@delnis : j'aime, que dis-je, j'adore la chanson française, j'adore ma langue maternelle.
Mais cela ne m'empêche pas de trouver l'anglais " fun " et sympa à parler.
Voilà, c'est dit. Alors, en chanson francophone connue à l'international, il y a l'incontournable Céline Dion...
bin je la contourne, je préfère Isabelle Boulay 
.
Cette reprise d'une chanson de Barbara me donne des frissons.
Pour ma part, j'ai acheté l'intégrale de cette série sur amazon pour 25 euros au lieu de 50 en blu-ray.
J'ai regardé les 5 premiers épisodes de la saison 1 d'affilée puis le lendemain les 5 suivants.
Purée, quand ça me squatte le cervelet, faut que j'enchaîne les épisodes : une vraie boulimique !
Pourquoi j'adore cette série ? Y'a du gore, de la violence, de l'amour, du sordide, de l'incompréhensible, et tout,
et tout ce qui compose les tréfonds de notre psyché. Alors oui, ça bouscule notre humanité...pas toujours si humaine.
Faut assumer ! Voilà comment j'interprète le message véhiculé ( du moins dans la saison 1, pas encore vu les 2 autres ) :
pour moi, c'est l'éternel combat entre Eros en tant qu'amour de la vie et Thanatos,
traité ici en dehors de toutes considérations psychalytique ou moraliste.
Le rôle du pasteur est surprenant : même lui échappe au dogme judéo-chrétien.
Et puis, en fil conducteur , il y a la souffrance à laquelle un camp veut échapper et l'autre s'y complaire :
toute l'ambivalence caractéristique de ce qui compose " la tragédie humaine ".
J'ai hâte d'attaquer la saison 2 : ce soir pour m'en enquiller encore 5 épisodes ? 
Je suis la " saigneuse d'agresseurs ", ahaha. Serais-je une amazone ?
En partie seulement car j'aime les hommes...je les aime tellement que je ne veux plus cohabiter avec l'un d'entre eux, non, pas pour m'en payer plusieurs, what did you expect ? Pour ne pas le faire souffrir avec mon fichu caractère
Mon prénom = Patricia. Lécher une barre de métro ? Y'a mieux non, comme embrasser un joli garçon, ptdr.
Un roman ou un essai sur ou aux temps de la Rome antique.
V- Un roman ou un essai qui a pour thématique l'océan/la mer : " Océan mer " de Alessandro Baricco.
Un livre d'au moins 300 pages
V- Un livre inclusif : " Nous les filles de nulle part " de Amy Reed.
Un tome 2 qu'on n'a pas pris le temps de lire.
V- Des contes ou légendes étrangers : " les contes d'Amadou Koumba " de Birago Diop.
Un livre d'un auteur espagnol.
V- Un recueil de nouvelles : " 10 nouvelles fantastiques de l'Antiquité à nos jours " de Alain Grousset.
V- Un tome d'un manhwa : " Mijeong de Byun Byung Jun ".
V- Un livre avec une femme en héros principal : " Bethsabée " de Torgny Lindgren.
V- Un livre avec une créature imaginaire : " Les oiseaux du temps " de Amal Em-Mohtar et Max Gladstone.
Et " La grande déesse mère : création, fertilité et abondance : mythes et archétypes féminins " de Shahrukh Husain.
V- Un livre où il y a des animaux : " la ferme des animaux de George Orwell ".
V- Un livre avec pour toile de fond la seconde guerre mondiale : " La race des orphelins " de Oscar Lalo.
Un livre dont le titre commence par "Le".
V- Histoire dans un pays que l'on souhaite ou que l'on a visité :" Le roman de la momie " de Théophile Gautier.
J'en suis à 10/15. J'attaque maintenant des romans presque tous de plus de 300 pages ( celui que j'ai choisi pour livre d'un auteur espagnol fait 889 pages ! ).
@Hilda-Van-Holp : je craque : je vais me faire un croque-monsieur avec du fromage à raclette au chèvre, avec plein de salade verte pour compenser ! 
@marie33 : pour casser le cercle vicieux, il faut appliquer les fondamentaux :
.1: le fameux " connais-toi toi-même " pour comprendre notre part de responsabilité dans nos inter-actions avec les autres.
