Meilleurs messages postés par Artelise

ça a l'air carrément marrant ce truc !

Hop.

Un roman ou un essai sur ou aux temps de la Rome antique
Un roman ou un essai qui a pour thématique l'océan/la mer
Un livre d'au moins 300 pages
Un livre inclusif
Un tome 2 qu'on n'a pas pris le temps de lire : La trilogie baryonique, tome 2 : Le système de la tortue
Des contes ou légendes étrangers : Fables et légendes coréennes - Anne-Claire Duval
Un livre d'un auteur espagnol
Un recueil de nouvelles
Un tome d'un manhwa (bande dessinée coréenne) Your letter par Hyeon A Cho lu sur Webtoon. en anglais.
Un livre avec une femme en héros principal
Un livre avec une créature imaginaire
Un livre où il y a des animaux : Les mémoires d'un chat - Hiro Arikawa
Un livre avec pour toile de fond la seconde guerre mondiale
Un livre dont le titre commence par "Le"
Un livre dont l'histoire se déroule dans un pays que l'on souhaite visiter (ou que l'on a visité).

@Miliam a dit dans L'allaitement prolongé/tardif/long :

Je te rejoins sur ton témoignage vraiment très beau. Merci de ton partage, c'était très enrichissant.

y a pas d'quoi !

@Peri

Cool ! une date de sortie ! C'est intéressant que ces deux films tellement différent sortent le même jour !

Voilà qui m'aide à bien démarrer ma journée. !

Merci Shanna !

@Cuillère

ah ! cool !
Je n'y ai pas joué moi-même, mais j'ai vu, quand Mnemmeth y jouait qu'il y a une esthétique vraiment intéressante. Sans parler des scénarios qui ont un réel potentiel pour être portés au cinéma.
Hâte de voir ce que ça va donner !

Format de 20 mn !
mais c'est parfait pour regarder tranquiloute pendant le repas du soir, ça !

@Spip a dit dans Quiz - La BD franco-belge :

12- Comment s'appelle le plus grand des Dalton ?
C'est Averell (mais j'ai également accepté Avrell, Averel, Avirel..)
Et pour ceux que ça intéresse, du plus petit au plus grand, ça donne : Joe, Jack, William, Averell

Le pire, c'est que celle-là, je l'avais ! mais j'ai buggué au moment d'écrire la réponse et c'est deux questions plus loin que je me suis dit "mais enfin couillonne, c'est Averell le plus grand ^^ Je m'en suis terriblement voulu.

@wawa007 a dit dans Vos relations avec vos parents :

je n'ai pas téléphoné pour voir si on allait prendre de mes nouvelles. aucune des deux ne l'a fait.

Voilà tout le résumé de ce qui se passe avec ma famille.
Avec ma mère qui n'écoute pas, qui ne parle que d'elle, qui ramène tout à elle, qui a toujours vécu pire que tous les autres et qui considère que c'est aux autres de s'inquiéter de comment elle va. Elle prend également presque tout ce qu'on lui dit comme une critique.

