Meilleurs messages postés par ayamé

@Hilda-1 : au secours, Saint-Nectaire, priez pour nous ! On va se retrouver dans le Crottin !
@Hilda-1 : et on sera cuites, et même Recuites ( Recuite - Brebis- Aveyron ).

@Shanna : oui, faut donner les noms, même si pour barbu, j'ai donné une réponse très indécente ( je l'assume, ahaha, car non, je ne connais pas l'expression qui va avec ce mot, alors j'ai écrit ce qui m'est venu en tête )

@Hornet : voilà, lecture terminée. J'ai adoré ce livre, d'abord parce qu'il est inspiré d'une histoire vraie, ce qui rend l'histoire encore plus émouvante. Ensuite parce qu'il est bon de savoir quelles horreurs l'homme ( dans le sens de l'humain ) peut commettre On voudrait tellement que ça serve de leçon à l'humanité. Hélas, l'Histoire nous montre qu'il n'en est rien et que des horreurs régulièrement sont commises.
Et enfin parce qu'il n'y a pas de dolorisme dans la narration, d'exacerbation des émotions, ce qui est essentiel à mon sens pour prendre plaisir à lire et mieux comprendre " autant ce faire se peut " ce que vit Cilka dans ce camp de la mort en Sibérie. Là où j'avais envie de rager, c'est au sujet du motif de sa condamnation au goulag :

Spoiler

accusée de collaboration parce qu'elle avait accepté de se laisser régulièrement violer par les officiers SS pour garantir sa survie en échappant ainsi au four crématoire.

Oui, je confirme l'avis d'Hornet : ce livre est à lire, absolument .

@Shanna : j'ai reçu en cadeau la même lampe-réveil que toi
Pour mes fils, je donne de l'argent pour l'achat de choses qu'ils désirent et qui sont coûteuses.
Par exemple, mon 2e fils qui adore cuisiner voulait une grande cocotte en fonte, the best of course, donc prix en rapport.
Le monde évolue : ce que l'on offrait avant aux épouses -mères- bonnes ménagères intéresse aussi de nos jours les mecs

@tous : je me régale de vos oeuvres et suis admirative devant votre créativité. Bravo et Merci pour vos partages qui sont une récréation des plus sympathiques pour les lecteurs .

La guerre de 39-45, c'est environ 60 millions de morts dans le monde : des soldats, des résistants, des civils, la Shoah.
Ça, c'est la grande Histoire. Mais il y eut aussi la " petite " histoire, dont celle des enfants nés dans des Lebensborn, autre projet fou d'Hitler qui exterminait les enfants juifs pour faire émerger la race dite supérieure, avec des enfants conçus de pères allemands et de mères choisies pour leurs caractéristiques génétiques ( vues comme des collabos ). On en a guère parlé, de ces enfants dits de la honte car ils dérangeaient. Voilà des vies bousillées qui n'ont pas ému grand monde.
Retirés à leurs parents dont ils ne savent même pas qui ils étaient car on leur changeait leur nom, comment ceux qui ont survécu ont-ils vécu la haine, le rejet puis l'indifférence ?
Eux n'obtiendront jamais un quelconque pardon, parce qu'ils sont aussi considérés comme coupables puisqu'ils ils portent la monstruosité de leurs parents dans leurs gènes.
Pas de devoir de mémoire non plus : ils ne sont qu'un point de détail dans l'Histoire !
Entre 9 et 12.000 enfants seraient nés dans des Lebensborn allemands, norvégiens et même français ( le manoir de Lamorlaye dans l'Oise ). Près de 10.000 enfants aux caractéristiques physiques aryennes ont également été arrachés à leurs parents dans les territoires conquis par les Nazis pour être placés dans ces centres de germanisation.

