Meilleurs messages postés par Artelise

@mothra2000

Soit le bienvenue parmi nous !

@icescream

J'ai entendu et lu beaucoup de bien concernant cette auteure et ce livre.
Il parait que même s'il s'agit bien de "littérature jeunesse", le style n'en est malgré tout ni simpliste ni complaisant.

Pour ceux qui aiment le genre (je parle ici plus de la thématique que de la classification du livre), je pense que je le recommanderais. Mais, ce n'est pas mon cas.

@Barbouille a dit dans HPI - la vérité :

Voili voilou, vous l'êtes? vous en connaissez ?
Vous avez appris un truc?

tout d'abord, merci pour cet article !

Ensuite, pour répondre aux questions :
Est-ce que je suis HPI ? je n'en ai pas la moindre idée. Comme tu le dis, il n'est pas possible de s'auto-détecter et je n'ai jamais fais de bilan pour moi-même.
Est-ce que j'en connais ? Oui. L'enfant d'une amie a été détecté TDAH et HPI.
Mon fils, quant à lui, a passé un bilan lors du diagnostic qui a conduit à la détection de son autisme. Il n'a pas été classé dans les HPI, mais la psychologue a parlé d'un potentiel à la limite dans le langage (mais non confirmé car le test a été effectué en allemand alors qu'il est de langue maternelle française et ça biaisait un peu le test).

Vous avez appris un truc ?
Non.

Mais je m'étais déjà penché sur la question.

Sinon, penses-tu qu'il faudrait généraliser les test et les détections ?

@Artelise

Je m'auto-répond pour une mise à jour..

Les ouvrages que j'ai lu :

• un livre qui ne contient qu'un seul mot dans le titre mais qui ne soit pas un prénom – Ubik – P.K. Dick
• un roman publié avant 1900 – le portrait de Dorian Gray – Oscar Wilde
• un livre non fiction – the little book of Ikigai de Ken Mogi
• un livre avec une couverture très moche – la horde du contrevent - Damasio
• un livre sans personnage humain – Flatland – Edwin A. Abbott
• un huis-clos – Phare 23 – Hugh Howey
• un recueil de poésie – les plus belles récitations de notre enfance
• un livre qui passe le test de Bechdel, c'est à dire où 1. deux femmes dont on connaît le nom 2. parlent ensemble au minimum une fois 3. à propos de quelque chose d'autre que d'un homme – Hamilton et la Saga du Commonwealth.
• un classique de la littérature étrangère – Les piliers de la terre – Ken Follett
• un livre qu'un popcorner vous a fait découvrir – Les Royaumes du Nord - le premier tome de la trilogie A la Croisée des Mondes - Philip Pullman (conseillé par Sylareen ICI)

Dans ma PAL... (dont un qu'il me faut acheter)

• un livre qui a reçu un prix (Goncourt, Nébula, Fémina.....) – vers les étoiles - Mary Robinette Kowal
• un livre avec le mot "guerre" dans le titre – Braises de guerre - Gareth L. Powell

Le reste ^^

• un livre qui donne faim (mais pas un livre de recettes)
• un livre dont le titre comporte une couleur
• une BD adaptée d'un roman

Je pense que je vais finir A la croisée des mondes avant de passer au roman de Mary Robinette Kowal.

@LeaPierce

Non, je n'avais pas entendu parler de cette vidéo.

Oui, elle me choque profondément.
Pour avoir fait partie de celles et ceux qui ont connu gifles, fessées, fessées avec les orties, douches froides... je peux témoigner du fait que c'est quelque chose qui reste dans les mémoires comme quelque chose de choquant voire traumatisant et que ça n'a rien d'éducatif. Le cerveau ne se souvient que de la gifle / fessée. Il se focalise entièrement sur le geste et la violence et ne retient absolument rien de ce qui a amené à ce résultat. Et quand on comprend et qu'on parvient à associer la gifle avec une insulte ou tout autre comportement qui a été jugé suffisant pour déclencher l'acte violent, tout ce qu'on retient c'est que dans certaines circonstances, on a le droit de frapper les autres.
La violence appelle la violence. Frapper son enfant, c'est lui dire que finalement la seule vraie solution à un problème, c'est la violence.

