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    Meilleurs messages postés par ayamé

    • RE: Reconversion professionnelle ratée… Renouveau en cours…

      @gaip a dit dans Reconversion professionnelle ratée… Renouveau en cours… :

      Je n’aime pas l’idée de retourner à l’école, avec mes collègues, avec ce sentiment de « j’ai rien fait de ce que j’avais envisagé », « je n’ai rien accompli ».
      Comment leur expliquer tout le chemin parcouru....

      Tu n'as rien à expliquer à tes collègues, juste leur dire si besoin : " j'ai pris du temps pour moi, j'en avais besoin. "
      Et tes besoins ne regardent personne d'autre que toi...et ceux qui partagent intimement ta vie.
      La nouvelle directrice est sympa : c'est un bon signe.
      Reconversion professionnelle " râtée " ? Tu as fait ta reconversion personnelle et ça, c'est énorme 🙂 .

      posté dans Études - Travail
      ayamé
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    • RE: Emmanuel Macron : quinquennat n°2

      60 ans.jpg

      posté dans France
      ayamé
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    • RE: Discussion

      @alifidan : bienvenue Alifidan. Tu es bien tombé ici : on est parfois sérieux, parfois déconnards,
      on s'écoute et parfois on s'engueule ( jamais méchamment ) , comme dans la vraie vie quoi 😉 .
      N'hésite pas à nous interpeler sur les sujets qui t'intéressent, il y aura du répondant 🙂 .

      posté dans Présentations
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    • RE: Le revenu universel : avantages / inconvénients ?

      @ytica : oulah, on ne s'emballe pas hein.
      Faut bien comprendre le principe : ceux qui travaillent gagnent plus, ce qui intéresse forcément les gens.
      Et puis, beaucoup préfèrent bosser plutôt que de rester à s'emmerder à la maison.
      Voilà 2 arguments qui font que ce système peut fonctionner et il fonctionne déjà en Finlande 😉 .

      posté dans Études - Travail
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    • RE: Emmanuel Macron : quinquennat n°2

      @icescream : E. Borne, dans sa lettre ouverte à Macron a écrit :" vous m'avez fait part de votre volonté de nommer un nouveau 1er ministre, alors que je suis obligée de présenter la démission de mon gouvernement....". Il y a un parfum d'amertume dans ses écrits, malgré les louanges que Macron lui a adressées.
      On comprend : je t'ai fait faire le sale boulot ( 23 49.3 en quelques mois ), merci, au revoir !

      posté dans France
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    • RE: Drake

      @pompon Et Drake préfère l'océan. Je suis pourtant en partie méditerranéenne, mais je préfère aussi l'océan ( mon chromosome paternel breton sans doute ) 🙂 .

      @Drake : je connais Trégastel et je me suis promenée dans les Traouïéro, un lieu magnifique, ressourçant, zénifiant, bref, magique. Je rêverais aussi de partir m'établir dans cet endroit ( perso, j'avais flashé sur Lannion ).
      text alternatif

      posté dans Présentations
      ayamé
      ayamé
    • RE: Le revenu universel : avantages / inconvénients ?

      @icescream : " c'est la lutte finale, groupons-nous et demain..." 🙂 .

      posté dans Études - Travail
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    • Changer l'eau des fleurs

      Née à Gueugnon en 1967, Valérie Perrin est une photographe, scénariste et écrivaine.
      Elle travaille aux côtés de son mari, le réalisateur Claude Lelouch (1937).
      Son 1er roman, « Les oubliés du dimanche » (2015), a reçu de nombreux prix.
      En 2018, elle a reçu le prix Maison de la Presse pour son 2e roman : « Changer l’eau des fleurs ».