Et mes soeurs qui font leur vie de leur côté et qui, sans me vouloir du mal, ne se soucient jamais de savoir comment je vais. ça fait 16 ans maintenant que nous avons déménagé en dehors des frontières françaises (Angleterre, puis Autriche).
J'ai passé les 15 premières année à entretenir des blogs, à poster sur des réseaux sociaux, me montrer le plus disponible possible sur différentes messageries instantanées.... Des photos, des articles, des commentaires, j'en ai publié des milliers. Aucune de mes soeurs ne s'ait jamais donné la peine de commenter mes articles de blogs ou mes posts sur les réseaux sociaux (à quelques exceptions près), de m'appeler via la moindre messagerie instantanée. Et, malgré leurs promesses.. on restera en contact par mail.. je n'ai jamais reçu de mail de leur part.. sauf quand je me suis donnée la peine de leur en envoyer.. et encore, en dehors d'une réponse lapidaire, voire laconique, ça n'a jamais permis d'initier de vrai dialogue. J'en sais plus long sur la vie de certains forumeurs que sur leur vie.
Ni l'une ni l'autre n'ont jamais fait l'effort de venir chez moi. Alors que moi, j'ai fait plusieurs fois plusieurs milliers de kilomètres pour les voir, sacrifiant nos vacances d'été et/ou d'hiver. Voyageant enceinte, payant pour des logements quand on ne pouvait pas nous héberger, calant nos dates de congés sur leurs éventuelles présences à eux dans le coin.. et ça tournait souvent en : "ben, ce weekend-là, ça sera le mieux, parce que avant, on travaille et après on a nos vacances".. ^^
Une fois, une seule et unique fois, j'ai réussi à passer une semaine de vacances avec ma petite soeur parce que j'avais remué ciel et terre pour organiser un truc dans une petite maison que possède mes beaux parents aux pieds des Pyrénées. Ma soeur n'avait donc rien à dépenser sinon l'essence pour y venir et la bouffe pour se nourrir.. et comme elle était "fatiguée par son travail et qu'elle avait besoin de décompresser, elle a prit du temps pour elle et elle a profité du fait que je prenais soin d'elle.. a-t-elle, à cette occasion, essayé de voir si par hasard, je n'avais pas besoin qu'on s'occupe un peu de moi ? Non.

Relation toxique ? Sans doute.
Faudrait-il que je coupe les ponts..? il y a de forte chance que ça me porte davantage préjudices qu'à elles toutes, car je culpabiliserait sans doute bien trop.

Titre : Black Adam.
Genre : film de super héro
Univers : DC Comics.
Réalisateur : Jaume Collet-Serra
Date de sortie : 2022.
Durée du film : 124 mn.

Le film met en scène un personnage du nom de Black Adam créé par Otto Binder et C.C. Beck.
A son origine, en 1945, le personnage n’a qu’un rôle secondaire et il disparait rapidement du paysage. Il connait une renaissance dans les années 70. C’est à partir de cette époque qu’il sera progressivement redéfini par une succession d’auteurs visiblement intéressés par les conflits moraux qui l’animent. Car, en réalité, Black Adam est, d’un point de vue moral, assez loin des super-héros classiques. Quelque soit le passé et les origines qu’on lui prête au fil des séries et de ses différentes interprétations, le personnage reste un personnage sombre, vindicatif, hanté par ses démons et adepte d’une justice expéditive qui n’est pas du goût de tous…

Synopsis
Le film débute dans le Kahndaq, un pays inspiré par l’Egypte antique. Une voix off nous raconte comment un jeune homme, lassé de vivre sous le joug tyrannique de son roi, ose se révolter… avant de se voir doté de pouvoirs extraordinaires et devenir un héro pour son peuple.
Près de 5 000 ans plus tard, dans un Kahndaq opprimé par un groupe de mercenaires (L’intergang), nous faisons la connaissance d’Adrianna Gomez qui, avec l’aide d’un petit groupe d’amis et de son fils, tente de mettre la main sur un très ancien artefact avant… les méchants. C’est au cours de cette quête que Teth Adam est libéré. Aussitôt, Adrianna Tomaz et son fils y voient le héro libérateur que leur peuple attend depuis des millénaires. Mais est-ce vraiment le cas ? La Justice Society en doute et décide donc d’intervenir. Une équipe d’intervention est montée et envoyée dans le Kahndaq.

Distribution : Dwayne Johnson ; Aldis Hodge ; Pierce Brosnan ; Sarah Shahi ; Noah Centineo ; Quintessa Swindell ; Marwan Kenzari ; Bodhi Sabongui ; Mohammed Amer.

L’avis des critiques pro : globalement négatif, rien dans le film ne semble vouloir trouver grâce à leurs yeux.