Ce livre met en scène une femme, Hildegard Müller, 76 ans, aux souvenirs réduits à peau de chagrin, mais dont la douleur est toujours aussi vive.
Il est écrit avec des phrases qui se limitent à l'essentiel, sous forme de fragments, sans en rajouter pour faire pleurer dans les chaumières, juste pour dire durement, presque sans émotion, la vérité toute nue, sans fards, sans force détails et je pense que c'est justement cette sobriété qui fait toute la puissance du récit.
Qui empêche aussi que la lecture en devienne intolérable, bien qu'elle nous prenne quand-même aux tripes et au coeur. Il peut donc être lu par le plus grand nombre.
Ce roman est une fiction, mais fondée sur un important recueil de documents et d’analyses sur l'histoire vraie des lebensborn et des enfants qui en sortirent. Extraits pour donner une idée du contenu :

. " Proies faciles, les femmes n'en finissent jamais de payer les conflits initiés par les hommes ".
. " Je suis frappée par la similarité de nos destins, à Anne Frank et à moi. Comme elle, je suis une victime du Reich. Les Juifs obligés de se cacher et les enfants de SS qu'on cache ".
. " Mon héritage n'est qu'une dette, irremboursable, dont mes enfants continuent de payer les intérêts. La haine se transmet mieux que l'amour. La haine entre enfants de victimes et enfants de bourreaux est un héritage infernal".
. " La sélection de tous ces jeunes enfants qui devaient remplacer ceux qui s'étaient fait gazer. Dépeuplement, repeuplement. Je suis née de ce vase communicant, de cette vase communicante. je ne pouvais que m'enfoncer dans cette boue ".
. " Si les parents passaient la sélection, l'enfant pouvait tout de même être rejeté, à tout moment, être recalé plus tard, tout au long de l'enfance.Cela signifiait stérilisation, expérience médicale, euthanasie ".
. " A t-on le droit de mêler nos souvenirs, ou plutôt leur insupportable absence, à ceux des rescapés des camps de la mort ? "
. " Le passé est en train de renaître de toutes les cendres de la guerre. La haine s'infiltre dans toutes les démocraties...pendant la seconde guerre mondiale, les gens avaient perdu la tête. Aujourd'hui, ils ont perdu le coeur ".

Vous savez quoi les filles ? Je me dis que cette question est comme celle concernant la religion : c'est de l'ordre de l'intime conviction, et chaque camp n'a pas à justifier son choix.
Tu veux des enfants, c'est bien. Tu n'en veux pas, c'est bien aussi.
Ça ne se discute pas, ça ne se conteste pas et aucun prosélytisme n'est acceptable sur
" il faut faire des enfants, merde, sinon qui va payer nos retraites ".
Je ne supporte pas toute forme de culpabilisation.

@Ostara : la bonne mère, parfaite, n'existe pas et heureusement. Si elle existait, ce serait
dramatique pour l'enfant parce qu'il se retrouvera démuni face à un monde qui lui ne l'est pas.
Les frustrations auxquelles l'enfant est confronté l'aident à grandir.
N'as-tu pas entendu dire que le non ( qui est frustrant ) est éducatif ? .
" On fait comme on peut avec ce que l’on est " : et c'est très bien comme ça.
( hormis bien sûr les parents détraqués qui martyrisent leurs gosses, un autre problème,
un autre débat ).

