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Astyanax
Il y a bien une technique : ne pas dormir. Je t'assure ; ça fonctionne.
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Astyanax
@jool Le problème, c'est que les nombres sont donc liés à des objets.
Tu viens de me dire 25, je viens de penser que je dois acheter des culottes menstruelles. Super. -
Astyanax
Je n'ai pas de passion particulière pour Harry Potter. Cependant, il semble clair qu'il ne s'agit plus d'une mode. J'avais lu les bouquins à huit ans. Mes élèves de onze ans les dévorent. J'ai donc proposé une séquence en sixième sur l'œuvre.
J'ai remarqué des choses étonnantes... La traduction entre les deux éditions change énormément... Il s'agit du même traducteur. Les informations ne semblent pas se correspondre. Troisième étage devient deuxième... Etc.
Je vais tenter de lire l'œuvre originale… Car cela me perturbe. -
Astyanax
C'est dingue. Et intéressant.
Pour ma part, j'ai été émue par cette vidéo qui deviendra probablement... Rapidement virale...
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Astyanax
@jool a dit dans Les tocs et choses bizarres qu'on ne peut pas s'empêcher de faire :
@Jonesy
Haha non, c'est beaucoup plus pourri que ce que vous pensez...3 et 7 sont des nombres premiers,
1 et 32 ne le sont pas.Quand je vois des chiffres ou des nombres j'y cherche souvent une logique, un truc qui en ressort.
Voilà, désolé de vous avoir fait perdre 1 minute à lire ça
Je suis comme toi, Jool. C'est encore plus effrayant.
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Astyanax
Bienvenue.
Nous allons nous entendre ; c'est certain. -
Astyanax
@Jonesy a dit dans Les tocs et choses bizarres qu'on ne peut pas s'empêcher de faire :
j'ai des soucis en matière de concentration
Ça m'étonne du peu que j'ai lu de tes posts
L'ordinateur me canalise. Un peu. J'ai 8 fenêtres ouvertes... Je passe d'une idée à une autre. La pensée arborescente est une plaie... Parfois.
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Astyanax
@antisolitudedu18 a dit dans Vos phobies :
Moi j’ai une phobie hyper bizarre j’ai peur de la mort, de mourrir et perdre mes proches malgré que j’en ai déjà perdu. A quel point que ceci me fait flipper je fait des calculs pour voir les âges de mes proches etc pour voir l’âge que ont aura dans 15 ans par exemple. Des fois ceci jour sur le morale. Après je veut pas plomber l’ambiance. Et quand je vois des personnes « âgée » je me demande si il pense à la mort etc . Oui Je suis bizarre lol
Je me permets. Cette phobie n'est pas étonnante. La peur de la finitude... Est assez courante chez les êtres pensants. On apprend à la maîtriser ou non.
En ce moment, je lis Heidegger. Et cette "phobie" est plus prestante. Bref. Pas de bizarrerie.Phobie de la foule, également. Et je ressens la même chose en voyant la course effrénée des étourneaux.
Sans être une phobie, je ne supporte pas de ne pas comprendre une chose. Cela peut vite me rendre folle et monomaniaque.
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Astyanax
Pas vraiment de tocs. Des choses un peu bizarres, oui.
Je suis bordélique, et j'ai des soucis en matière de concentration.
Je donne des numéros aux objets. Quand je fais mon sac, je vérifie donc que j'ai avec moi le 1, 3, 7, 32. -
Astyanax
Je viens de découvrir que mon chef (chef d'établissement) est raciste. Et qu'il a reçu les palmes académiques.
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Astyanax
Je vais essayer d'être synthétique...
Bac S reçu un peu tôt... Puis... Des études... Anthropologie, psychologie, politique, philosophie, un CAP joaillerie, un CAP fleuriste, retour aux lettres... Doctorat en lexicologie... Enseignante dans un petit collège en campagne.
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Astyanax
Je suis sensible, et perfectionniste. Comme beaucoup d'entre vous. Je peux me montrer égoïste, car désormais je pense à mes envies. En premier. J'essaie... Car l'empathie peut me monter au cerveau. Je travaille trop. Tout le temps. Cela me ronge. Et je suis une sacrée nostalgique d'une période qui pourtant était bien morose... Mon langage manque souvent de clarté. Il en découle constamment des quiproquos, des équivoques.
