Aujourd'hui, notre petite Lara a accepté de monter dans la voiture de son propre gré. Elle est toujours nerveuse et inquiète lorsque l'on roule, mais elle semble s'habituer petit à petit à ce mode de déplacement.

Meilleurs messages postés par Artelise
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RE: Le Bonheur du jour !
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RE: injustice, que feriez vous?
Alors, je viens sur le forum ce matin, dans le but d'aller répondre à ton autre sujet....
Et je vois que tu en as encore ouvert un nouveau, sur à peu près le même thème et les mêmes sujets...
Je veux bien que tu ais des choses à dire, voire à défendre. Mais honnêtement, je commence à en avoir plus que ras-le-bol de tes approches biaisées, tordues et tes exemples incompréhensibles.Si tu commençais par dire les choses clairement, honnêtement et franchement ?
Débattre sur des exemples, des allusions et des amis imaginaires ne font et ne feront en rien progresser le débat. -
RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
ça m'agace !
J'envoie un mail disant expressément : "je suis flexible, pourriez-vous me faire des suggestions de dates pour un rendez-vous?" Et on me répond : "vous pouvez m'appeler à ce numéro pour fixer un rendez-vous."mais punaise, si j'avais voulu utiliser mon tel pour fixer ce rendez-vous, j'aurais pas commencé la conversation avec un mail.
Je n'aime déjà pas les conversations téléphoniques. Et j'ai toujours un mal fou à comprendre les dates à l'oral.
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Pantone et la couleur de l'année
À l'origine, Pantone est une petite société, fondée en 1866, qui fabrique des nuanciers pour les fabricants de cosmétiques. Lawrence Herbert rejoint Pantone en 1956 et la rachète en 1962. Il y développe son premier système de couleurs Pantone Matching System (le fameux nuancier) pour l'impression en 1963.
La force de ce système, ce n’est pas seulement de faciliter le choix et l’agencement des couleurs entre elles. Elle fournit également à ses utilisateurs les moyens de reproduire avec exactitude les couleurs choisies.L’idée de base part d’un constat : l’impression par quadrichromie, qui consiste à obtenir une couleur par impression successive des couleurs de bases (Cyan, Magenta, jaune et noir) donne des résultats parfois variables en fonction de divers paramètres – variation de la trame, variation d’encrage de la machine, support… Le système Pantone, quant à lui, permet d’effectuer avec précision un mélange de couleurs précis pour l’obtention d’une couleurs précise avant l’impression et ce en tenant compte du support (tissu, papier, architecture, cosmétique, plastiques…). Finalement, Pantone propose une palette de plus de 10 000 normes de couleurs.
Le Pantone Color Institute
est un service de conseil au sein de Pantone qui prévoit les tendances mondiales des couleurs et conseille les entreprises (identité visuelle de la marque, développement de produits, application et intégration de couleurs en tant qu’atout stratégique). Reconnu, par ailleurs, dans le monde entier comme une source majeure d'informations sur les couleurs grâce à des prévisions de tendances saisonnières et au développement de couleurs, le Pantone Color Institute s'associe à des marques mondiales pour tirer parti de la puissance, de la psychologie et de l'émotion de la couleur dans leur stratégie de conception.
À propos de la « Pantone Color of the Year » - En français : Couleur de l’année Pantone.
Le processus de sélection de la couleur de l’année nécessite une mûre réflexion et une analyse des tendances. Pour parvenir à la sélection chaque année, les experts du Pantone Color Institute sillonnent le monde à la recherche de nouvelles influences chromatiques. Ils s’intéressent alors à des domaines aussi variés que nombreux. On pourra citer notamment le secteur des divertissements, de la production cinématographique, les collections de l’art du voyage, les nouveaux artistes, la mode, de nombreux secteurs créatifs et les destinations touristiques en vogue. Ils ne s’arrêtent toutefois pas à cela car ils prennent également en compte les nouveaux modes de vie, les façons de jouer et les conditions socio-économiques. Les influences peuvent également naître du progrès technologique, des matériaux, des textures et des effets qui influent sur les couleurs, des plates-formes de réseaux sociaux, voire de futurs événements sportifs sur lesquels seront rivés les yeux du monde entier.Depuis plus de 23 ans, la couleur de l’année Pantone influence la tendance en matière de développement de produits et influe sur les décisions d’achat dans de nombreux secteurs, tels que la mode, le design industriel et d’intérieur, mais aussi la conception graphique et le conditionnement des produits.