.2: être conscient de l'effet boomerang : action => réaction. Et comme le dit si bien @Kachina :
" renvoyer une image négative ou stagner dans la négation génère du négatif de la part d’autrui ".
.3: savoir remettre en cause nos croyances : on sait combien les a-priori polluent notre perception des gens et des évènements.
.4: savoir compter sur le temps = se poser avant de réagir impulsivement sous le coup de la colère
ou de la frustration qui ne sont jamais de bonnes conseillères .
Une quadrature du cercle, voili-voulou.
@LeaPierce et @biquette : " mangez-moi ", j'avais acheté le cd à mes fils qui adoraient cette chanson. C'est plein de bons souvenirs pour moi comme pour eux .
@delnis : ce film est à voir, comme ( presque ) tous ceux de Besson.
Bon, je suis fan de Besson, mais outre ce détail, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas .
@Marcel : le problème de l'enfant, c'est qu'il ne fait le plus souvent pas preuve d'autorité mais d'autoritarisme. Ça s'explique : lui qui est dominé par les adultes peut enfin dominer quelqu'un.
Donc 1ère chose : lui faire comprendre qu'un chien n'est pas un jouet, qu'on n'en fait pas ce que l'on veut parce que c'est un être vivant doté d'émotions : affection, joie, mais aussi peur, chagrin, etc.
Question éducation : patience, persévérance et bienveillance sont les clés principales. Plus la complicité sera grande, plus l'éducation se fera rapidement.
Pour ce faire : êre en interaction avec son chien, le faire jouer et lui donner des ordres sympas ( le chien adore " travailler " pour son maître ).
P de B de M : me voilà affublée de XXX money => recherche google image, c'est du porno !
Il fallait que ça tombe sur moi, l'une des plus vieilles de ce site.
Bouhouhou, c'est vraiment trop inzuste, je m'en vais de ce pas me suicider...au chocolat !
En 11e sur 15, j'ai choisi :
Un roman aux temps de la Rome antique : " Les deux visages de Janus " de André et Michèle Bonnery. 444 p.
Comme dab, suis nulle. Je m'en vais de ce pas me suicider au chocolat !
@heidi : il y a le libre-arbitre et la liberté de conscience, ce sont 2 choses bien différentes.
@Jabba-the-Hutt et @Jonesy ( pardon de t'avoir oubliée, je n'ai vu ton com qu'après avoir écrit le mien )
ont envisagé ce concept dans son aspect sociétal.
Je vais l'envisager au niveau individuel : il faut tenir compte pour parler de libre-arbitre de paramètres incontournables
comme l'éducation dans tel milieu avec telles valeurs mais aussi tels tabous enseignés,
et les expériences vécues, surtout les malheureuses qui laissent des traces et influencent nos réactions face à ces situations
quand elles se reproduisent ne serait-ce qu'en partie.
Enfin, quel libre-arbitre est-il possible quand la peur paralyse ou engendre des conduites d'évitement ou de fuite ?
Peur de l'inconnu, peur de la violence et des agressions, peur de la mort...
C'est flagrant à notre époque avec les conjonctures que nous connaissons : crise sanitaire, immigration,
augmentation des violences faites aux femmes ( + 30% en 2021 par rapport à 2020 ).
Je pense donc que, si nous avons bien une part de libre-arbitre, elle est limitée, tout comme le sont nos libertés
. dans une société démocratique qui comporte certes des droits mais aussi des devoirs,
. dans un groupe où il est bien vu de se comporter de telle façon pour se conformer au consensus admis :
y déroger expose à la critique voire au rejet.
Pas de libre-arbitre quand on agit pour plaire aux autres en se fondant dans la masse.
Au contrevenant, on lui expliquera que c'est pour l'harmonie du groupe..
On préfère alors se taire et/ou se conformer, contraint par la crainte, non seulement de ne pas être reconnu =
compris dans notre " je suis ce que je suis ", mais aussi et surtout d'être rejeté.
Quid du libre-arbitre, de la libre volonté d'agir en accord avec nos valeurs, nos désirs ou nos besoins ?
Faire des compromis ou des concessions, c'est déjà une entrave à ce fameux libre-arbitre.
Certains disent que le L-A est un cadeau empoisonné de la part du Principe 1er.
On peut faire le choix de vivre + ou - en ermite pour subir le moins possible la pression des autres et ainsi,
avoir un peu plus de libre-arbitre.
