Messages postés par Artelise

J'en ai trois à la maison qui attendent la sortie avec enthousiasme.

@LeaPierce

On a regardé dans son intégralité.
Ce qui n'est jamais dit, mais qui semble évident pour moi, c'est que le personnage central (Walter O'Brian) fait très probablement partie du spectre autistique (ses difficultés sociales, sa franchise tranchante, son apparente froideur, sa "timidité", ses difficultés à comprendre les autres (leurs intentions, les non-dits, leurs attentes) et à se faire comprendre lui-même....)

J'ai trouvé les personnages attachants et ce qui est assez intéressant aussi, c'est qu'ils sont plus riches et complexes que ce à quoi on pourrait s'attendre au début de la série. J'ai été déçue que la série s'arrête à la fin de la saison 4, il y avait encore, à mon avis beaucoup à dire et à développer pour enrichir la série qui finit un peu, selon moi, de manière décevante.

ah ! ben, allez, pourquoi pas !

Mon PC ramait de plus en plus.
Impossible de faire tourner Lightroom ou Photoshop sans saturer la machine en quelques minutes. Bref, il était temps de laisser de côté mon dinosaure pour une machine récente et adapté à l'utilisation que j'en fait (retouche photo et jeux vidéo).

Evidemment, le changement de matériel impliquait de passer à Windows 11...

ça fait maintenant une quinzaine de jours que je l'utilise et je n'ai pas vraiment constaté de changement vraiment flagrant... sauf que...

• Spotify ne fonctionne pas correctement... quand le logiciel parvient à se lancer, évidemment, ce qui est rarement le cas ; du coup, je suis contrainte d'utiliser la version navigateur du logiciel (pour lequel je paie un abonnement famille)
• J'ai carrément dû changer d'imprimante. La mienne, que je traînais de puis une 15aie d'année fonctionnait encore très très bien. Mais elle n'était pas reconnue par W11.

Et j'avoue que ça me met un peu en rogne cette affaire !

@Lapin
Mes enfants disent qu'il peut être intéressant d'avoir joué aux opus précédents, mais que ce n'est pas indispensable.

@Jonesy a dit

JE SUIS PARTAGÉE ENTRE LA PEUR....et la fierté

Tu m'étonnes. Mais je crois que je serais plus fière que tout autre chose dans ces circonstances. De l'enfant, qui ose ! et de moi-même, pour avoir réussi à lui inculquer l'idée qu'elle a le droit de faire valoir ses droits...

maintenant, la méthode est comment dire... intéressante. lol.

Hello !

Je n'ai jamais vraiment eu de coup de coeur pour une ville en France.
J'aime bien certains coins, c'est certains, la côte Bretonne par exemple.
Mais mes vrais coup de coeur ne sont pas français. ^^

Par contre, je peux vous dire sans hésitation aucune que j'ai vraiment pas aimé Marseille. J'ai même été soulagée de quitter la ville à la fin de notre visite.

Mon score

C'était vraiment sympa et divertissant, merci !

L'aliéniste est une mini série (10 épisodes) américaine inspirée par le roman éponyme de Caleb Carr. Diffusée tout d'abord sur la chaine américaine TNT en 2018, puis sur Netflix.
Les acteurs principaux sont Daniel Brühl, Luke Evans et Dakota Fanning.
Ils interprètent, respectivement : l'aliéniste Lazlo Kreizler, l'illustrateur John Schuyler Moore et Sara Howard, la secrétaire de Théodore Roosevelt et la première femme à intégrer la police de New York.

L'histoire se déroule dans la déjà immense ville de New York en 1896. Elle débute au moment ou John Moore se voit confier par son ami le Dr Kreizler, en pleine nuit, la mission de se rendre sur les lieux d'un crime particulièrement sanglant afin de prendre des notes et réaliser des dessins de la victime. Le Dr Kreizler, aliéniste de son métier, a en effet été commissionné en secret par le tout nouveau préfet de police Théodore Roosevelt pour tenter d'élucider le meurtre du jeune travesti. Ils seront assistés dans cette enquête par la secrétaire du préfet : Sara Howard.

Cette série ne s'inspire pas de fait réels, mais elle s'inscrit dans un environnement qui, lui, est historique.

Pour ceux qui se demanderait ce qu'est un aliéniste, voici ce que la série elle-même explique en début de chaque épisode

"In the 19th Century, persons suffering from mental illness were thought to be alienated from their own true natures.
Expert who studied them were therefore known as alienists."

"Au XIXe siècle, les malade mentaux étaient considérés comme aliénés, étrangers à eux-mêmes.
Les spécialistes qui les étudiaient étaient connus sous le noms d'aliénistes.".

Cette première saison a été suivie d'une seconde saison en 2020 - the alienist : Angel of Darkness - de 8 épisodes. Où cette fois, l'enquête concerne le meurtre d'un tout jeune bébé, puis l'enlèvement d'un second nourrisson.
Bien que rien n'est encore été confirmé. Il n'est pas impossible qu'une saison trois finisse par voir le jour.

Mon avis : cette série est passionnante et très belle graphiquement parlant. Elle mêle habilement le côté historique et le mystère de crimes hors normes. Mais, il faut le savoir, certaines images et certaines scènes pourraient choquer certaines âmes sensibles. (dans le catalogue Netflix, elle est déconseillée au moins de 16 ans).

J'avais pas raté un seul épisode de la série originelle.
Je vais certainement laisser sa chance à ce reboot.

@music
est-ce un coupe-cigare ?