      Un roman de 664 pages en livre de poche, mais qui se lit comme qui rigole.
      Car Violette, l'héroïne, un ptit bout de femme très ordinaire, nous autorise à rentrer dans sa vie et même dans sa peau.
      Du coup, on n'est pas seulement témoin, on se fond en elle pour ressentir ses émotions, des douces et des mélancoliques aussi, mais comme je l'ai dit : sans pathos, sans dolorisme.
      On vit sa vie pas si facile, tellement humble, et au-delà, on se laisse porter par sa formidable énergie de vie.
      Les autres personnages du roman, ce pourrait être nous aussi tant leurs histoires, leurs secrets,
      leurs interrogations et toutes les petites choses de la vie pourraient être les nôtres.
      Il ne faut pas se fier au titre : un peu cucu la praline, on peut le dire, et ne pas croire qu'il s'agit d'un feel-good
      ( = pour se sentir bien ). Non : c'est un roman qui parle non seulement de la mort et de la perte d'êtres chers,
      mais bien plus de la vie, la vie quand-même belle à vivre.
      Ce livre est comme un pansement sur nos blessures, un doux coup de pied au cul pour nous faire avancer
      quand on sombre dans le pessimisme, et la démonstration qu'il y a du bonheur dans les petites choses de la vie.

      Avis de j'sais pas qui : " Gardienne de cimetière ? A priori pas folichon… Mais ce livre rayonne d’humanité.
      Violette est l’élément qui dédramatise la mort et la vie par la même occasion. Elle est là, elle vous écoute, elle est humaine.
      Et pourtant sa vie est parfois à pleurer ! Elle nous fait du bien, nous pousse à faire un pas après l’autre,
      à croire au positif et en l’avenir. Et il n’y a pas de mélodrame, pas de tristesse même s’il y a des drames.
      La vie est faite de rencontres, de coïncidences, de choix, de croisements…
      Saisissez les occasions d’etre heureux quand elles passent… Et pour croire en la vie, les petits plaisirs simples,
      les amis, la chaleur humaine, les livres, la compagnie des animaux, la nature…"

      Un extrait : " Que veux tu que je devienne si je n’entends plus ton pas, est-ce ta vie ou la mienne qui s’en va, je ne sais pas.
      Le sang des vignes de Porto. Je ferme les yeux. Et je savoure. Une seule gorgée suffit à égayer ma soirée.
      Deux dés à coudre parce que j’aime l’ivresse mais pas l’alcool.
      Mais comme je n’ai jamais eu le goût du malheur, j’ai décidé que ça ne durerait pas.
      Le malheur, il faut bien que ça s’arrête un jour.
      Moi, il n’y a qu’une étoile que je voulais attraper : la bonne.
      C’est sans doute pour cela qu’il y a des épitaphes plein les cimetières. Pour conjurer le sort du temps qui passe.
      S’accrocher aux souvenirs...."

      Comme un bonus, il y a une petite phrase au début de chaque chapitre, par exemple :
      Ch 4 : " L'être est éternel, l'existence un passage, la mémoire éternelle en sera le message ".
      Ch 53 : " ne pleurez pas ma mort, célébrez ma vie ".
      Ch 57 : " le destin a fait son chemin mais il n'a jamais séparé nos coeurs ".
      Ch 69 : " rien ne peut la faner, rien ne peut la flétrir, cette charmante fleur se nomme souvenir .

      Voilà : vous l'ai-je bien vendu ? Perso, j'achète beaucoup de mes livres en version livre de poche pour quelques euros,
      pour pouvoir en acheter plus 😉 .

      changer l'eau des fleurs.jpg

      posté dans Littérature
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    • RE: Décès

      @music : sur celle-là, j'ai dansé des rocks endiablés :


      Et sur celle-là, un autre type de danse 😉 :

      Que de souvenirs avec ce chanteur vraiment talentueux.

      posté dans People
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    • RE: Votre parcours scolaire et le métier que vous faites à présent

      @Mayhem : tout le problème est là : il y a des métiers que l'on aime et là où le bât blesse, ce sont les conditions dans lesquelles on l'exerce. Il y a parfois ( souvent ? ) un gouffre entre nos aspirations et ce que l'on nous demande. La pression que font subir certains autres, hiérarchie ou collègues, à la longue peut, comme tu l'évoques, mettre en danger la santé mentale.

