• S'inscrire
    • Se connecter
    • Recherche
    • Catégories
      • Communauté Actualité Cinéma Jeux Lectures Médias Musique Quotidien Séries Société
    • Récent
    • Mots-clés
    • Utilisateurs
    • Groupes
    1. Accueil
    2. Artelise
    3. Messages
    • Profil
    • Abonnements 0
    • Abonnés 2
    • Sujets 99
    • Messages 3762
    • Meilleur sujets 2261
    • Contesté 2
    • Groupes 2

    Messages postés par Artelise

    • Les Dossiers oubliés (Dept. Q)

      Titre original : Departement Q (abrégé en DEPT.Q sur les affiches)
      Pays d'origine : UK
      Date de sortie : 29 mai 2025
      Série Originale Netflix.
      Nombre de saison : 1 saison de 9 épisodes
      Durée moyenne des épisodes : 42 à 71 minutes

      text alternatif

      La distribution est composée de :

      • Matthew Goode dans le rôle titre = Carl Morck
      • Alexej Manvelov dans le rôle du coéquipier : Akram Salim

      Ce sont les réalisateurs Scott Frank et Elisa Amoruso qui sont aux commandes.

      La série est inspirée d'une série de romans policiers danois de Jussi Adler-Olsen.
      Les romans se déroulent à Copenhague, mais la série télévisée a pour décors la ville écossaise d’Édimbourg.

      le petit pitch :
      Carl, un inspecteur brisé se voit confier un tout nouveau service censé redorer le blason de la police. Son but : résoudre des affaires classées. Pour l'aider dans cette tâche, on lui envoi un mystérieux coéquipier d'origine syrienne : Akram Salim.

      Mon avis :

      Nous n'avons vu qu'un seul épisode, mais déjà, le décor et les personnages sont plantés.
      Les critiques nous annoncent des enquêtes sombres et captivantes, portées par l’ambiance brumeuse et envoûtante d’Édimbourg. Entre polar nordique et souffle écossais, c’est censé être froid et rugueux… et pourtant totalement addictif.

      Et pour le moment, je suis tout à fait d'accord.

      Bon à savoir : La série s’inspire librement des romans, sans en suivre fidèlement l’intrigue. Que l’on commence par les livres ou par la série, aucun risque de spoil : les deux versions offrent des approches différentes et complémentaires des mêmes personnages.

      posté dans Liste de Séries
      Artelise
      Artelise
    • RE: KPop Demon Hunters

      @Elenwey

      Alors, tu me coupes l'herbe sous le pied, mais je suis heureuse de pouvoir donner le résultat des recherches que j'ai fait ces derniers jours.

      J'avoue avoir eu recours à ChatGPT pour me faire la traduction des articles en coréens qui avaient été cités sur Threads et qui m'ont servis de sources.

      Ce que l'on peut retenir c'est que chez plusieurs commentateurs coréens et médias installés en Corée, K‑Pop Demon Hunters est perçu non pas comme un simple produit américain opportuniste (c'était ma principale crainte), mais plutôt comme un hommage sincère à la culture coréenne.

      Selon le Korea JoongAng Daily, le film présente « une version contemporaine de la culture coréenne » avec une compréhension nuancée de la tradition, notamment à travers des motifs folkloriques comme le tigre et le corbeau, sans tomber dans la caricature .

      Le site KoreaProductPost résume son point de vue ainsi : ce n’est pas un film fait en Corée, mais conçu avec la logique narrative coréenne dans son ADN

      L'une des force du dessin animé c'est l’intégration de styles musicaux authentiquement coréens - pas uniquement de la K‑pop, d'ailleurs, mais aussi des tambours de shamans et des instruments traditionnels remodelés

      Pour le retour du public coréen, il me semble avoir compris qu'il sont majoritairement positifs.

      Bref, à partir de tout ça, je dirais que c'est comme pour tout : on aime ou on aime pas, ça dépendra de nos préférences personnelles.