J'ai de la chance. J'ai finalement, à un moment donné de ma vie, reçu une éducation religieuse qui m'a désapprit ces choses et qui m'a apprit qu'en réalité la violence était vaine et qu'il fallait apprendre à trouver d'autres solutions. Je ne suis donc pas tombée dans le cruel schéma de reproduction de ce que j'ai pu vivre. Je n'ai jamais levé la main sur mes enfants.

@Louikatorz : ton gamin dit "putain" à sa grand-mère ? Déjà demande-toi à quel moment il a apprit ce mot ? Et comment il a apprit que c'était une insulte ? Demande-toi à quel moment a-t-il commencé à estimé qu'il avait le droit de s'adresser ainsi à sa grand-mère ? A quel moment, toi, as-tu raté l'occasion de lui apprendre le respect ? Et quand bien même, malgré tes tentatives pour lui apprendre le respect, il finit par se montrer "insolent" (je mets le mot entre parenthèse parce que c'est sujet en soi, l'idée qu'on se fait de l'insolence de nos enfants), et cherche plus ou moins volontairement à s'opposer à votre autorité. Oki, admettons. Pourquoi ne pas l'ignorer, simplement. Pourquoi lui montrer qu'il a fait mouche ? tu aurais pu laisser couler, rassurer sa grand-mère en disant : rassurez vous, je vais lui en parler dès que la crise sera passée. Et, en effet, une fois la crise passée, tu prends ton gamin entre deux yeux et alors que lui et toi êtes calmes, vous discutez !!

voilà comment on éduque un enfant. Avec douceur, dialogue, compréhension. Car ils ne naissent pas avec la science infuse. C'est à nous de leur apprendre et de les guider. Mais la violence et l'humiliation n'ont jamais aidé. Ce sont des outils de "dressage" qui vont, au mieux apprendre à l'enfant à "fermer sa gueule" pour éviter de se prendre des coups, mais qui vont laisser germer au fond de leur coeur des sentiments de vindicte, de rancoeur et de violence. L'enfant n'aura pas l'occasion de s'exprimer et de chercher à comprendre ses sentiments et ce qui l'aura poussé à adopter un comportement inapproprié. Car, même encore à 12 ans, il est bien là encore le problème. Il aura manqué, par manque de dialogue, l'occasion de comprendre pourquoi son comportement était inapproprié et parce qu'il n'aura pas comprit, il ne parviendra pas à éviter de recommencer. Et s'il recommence, vous allez prendre ça pour le l'insolence et le frapper encore.. et .. .et... et..

Enfin bref...

@Kallindra et @Barbouille

en même temps, je pense que ça dépend de ce qu'on attend du côté multijoueur.
Moi, perso, c'est pas ce qui m'a vendu le jeu. D'autant que si la coop et l'entraide sont effectivement possibles (voir indispensables) dans certains aspects du jeu, on s'en passe très bien dans d'autres.
Il m'arrive d'aller intégrer un évènement et d'aller apporter mon soutien à un joueur si je passe à côté et j'apprécie qu'on fasse de même pour moi, surtout si j'ai du mal à terminer l'évènement et que ça me permet d'obtenir le coffre doré de maitrise. Mais honnêtement, je ne vois que difficilement l'intérêt du multijoueur (même quand on joue à trois grâce à notre clan familial, le gain d'xp n'est pas vraiment très attrayant) et je préfère finalement jouer en solo et progresser à mon rythme.

Je rejoins donc @Barbouille : le côté multijoueur est loin d'être vraiment l'atout majeur du jeu et a un petit côté "effet d'annonce".

Sois le bienvenue parmi nous !

Pour les découvertes et le partage de musiques, tu verras, on a carrément un sujet dédié !

@icescream

J'en avais déjà entendu parler.
Et il m'avait déjà interpellé.
Je pense que je vais finir par lui donner sa chance, d'autant que ta critique me donne à penser que je pourrais bien l'aimer.

@LeaPierce

j'ai porté des soutien-gorges trop petits pour moi tout le temps que j'ai vécu en France. En me fiant aux mesures proposés par les différentes marques vendues en supermarchés. Puis, j'ai emménagé en Angleterre où le système des tailles est différent. Il a fallut que je me mesure à nouveau et je me suis mise à porter des soutiens gorges dans lesquels je ne me sentais pas forcément plus à l'aise ^^.