      En tant qu'infirmière, j'ai connu des endroits pourris où j'ai vu nombre de collègues démissionner, ce que je faisais ensuite aussi à mon tour pour ne pas y laisser ma peau. Par chance, dans mon métier, on trouve du boulot partout. J'ai été infirmière toute ma vie ( 30 % des diplômés quitteraient le métier au bout de 5 ans ). Ce qui m'a sauvée et aussi pour ne pas tomber dans la lassitude, ce fut de pouvoir rouler ma bosse dans différents hôpitaux, cliniques, CSSR ( centre de soins de suite et de réadaptation ).

      posté dans Études - Travail
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    • Les Louves

      les louves.jpg
      Aujourd'hui, je propose : " une lecture publiée l' année de votre naissance " ( 1955 ) : " Les louves " de Boileau-Narcejac.
      Elle pourrait aussi aller dans " une oeuvre qui a été adaptée en film " car elle le fut par Luis Saslavsky en 1957.
      J'aimerais beaucoup maintenant voir ce film.

      " Le "héros" raconte ses pensées les plus intimes ainsi que ses émotions.
      Le tandem Boileau-Narcejac entraine le lecteur en une descente aux enfers, en un enfer psychologique,
      vers une fin qu'on peut subodorer mais qui n'en est pas moins cauchemardesque ".
      Dit comme ça, ça paraît glauque, mais c'est quand-même très plaisant à lire.
      Au fil des pages, on voit l'étau se resserrer autour de lui.
      J'en suis à la moitié, j'ai hâte de finir la lecture pour savoir ce qu'il advient de lui.

      Extrait en 4e de couverture : " La porte se referma. J'étais seul avec ces 3 femmes qui tenaient ma destinée entre leurs mains
      et pouvaient, à chaque minute, me détruire. Maintenant, il n'y avait plus rien à tenter. J'étais leur chose ".

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      posté dans Littérature
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    • RE: Décès

      @Peri : 😞 . Bon, 102 ans, c'est un bel âge pour mourir.
      A Rodez, il y a le musée Soulages qui expose nombre de ses oeuvres : le noir de Soulages, il est magnétique et hypnotique, j'aime beaucoup 🙂 .

      musée Soulages.jpg

      posté dans People
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    • RE: Vraies ou fake news?

      Non mais écoutez-les, ces 2-là ! Vous voulez un peu de Qlture dans ce domaine ?
      Voici un lien fort instructif avec conseils indispensables.

      http://www.slate.fr/story/157048/choses-bizarres-dans-lanus

      Allez, suis dans un bon jour, voici ce lien, bonus pour satisfaire la curiosité :)))
      https://www.medisite.fr/insolite-images-les-8-pires-objets-coinces-dans-le-rectum-dun-patient.793786.103.html?page=1

      posté dans Animations Communauté
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    • La Nuit de feu

      la nuit de feu.jpg
      Phrase sur la couverture du livre de poche : " Sur terre, ce ne sont pas les occasions de s'émerveiller qui manquent, mais les émerveillés ".

      Ce livre ne peut se décrire, on ne peut en faire une analyse, pas même le résumer.
      Parce qu'aucun mot ne peut signifier ce qui ne se laisse pas enfermer dans un quelconque signifiant.
      EES le dit ainsi ( je ne spoile rien en révélant ce passage de son livre, mais il m'a paru intéressant de le révéler à ceux qui ne liront pas ce récit : La Nuit de feu ) :
      " Cette énergie inébranlable, indomptable, à l'oeuvre dans l'univers, je m'absorbe en elle.
      J'en reçois des messages, difficiles, non à saisir car ils s'imposent, mais à transcrire dans le langage.
      Les mots ont été inventés pour décrire les objets, les sentiments, des réalités humaines.
      Coment désigneraient-ils ce qui les dépasse ou ce qui les fonde ? Comment des termes finis exprimeraient-ils l'infini ?
      Comment les étiquettes du visible estampilleraient-elles l'invisible ?
      Ils inventorient le monde, or, je pénètre dans l'au-delà du monde.
      Plus j'avance, moins je questionne. Je circule au sein d'un lieu sans pourquoi.
      Je brûle, je fusionne, je perds mes limites, j'entre dans le foyer...
      La confiance du croyant offre une façon d'habiter le mystère. Le mystère, lui, subsiste...
      Nous devons reconnaître et cultiver notre ignorance. L'humanisme pacifique coûte ce prix-là.
      Nous ne sommes frères qu'en ignorance, pas en croyance.
      Ce ne sera qu'au nom de l'ignorance partagée que nous tolèrerons les croyances qui nous séparent, que nous respecterons l'autre, le même que soi, celui qui voudrait savoir et qui ne sait pas ( car le mystère subsiste ).
      Seuls, les arguments rationnels ont le pouvoir d'emporter l'adhésion, pas les expériences.
      Je n'ai fait qu'éprouver, je ne prouverai donc pas, je me contente de témoigner.
      Une nuit sur terre m'a mis en joie pour l'existence entière. Une nuit sur terre m'a fait pressentir l'éternité
      ".