      Pour ma part, je n'ai pas encore pris le temps de regarder.

      posté dans Films
      Artelise
      Artelise
    • RE: Vos séries du moment

      @Hornet

      pardon, toutes mes excuses.

      😞

      posté dans Parler Séries
      Artelise
      Artelise
    • RE: Vos séries du moment

      on a commencé "Département Q"

      La série est inspirée d'une série de romans policiers danois de Jussi Adler-Olsen.
      Les romans se déroulent à Copenhague, mais la série télévisée a pour décors la ville écossaise d’Édimbourg.

      le petit pitch : Carl, un inspecteur brisé se voit confier un tout nouveau service censé redorer le blason de la police. Son but : résoudre des affaires classées. Pour l'aider dans cette tâche, on lui envoi un mystérieux coéquipier d'origine syrienne : Assad.

      Nous n'avons vu qu'un seul épisode, mais déjà, le décors et les personnages sont plantés.
      Les critiques nous annoncent des enquêtes sombres et captivantes, portée par l’ambiance brumeuse et envoûtante d’Édimbourg. Entre polar nordique et souffle écossais, c’est censé être froid et rugueux… et pourtant totalement addictif.

      Et pour le moment, je suis tout à fait d'accord.

      [edit pour mettre le lien vers le sujet plus complet]

      posté dans Parler Séries
      Artelise
      Artelise
    • RE: Croyez-en mon expérience !

      @icescream

      Voilà un livre que je trouve très intéressant !
      Je me le procurerais peut-être. 😄

      posté dans Littérature
      Artelise
      Artelise
    • RE: Le Challenge ABCDaire 2025 version série !

      A = Angel's last mission : Love.
      B = Beyond your touch
      C = Coffee Prince
      D = Demande aux étoiles.
      E = Eve
      F = Flower crew
      G = Glitch !
      H = Hello Monster !
      I = Itaewon Class
      J = Joseon Attorney : a morality
      K = Kill me Heal me
      L = Love next door
      M = Move to Heaven
      N = Navillera (en cours)

      posté dans Animations Séries
      Artelise
      Artelise
    • RE: Votre lecture du moment

      L'odeur des clémentines grillées - par Lee Do-Woo

      posté dans Parler Lectures
      Artelise
      Artelise
    • RE: Recherche du titre d'un film

      @Coyotito

      Ghost Story - sorti en 1981 ??

      posté dans Parler Cinéma
      Artelise
      Artelise
    • RE: Ma petite fille a un trouble de l’oralité alimentaire

      @SAND11

      Ton message m’a beaucoup touchée, d’abord parce qu’on sent tout l’amour et l’inquiétude d’une mamie très présente, mais aussi parce que j’ai moi-même traversé une situation un peu similaire avec mon fils.

      Vers ses deux ans, il est devenu très exclusif dans son alimentation : il ne mangeait que du saucisson et des pâtes. Il refusait catégoriquement certaines textures — notamment la purée, qu’il ne pouvait et ne peux toujours pas approcher de sa bouche sans un haut-le-cœur. (Autant dire que les conseils du type “propose-lui en purée pour l’habituer au goût” me faisaient lever les yeux au ciel…).
      Petit à petit, sans jamais le forcer, juste en l’encourageant et en respectant ses limites, on a réussi à élargir un peu son alimentation. Il y a eu des hauts et des bas au fil des années, des périodes où il explorait plus, d’autres où il se repliait sur ses “aliments refuges”.

      Mais il y a eu de très belles surprises aussi : je me souviens encore de ce jour, vers ses 9 ans, où il a goûté des crevettes au restaurant… et a adoré ! Aujourd’hui, à 18 ans, il souffre toujours de troubles de l’alimentation, mais il mange, il est suivi, et il garde cette volonté d’essayer. Dernière victoire en date : les wings de poulet, qu’il a validés comme “très bons” (oui, on célèbre chaque petite victoire à sa juste valeur !).