Cette année (2023), la couleur de l’année Pantone, ce sera le « Viva Magenta »
La teinte prendra la référence de PANTONE 18-1750 et a été présentée comme un symbole de vitalité, de vigueur et de force par le fabricant de nuancier. Elle se veut en communion avec la nature et créer une déconnexion avec la technologie qui est aujourd’hui omniprésente dans nos quotidiens.Moi, j’avoue que je l’aime assez, cette couleur.
Et vous ? -
L'art-thérapie "loisir"
A l’origine, l’Art-thérapie est un outil utilisé par les thérapeutes pour aider leurs patients.
Il s’agit donc d’une expression qui désigne, en tout premier lieu une forme de psychothérapie qui utilise la création artistique (dessin, peinture, collage, sculpture, musique, théatre etc.) pour prendre contact avec sa vie intérieure (sentiments, rêves, inconscient, etc.), l'exprimer et se transformer. On l'utilise comme mode d'intervention en psychothérapie, particulièrement chez les sujets ayant de la difficulté à exprimer ce qu'ils ressentent par la parole, avec les enfants en bas âge ainsi qu'en physiothérapie pour développer une meilleure confiance en soi et favoriser la réadaptation.Depuis quelques années, toutefois, ce terme s’est élargi à un domaine plus large incluant les loisirs et englobant des approches visant non pas à « soigner » mais simplement procurer un certain bien-être et une certaine paix intérieure. Car, de fait, il a été constaté que certaines activités lorsqu’elle étaient effectuées dans un état d’esprit qui exclut l’idée de performance et de compétition, pouvait apporter de nombreux bienfaits tant physiologiques que psychologique. Ainsi, ces activités seraient favorables à une baisse de la pression artérielle, à réduction du stress et du niveau d’anxiété.
Parmi les activités les plus populaire, on compte le dessin et le coloriage ou encore le scrapbooking.
En marge, certaines applications numériques proposent des activités qui s’inspirent de l’art-thérapie avec du coloriage par numéro ou des puzzles à reconstituer.
J’avoue volontiers passer du temps sur mon application de coloriage par numéro. Lorsque je suis fatiguée et stressée, ça m’aide, à me vider la tête. C’est également un bon moyen, pour moi, de patienter quelques minutes (oui, je ne supporte pas l’inactivité et l’attente – n’avoir rien à faire me stresse énormément). J’aime également, de temps à autres, sortir quelques crayons de couleurs et faire un peu de « vrai » coloriage. Je privilégie alors souvent les dessins de type mandala avec un peu de détails, mais pas trop.
Et vous ?
Que pensez vous de ces activités qualifiées d’« Art-thérapie » ? En pratiquez-vous ? -
RE: L'EVRAS (Éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle)
@Kallindra a dit dans l'EVRAS (Education à la Vie Relationnelle et Affective) :
la question de genre (à partir de 5 ans)
Moi ce qui me choque c'est ça abordé dès 5 ans ! C'est du n'importe quoi.
Alors, petite précision, hein... quand on dit : la question du genre, on ne parle pas d'orientation sexuelle... on parle de discuter anatomie ^^ et le programme ne propose pas d'aborder les différentes thématiques n'importe quand, n'importe comment ni avec n'importe quel public et encore moins systématiquement !
L'idée n'est pas d'imposer à toute une classe une sorte de cours où à tel âge on va forcément aborder telle et telle question et à tel âge le thème suivant. L'idée c'est de fournir aux personnes qui interviennent auprès des enfants (parents, instituteurs, profs.... ) des outils pour aborder certains sujets en rapport avec la sexualité et les émotions lorsqu'il y a questionnement.
en gros si ton gamin il te demande : "papa, comment on fait les bébés?" mais que tu ne sais pas comment répondre, tu peux alors te tourner vers les outils mis à disposition pour apporter une explication qui pourra être un bon départ pour une discussion sans stress et sans malaise.
Je vous invite à lire ce qu'on peut trouver sur le site officiel belge (dans la faq):
Le plus souvent, les sujets abordés sont choisis en fonction des besoins des enfants ou adolescent(e)s : les animateur.trices vont partir des questions que les jeunes se posent et construire leur animation autour de ces préoccupations. Ainsi, des groupes du même âge ne vont pas spécialement aborder les mêmes sujets en animation : les animateur.trices vont s’adapter aux enfants et aux jeunes à qui ils et elles donnent une animation EVRAS. Dans tous les cas, les animateur.trices apportent des réponses adaptées en fonction de l’âge ou du stade de maturité des jeunes rencontré(e)s. Les animateur.trices prennent donc en compte l’âge du groupe, son degré d’aisance par rapport au fait de parler d’EVRAS, la sensibilité de chacun.e, … pour évaluer les thèmes à aborder et la façon de le faire.