Et puis hop, grossesse... Je prend du poids de partout ^^ Je m'achète quelques soutien-gorges de grossesse dans une boutique spécialisée où la vendeuse m'aide à faire quelques mesures. Elle me trouve un lot de soutien-gorge super adapté.

Mon fils nait, ma poitrine revient, peu ou prou à sa taille habituelle. Mais j'ai envie de me faire plaisir, je vais donc dans une boutique de lingerie. Nous sommes, alors, en Autriche. La vendeuse voit mon nouveau-né dans la poussette et me propose, très gentiment de prendre mes mesures. Elle m'annonce une taille légèrement différente de ce que j'achetais d'habitude : du 90C... on passe au 90D / 95C. Je suis surprise car j'ai vraiment l'impression qu'il aurait fallu changer plus radicalement de taille.

Je me renseigne un peu et découvre que le 90D / 95C qu'elle me propose c'est selon la norme européenne.. en France, il m'aurait fallut prendre du 105D / 110C.

Voilà qui devient cohérent. Il est à noter qu'après ma seconde grossesse, il n'y a pas eu de grand changement niveau taille de soutien-gorge. Tout le poids s'étant cette fois installés sur mes cuisse et mes hanches (poids que j'ai conservé malgré mes efforts^^ ).

Quand j'ai décidé de passer au tout brassière, je portais toujours cette taille et, ça tombe bien, car c'est exactement la taille que l'on me conseille sur ton site.

@Mai-Tai

oui ! c'est vrai ^^ lol.
Mais j'ai vraiment envie de tenter de compléter tous les thèmes !

@ayamé

je l'ai fait aussi. mais avec le balais.. parce que mon aspi n'aurait jamais été capable d'avaler les petites voitures ^^.

Par contre, une fois que j'ai eu balayé, je leur ai donné un certain temps pour "sauver" ce qu'ils voulaient sauver dans le tas de poussière.

Le truc, c'est que je me suis rendue compte que finalement, s'il ne rangeaient pas, ce n'était pas par négligence ou manque d'envie de ranger ou encore par envie de me provoquer ou de me désobéir, mais pour d'autres raisons et la principale était qu'ils ne savaient pas "comment" procéder. Ils ont donc commencé à ranger leurs jouets efficacement une fois que je leur ai donné une méthode. Ma fille commence à s'en sortir seule pour ranger sa chambre (il lui arrive parfois de venir me voir et de me demander "maman, je souhaite ranger mon bureau, mais je ne sais pas comment je dois faire" alors je la rejoins dans sa chambre et je la guide). Mon fils a plus de mal et de temps en temps, lorsqu'il se retrouve débordé, on se fixe rendez-vous et on range sa chambre ensemble.

Alors, certes, il sont autistes tous deux et ça change peut-être la donne, mais il ne faut pas oublier que les ordres tels que "tient toi correctement", "range ta chambre", "parle correctement" ou les ordres négatifs tels que "ne fais pas ça", ne suffise souvent pas. Ce dont les enfants ont besoin, c'est d'instruction, de modèles, de guides pour qu'il apprennent non seulement ce qu'ils ne doivent pas faire, mais aussi, ce qui est bien et comment bien faire les choses.

C'est pourquoi l'éducation doit être équilibrée entre punition en cas de récidive et encouragements lorsque l'enfant se comporte bien (renforcement positif). AMHA

@Orabig

ah ^^ on parle pas de la même chose alors.
Parce que le côté chaque joueur affronte des monstres d'un niveau adapté à son niveau même quand ils sont sur le même monstre, oui, je crie au génie ! et je me dis qu'il doit y avoir un travail de prog de dingue derrière.

Mais moi, quand je parle du côté multijoueur, c'est quand il y a des objectifs à atteindre ensemble et atteignables uniquement en coop ^^ Alors, certes, il y les World boss et les évènements de légion. Mais en dehors de ça, ben. tu peux tourner en solo sur la carte, tu t'en sors^^

Et le pvp ^^ comment dire. Sauf à avoir atteint un certain niveau, tu es juste une cible sur pattes pour certains prédateurs qui se jettent sur toi à peine tu es sorti de ville, peu importe que tu sois 1, 2 ou 15 niveau plus faible. y a pas de fair-play, il n'y a pas de mérite, juste, tu sors, tu te balade, tu fais un peu de récolte et paf, dès que tu arrives dans la zone où tu peux purifier tes pierres, tu te fais latter par un joueur 10 niveaux de plus que toi ^^ bref, c'est tellement injuste que je n'y mets plus les pieds ^^

Sois la bienvenue, Netflixandcat !