      Mais écoutez-le parler de ce qu'est la vraie foi, de ce qu'est le mystère de la condition humaine : " elle ne fait pas de bruit, c'est une musique intérieure ". Elle devrait " permettre de mieux vivre ensemble parce que Dieu n'est pas un objet de savoir " et dangereux sont ceux qui prétendent savoir :que Dieu existe ou qu'il n'existe pas, " cela conduit à l'intégrisme religieux ou athée ".

      posté dans Littérature
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    • RE: Accident de Pierre Palmade

      Il est normal que les gens s'intéressent autant à ce drame, parce qu'il s'agit de quelqu'un de connu qui plus est a fait rire des millions de personnes. Le contraste est d'autant plus saisissant avec cet accident qui le met maintenant dans le camp des inconscients criminels involontairement. Ce qui est morbide, ce n'est pas la curiosité mais toutes les supputations qui vont bon train avant que vérité ne soit enfin démontrée.
      Je pense que les gens sont horrifiés par le sort des victimes et suivent les actus dans l'espoir qu'on puisse les réparer le mieux possible tout en redoutant les séquelles qui resteront à vie. Les victimes ne vivent pas un drame mais une véritable tragédie. Comment ne pas penser que ça pourrait arriver à n'importe qui, nous, nos enfants... 😞 .

      posté dans People
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    • RE: Vraies ou fake news?

      @icescream : purée oui, tu me rappelles que j'avais un chat et un lapin ( en liberté dans la maison ).
      Un jour, mon chat a voulu se taper le lapin qui n'a pas cherché à se sauver...maintenant,
      je ne sais pas si le rapport fut abouti 😉 .
      Je pense que dans la nature, quand des animaux en viennent à ces pratiques, c'est parce qu'ils sont
      en manque de partenaire de leur espèce quand la période de rut les titille.

      posté dans Animations Communauté
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    • L'Éléphant bleu

      Heureusement que je ne suis pas influençable en lisant certaines critiques sur Babélio !
      Par ailleurs, j'avais déjà lu l'un de ses romans, " La fille du ciel " pour savoir que j'aime son écriture.
      J'aime sa plume légère capable de décrire sans dolorisme les choses douloureuses de la vie et sans fausse pudeur celles du sexe : elle emploie parfois des expressions croustillantes pour les décrire. Oui, elle s'autorise à parler comme un homme, pourquoi, y a t-il un vocabulaire réservé à chaque sexe ?
      Dans ses romans, elle parle d'amour aussi, mais sans concession parce qu'il ne faut pas taire l'amour qui blesse et qui salit : il existe et il fait mal. ( Elle n'a rien retenu des contes de fées et de princesses de son enfance et c'est tant mieux ) .
      Alors oui, cela peut en déranger certains.
      Dans ce roman, on ne peut que s'attacher au personnage principal, Sirikit, une jeune fille qui raconte son enfance en Thaïlande puis ses 17-18 ans à Londres.
      " YL nous fait découvrir Londres des années 70, avec ses excès, ses exentricités et ses personnages hauts en couleurs.
      Sirikit croise le destin d'hommes et de femmes qui transpirent le mal être ".
      Ce livre n'est en aucun cas triste et se finit bien 🙂 .

      Quelques citations extraites du livre qui ne spoilent rien de ses aventures :

      " J'ai coupé les ponts avec ma famille. Plus rien ne me lie à personne. Ivresse de l'inconnu. Impression de naître pour la seconde fois, de me trouver tout nue devant mon destin comme dans ce drôle de cauchemar que je faisais petite fille ".