Parfois, une animation peut s’intéresser à une thématique plus spécifique ; par exemple, lorsque l’établissement scolaire fait une demande d’animation pour répondre à une situation problématique (harcèlement, comportements sexistes, etc.).
Quelques exemples de thèmes abordés par tranche d’âge :
3-5 ans : les parties du corps, l’intimité, les émotions
6-9 ans : la reproduction, le consentement
10-12 ans : différence entre l’amitié et l’amour, la pudeur
12-14 ans : la puberté, les stéréotypes
15-17 ans : l’identité, l’orientation sexuelleIci, en Autriche, mes enfants ont tous deux eu droit à des animations à différents stades de leur scolarité autour de thème similaires. J'ai particulièrement apprécié que ce soit en classe que le thème du consentement ai été abordé. Ce thème là, mais aussi des débats sur le harcèlement à l'école et l'acceptation des différences et l'inclusion.
Malgré la volonté de bien faire des parents pour lesquels ces thèmes sont une préoccupation et une priorité dans l'éducation qu'ils veulent donner à leurs enfants, il faut reconnaitre que ce sont souvent des thèmes difficiles à aborder, parce qu'il est difficile de savoir à quel moment le faire (mon enfant est-il assez mature ?) et comment le faire (choix des mots). Et je trouve formidable que ces outils existent.
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RE: Tenue de marié.e
Je vous remercie tous de participer à ce sujet.
Je ne suis pas trop d'accord avec @Hilda-Van-Holp au sujet des robes qui sont toutes pareils. Par contre, là où je la rejoins, c'est concernant le costume du marié. Il est vraiment difficile de trouver / voir quelque chose de vraiment original. Je trouve ça dommage car ça donne l'impression que le marié doit s'effacer pour laisser toute la magie à la mariée. Or, c'est un jour de partage où les deux conjoints devraient être mis sur un pied d'égalité en terme de joie et d'apparence et de tenue d'exception.
du coup, j'en profite pour partager deux clichés..
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RE: Vangelis
Il avait composé le seul album (Voices) qui parvenait à m'aider contre mes problèmes d'endormissement. Je l'écoute d'ailleurs souvent pour me détendre et m'aider à plonger dans le sommeil.
Ses compositions pour le cinéma étaient toujours grandioses. Des musiques que l'on pouvait écouter sans voir le film et en ressentir malgré tout toute l'émotion.
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RE: Qu'est-ce que vous n'aimez pas ?
Depuis mon inscription sur ce forum, j'ai vu passer le sujet maintes fois.
Maintes fois, je me suis demandé ce que je pourrais bien répondre à la question.
Longtemps j'ai hésité.
Et puis, finalement, je me suis dit qu'entre les futiles" j'aime pas les brocolis" et "j'aime pas le Rap", il y avait peut-être un truc plus profond et utile à dire.Alors, me voilà, me voici, pour vous informer que je ne supporte pas l'hypocrisie.
Et je ne supporte pas les gens incapables d'entendre et d'encaisser la moindre petite critique.Alors, ne vous y trompez pas. Je ne suis pas parfaite, il m'arrive aussi d'être susceptible et de grogner, tempêter voire fulminer si on vient me faire un reproche (surtout si je ne le trouve pas justifié). Mais je préfère toujours la franchise et l'honnêteté. Et si, après être venu me reprocher quelque chose, on argumente posément et calmement et qu'on me laisse le temps de digérer un peu l'information et de réfléchir, alors, la plupart du temps, je suis capable d'entendre ce qu'on a à me dire.
Et je l'avoue, je ne supporte pas les gens qui, sous des couverts de "tact" ou de "diplomatie" vous font de grands sourire polis mais qui vous critiquent une fois que vous n'êtes plus à portée d'oreille. Tout comme je ne supporte pas les gens incapables de se remettre en question ou d'entendre un autre point de vue que le leur. -
RE: "La France, tu l'aimes ou tu la quittes"... D'accord !
Alors, il faut savoir que en tout premier lieu que je n'ai pas quitté la France parce que je ne l'aimais pas. D'ailleurs, je continue d'être un grande défenderesse de sa culture.
Si j'ai quitté la France, c'est par amour.