Je suis curieuse : Quel est ton genre de série de prédilection ?

au plaisir de te lire !

@icescream

a vrai dire, j'ai vu le film aussi.
Et la comparaison m'a.. comment dire?... agacé. Parce que pour faire le film, ils ont prit quelques libertés avec le timing et la chronologie de certains évènements.
ça reste un très beau film et il ne trahit aucunement l'esprit du livre.
Mais, cette part de mon esprit qui aime l'exactitude et la précision a été mise à mal.

@agathe

Je me sens aussi bien, voire mieux soutenue. ça dépend de la brassière que je choisis de porter.

Il faut savoir que j'ai commencé à porter des brassières dites de sport lorsque j'ai commencé à faire de la marche nordique. Je ne me sentais pas assez soutenue et les armatures me gênaient. Ce style de brassière offre un maintient ferme et a tendance à relever la poitrine et rassembler les seins vers le centre. Ce qui n'est, en réalité, pas fait pour me déplaire. J'ai une poitrine qui a tendance à "aller sur les côtés" et avec des soutiens gorges je n'arrivais pas à corriger cette tendance. Ce qui me donnait un décolleté et une silhouette que je n'appréciais pas.

La plupart du temps, donc, c'est plutôt ce style de brassière que j'achète.
J'en porte toutefois quelques unes qui sont plus "classiques", avec un maintien moins ferme. Ma poitrine est alors plus "libre". Au niveau silhouette, on est plus proche de ce que j'avais quand je portais des SG.

Le seul bémol que je peux trouver au port de brassières, c'est qu'elle ne se font pas forcément discrètes - sous une petite robe d'été, par ex. Mais au niveau confort, j'y gagne vraiment, d'autant que, pour avoir essayé les SG sans armature, je sais que ça ne me convient pas.

@Egon nous a dit qu'elle avait fait le choix des brassières depuis longtemps, elle aussi. Peut-être pourrait-elle apporter son témoignage, également ?

Pour en revenir au sujet principal :

J'ai l'impression (très personnelle) que c'est effectivement un soucis assez généralisé. Les soutien-gorges sont des accessoires relativement chers qui sont rendus plus accessibles par le prêt-à-porter de supermarché. Le soucis, c'est que les tailles "conseillées" sur les emballages restent indicatives et je pense que l'on ne parvient à prendre des mesures correctes sur soi-même que rarement.
Il y a également, je pense un effet de "mode". C'est souvent un accessoire vendu comme étant un atout séduction, ou à défaut "pour se sentir belle / gagner en confiance en soi". Du coup, l'accent est davantage mis sur le côté "joli" que le côté "pratique / confortable". Par ailleurs, la façon dont les tailles sont normées en France donne de suite l'impression que l'on est "grosse" (ce qui ne flatte pas) d'autant que ce que l'inconscient collectif considère comme "sexy" ce sont finalement des tailles assez petites. On ose donc pas (ou pas sans un certains mal-être) acheter des tailles qui dépassent une certaine cote (95C / 95D étant, il me semble, la limite psychologiquement "acceptable"). Et on ne parlera pas, également, des difficultés à trouver des SG qui dépassent ces tailles-là ^^

@Mai-Tai

Bien vu !

mes copier/coller successifs agrémentés d'ajouts et de remaniements de liste on fini par provoquer la disparition de la ligne :

"un livre aux temps préhistoriques, romancé ou pas"

Il y a une chose que j'aimerais préciser.
Je comprends que les institeurs / trices tentent de trouver des moyens de motiver les élèves et de leur inculquer quelques valeurs (goût du travail bien fait, intérêt pour l'effort avec la rapidité à se mettre à l'ouvrage, éviter les conflits...etc).
Ce qui me gêne en réalité dans la démarche, c'est qu'elle s'adresse à toute une classe qui est forcément composés d'enfants très différents qui nécessitent des approches différentes.

