'arbre par telle branche plutôt que telle autre.
Certains ont reçu un arbre très riche en feuillage, d'autres au contraire un arbre genre celui nommé
" désespoir des singes " tellement il est ardu de monter dessus.
Chacun, avec son libre-arbitre, fera au mieux ou pas avec la donne qui est la sienne.
@yoyo : et quand on fait un voyage à l'étranger, dire par exemple : j'ai fait le Maroc ( ah bon, on fait un pays en y séjournant ? ) au lieu de je suis allé.
Dès mon inscription, j'ai été attirée par celle de @Mai-Tai parce qu'elle me parle bien malgré son côté laconique.
Moi aussi, " j'aime pas les gens ", mais j'aime des personnes .
@Martin : tiens, il y a cette annonce faite par une hôtesse de l'air qui ne manque pas d'humour, j'adore :
@tigrette : pour les criminels monstrueux du Bataclan, ils se servent de la religion pour commettre leurs massacres. Mais nul doute qu'ils n'ont pas lu le Coran pour ignorer que le Prophète a dit qu'Allah interdit d'ôter la vie à quiconque qui ne met pas en péril la vie des autres et que ceux qui agissent ainsi seront sévèrement punis.
J'ai lu le Coran : s'y trouvent de beaux messages de paix et d'amour.
@Antigua : même de la part de journalistes ou d'intervenants, je l'entends et ça m'horripile aussi. J'ai envie de hurler : à ce jour ! Dit-on au jour de demain ou d'hier ???
Et bien moi je dis : " une année de merde qui se termine, c'est déjà ça de gagné, je bois un coup à son enterrement ".
Aujourd'hui, mon parisien de fils aîné arrive chez moi pour une 10zaine de jours pour
télé-travailler en respirant le bon air aveyronnais et aussi profiter des bons soins de la mama ;).
Mais aussi prendre du bon temps avec son frère : séries et jeux vidéos.
Une photo de nous ? La voici :))).
Née à Gueugnon en 1967, Valérie Perrin est une photographe, scénariste et écrivaine.
Elle travaille aux côtés de son mari, le réalisateur Claude Lelouch (1937).
Son 1er roman, « Les oubliés du dimanche » (2015), a reçu de nombreux prix.
En 2018, elle a reçu le prix Maison de la Presse pour son 2e roman : « Changer l’eau des fleurs ».
Un roman de 664 pages en livre de poche, mais qui se lit comme qui rigole.
Car Violette, l'héroïne, un ptit bout de femme très ordinaire, nous autorise à rentrer dans sa vie et même dans sa peau.
Du coup, on n'est pas seulement témoin, on se fond en elle pour ressentir ses émotions, des douces et des mélancoliques aussi, mais comme je l'ai dit : sans pathos, sans dolorisme.
On vit sa vie pas si facile, tellement humble, et au-delà, on se laisse porter par sa formidable énergie de vie.
Les autres personnages du roman, ce pourrait être nous aussi tant leurs histoires, leurs secrets,
leurs interrogations et toutes les petites choses de la vie pourraient être les nôtres.
Il ne faut pas se fier au titre : un peu cucu la praline, on peut le dire, et ne pas croire qu'il s'agit d'un feel-good
( = pour se sentir bien ). Non : c'est un roman qui parle non seulement de la mort et de la perte d'êtres chers,
mais bien plus de la vie, la vie quand-même belle à vivre.
Ce livre est comme un pansement sur nos blessures, un doux coup de pied au cul pour nous faire avancer
quand on sombre dans le pessimisme, et la démonstration qu'il y a du bonheur dans les petites choses de la vie.
Avis de j'sais pas qui : " Gardienne de cimetière ? A priori pas folichon… Mais ce livre rayonne d’humanité.
Violette est l’élément qui dédramatise la mort et la vie par la même occasion. Elle est là, elle vous écoute, elle est humaine.
Et pourtant sa vie est parfois à pleurer ! Elle nous fait du bien, nous pousse à faire un pas après l’autre,
à croire au positif et en l’avenir. Et il n’y a pas de mélodrame, pas de tristesse même s’il y a des drames.
La vie est faite de rencontres, de coïncidences, de choix, de croisements…
Saisissez les occasions d’etre heureux quand elles passent… Et pour croire en la vie, les petits plaisirs simples,
les amis, la chaleur humaine, les livres, la compagnie des animaux, la nature…"
Un extrait : " Que veux tu que je devienne si je n’entends plus ton pas, est-ce ta vie ou la mienne qui s’en va, je ne sais pas.
Le sang des vignes de Porto. Je ferme les yeux. Et je savoure. Une seule gorgée suffit à égayer ma soirée.
Deux dés à coudre parce que j’aime l’ivresse mais pas l’alcool.
Mais comme je n’ai jamais eu le goût du malheur, j’ai décidé que ça ne durerait pas.
Le malheur, il faut bien que ça s’arrête un jour.