Mon mari a perdu son emploi en France et trouvé une belle opportunité professionnelle en Angleterre et je l'y ai suivit. Et c'est exactement le même processus qui nous a conduit en Autriche deux ans plus tard.Nous ne connaissions de la langue de Goethe que les grandes bases : bonjour, aurevoir, s'il vous plait, merci...
On a très vite appris à dire "je ne parle pas allemand" ^^
Heureusement, l'entreprise de mon époux nous a financé à tous les deux des cours pour apprendre les bases. Ensuite, ben, j'ai apprit sur le tas, contrainte et forcée par la nécessité.
au bout de 15 ans, je m'en sors pas trop mal, du moins à ce qu'on me dit.
j'ai encore beaucoup de mal lorsque les gens s'adressent à moi en parlant vite et/ ou avec un accent marqué. Il vaut mieux, également, que ça reste dans des domaines que je connais.Niveau intégration, nos deux enfants ont toujours été intégrés au système scolaire local.
En ce qui concerne mon cercle social, il est très intimement lié à internet. Mais il faut savoir que j'ai un profil particulier. Mon isolement social dans mon pays d'accueil est donc davantage lié à mon caractère et ce que je suis qu'à des difficultés qui pourrait être lié à la culture autrichienne. Les gens y sont relativement accueillant et les lieux de rencontre ne manquent pas.
Une des difficultés auxquelles il faut faire face et à laquelle s'attendre, surtout si on souhaite une expatriation sur le long terme, comme c'est le cas pour nous, est liée au système bancaire qui exige un passif assez long pour pouvoir accéder aux systèmes de crédit. Sinon, ben, l'Autriche étant un pays européen, il n'y a pas vraiment de choc des cultures et de soucis de compréhensions ou d'a priori négatifs.
Voilà pour un bref aperçu de mon expérience personnelle sur le sujet.
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RE: Battles du cinéma (4ème édition) - Peri est le vainqueur !
Je ne sais pas si ça va te rassurer ou pas.
Mais moi, quand je participe aux Battles (vote ou, comme pour la première fois ici, en tant que candidate), ce qui me motives, c'est la curiosité. Celle de voir comment les / mes adversaires vont interpréter le thème, de quelle manière ça les interpelle, ce que ça leur évoque. Je garde à l'esprit, toujours, qu'on a pas la même culture, pas la même sensibilité, pas la même façon de penser et que c'est ça qui fera la richesse de la Battle.
Quand je vote pour une proposition, je vote évidemment avec ma propre sensibilité, ma propre réflexion, ma propre approche du thème. ça ne veut pas dire que l'autre proposition était "nulle" ou "HS". ça veut juste dire que l'autre m'a davantage parlé - à moi - (et parfois, ça tient pas à grand chose) Et puis, c'est un peu comme quand j'arrive dans une pâtisserie et que j'hésite entre tarte au citron et tarte au citron meringué.. un jour, je vais préférer l'une et le jour suivant, ça sera l'autre. Question d'humeur, de météo, d'heure, de lumière... ^^ bref, ça se joue à rien et j'en ai conscience quand je vote dans les Battle. Il ne s'agit donc pas de juger le gout de la personne qui a proposé l'extrait, pas pour moi, en tout cas.
Bisous (si tu le permets).
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RE: LGBTQIA+
Je partage en grande partie le point de vue de @Kallindra.
Je n'ai strictement rien contre cette partie de la population et j'estime qu'ils ont autant le droit de vivre leur vie comme ils l'entendent comme n'importe qui d'autre. Mais je pense que le communautarisme peut avoir un effet pervers : d'une certaine manière, ils revendiquent une certaine forme d'identité ou d'existence en marge de la société, ils mettent sans cesse l'accent sur leur différence. Comment peut-on, dans ces circonstances finir par les considérer comme faisant partie intégrante de la société ? Il y a là une forme de paradoxe qui me gène.
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RE: La déception quand qqun qu'on aime n'aime pas les films qu'on aime
@ayamé a dit dans La déception quand qqun qu'on aime n'aime pas les films qu'on aime :
toujours faire preuve de tact, surtout aucun mépris, quand on veut dire à quelqu'un qu'on n'apprécie pas ce que lui aime.
Je passe d'ailleurs énormément de temps et d'efforts pour expliquer à mes enfants que lorsqu'on aime pas quelque chose, il ne faut pas dire : "c'est pas bon / beau" ou "c'est nul, c'est moche, c'est pas intéressant..." mais plutôt "moi, je n'aime pas" ; "ça ne me séduit pas" ; "ce n'est pas à mon goût" ; "ce n'est pas mon genre"... etc.