Mon avis : ce n’est certes pas le chef-d’œuvre du siècle. Ni même le meilleur film de super héro que j’ai pu voir. Toutefois, j’ai apprécié le côté sombre du personnage qui semble n’avoir aucune valeur à défendre et les questionnements que cela apporte. Le film s’interroge également – de façon un peu superficielle, certes – sur la question de l’ingérence et sur la question – assez classique, je l’admets – de la frontière entre ce que l’on peut considérer comme le Bien et le Mal.
J’ai trouvé que le film était plutôt bien fait. C’est un bon divertissement, je pense, qui navigue entre action et humour de manière plutôt agréable.
Dwayne Johnsonn est formidable dans son rôle de « Troll » que rien ne semble pouvoir atteindre. Et Pierce Brosnan apporte une touche d’élégance purement anglaise assez inattendue, mais assez rafraichissante dans ce film ou la douceur n’a guère de place.

@Hilda-1 a dit dans Le visage de la Petite Sirène :

Il n'y a pas de normalité quand il s'agit d'une fiction. Cela dit ça soulève un autre problème : celui de ne pas parvenir à distinguer fiction d'Histoire (avec un grand H) .

Il n'y a pas de normalité dans une oeuvre de fiction, certes. Mais que fais-tu de la cohérence ?
Que les réalisateurs du film "la petite Sirène" décident que, finalement, ce personnage peut avoir la peau noire, je veux bien. Après tout, personne ne connait la couleur de peau des sirènes.
Mais lorsqu'on touche à une oeuvre qui puise ses sources et ses inspirations dans une époque précise et / ou une situation géographique clairement définie, il me semble logique de respecter certains critères et caractéristiques propres à l'époque ou le lieu en question.
Et c'est d'autant plus valable lorsqu'on se décide à faire le portrait d'un personnage historique.

A moins de s'amuser et assumer pleinement une dystopie ou introduire des anachronismes volontairement et de manière flagrante et aisément identifiables (comme dans le film de Sofia Coppola - Marie-Antoinette, par ex.)

Comme @Jabba-the-Hutt , je pense que le terme de "fiction" ne doit pas être le prétexte à tout et n'importe quoi et n'importe comment.

@Shanna

Est-ce en rapport avec le monde de la mode ?

Allez hop, on a rejoint le club !
2 épisodes et j'ai hâte de pouvoir regarder la suite.
C'est dynamique et drôle. J'aime vraiment beaucoup.

@Hornet

Nous sommes, a priori, les seuls confrontés aux difficultés liés à la barrière de la langue.
Mais ça reste un beau thème. Et comme il n'y a jamais eu d'obligation dans ce défi, je ne vois pas pourquoi il ne serait pas inclu dans la liste.

Je jetterai plus souvent un coup d'oeil aux boites à livre du coin (pas difficiles à trouver, en plus). On ne sait jamais, je pourrais tomber sur un truc accessible.

@loutre
ça se tente, en effet.
Sinon, pourquoi ne pas accepter le fait qu'il soit dans une période difficile, et accepter de laisser passer ces moment-là sans se poser plus de question ? C'est un peu comme dans la chanson de Camélia Jordana (non, non, non - écouter Barbara).
"Je veux juste Aller mal et y'a pas de mal à ça"

Car je doute qu'il y ait vraiment de solution ou d'aide à apporter. Il n'y a peut-être tout simplement rien à faire pour l'aider sinon laisser le temps faire son oeuvre. Ce n'est pas comme si vous ne compreniez pas l'origine de son mal-être. Il n'est pas super bien, il a du mal à être à l'aise, il n'a pas le moral au top ? Et alors ? Est-ce bien en plus nécessaire de lui mettre la pression et de lui imposer d'aller mieux ? Et si tu le rassurais, au contraire, en lui disant qu'il n'y a pas de mal à ne pas aller bien, surtout dans les circonstances ? Qu'il a le droit de ne pas être en forme, le droit de ne pas être à l'aise ? Et que, c'est une chose que tu acceptes et que vous allez simplement faire avec tous les deux, ensemble et que ça finira par passer. Que son coeur, son âme, son esprit, finiront par trouver le moyen de faire avec l'absence de son être cher ?