      Tout ça pour te dire : il est normal de t’inquiéter, mais tu peux aussi garder espoir. Le trouble a été identifié tôt, ta fille a l’air très attentive, et ta petite-fille va être accompagnée. Il existe de nombreux professionnels qui peuvent aider. Il est sage de commencer par consulter un ORL pour vérifier qu'il n'y a pas de problème physiologique. Mais par la suite, il y a d'autres professionnels qui pourront vous aider et vous accompagner : orthophoniste, psychomotricien, voire pédo-psy ou neuropédiatre si besoin. En réalité, il y a beaucoup de chemins possibles vers une amélioration.

      L’essentiel, c’est le respect, la patience, le non-jugement… et l’amour. Et ça, ta puce a manifestement une belle équipe autour d’elle 💛

      Courage à vous trois !

      posté dans Famille - Amis
      Artelise
      Artelise
    • RE: QUIZ - La réponse adéquate 9

      Merci pour ce bilan !
      Je suis épatée de voir comment on se disperse totalement parfois.

      😄

      posté dans Animations Communauté
      Artelise
      Artelise
    • RE: Split

      Hop !
      je viens de voir ce film !

      Il est impressionnant, dans plein de sens du terme, mais je ne suis pas surprise, puisque c'est M. Night Shyamalan qui est aux commandes.

      On sent bien, encore dans ce film, son sens du détail. Rien n'est superflu, rien n'est laissé au hasard. Les deux acteurs principaux nous livrent chacun une performance bluffante.

      La représentation du TDI dans le film s’inscrit dans la réalité scientifique de l’époque : un trouble reconnu dans les ouvrages psychiatriques de référence, comme le DSM, mais encore entouré de doutes chez certains professionnels de santé.

      Toutefois, il ne faut pas oublier que le film ne traite pas du TDI dans le sens où le film n'a pas de valeur documentaire sur le sujet - même si le discours de la psy lors de la scène de la visio-conférence reflète bien le courant de pensée et les doutes qui subsistaient encore à l'époque. Ce que Shyamalan nous raconte se rapporte, une fois encore et sous un nouvel angle, à sa réflexion personnelle sur les super-héros.

      Ainsi, dans le cadre de cette vision d'une mythologie de super-héro qui lui est propre le TDI devient un catalyseur narratif permettant d’imaginer une origine du "super-méchant" moderne. Le réalisme médical est ici sacrifié au profit d’une fable sombre, mais cohérente dans l’univers personnel développé par Shyamalan.

      Par ailleurs, dans ce même contexte, tout comme on avait le duo antagoniste de "Mr Glass" et le héro "Incassable" dans le premier volet, on peut voir aussi émerger une autre dynamique liées aux opposés dans ce film, avec l'émergence d'un super-vilain et son opposé dans le personnage de Casey.


      Casey - incarnée par Anya Taylor-Joy - peut en effet être perçue comme une anti-héroïne "positive" dans ce film car bien que, à l'instar de Kevin, elle a été victime d'abus durant l'enfance, elle ne se fragmente pas psychiquement. Elle résiste, elle survit, et elle reste une. Par ailleurs, sa souffrance ne devient pas violence, mais force silencieuse et empathie.

      Et pour conclure sur une note très subjective : j'ai adoré !

      posté dans Films
      Artelise
      Artelise
    • RE: Règles, SPM et autres joyeusetés

      @Gaip

      Je ne suis jamais passée par de telles montagnes russes à cause des hormones - ou alors sans parvenir à un lien de cause à effet direct. Toutefois, j'ai appris à gérer mes coups de blues en me concentrant sur le positif. En me félicitant de mes réussites même les plus petites et "insignifiantes" - comme réussir à me lever le matin, trouver la motivation de m'habiller pour ne pas trainer en pyjama, ce genre de choses.

      J'ai aussi appris que dans ces coups de temps là, il faut savoir faire preuve d'indulgence envers soi-même, se fixer des limites (ne pas se coucher sans avoir fait la vaisselle, par ex.) et se forcer à les respecter tout en se respectant soi-même et nos propres limites. Tu es dans un moment de creux - c'est ok - ça ira mieux bientôt.