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RE: La différence invisible
C'est un joli témoignage.
Mais ce qu'il faut retenir, surtout, c'est que même les personnes atteintes de ce syndrome, surtout lorsqu'il s'exprime au féminin, ont conscience de leur différence, mais ne comprennent pas l'origine de cette différence et que, cette ignorance multipliée par l'ignorance de l'entourage / collègues / proches et les mots et remarques qui peuvent fuser de manière "innocente", peut causer une grande souffrance, un profond mal-être.Et le seul moyen de remédier à cela, c'est de lutter contre l'ignorance. Plus les gens auront conscience que les TSA ne sont pas un trouble rare mais qu'il est, au contraire, bien plus courant qu'on ne voudrait l'admettre ; plus on aidera les gens à comprendre de quoi il s'agit et de quelle manière ça peut impacter sur la personnalité et le comportement des gens ; plus on les aidera à comprendre comment réagir face à ces troubles et plus on chassera les peurs, les malentendus, les a priori. On s'approchera alors d'une véritable inclusion dans le vrai et le plus pur sens du terme.
Ce genre de BD mériterait une bien plus grande visibilité. Et devraient être lues par un maximum de gens même si ce n'est pas "leur délire".
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RE: Faut que je vous avoue...
@cupide a dit dans Faut que je vous avoue... :
je suis nulle en cuisine et maladroite aussi. Et pour repasser j'y suis nulle.
C'est bon pour une femme??Ce n'est bon ni pour une femme, ni pour un homme.
Il est dommage pour n'importe qui, de ne pas avoir d'aptitudes en cuisine ou en repassage. Ceci dit, l'un comme l'autre ne sont pas sans solution. ce sont tous les deux des domaines dans lesquels on peut s'améliorer. MAIS le désir de s'améliorer dans ces domaine doit être motivé par l'envie de manger mieux et meilleur et d'avoir des vêtements bien repassés. Et certainement pas parce que, en tant que femme, on se doit de savoir faire ces choses là !! C'est réducteur et sexiste de penser que ce sont des aptitudes / tâches exclusivement féminines. Une femme a tout à fait le droit de ne pas être douée en cuisine ou en repassage. Elle peut l'être dans d'autres domaine (mécanique, bricolage, peinture... etc).
Chacun a le droit d'avoir ses points forts et ses points faible et l'essentiel, c'est de s'accepter tel que l'on est et de trouver autours de soi des personnes capables de nous accepter tel que l'on est. -
RE: Faire la route de nuit
En tant qu'expatriés, nous sommes habitués aux longs trajets (jusqu'à 1200/1400 km) qui demandent jusqu'à 14h de route. Dans ces circonstances, rouler de nuit est souvent juste indispensable et inévitable. D'une part parce que le temps de trajet l'exige et d'autre part parce que si on veut respecter un certain timing, nous n'avons pas d'autre choix que d'éviter les difficultés sur la route, autant que possible.
S'il est vrai que nous commençons (à la bascule des 50 ans) à ne plus supporter de si longs trajets et que nous préférons faire des étapes depuis une paire d'année, voici ce que l'on peut de donner comme conseils :
La première, c'est de préparer les bagages et charger la voiture autant que possible la veille du départ pour démarrer la journée de bonne heure et de bonne humeur avec le moins de stress possible au démarrage. Ensuite, il faut essayer de se reposer le mieux possible avant le départ, même s'il s'agit d'une courte nuit. Se mettre au lit tôt et même si on ne dort pas, au moins mettre le corps et l'esprit au repos, autant que possible.
Une petite douche avant le départ, peut aider à se réveiller.
Une petite collation, histoire de ne pas partir l'estomac vide, peut s'envisager, mais si tu /vous n'avez pas faim, ne vous forcez pas.
Ensuite, une à deux heures après le départ, faites une pause, marchez, prenez un café, mangez un peu.En fonction de chacun, il peut y avoir des heures un peu critiques. Si vous partez trèèès tôt, genre à partir de 2 ou 3 heures du matin, ça peut être délicat. Puisque la nuit domine encore, votre cerveau peut avoir tendance à générer une envie de dormir. N'hésitez pas à prévoir une playlist dynamique faites de musiques que vous aimez ou, si vous préférez, à écouter la radio ou discuter entre vous.