@pipoo : le cerveau est comme un ordinateur. Il met dans les favoris tout ce qui est nécessaire pour vivre et interagir
dans notre ici et maintenant, sur la page d'accueil tout ce qui nous permet de nous adapter
à notre environnement direct dans l'instant et dans nos images et nos documents
tout ce qui n'est pas immédiatement utilisable pour notre quotidien : nos souvenirs donc.
Le cerveau met de côté tout ce qui ne sert pas, mais aussi tout ce qui fait peur, fait mal,
mais aussi ce qui fait honte. Tu le dis bien : " souvenirs de moments particulièrement marquants et douloureux ".
C'est pourquoi des dépressions surgissent parfois à l'âge adulte alors que rien ne semble les justifier.
Elles sont dues à l'émergence de souvenirs douloureux réactualisés par une situation.
J'ai une amie qui avait subi des attouchements sexuels dans son enfance.
Elle vivait une vie paisible avec son mari jusqu'au jour où elle a vu une série d'émissions sur ce sujet
et certains témoignages lui ont rappelé son propre vécu, enfoui jusqu'alors dans sa mémoire.
Elle a craqué et s'est faite aider par un psy pour pouvoir arriver à la résilience.qui lui a permis
de dépasser ce traumatisme en ne restant pas bloquée sur sa souffrance.
Pour toi, tu n'avais rien oublié, juste rangé " au grenier " ce qui t'aurait empêché de poursuivre
le plus sereinement possible ton chemin de vie.
Est-ce commun ? Oui ça l'est : nous refoulons tous dans l'inconscient ce qui est trop lourd à porter.
J'espère que ma réponse va te rassurer et que ces souvenirs de moments douloureux ne te chagrinent pas trop.

@carl_jung : photo du bassin que j'avais créé dans le jardin de mon ancienne maison.
Ça me manque : j'envisage d'en faire un dans ma maison actelle.

@orabig a dit :

prendre le temps

Voilà, tout le problème est là. Les gens estiment qu'ils n'ont plus de temps à perdre.
Donc, vite se rencontrer pour voir si la séduction sera au rendez-vous pour pouvoir aller plus loin.
D'autres veulent faire l'amour rapidement pour s'assurer qu'ils ont bien chaussure à leur pied.
Et pourtant, tout le temps passé à discuter, à flirter est non seulement délicieux, mais a toute son utilité
pour créer cette complicité qui fera que la 1ère rencontre sera source d'émoi.

@battler a dit dans La gestion de notre Santé :

la volonté des soignants de vivre différemment de leurs ainés en travaillant moins et en préservant leur vie privée.

Ce n'est pas légitime ? Être soignant est un métier, pas un sacerdoce !
Pas étonnant que les jeunes ne choisissent plus ces métiers : travailler comme des dingues,
se faire engueuler d'un côté par la hiérarchie, de l'autre par des patients impatients, et tout ça
pour des salaires indécents...se dit l'infirmière que j'ai été pendant 42 ans....
Doit-on revenir au temps où c'étaient les bonnes soeurs qui occupaient ces postes ?
Doit-on prôner le bénévolat pour que ça coûte moins cher ?

@carl_jung : ah non, j'ai dit : pas de bocal rond ! Et voilà : le mal-être se traduit par de la boulimie.
On le voit bien, ce pauvre poisson a les yeux plus gros que le ventre !
Trève de plaisanterie, je trouve les poissons voile de Chine très beaux. Ceux-là sont vraiment magnifiques.

Pour conclure : 1mn30 de zénitude visuelle et auditive .

@loutre : alors, arrête de te faire des noeuds au cerveau et dis-lui simplement les choses. Déjà elle sera contente que tu ne lui caches pas des choses.

@carl_jung : on peut être famille d'accueil pour les personnes âgées : il faut que le logement soit conforme et obtenir l'agrément.
C'est un travail, donc rémunéré : " selon les taux de 2020 et la politique d’action sociale du RDAS, le salaire net et les différentes indemnités représentent une rémunération mensuelle brute comprise entre 1 500 € et 1 800 € par personne accueillie ".
Mais à ce salaire, s'ajoutent d'autres frais ( logement, nourriture, etc ) : il faut avoir une retraite confortable.
Des aides sont peut-être possibles.
https://www.cettefamille.com/accueil-familial/devenir-accueillant-familial/salaire/

Je n'ai pas résisté à l'envie de découvrir d'autres requins et je suis tombée sur des espèces incroyables :
1- le requin tapi barbu. Perso, je le trouve magnifique.

