Replay – Ken Grimwood
Titre original : Replay
Auteur : Ken Grimwood
Pays : États-Unis
Genre : Fantastique, drame, philosophie, introspection temporelle
Éditeur français : Points (édition de poche la plus répandue)
Date de publication originale : 1986
Date de publication en France : 1990 (Presses de la Renaissance)
Nombre de pages : Environ 480 (selon édition)
Synopsis :
À 43 ans, Jeff Winston meurt soudainement d’une crise cardiaque dans son bureau. Quelques secondes plus tard, il se réveille… dans sa chambre d’étudiant, en 1963, avec son corps de 18 ans mais tous ses souvenirs d’adulte intacts. Sans comprendre pourquoi, il se voit offrir une seconde chance de vivre sa vie — une chance qu’il revivra encore et encore, chaque fois différemment, à mesure que le temps semble se replier sur lui-même.
Nominations et prix :
Replay a remporté le World Fantasy Award 1988 et a été présélectionné pour le Arthur C. Clarke Award 1988.
Le roman a été inclus dans plusieurs listes de lectures recommandées : Modern Fantasy: The Hundred Best Novels (1988), Locus Reader's Poll: Best Science Fiction Novel (1988), The Best in Science Fiction d’Aurel Guillemette (1993) et Ultimate Guide to Science Fiction de David Pringle (1995).
Le fun fact pas si fun que ça ^^:
L'auteur est décédé en 2003, à l'âge de 59 alors qu'il travaillait sur une suite de son roman. Cause du décès : crise cardiaque !
Mon avis :
Replay est une magnifique réflexion sur la vie, le temps et la conscience humaine. L’idée du “retour en arrière” n’y est pas utilisée comme un gadget narratif, mais comme une loupe existentielle : que ferait-on si on pouvait tout recommencer ?
Ken Grimwood parvient à éviter le piège du moralisme ou de la science-fiction pure pour livrer un récit profondément humain. Les premières réincarnations de Jeff fascinent par leur inventivité, mais c’est dans les dernières qu’apparaît toute la beauté du roman —
quand le héros comprend que le véritable miracle n’est pas de pouvoir recommencer, mais d’aimer ici et maintenant.
L’écriture, sobre et fluide, sert parfaitement cette progression intérieure : du vertige à la sérénité, du regret à la gratitude.
Je le recommande vivement à celles et ceux qui aiment les histoires à la fois émouvantes et philosophiques, les récits qui questionnent le sens de nos choix et la valeur du temps. À lire lentement, comme on savoure une seconde chance.
Je profite de ce sujet pour mettre en avant une entreprise vertueuse que j'aime énormément tant dans la qualité de ses services et de produits proposés, mais aussi dans leur politique de gestion du personnel et leur manière de se projeter dans l'avenir.
A chaque fois que nous avons eu besoin d'un conseil pour choisir un produit, une hésitation concernant le meilleur moyen de mettre à jour notre matériel ou carrément se faire monter un pc personnalisé, ils ont été au rendez-vous avec des conseils rapides, pertinents et sans jamais nous pousser à dépenser plus que nécessaire.
rah !! je m'en veux !
Le pire, c'est que j'ai hésité.
Et puis, je suis dit : "mais en vrai, à part dans les films, y a combien de gens qui s'appellent Rose, dans la vraie vie ??" Et du coup, j'ai choisi la Marguerite.
Je ne sais pas si ma manière d'expliquer était assez claire..
Aux carrefours, parfois, lorsque les feux pour piétons sont verts en même temps que les feux pour les voitures, on peut voir un feu clignotant orange à l'attention des automobilistes qui se voient ainsi avertis qu'il peut se trouver des piétons sur leur trajectoire lorsqu'ils vont tourner (à gauche ou à droite) mais les piétons, eux, ont bien la version bicolore "vert" ou "rouge".
j'ai choisi de l'installer sur le rebord de la fenêtre de ma cuisine. Celle qui est orienté à l'est pour qu'elle bénéficie de l'ensoleillement matinal.