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ayamé
Bonjour à tous,
Inscrite sur les conseils d'une amie, alors me voici. Je suis à la retraite, j'étais infirmière dont une bonne partie de ma carrière en psychiatrie. En quelques mots, je dirai que j'aime lire, écrire, pratiquer le qi gong et la gym en salle ( en visioconf actuellement ) .
Je partage ma vie avec des jack russell. Ma devise vient de Nelson Mandela :
" " ne te laisse pas prendre ta joie, si tu perds ta joie, tu perds ta force ".
Ma philosophie de vie : carpe diem hic et nunc = profite de chaque instant ici et maintenant :). -
ayamé
Choix vraiment difficile, j'aime les 3 mais une petite préférence pour la chanson de Guizmo.
Je vote pour Guizmo
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ayamé
" Le bonheur, c'est continuer à désirer ce que l'on possède " - Saint Augustin -
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ayamé
@kardia : si cette famille ne t'apprécie pas, je doute que porter leur nom la ramènera vers de meilleurs sentiments à ton égard. D'autre part, si tu te maries un jour, tu porteras le nom de ton mari.
Le nom de ton père fait partie de ton identité pas seulement civile mais intime aussi.
Si tu souhaites le garder, garde-le : ton choix et tes motivations, plus que légitimes, ne regardent que toi.
Je te souhaite de conserver ton courage car il en faut pour supporter la situation que tu vis. -
ayamé
Youpi, je pars ce matin pour 3 jours chez mon père. Je ne l'ai pas vu le mois dernier à cause des 10 kms, alors là, ma joie est décuplée !
Demain midi et dimanche midi, nous mangeons ensemble avec mon frère et ma belle-soeur
( que j'aurais pu perdre à cause du covid, vu leurs pathologies ), alors, CARPE DIEM . -
ayamé
@tilo76 : d'abord, on ne juge pas ici, t'inquiète.
Non, tu ne préfères pas le shit à ta mère. Tu es juste esclave du shit et c'est cette dépendance
qui te fait croire que tu l'aimes plus que ta mère. Alors, pas d'inquiétude de ce côté-là.
Tu pensais à aller voir un psy ? Vas-y ! Il saura t'aider . -
ayamé
C'est le genre d'émission qui tire vers le bas et n'aide vraiment pas les gens à réfléchir. On est dans le " action-réaction " sans réflexion, bref : une émission pour lobotomiser le cerveau des gens et les abrutir !!!
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ayamé
@Egon : j'ai adoré vos choix, le tien et celui de Kallindra : l'un connu et l'autre une découverte. Je vote uniquement en fonction du plaisir à l'écoute : chacun réagit avec ses propres critères de sélection.
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ayamé
Une personne optimiste ne refuse pas de voir le côté négatif des choses,
elle refuse juste de s'attarder dessus ( auteur inconnu ). -
ayamé
@loutre : mon expérience : j'avais expliqué à mes fils après mon divorce qu'en tant que mère, je leur appartenais à 100% et que personne ne pourrait jamais leur enlever le moindre x%. Mais qu'en tant que femme avec des besoins de femme, je leur appartenais à 0%.
Ils ont très bien compris et très bien accepté mon nouvel homme quand je le leur ai présenté ( je n'avais pas attendu des mois ).
Il n'y a pas de règle générale : chacun fait en fonction de sa situation, différente de celle du voisin.
Ta fille me semble assez mature pour comprendre. Rien à voir avec le fait qu'elle n'est certes ni ton amie, ni ta confidente : c'est juste qu'elle a le droit, à mon avis, d'être au courant de certaines choses.
Françoise Dolto a écrit des choses très intéressantes sur " l'homme de la mère ", qui n'est pas forcément le père, son rôle qui permet à la mère de ne pas être trop fusionnelle avec ses enfants, ce qui n'est bon ni pour l'une, ni pour les autres. -
ayamé
Dan un pub irlandais ( en France ) avec des amis, ayant bu pas mal de guiness, vient le moment
où je dois aller d'urgence aux toilettes.
Celles des dames étant condamnées, je vais donc à celles des messieurs. Là, c'est la porte qui ne ferme pas à clé.
Pas grave, la fin justifie les moyens et c'est en remontant culotte et collant que soudain la porte s'ouvre et que
je me retrouve en position euh, pas franchement sexy à mon avis, devant un homme charmant.
Fou rire de part et d'autre pour dissiper le malaise.
Il m'offre un verre et, et, on s'échange nos 06 et dès le lendemain, on est sorti ensemble
J'ai vécu 13 ans avec lui.
Il y a des fois où cette phrase publicitaire: " c'est bon la honte " se vérifie .
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ayamé
“J’aurais pu dire : Vieillir, c’est désolant, c’est insupportable, C’est douloureux, c’est horrible, C’est déprimant, c’est mortel.
Mais j’ai préféré « chiant ». Parce que c’est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste.
Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira.
Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance. On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.
On était bien dans sa peau. On se sentait conquérant. Invulnérable. La vie devant soi.
Même à cinquante ans, c’était encore très bien…. Même à soixante.
Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.
Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps, j’ai vu le regard des jeunes…..