      Et dans le genre se concentrer sur le positif, il y a aussi le fait de savoir se concentrer sur le moment présent, profiter pleinement des petites choses (pause café, une joli fleur, le sourire d'un inconnu que l'on croise dans la rue... )

      N'hésite pas, le soir, à noter les toutes petites notes positives de ta journée, ça aide le cerveau à comprendre que oui, il reste du beau dans ton quotidien.

      posté dans Bien-être
      Artelise
      Artelise
    • RE: Abécédaire Littéraire 2025

      A
      B
      C
      D
      E
      F - Ken Follet - Le crépuscule et l'aube (1024 pages ! )
      G
      H - Hwang Bo-reum - Bienvenue à la librairie Hyunam
      I - Kasuo Ishiguro - Klara et le soleil
      J - Jake - The Korean Dream (qui est bien un livre rédigé en français ^^)
      K - Kim Bo-Young - L'odyssée des étoiles
      L - Lee Mi-ye - Le grand magasin des rêves.
      M
      N
      O
      P
      Q
      R
      S - Bruno Solo - Le voyageur d'histoire
      T
      U
      V
      W
      X
      Y
      Z

      posté dans Animations Lectures
      Artelise
      Artelise
    • RE: Argylle

      oups j'avais pas répondu, ici !

      Il fait effectivement partie de ces films que j'aimerai voir.
      Pour le cast, avouons-le (Cavill ❤ ) et pour le côté décalé que la bande annonce suggère.

      posté dans Films
      Artelise
      Artelise
    • RE: L'Espion qui m'a larguée (The Spy Who Dumped Me)

      @Cygoris a dit dans L'espion qui m'a larguée :

      Avez-vous vu ce film ?

      Nope.

      Si oui, qu’en avez-vous pensé ?

      NC

      Si non, aimeriez-vous le voir selon opportunité ?

      Si j'ai l'occasion, je lui donnerais peut-être sa chance car à défaut - me semble-t-il - de réinventer le genre, il semble divertissant.

      posté dans Films
      Artelise
      Artelise
    • RE: Le consentement (dans tous les types d'interactions)

      @Esperluète a dit dans Le consentement (dans tous les types d'interactions) :

      Au civil sans aucun doute, pour d’autres codes peut-être, en revanche le code pénal est d’interprétation strict : si un délai pour révoquer le consentement n’est pas précisé, alors il n’y en a pas.(on est dans le cadre pénal avec cette ppl).

      Puisque tu demandes des précisions :

      Rappelons d’abord que le mot révocable signifie en droit (et en français courant) que ce qui a été accordé peut être retiré à tout moment.
      Le texte de loi, tel qu’adopté en avril 2024, est donc suffisamment clair et précis sur ce point.

      Il est essentiel de ne pas confondre deux choses :

      • La révocation du consentement pendant l’acte (par exemple, si une personne commence une relation intime et change d’avis en cours de route)
      • Et le retour en arrière après l’acte, lorsqu’une personne revient sur une décision qu’elle avait librement consentie, mais qu’elle regrette ensuite.

      Ces deux situations sont fondamentalement différentes :

      • Si le refus est exprimé pendant l’acte (verbalement, par gestes, ou de manière manifestement non équivoque), et que l’autre personne poursuit quand même, alors il y a viol ou agression sexuelle.

      • En revanche, si le consentement a été libre et éclairé au moment des faits, le regret ultérieur ne requalifie pas l’acte a posteriori.

      Le sens de cette réforme est précisément d’ancrer la définition du viol et des agressions sexuelles dans la notion de consentement, et non plus exclusivement dans la violence, la menace, la contrainte ou la surprise.
      Ce changement est cohérent avec la jurisprudence européenne, notamment celle de la Cour européenne des droits de l’homme, qui insiste sur un consentement actif, volontaire et continu. La France s’aligne ainsi sur ces standards.