Si ça ne suffit pas, ne vous forcez pas. Une micro-sieste (10 mn / 1 quart d'heure) peut s'avérer nécessaire et bénéfique.A l'aube, quand le soleil va se pointer, la luminosité va remonter doucement et le cerveau va enfin comprendre qu'il faut qu'il finisse de se réveiller et ça va aller mieux, mais ce n'est pas forcément une phase confortable pour tous les yeux et toutes les personnes. Si vous éprouvez des difficultés à gérer cette phase de transition, profitez-en pour faire une pause.
Si vous devez passer par des points chauds au niveau de certaines villes, essayer d'éviter d'y être entre 7 et 9 heures, c'est le moment où les périphériques se chargent un peu.
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RE: Le hasard
J'y verrais, personnellement, la concrétisation d'une probabilité.
Car je crois que ce que nous aimons à prendre pour du hasard, n'est en réalité que la concrétisation d'une probabilité. Plus nous estimons que cette probabilité est faible et proche de l'impossible et plus nous aurons tendance à y voir du "hasard" (Puissance considérée comme la cause d'événements apparemment fortuits ou inexplicables ; Circonstance de caractère imprévu ou imprévisible dont les effets peuvent être favorables ou défavorables pour quelqu'un) et pourtant, c'est juste que nous avons du mal à voir tous les différents paramètres qui ont conduit à la réalisation de la probabilité en question.Il y avait une série, il y a quelques années qui avait pour héro un génie qui parvenait à calculer et anticiper les réactions des gens en se basant sur des statistique et des calculs de probabilités. Je ne parvient pas à me souvenir du titre ^^ C'était assez déstabilisant, et pourtant, c'était juste.
Le truc, c'est que l'idée que l'on puisse calculer ce que l'on va probablement faire grâce à des calculs de statistiques et de probabilité, ça a quelque chose d'angoissant. ça nous donne l'impression d'être totalement prévisible, de perdre le contrôle, d'amoindrir notre libre arbitre. Du coup, ben, plutôt que de penser stats et probabilités, on préfère penser "hasard".
edit : j'avais pas lu la réponse de @Barbouille ^^ d'une certaine façon, on n'utilise pas les même mot, mais notre argumentaire est le même.
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RE: Les Aventures de Tintin (série de BD)
J'ai découvert les albums de Tintin dans la bibliothèque de mon collège.
J'ai tout de suite aimé le côté épuré des dessins qui pouvaient néanmoins être très riches en détails. J'ai aussi apprécié que les phylactères ne prennent jamais le pas sur le dessin, ne donnant que le strict nécessaire en terme d'information pour que l'on comprenne les tenants et les aboutissants du récit. Ce qui donnait une aventure relativement rapide à lire; or c'était justement ce dont j'avais besoin à l'époque.A l'époque, je ne me posais aucune question sur le "fond", c'était le côté aventure qui me plaisait et l'humour.
Plus grande, j'ai prit davantage de recul et j'ai commencé à discerner différents états d'esprits et approches dans les différents albums. Mais j'ai eu la chance d'avoir un prof de français qui avait, tout au long de son enseignement au collège (durant 4 ans, donc) insisté sur le fait qu'il ne fallait jamais "juger" une oeuvre sans la remettre dans son contexte. Oui, les albums "Tintin et les Soviets" et "Tintin en Amérique" peuvent paraître choquants à nos yeux. Mais il ne faut pas oublier qu'ils sont surtout le reflet d'une époque et de sa mentalité. Et si certains aspects de ces albums sont troublants, voire choquant à nos yeux, c'est aussi le signe et le témoignage d'une évolution dans nos modes de pensées.
J'aime beaucoup l'éclairage que @Angelina-0 nous apporte.
Mes albums préférés sont ceux, grosso modo de la troisième période ; Le Crabe au pinces d'or jusqu'à Tintin au Tibet.
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RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
'tain, plus d'une heure à essayer de comprendre pourquoi mon ordi voyait bien mon haut parleur sans pour autant que j'entende le moindre son... plus d'une heure !!!
Et d'un coup, eureka... la question que j'aurais du me poser en tout tout premier... mais au fait, y a pas un interrupteur quelque part ?? et là, bingo.. ^^punaise, je vous jure, je me sens un peu couillonne
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RE: Charlize Theron
Ce que j'aime bien, chez cette actrice, c'est qu'elle est capable de jouer un palette de rôle très riche et variée qui ne s'appuie pas systématiquement sur sa plastique et son magnifique sourire.