Quand on aime les gens, on veut les voir heureux, c'est sûr. C'est inévitable. Mais il faut aussi savoir accepter qu'ils ne le soient pas toujours. Et accepter l'idée qu'il n'y a parfois rien à faire. Accepter l'idée aussi, que l'on ne peut pas toujours aider.

Sinon... Pourquoi, ne pas lui proposer de l'aider à passer le cap en faisant quelque chose à la date anniversaire ? Aller sur la tombe pour qu'il puisse s'épancher ? Organiser une soirée avec des proches et échanger des souvenirs positifs et joyeux concernant sa maman ? C'est qui m'a aidé, moi : faire remonter les beaux souvenirs, regarder une photo où il était super souriant, heureux et entretenir le souvenir de qui il était.

@Shanna

vendu pour mon homme !

@Cynthia80

Alors, j'ai fait une rapide recherche. J'ai réussi à dénicher deux articles

Des femmes dénonçant des pratiques violentes et des actes médicaux pratiqués sans leur consentement et sans justifications réelles lors d'accouchements (Luxembourg) - Source

et des femmes dénonçant la violence d'un gynécologue pratiquant dans une clinique privée - Source

S'il s'agit bien des affaires dont tu parles, on est loin de gestes anodins et normaux...
A moins, bien évidemment, que tu ne considères comme normal qu'un gynécologue introduise un spéculum dans le vagin d'une patiente sans s'assurer de son consentement et sans prévenir ou qu'il fasse usage de forceps sans prévenir et sans s'assurer du consentement de la patiente...

Il a remplacé, au pied levé, un collègue malade ?

@DamePatience

Le personnage n'est pas parfait. C'est l'un de ses défauts.
Au début de la série, il incarne le gamin de riche pourrit gâté qui a l'habitude d'obtenir ce qu'il veut. Et les scénaristes ce servent de ce trait de caractère pour créer une certaine dynamique entre les deux personnages principaux et du comique puisque les situations sont souvent à la limite de la caricature.
Il faut toutefois noter au moins deux choses :
La première, c'est qu'il a, face à lui, une femme au caractère fort qui sait lui résister et le remettre à sa place de temps à autre.
La seconde, c'est que le personnage finit par évoluer, gagner en maturité et son comportement va changer.

Oui, c'est un comportement problématique que le personnage adopte au début de la série. Mais c'est aussi un comportement qui est régulièrement remis en question et l'évolution du personnage dans la série témoigne bien du fait que dès le départ, il faut le considérer comme un défaut du personnage. Ce n'est pas ce trait de caractère là qui le rend ou finira par le rendre attachant, mais plutôt la fragilité qui se cache derrière ce comportement puéril (qui agit comme une armure). Son comportement de gosse de riche pourri gâté, c'est ce qui le rend agaçant et un peu tête à claque.
C'est de mon point de vue, un des points forts de cette série : oser proposer un héro un peu anti-héro et bourré de défaut, avec une vraie marge de progression.

@Elenwey

"Les chroniques de Ford County" de John Grisham
c'est un recueil de nouvelles qui ont pour point commun de ses dérouler au coeur du comté du Mississippi où se déroulait déjà l'intrigue de son premier roman, Non coupable.
note en bémol : si j'ai bien compris, il n'y a qu'une seule des nouvelles qui met en scène un avocat.

"Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur" de Harper Lee
Atticus Finch, avocat exemplaire, défend un homme noir accusé à tort dans une Amérique ségrégationniste. Un incontournable plein d'humanité.

"Le Douzième juré" de John Grisham
Un classique des thrillers juridiques. Si tu aimes les intrigues tendues et les rebondissements dans les salles d’audience, c’est une valeur sûre.

"Défendre Jacob" de William Landay
Un avocat se retrouve à défendre son fils, accusé de meurtre. Mélange de drame familial et de suspense psychologique.

"Petits secrets, grands mensonges" de Liane Moriarty
Ce roman explore des secrets bien gardés dans une petite communauté où un avocat joue un rôle crucial. Beaucoup d'humour et de mystères.