Mais là aussi, cette réaction n'est pas totalement libre puisque la conséquence résulte d'une cause.
Voici une chanson de Johnny Cash plusieurs fois reprise. Je mets 2 versions. J'ai une une petite préférence pour la 2e bien que les arrangements musicaux soient moins country .
@kallindra : ah, ok. J'ai donc bien fait de le regarder comme un conte de fées.
@icescream : mon jack poilu quant à lui joue au foot, il lance un jouet en l'air puis le rattrape et recommence plusieurs fois de suite. Parfois, il le lance dans ma direction pour que je le lui renvoie .
On peut leur apprendre plein de choses aux jacks, c'est pourquoi ils sont si souvent employés comme acteurs au cinéma .
@jool a dit dans L'horoscope Gorafi :
Si vous avez un animal domestique (type chien, chat) il viendra vous réveiller chaque nuit à 04h04 précises.
Ptdr, pas complètement faux pour une fois, l'horoscope Gorafi.
Mais j'y ai remédié : c'est mon poilu qui avait cette fâcheuse tendance. Je l'ai " éduqué " à coups de " rugissements " de ma part.
Comme il déteste me contrarier ( ah, si les enfants étaient comme ça aussi, mdr ), il me surveille et attend sagement
que j'ouvre un oeil. Mais pas question de traîner au lit dès que je suis réveillée. 
@sisi a dit dans Le ras-le-bol des femmes :
Autant vous dire qu'il aura bientôt une belle surprise de l'inspection du travail.
Il pense qu'il t'a mis la pression et que tu n'oseras pas réagir. Bravo pour ta démarche de signalement à l'inspection du travail : ce qu'il a fait est illégal !
Voici une chanson toute douce que nous offre la divine Shania Twain accompagnée de l'incontournable Willie Nelson, âgé de 89 ans maintenant ( non, il n'est pas mort, contrairement à ce qu'affirment de fausses rumeurs ).
Je viens de regarder un film extraordinaire, pas au cinéma puisque je n'en ai pas le droit,
mais chez mon fils qui vit dans l'appart du rdc de ma maison, confortablement installée dans un fauteuil stressless,
en grignotant des popcorns et en sirotant une bonne binouze, sur télé grand écran avec un son home cinéma
d'une qualité irréprochable.
Eh oui ! Il y a toujours moyen pour ne pas souffrir de l'ostracisation de ceux qui osent ne pas se plier au système.
En tout cas pour moi : mieux qu'au cinéma. Plaisir jouissif, dans ces conditions, du streaming de ce film qui est :
" Le Dernier duel ", réalisé par Ridley Scott avec Matt Damon, Adam Driver et Jodie Comer, sorti le 13 octobre 2021.
Et la musique de Harry Gregson-Williams nous tient en haleine tout du long .
D'après l'ouvrage Le Dernier Duel inspiré d'une histoire vraie. Synopsis : Paris, 29 décembre 1386.
Le film, qui s'ouvre sur le début du duel, est construit en trois flashbacks sur ce qui y a conduit :
la vérité selon Jean de Carrouges, la vérité selon Jacques le Gris, la vérité selon Marguerite de Thibouville.
En 1386, en Normandie, le chevalier Jean de Carrouges, de retour d'un voyage à Paris, retrouve son épouse,
Marguerite de Thibouville. Celle-ci accuse l'écuyer Jacques le Gris, vieil ami du chevalier, de l'avoir violée.
Le Gris se dit innocent. L'affaire remonte jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir.
Le roi Charles VI doit décider s'il y aura un « procès par le combat », selon le souhait du chevalier.
Ce duel est censé déterminer la vérité. Si son mari est vaincu, Marguerite de Thibouville sera brûlée vive
pour fausse accusation.
Le duel aura lieu dans lequel ce sera donc la justice divine qui se manifestera :
la croyance en ce temps-là voulait que Dieu fasse forcément gagner celui qui dit la vérité.
( Ce duel sera le dernier de toute l'Histoire du pays à signifier le jugement par Dieu ).
Le film montre la vision que chacun des 3 personnages a de l'évènement du viol et les sensibles différences
de perception des faits révèlent le ressenti de chacun ainsi que les enjeux encourus où se trouve au bout la mort.
Pour qui ? Car chacun des 3 la risque selon l'issue du combat.
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