Moi, il n’y a qu’une étoile que je voulais attraper : la bonne.
C’est sans doute pour cela qu’il y a des épitaphes plein les cimetières. Pour conjurer le sort du temps qui passe.
S’accrocher aux souvenirs...."
Comme un bonus, il y a une petite phrase au début de chaque chapitre, par exemple :
Ch 4 : " L'être est éternel, l'existence un passage, la mémoire éternelle en sera le message ".
Ch 53 : " ne pleurez pas ma mort, célébrez ma vie ".
Ch 57 : " le destin a fait son chemin mais il n'a jamais séparé nos coeurs ".
Ch 69 : " rien ne peut la faner, rien ne peut la flétrir, cette charmante fleur se nomme souvenir .
Voilà : vous l'ai-je bien vendu ? Perso, j'achète beaucoup de mes livres en version livre de poche pour quelques euros,
pour pouvoir en acheter plus .
@Shanna : j'ai reçu en cadeau la même lampe-réveil que toi
Pour mes fils, je donne de l'argent pour l'achat de choses qu'ils désirent et qui sont coûteuses.
Par exemple, mon 2e fils qui adore cuisiner voulait une grande cocotte en fonte, the best of course, donc prix en rapport.
Le monde évolue : ce que l'on offrait avant aux épouses -mères- bonnes ménagères intéresse aussi de nos jours les mecs
D'abord merci à tous ceux qui me souhaitent la bienvenue, ça fait plaisir.
@Shanna : je ne pense pas que mon amie prenne pour une indiscrétion la réponse : c'est Kachina13 qui m'a vivement recommandé de m'inscrire sur ce site :).
@agathe : dis-toi que n'est pas ecrivain de comptoir qui veut, mdr. Et tu connais l'adage : la bave du crapaud n'atteint pas la colombe. Uuuh, je vais encore me ramasser un dislike, mais ça ne me dérange pas, ça fait aussi partie de la liberté d'expression .
Il faut dire que l'emploi des pronoms réfléchis : me- te- se prêtent vraiment à confusion, mdr.
@Guizmo : tu veux voir @So-phie farcir une courgette ou se farcir une courgette ?
L'accommoder ou l'engloutir donc ? ;).
Aujourd'hui, je propose : " une lecture publiée l' année de votre naissance " ( 1955 ) : " Les louves " de Boileau-Narcejac.
Elle pourrait aussi aller dans " une oeuvre qui a été adaptée en film " car elle le fut par Luis Saslavsky en 1957.
J'aimerais beaucoup maintenant voir ce film.
" Le "héros" raconte ses pensées les plus intimes ainsi que ses émotions.
Le tandem Boileau-Narcejac entraine le lecteur en une descente aux enfers, en un enfer psychologique,
vers une fin qu'on peut subodorer mais qui n'en est pas moins cauchemardesque ".
Dit comme ça, ça paraît glauque, mais c'est quand-même très plaisant à lire.
Au fil des pages, on voit l'étau se resserrer autour de lui.
J'en suis à la moitié, j'ai hâte de finir la lecture pour savoir ce qu'il advient de lui.
Extrait en 4e de couverture : " La porte se referma. J'étais seul avec ces 3 femmes qui tenaient ma destinée entre leurs mains
et pouvaient, à chaque minute, me détruire. Maintenant, il n'y avait plus rien à tenter. J'étais leur chose ".
Vous savez quoi les filles ? Je me dis que cette question est comme celle concernant la religion : c'est de l'ordre de l'intime conviction, et chaque camp n'a pas à justifier son choix.
Tu veux des enfants, c'est bien. Tu n'en veux pas, c'est bien aussi.
Ça ne se discute pas, ça ne se conteste pas et aucun prosélytisme n'est acceptable sur
" il faut faire des enfants, merde, sinon qui va payer nos retraites ".
Je ne supporte pas toute forme de culpabilisation.
@Ostara : la bonne mère, parfaite, n'existe pas et heureusement. Si elle existait, ce serait
dramatique pour l'enfant parce qu'il se retrouvera démuni face à un monde qui lui ne l'est pas.
Les frustrations auxquelles l'enfant est confronté l'aident à grandir.
N'as-tu pas entendu dire que le non ( qui est frustrant ) est éducatif ? .
" On fait comme on peut avec ce que l’on est " : et c'est très bien comme ça.
( hormis bien sûr les parents détraqués qui martyrisent leurs gosses, un autre problème,
un autre débat ).
@alifidan : bienvenue Alifidan. Tu es bien tombé ici : on est parfois sérieux, parfois déconnards,
on s'écoute et parfois on s'engueule ( jamais méchamment ) , comme dans la vraie vie quoi .
N'hésite pas à nous interpeler sur les sujets qui t'intéressent, il y aura du répondant .
@Hilda-Van-Holp : j'ai compris comme toi, càd pas de jeu en continu. Si nous avons bien compris, ce que tu suggères sera alors possible.