      Enfin, concernant la prétendue "imprécision" du texte :
      Le "flou" dont parlait @Kallindra peut parfois exister en droit civil, en raison de formulations générales qui laissent place à l’interprétation.
      Mais même en droit pénal, il revient au juge d’interpréter la loi au regard des faits concrets : il doit évaluer si le consentement était réellement présent au moment de l’acte.
      Le fait qu’un texte n’énonce pas tous les cas particuliers ne signifie pas qu’il est imprécis — c’est justement le rôle de la jurisprudence de compléter, dans le cadre posé par la loi.

      posté dans Amour - Sexe
      Artelise
      Artelise
    • RE: Le consentement (dans tous les types d'interactions)

      @Esperluète a dit dans Le consentement (dans tous les types d'interactions) :

      As-tu des infos sur l’aspect révocable de ce consentement ? Il y a un délai de précisé au delà duquel on ne peut plus révoquer le consentement ?
      Parce que des oui à l’instant T qui se transforme en non le lendemain ou qqs heures/ jours/semaines/mois voire années, ça c’est déjà vu.

      Alors, déjà, il faut bien comprendre un truc :
      Le consentement, ce n'est pas un contrat à long terme. Si une personne te dit UNE fois "oui" pour un baiser, ça ne te donne pas le droit de l'embrasser la fois suivante. Lorsque l'occasion se présente à nouveau, tu dois t'assurer à nouveau du consentement de l'autre.

      Même dans un couple établi de longue date, même dans le cadre du mariage.

      Le terme révocable, dans ce cadre-là, implique simplement que si un couple débute quelque chose (embrassades passionnées, par ex. ) et que, finalement, dans le feux de l'action, l'un des deux partenaires souhaite arrêter, il n'a qu'à le faire savoir et l'autre partenaire doit, séance tenante, cesser ce qu'il était en train de faire ou ce qu'il s'apprêtait à faire.
      C'est ça "révocable".
      Et ce sans avoir à se justifier.

      posté dans Amour - Sexe
      Artelise
      Artelise
    • RE: Downton Abbey

      @Miss-Audrey a dit dans Downton Abbey :

      J'ai hâte, j'adore cette série !

      de même !

      posté dans Liste de Séries
      Artelise
      Artelise
    • L'Odyssée des étoiles

      Titre original : 별의 계승자들 (litt. l'héritage des étoiles)
      Auteur : Kim Bo-Young (김보영)
      Pays : Corée du Sud 🇰🇷
      Genre : Science-fiction, anticipation, réflexion sociale
      Éditeur français : Payot et Rivages
      Date de publication vf : 2024
      Nombre de pages : 336 pages

      Le titre français L’Odyssée des étoiles suggère une grande aventure dans l’espace, mais la traduction littérale coréenne, 별의 계승자들, évoque plutôt un héritage ou une succession des étoiles.
      Ce choix de titre reflète un accent mis davantage sur la continuité, la transmission et l’évolution plutôt que sur le déplacement ou le voyage spatial.
      En ce sens, le roman invite à une méditation plus profonde sur le temps, la mémoire et l’héritage humain dans l’univers.

      Synopsis²

      Cet ouvrage regroupe trois récits qui, à l’origine, ont été publiés séparément.

      Les deux premières parties sont intimement liées et peuvent être présentées à travers un même synopsis.

      Dans un futur lointain, l’humanité a appris à voyager à une vitesse phénoménale, proche de celle de la lumière. Il est désormais possible de s’aventurer plus loin que jamais, aussi bien dans l’espace que dans le temps — conformément à la théorie de la relativité d’Einstein et à la notion d’espace-temps.

      C’est dans ce contexte qu’un jeune homme et une jeune femme décident de se marier. Elle doit faire le voyage depuis Alpha du Centaure. Le trajet durera quatre ans.
      Son fiancé, resté sur Terre, choisit alors d’embarquer à bord d’un vaisseau qui effectuera quelques boucles dans le système solaire avant de le ramener… exactement quatre ans plus tard. Il prend ses dispositions : il envoie les invitations à leurs amis et réserve une salle pour le mariage.