Des hommes et des femmes dans la force de l’âge qui ne me considéraient plus comme un des leurs,
même apparenté, même à la marge.
J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard.
Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables.
Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans l’apartheid de l’âge.
Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants.
« Avec respect », « En hommage respectueux », « Avec mes sentiments très respectueux ».
Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ? Les cons !
Et du ‘cher Monsieur Pivot’ long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !
Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien.
Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve.
Rêver, c’est se souvenir, tant qu’à faire, des heures exquises. C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.
C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve. La musique est une drogue douce.
J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant soit l’Adagio du Concerto n° 23 en La majeur de Mozart,
soit, du même, l’Andante de son Concerto n° 21 en Ut majeur,
musiques au bout desquelles se révéleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au-delà.
Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement.
Nous ignorons à combien se monte encore notre capital. En années ? En mois ? En jours ?
Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.
Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.
Après nous, le déluge ?… Non, Mozart.”Extrait du livre Les Mots de ma vie, de Bernard Pivot.
Conclusion : le temps qui passe est une douleur quand on le subit mais un bonheur quand on en jouit. -
ayamé
Je ne vois que ce magnifique poème ‘le train de la vie’ de Jean d’Ormesson, métaphore de nos amitiés, pour décrire ce qui est notre lot à tous et avec lequel nous devons composer.
" A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents. Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, à une station, nos parents descendront du train, nous laissant seuls continuer le voyage…
Au fur et à mesure que le temps passe, d’autres personnes montent dans le train.
Et ils seront importants : notre fratrie, amis, enfants, même l’amour de notre vie.
Beaucoup démissionneront (même l’amour de notre vie) et laisseront un vide plus ou moins grand.
D’autres seront si discrets qu’on ne réalisera pas qu’ils ont quitté leurs sièges.
Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes, de bonjours, d’au-revoir et d’adieux.
Le succès est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu qu’on donne le meilleur de nous-mêmes.
On ne sait pas à quelle station nous descendrons. Donc vivons heureux, aimons et pardonnons !
Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train, nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs a ceux qui continuent leur voyage…
Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique.
Aussi, merci d’être un des passagers de mon train.
Et si je dois descendre à la prochaine station, je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous ! . " -
ayamé
@ostara : tu ne les regretteras pas, parole de ménopausée qui n'a pas souffert bien longtemps de bouffées de chaleur.
Sécheresse vaginale ? Moi pas connaître.
Le secret : la ménopause, faut pas en faire une maladie parce que ce n'en est pas une.
Mieux on l'accepte dans sa tête, mieux elle se passe . -
ayamé
J'étais en train de lire quelques histoires " morales " que j'ai mises dans mes favoris et je suis tombée sur celle-ci .
Un fils alla visiter sa mère de 85 ans dans un EHPAD pour l’amener se promener en campagne.
À leur départ de sa chambre, il remarqua qu’elle avait oublié sa cane. " N’oublie pas ta cane, maman!» dit-il.
Elle le regarda d’un air sévère et dans des termes sans équivoques, lui expliqua que ce n’était pas une cane, mais un bâton de marche. " Quelle est la différence, demanda le fils. Elle répondit :
" Une cane, cela évoque un handicap. Un bâton de marche, cela évoque une capacité. Je suis capable ! " (Mike Moore) -
ayamé
@DVA2TLSE : perte de temps dans quel sens ? Bien des croyants ne " perdent " plus de temps à aller aux offices religieux. Penser des choses sur le sacré et lire des choses à ce sujet, aller à la messe le dimanche ou pratiquer les prières musulmanes, c' est une perte de temps ? Pas plus que de jouer aux jeux vidéos, lire ou regarder des films.
Chacun occupe son temps comme il le souhaite et ce qui est une perte de temps pour les uns ne l'est pas pour d'autres : à chacun ses choix pour s'épanouir dans ce qui l'intéresse et lui fait du bien . -
ayamé
Mon fils aîné et ses 3 filles arrivent dans environ 1h.
Mon fils brestois est arrivé vendredi soir, et le plus jeune est sur place.
J'ai toute ma smala pour Noël, yeah . -
ayamé
@Shanna : avec tous les régimes spéciaux qu'il y a actuellement, ça leur ferait un sacré stock à avoir avec de surcroît le risque de se retrouver avec plein de produits périmés.
Qui veut un latte au lait d'avoine se le fait chez lui et prend autre-chose dans un bar : une bonne bière par exemple, y'a de l'orge dedans, ça vaut l'avoine non ? Quoi, y'a de l'alcool : si peu, ça le rendra plus joyeux . -
ayamé
Parce que les aïeules des infirmières étaient les bonnes soeurs dévouées corps et âme
sans rien réclamer aux soins des malades, le cliché est resté chez bon nombre de gens :
les infirmières ont choisi ce métier par passion ( c'est pas faux ), mais n'en font pas pour autant un sacerdoce.
Elles sont aussi, contrairement aux bonnes soeurs, épouses et mères et réclament à juste titre :
des conditions de travail qui ne les laissent pas exsangues dans leur foyer, des salaires décents
reconnaissant leur formation et la pénibilité de ce qui est un métier et non un sacerdoce.