Ma maison idéale est en Ecosse, sur l'île de Skye.
Au rez de chaussée, on a : une cuisine ouverte sur la salle à manger, un salon confortable avec un joli coin bibliothèque et un espace jeu-vidéo. On y trouve également une buanderie et un garde manger attenant au grand garage (pour deux voitures minimum).
A l'étage : 2 chambres avec salles d'eau privatives et une suite parentale avec un dressing et une salle de bain. Un petit salon de détente pour pouvoir s'isoler en cas de besoin.
La vue : sur la mer ou sur un Loch.
Au niveau du confort : un peu de domotique (pour ouvrir et fermer les volets, par ex), et des grandes baies vitrées pour faire entrer un max de lumière.
A l'extérieur : un petit jardin avec un coin aménagé pour les apéros ou les petits déjeuners.

Dans l'idéal ++ on aurait également une salle de sport et une piscine couverte pour pouvoir en profiter toute l'année.

On a essayé de regarder Vercingétorix : La Légende du druide roi avec Zhom... On a pas réussi ^^
Il y a certes des films avec des longueurs qu'il faut supporter. Mais là, en fait, on avait l'impression que le film n'allait jamais commencer. on a cru être de mauvais spectateurs, et puis on apprit que le film avait tout de même réussi à récolter trois Bidets d'or en 2001 : pire film, pire acteur (Christophe Lambert) et pire réalisateur (Jacques Dorfmann).

J'ai vu le film au cinéma, cet été.
Je l'ai adoré !
Vraiment un grand kif !
Du spectacle, de l'émotion, des effets visuels.. tout ce que j'attends d'un bon film de héro de ce genre.

21 pour moi, essentiellement dans le cas où je devrais me lever rapidement la nuit pour les enfants (cauchemars ou crise d'angoisse)
Mais quand il fait très chaud, c'est 0, avec juste le drap pour me couvrir.

@guizmo

Il y a une substance collante sur les tronc des sapins parfois...
Si ce n'est pas de la sève, comme je le pensais jusqu'alors.. peut-être serait-ce du miellat. Le truc que fabrique certains pucerons ?
Mais autant je sais que certaines fourmis élèvent les pucerons pour récolter leur miellat, autant les abeilles ??

@icescream
Non, je ne connaissais pas le tarot africain.
mais ça a l'air marrant !

Skull King est un jeu de plis qui se joue avec des cartes.

Le principe de base est simple : A chaque tour, les joueurs reçoivent un certain nombre de carte. Chaque joueur regarde sa donne et doit estimer le nombre de plis qu'il pense pouvoir remporter. Ensemble, en levant le nombre de doigts correspondants, chaque joueur va annoncer le nombre de plis qu'il pense réaliser durant le prochain tour de jeu. Les paris consciencieusement notés, le tour commence ! A chacun, alors, de s'arranger pour faire le nombre de plis annoncé... pas plus, mais pas moins non plus !
Les scores, à la fin du tour seront alors déterminés en fonction de la réussite ou de l'échec du pari. Et en fonction d'un certains nombre de points bonus qu'il est possible de récupérer lors du tour de jeu.

Nombre de tours de jeu dans une partie : 10
Nombre de carte distribuées : croissant. 1 au premier tour, 2 au deuxième tour et ainsi de suite, jusqu'à 10 au dernier tour. (Il existe certaines variantes telles que : tous les tours avec 10 cartes ou uniquement les tours pairs (2, 4, 6, 8 et 10 cartes).... etc.

Celui qui emporte la partie est celui qui a réussi à cumuler le plus de point.

Nombre de joueurs : de 2 à 8 joueurs
Age requis : A partir de 8 ans.
Durée moyenne d'une partie : environ 30 mn.

Auteur(s) Brent Beck, Jeffrey Beck
Éditeur(s) Grandpa Beck's Games

Mon avis : C'est un jeu très divertissant et familial très facile à pendre en main. Il offre de nombreux retournements de situations avec une évolution des scores très... montagne russe. (il est possible de perdre des points ! )

Dans mon sac à main, il y a, habituellement :

• Mon portefeuille
• un paquet de mouchoir
• un ou deux voire trois crayons
• mon téléphone
• un ou deux élastiques
• un livre de poche (McCaffrey - la saga des hommes libre, T3, en ce moment)
• mes clefs
• une pièce de 50 cts pour les caddies
• un sac repliable sur lui-même
• et toutes les micro-factures que je récupère lors de mes courses d'appoint

Mais en ce moment, veille d'une longue route avec passages de frontières (Suisse, notamment) il y a : nos passeports, un petit porte-monnaie pour l'accès aux toilettes, mes confirmations de réservations.

@kallindra
le monde du jeu vidéo est un monde qui brasse beaucoup d'argent, c'est vrai. Mais c'est aussi un monde qui en demande beaucoup. Un jeu, demande beaucoup d'investissement en amont lors de sa production. Pour les éditeurs qui ont déjà un catalogue, les bénéfices des jeux déjà sortis vont directement dans la production du/des suivants qui demanderont souvent des mois, voire des années avant que les éditeurs commencent à avoir un retour sur investissement.
Économiquement parlant, ce n'est pas pertinent de continuer de faire tourner des serveurs pour des jeux qui ne leur rapportent plus d'argent, voire qui leur en fait perdre. D'un point de vue écologique non plus, d'ailleurs. On n'y pense que rarement, mais notre vie numérique est une grande source de pollution, en réalité ! Les serveurs sont très gourmands en électricité (tant pour leur alimentation directe que pour les systèmes de climatisation indispensables au maintien de la température ambiante qui leur permet de fonctionner de manière optimale).