      Mais rien ne se déroulera comme prévu.

      La troisième partie de l’ouvrage reprend l’idée du voyage temporel induit par la navigation interstellaire à ultra-haute vitesse, et explore les conséquences possibles d’une telle technologie.
      Les quatre récits qui composent cette section ont un point commun : Seongha, un voyageur temporel qui cherche à atteindre les confins de l’univers.
      Les thèmes abordés sont variés, oscillant entre spéculations scientifiques, questionnements existentiels et réflexions quasi métaphysiques.

      text alternatif

      Mon avis perso :

      Les deux premières parties sont à la fois tragiques et profondément humaines.
      Le choix du format épistolaire nous plonge au cœur d’une intimité bouleversante, offrant un point de vue subjectif sur les événements qui se déroulent sous nos yeux.
      Tout comme eux — d’abord lui, puis elle —, on ne comprend pas toujours tout ce qui arrive, on observe, on subit.
      On partage alors leurs émotions qui oscillent comme des montagnes russes, entre espoirs et désespoirs, les poussant chacun à prendre des décisions lourdes de conséquences.

      La dernière partie, quant à elle, adopte un ton différent, plus réflexif, introspectif, presque philosophique, même si elle s’appuie toujours sur des spéculations scientifiques.
      J’ai particulièrement apprécié que, malgré ces bases scientifiques solides, l’auteure parvienne à nous inviter à une réflexion profonde sur l’humanité : ses désirs, ses limites, ses valeurs, et son devenir ultime.

      De la très belle science-fiction, où le mot "anticipation" est poussé à ses ultimes retranchements.
      Un petit bijou à découvrir absolument !

      Ce genre de récit vous tente-il ?
      Pensez-vous vous laisser tenter par ce voyage hors du commun ?

      posté dans Littérature
      Artelise
      Artelise
    • Le Restaurant des recettes oubliées (série littéraire)

      Titre original : 忘れられたレシピ (Wasure rareta reshipi)
      Auteur : Hisashi Kashiwai
      Genre : Contemporain, tranche de vie, gastronomie.
      Éditeur français : Nami / Actes Sud (collection Picquier)
      Date de publication en France : à partir de 2024
      Nombre de pages : Environ 300 (à adapter selon édition)

      A ce jour, la série de livre compte 7 tomes au Japon.
      En France, si j'en crois Babelio, il y a 3 tomes disponibles

      • le restaurant des recettes oubliées - celui que j'ai lu et dont je vous parle ici.
      • le restaurant des recettes oubliées : deuxième service
      • le restaurant des recettes oubliées : à la carte.

      text alternatif

      synopsis du tome 1 :

      Dans ce roman apaisant et profondément humain, l’auteur nous invite à pousser la porte d’un restaurant un peu particulier, niché dans une ruelle discrète de Kyoto. On n’y vient pas pour découvrir des plats à la mode, mais pour retrouver le goût d’un plat dont on se souvient parfois à peine… et sans doute, sans s’en rendre compte, tout autre chose qu’un souvenir culinaire.

      Mon avis :

      Le format du roman peut déstabiliser un peu car, bien que le lien soit évident puisqu’on retrouve toujours Nagare et sa fille Koishi ; dans la forme, on est presque plus proche du recueil de nouvelles que d’un roman à part entière. Les récits font la part belle à la gastronomie japonaise avec des recettes parfois très détaillées. Toutefois, c’est un livre qui nous amène toujours au-delà. Le voyage n’est donc pas uniquement culinaire, mais aussi intérieur, car il nous aide à percevoir les liens invisibles entre la cuisine et l’âme.

      Je vous le recommande surtout si vous aimez les romans dits « Feel-good », les ouvrages qui parlent de gastronomie ou les livres qui nous transportent vers d’autres horizons culturels.

      Alors, prêts pour le voyage ?

      posté dans Littérature
      Artelise
      Artelise
    • 1
    • 2
    • 10
    • 11
    • 12
    • 13
    • 14
    • 188
    • 189
    • 12 / 189