Ici, en Autriche, le système qui est appliqué - dès le collège, c'est la personnalisation systématiques des objectifs. Les élèves sont invités en début d'années à réfléchir à leurs points forts, leurs points faibles et ce qui est difficile pour eux. Et, avec l'aide de leur prof principal(e), ils se fixent des objectifs ("cette année, je veille à rendre tous mes devoirs en temps et en heure", ou "je ne bavarde pas durant le cours avec mon voisin de table", ou "je veille à ne pas oublier mes cahiers et mes affaires à la maison"... etc). Et, en fin de trimestre, ils font un bilan. Les objectifs sont atteints ? L'élève obtient une bonne appréciation sur son bulletin de note. Les objectifs sont moyennement atteint ? on félicite l'élève pour ses progrès, on s'interroge sur les mesures à prendre pour l'aider, on l'encourage à continuer ses efforts. Les objectifs ne sont pas atteint ? On s'interroge : pourquoi n'y arrive-t-il pas? Si ce n'est déjà fait, on implique les parents.. Et ces objectifs sont non seulement personnalisés, mais également privés et confidentiels.
Il n'y a pas de récompense, si ce n'est la satisfaction de l'élève à avoir atteint ses objectifs et la fierté d'être devenu un meilleur élève. Il n'y a ni punition ni sanction.

Par contre, évidemment, ce n'est pas la même chose avec le règlement. Ceux qui ne respectent pas le règlement se voient sanctionnés.

Alors, ce système n'est pas parfait, hein. La classe de ma fille en est la preuve flagrante : c'est la plus bruyante et difficile de son collège (pour les profs, c'est un vrai casse-tête pour se faire respecter et faire respecter le règlement), mais ça semble être une sorte d'exception, puisque la méthode donnait de très bons résultats dans le collège où mon fils se rendait.

Et même si cette approche n'est pas parfaite, je la trouve plus saine que d'imposer à toute une classe une même démagogie. Elle a l'avantage de garder à l'esprit que chaque enfant est différent et de ne pas imposer des objectifs qui pourraient s'avérer inatteignable par un partie de la classe. Et ne t'en déplaise @Kallindra, mais une vraie méthode / approche inclusive tient compte des "exceptions" dont tu parles et ce, dès le départ. Il est déjà difficile, pour les enfants "différents" de se sentir acceptés et compris. Alors pourquoi prendre le risque de les stigmatiser encore davantage en leur imposant des objectifs qu'ils ne pourront atteindre ? Tu dis qu'il suffit de rencontrer les parents, de discuter et de fixer alors des objectifs personnalisés.. certes, mais dans l'attente de tels mesures, l'enfant se sera vu confronté à des objectifs qu'il n'avait pas moyen d'atteindre et il se sera trouvé en situations d'échec de manière répétée. Et lui fixer des objectifs différents de sa classe, après coup, risque fort de renforcer ce sentiment d'échec et de lui laisser l'impression qu'il est moins capable que les autres et que sa différence ne peut que l'exclure du groupe.

Maintenant, je ne suis pas institutrice, je ne suis pas prof, je ne suis qu'une mère qui ne connait le système que d'un point de vue extérieur. Mais je sais, j'ai conscience du fait que c'est un métier particulièrement difficile. J'ai beaucoup d'admiration pour tout le corps enseignant. Mais je suis aussi la mère d'enfants au profils particuliers et je suis sensible (sans doute plus que d'autre) à tout ce qui touche à l'inclusion. Et oui, même si ça peut paraitre excessif à certains, j'ai à coeur de ma battre et à débattre pour que le mot inclusion ne soit pas qu'une idée vague que l'on applique à peu près, mais pour que ce soit un véritable objectif pour lequel on se dévoue véritablement. Car je suis intimement convaincue que nos sociétés ne pourraient que se trouver enrichies et grandies si on parvenait à appliquer une véritable inclusion dans nos écoles (et je ne parle plus seulement des enfants "différents").

@jool

perso, je vais attendre gentiment demain pour expérimenter la druidesse.

Bonjour !

Sois la bienvenue par ici !
J'aime bien ton avatar !

Je commence par une question, si tu le permets : c'est quoi le Zentangle ?

Au plaisir de faire connaissance prochainement !

Voilà un roman que je conseillerai volontiers à quelqu'un qui aime ce genre de livre.