2- le requin chabot aux capacités extraordinaires. La Nature ne cessera jamais de m'émerveiller.

@loutre : maintenant, tu n'en parles plus, tu la laisses digérer l'info et tu attends que ce soit elle qui t'en reparle .

@pompon : et puisqu'il faut faire avec, autant le faire le mieux possible et faire ce qu'il est bon de faire .
Faut-il le rappeler ? Un peu de sport, une hygiène alimentaire, un sommeil suffisant, ne pas stresser à tout bout de champ :
voilà les clés pour bien vieillir, et je le dis en connaissance de cause .

@Egon : mon brestois de fils bosse aussi aujourd'hui et pas de télé-travail possible dans l'armée. Je n'ai pas le droit de l'appeler au boulot. Je lui enverrai un sms à midi pour avoir des news.

Rien n'est parfait en ce bas-monde, tout a des avantages et des inconvénients. Alors on choisit ce qui présente les inconvénients qui nous paraissent le plus acceptables. Mariée, j'ai eu la chance d'avoir un mari qui respectait ma liberté dans mes choix personnels ( travail, reprise d'études loin de notre domicile, loisirs, etc ). Mais ce ne fut pas le cas de l'une de mes amies dont le mari imposait ses seules vues.
Alors, je ne suis ni pour ni contre le mariage. Il faut juste garder à l'esprit qu'il peut ne pas durer toujours et faire en sorte qu'en cas de séparation, aucun des 2 ne soit lésé.

@cynthia80 et @ytica : au-delà de la prédisposition génétique et des facteurs extérieurs, il y a ce que la maladie dit de nous-mêmes, de ce que nous avons refoulé dans l'inconscient : ce qui fait trop mal ou peur, comme le dit très justement @IRIS-0.
Ce que la médecine occidentale n'envisage pas, ce n'est pas dans sa culture.
Que sait-on, vu de l'extérieur, des blessures cachées de gens qui mènent une vie saine et heureuse ? Le mal a dit en maladie.
Quant aux gens qui fument et se nourrissent mal et sont quand-même en bonne santé ( mais pour combien de temps ? ), cela dit qu'ils possèdent une bonne énergie vitale qui circule sans blocage dans tout leur corps.

Généralement, les maladies dégénératives et de longue durée sont la conséquence d’un choc ou d’un conflit du passé non compris et non résolu.
Elles sont le fait d’énergies dites perverses, stockées dans le psychisme et dans le corps, qui perturbent à la longue complètement la circulation harmonieuse des énergies dans le corps, voire les bloquent.
Certaines autres maladies encore sont déclenchées par la pollution dans l’air ou les aliments ingurgités. Et si le corps est trop faible en énergie, il n’aura pas la force de rejeter ces éléments intrus et non naturels hors du corps, d’où son empoisonnement, comme c’est le cas dans la plupart des maladies.
A l’origine de toutes les maladies : les énergies perverses, pensées et émotions comprises, qui créent un déséquilibre ou un manque d’énergie.
Il en existe d’autres comme les maladies génétiques : elles font intervenir toute une chaîne de causes à effets concernant nos ancêtres.

J'avais une collègue qui n'arrivait pas à exprimer son mal-être au travail. Conséquence : eczéma en collier autour du cou ( le siège de la parole ). Elle est allée voir un magnétiseur : il lui a enlevé son eczéma mais il lui en a aussi expliqué la composante psycho, il lui a parlé de son mal-être qu'elle n'osait confier à personne. Il lui a permis de reprendre confiance en elle.
Son eczéma n'est jamais revenu.

Je ne cherche à convaincre personne. Je donne quelques infos qui peuvent aider à comprendre pourquoi on souffre de telle maladie et à mieux l'accepter.
Perso, je pense que l'acceptation ( qui ne signifie nullement résignation, entendons-nous bien ) aide beaucoup à mieux vivre avec sa maladie, surtout si elle est chronique.