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Astyanax
@Dirty-Cop C'est marrant. J'ai vu Tremors, il y a pas longtemps. J'ai passé un bon moment, à la lisière du nanar.
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Astyanax
J'ai été rejetée, aussi. Donc, tout d'abord, accolade d'ange.
Et ce, depuis le CP. J'étais sensible. Je pleurais pour tout ; surtout quand il pleuvait. Au collège, j'étais fringuée n'importe comment. Cela n'aidait pas. Et je lisais... C'était un peu la honte de lire.
Puis... Le reste se ressemble. Avec le temps, et une forme d'objectivité qui garde ses limites, je me suis rendue compte que je protégeais ma mère... Je ne voulais pas être un poids. Je me suis concentrée sur les études, en serrant les dents, tout en rêvant de rencontrer mes pairs. Les curieux. Les créateurs. Les bienveillants. Je ne jouais pas au football : j'étais rejetée. Je n'écoutais pas encore de rap : j'étais rejetée. Je n'étais pas habillée à la mode : j'étais rejetée. Je ne faisais pas de Boum : j'étais rejetée.Enseignante, je fais désormais très attention à cela. J'ai réussi à faire changer de classe une gamine qui était systématiquement rejetée. Elle est particulière, passionnée. Elle a réussi à trouver une jeune fille aux centres d'intérêt proches. Qui accepte son humour.
Une vérité, à mes yeux, qu'on oublie souvent : les enfants peuvent être blessants. Méchants. Le pouvoir rend fou, même à cet âge. La faute à qui ? Je ne sais pas.
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Astyanax
Pour la première fois de ma vie, je ressens le besoin de tisser des liens, de découvrir d'autres personnes. De les découvrir complètement. Pas d'accélérer les "Bonjour ça va", en boucle, jusqu'à en vomir. Connaître quelqu'un. Sans me lasser. Voir chaque ficelle.
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Astyanax
Frollo est un Saint. Je vote pour lui. Amoureuse de lui.
*Comme Claude Frollo avait parcouru dès sa jeunesse le cercle presque entier des connaissances humaines positives, extérieures et licites, force lui fut, à moins de s'arrêter ubi defuit orbis, force lui fut d'aller plus loin et de chercher d'autres aliments à l'activité insatiable de son intelligence. L'antique symbole du serpent qui se mord la queue convient surtout à la science. Il paraît que Claude Frollo l'avait éprouvé. Plusieurs personnes graves affirmaient qu'après, avoir épuisé le fas du savoir humain, il avait osé pénétrer dans le nefas. Il avait, disait-on, goûté successivement toutes les pommes de l'arbre de l'intelligence, et, faim ou dégoût, il avait fini par mordre au fruit défendu. Il avait pris place tour à tour, comme nos lecteurs l'ont vu, aux conférences des théologiens en Sorbonne, aux assemblées des artiens à l'image Saint-Hilaire, aux disputes des décrétistes à l'image Saint-Martin, aux congrégations des médecins au bénitier de Notre-Dame, ad cupam Nostrae Dominæ ; tous les mets permis et approuvés que ces quatre grandes cuisines appelées les quatre facultés, pouvaient élaborer et servir à une intelligence, il les avait dévorés, et la satiété lui en était venue avant que sa faim fût apaisée ; alors il avait creusé plus avant, plus bas, dessous, toute cette science finie, matérielle, limitée ; il avait risqué peut-être son âme, et s'était assis dans la caverne à cette table mystérieuse des alchimistes, des astrologues, des hermétiques, dont Averroès, Guillaume de Paris et Nicolas Flamel tiennent le bout dans le moyen âge, et qui se prolonge dans l'Orient, aux clartés du chandelier à sept branches, jusqu'à Salomon, Pythagore et Zoroastre.
C'était du moins ce que l'on supposait, à tort ou à raison.*
Notre-dame de Paris, Hugo.
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