      " Je découvre que le racisme, c'est un peu comme les boutons, ça ne râte jamais l'occasion de faire éruption. Il suffit d'une indisposition ".

      " La sculpture est la démonstration éloquente de cette violente pulsion animale qui caractérise le désir humain, poursuit-il en la parodiant grossièrement ( contexte : une journaliste qui le gonfle ), l'Anti-Cérébral, chère madame, la création pure, le contact direct avec la matière, l'éjaculation perpétuelle à l'état brut, à la différence de ces intellos, de ces scribouillards honteux qui s'asticotent frénétiquement le gros cervelet en camouflant leur libido congestionnée derrière les mots, oui des mots et même pas des gros ".

      Livre trouvé dans la boîre à livres de mon village : couverture abîmée, mais toutes les pages sont nickel.

      YL 1.jpg

      YL 2.jpg

      PS : pourquoi l'éléphant bleu ? Parce qu'il représente en Thaïlande celui qui se sent différent, inadapté ou inadaptable, et de ce fait se démarque du reste du troupeau.

      posté dans Littérature
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    • RE: Accident de Pierre Palmade

      @Hilda-1 a dit dans Accident de Pierre Palmade :

      C'est pas normal de chercher à faire disparaitre des éléments d'enquête et de prendre la fuite.

      L'un des 2 passagers est connu de la police pour trafic de drogue, il risque 10 ans de taule ( PP presqu'autant pour conduite sous l'emprise de stupéfiant ayant entraîné des blessures pour autrui). Rien d'étonnant à ce qu'il ait eu envie d'échapper à cette sanction.

      posté dans People
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    • RE: Légende cette image

      J'aime bien ce jeu, alors je vous propose ces photos .
      chats.jpg

      " 1ère et unique leçon, petit : l'homme tu asserviras car ce n'est pas le lion le roi, mais toi.

      tombe insolite.jpg

      Stop ! Arrêtez de polluer les sols, vos saloperies chimiques me donnent des démangeaisons épouvantables !

      posté dans Animations Communauté
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    • RE: La Mécanique du cœur

      La grille de lecture de ce conte initiatique sera différente à mon avis selon qu'on le lit ado, adulte ou senior.
      Dans une ambiance fantastique où la frontière entre réel et imaginaire n'est pas toujours si évidente grâce à l'emploi de métaphores très poétiques, Mathias nous raconte comment mais surtout pourquoi " la mécanique du coeur " ne demeure jamais un rouage bien huilé : tous les sentiments et les émotions de l'être humain ( amour passionnel, possessivité, jalousie, trahison, désir de vengeance, communication rendue difficile à cause de la peur, du rejet, du manque de confiance en soi, etc ) défilent au fil des jours, ces sentiments qui font autant la force que la faiblesse du pantin humain.
      Car c'est bien ce que nous sommes, des pantins, manipulés par les aléas de la vie qui nous obligent à nous dépasser, à renoncer aussi, pour simplement survivre.
      L'enfant découvre en devenant adulte ce qui compose la tragédie humaine et qu'il doit accepter : la découverte que l'absolu doit céder la place au relatif, que, si l'amour appartient à l'infini, à l'éternité, l'humain quant à lui se trouve dans une autre dimension, celle des limites de la temporalité et de la finitude.
      Extraits : " Cette nuit, je vais grimper à la lune, m'installer dans le croissant comme dans un hamac et je n'aurai absolument pas besoin de dormir pour rêver ".
      " Je voulais fabriquer un voyage sur la Lune rien que pour elle, mais c'est un vrai voyage sur Terre que j'aurais dû lui offrir ".
      Garder les pieds sur terre : mais c'est tellement le paradis de s'évader dans l'imaginaire, dans l'illusion, au risque d'y trouver des rêves maudits et de connaître alors l'enfer.
      Eros et Thanatos n'en finissent jamais de jouer à cache-cache tant que le coeur bat : tic-tac, tic-tac.
      Mon ressenti à cette lecture : un mélange d'émerveillement et de mélancolie, à l'image de la vie.

      posté dans Littérature
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