Alors, l'avantage, c'est que j'ai déjà au moins un des livres qui ont été soumis ici et il faisait d'ores et déjà partie de ma PAL.
Le reste des propositions est vraiment hétéroclite ! c'est vraiment cool !
Alors, l'avantage, c'est que j'ai déjà au moins un des livres qui ont été soumis ici et il faisait d'ores et déjà partie de ma PAL.
Le reste des propositions est vraiment hétéroclite ! c'est vraiment cool !
@barbouille a dit dans L'amitié entre un homme et une femme hétéro est-elle possible ? :
Tu poses la question de savoir si il est possible qu'une amitié homme/femme puisse ne pas être tienté d'une certaine attirance sexuelle.
Quelqu'un vient te dire que oui, c'est possible et toi, tu réponds par :
Après il peut y avoir une certaine retenue rationnelle et un bon voilage de face qui fait que ça peut duré je dirais.
Autrement dit : "en fait, non, j'ai raison, mais c'est juste que tu es trop hypocrite pour admettre que dans les relations asexuées dont tu parles, il y a bien une teinte de sexe".
Ma vie sociale n'est pas la plus riche du monde. Elle est même assez pauvre, en fait.
Mais je puis témoigner du fait que j'ai connu des amitiés avec des personnes du sexe opposé sans que jamais, je me dises : je me le ferais bien en quatre heure, celui-là !
L'attirance intellectuelle, le plaisir du partage d'activités communes, de loisirs partagés... Je pense que ça peut amplement suffire à nourrir une relation amicale sincère sans qu'il y ai d'attirance sexuelle. Je suis très amie avec mon beau-frère par alliance (le mari de la soeur de mon mari) et je ne crois pas qu'il m'ai jamais envisagé sexuellement et moi non plus. Et il n'y a là ni retenue rationnelle, ni voilage de face.
En 2012 (pour l'anniversaire tout pile des 7 ans de mon fils, je me suis fracturé la jambe un peu au dessus de la cheville et le pied (poly-fractures fibula, malléole médiane et métatarse du gros orteil). Il a fallu opérer pour placer des plaques métallique le temps que tout se ressoude. J'ai donc eu droit à une belle cicatrice d'une 10aine de cm le long de la jambe et une autre sur le côté du pied.
Les conseils que j'ai reçu des divers soignants qui se sont occupé de moi (chirurgien, infirmière et kiné) rejoignent ceux qui t'ont déjà été donné : hydratation, massages, pas d'exposition au soleil (je portais des chaussettes à la piscine quand j'y accompagnais mes enfants, lol) et .. patience.
Je me suis également brulé le poignet droit en cuisinant (projection de matière grasse en retournant un rôti dans ma cocotte). Après l'application d'un tulle gras sur la plaie pour la première phase de reconstitution de la peau, on m'a conseillé de masser la zone tous les jours, plusieurs fois par jour et d'appliquer des crèmes hydratantes (type neutrogena) régulièrement. La cicatrice se voit encore. Mais la peau est souple et ne tire pas. La différence avec la peau autours, c'est que cette zone ne se pigmente plus de la même façon et reste plus claire.
A
B
C
D
E
F - Ken Follet - Le crépuscule et l'aube (1024 pages ! )
G
H - Hwang Bo-reum - Bienvenue à la librairie Hyunam
I - Kasuo Ishiguro - Klara et le soleil
J - Jake - The Korean Dream (qui est bien un livre rédigé en français ^^)
K - Kim Bo-Young - L'odyssée des étoiles
L - Lee Mi-ye - Le grand magasin des rêves.
M
N
O
P
Q
R
S - Bruno Solo - Le voyageur d'histoire
T
U
V
W
X
Y
Z
C'est à toi de voir évidemment.
Mais j'aurais tendance à penser comme @Barbouille. A cette différence près : je pense qu'il faut aussi tenir compte de tes propres sentiments et tes propres envies : as-tu envie de lui en parler ? Si la réponse est "oui", alors parles lui. Adaptes tes propos à son âge si tu le sens nécessaire, mais n'oublie pas que les enfants sont capables de comprendre bien des choses si on prend le temps de leur expliquer.
Je vois, personnellement, plusieurs bienfaits qui pourraient découler de cette discussion.
Tout d'abord, elle saura que tu tiens compte de ses ressentis et tu confirmeras ainsi ta volonté d'instaurer un climat de confiance avec elle ; avec un bénéfice à long terme : si tu lui parles de tes relations amoureuses, elle se sentira davantage en droit de te parler des siennes.
Ensuite, elle pourrait, au cours de cette discussion, aborder des questionnements, des doutes, des peurs qu'elle pourrait avoir tendance à garder pour elle pour le moment. A dix ans, on est pas totalement dupes de certaines choses. Les divorces sont assez nombreux et les cas d'enfants qui grandissent dans ce cadre là sont suffisamment nombreux aussi pour qu'elle ait sans doute un minimum d'expérience via ses camarades d'école.
Enfin, parler de ces choses avec ta fille, ne signifie pas qu'elle deviendrait d'un coup ta confidence ou ta copine. ça signifierait juste que tu la respecte et que tu la prend en considération. Exposer la situation, lui permettre de suivre l'évolution des choses de ton côté, ce n'est pas la même chose que de lui demander son avis et encore moins sa permission. Si tu lui expliques cela gentiment, cela l'aidera à grandir à et à comprendre que certaines choses sont et doivent rester du domaine de l'intime sans pour autant que ce soit tabou et que, au-delà du statut de mère, tu es et reste une femme qui a sa propre vie intime qui ne regarde que toi.
Il ne faut pas culpabiliser, tu sais.
Elle a été bouleversée, mais en même temps, il fallait bien la mettre au courant.
Au moins tu as son ressenti et tu sauras mieux comment avancer avec elle par rapport à cette situation.

Petite réflexion, comme ça, en passant...
mais je trouve que cette maladie et la seule "parade" qu'on ai su mettre au point jusqu'alors disposent toutes deux d'un potentiel chaotique juste dingue.
Il y a les personnes que l'on pense à risque qui tombent malade et qui se remettent finalement très bien. Quand elles tombent malades !!
Il y a les personnes que l'on pense en sécurité, qui tombent malades, gravement, sérieusement et qui, parfois, succombent.
Il y a ces personnes qui se font vacciner et qui n'ont pas d'autres effet secondaire qu'une douleur musculaire au point de vaccination durant quelques jours ... et ceux qui développent des symptômes et des effets secondaires inquiétants, ou carrément graves voire mortels. Et on semble parfaitement incapables de savoir qui va réagir comment (sauf si j'ai râté un truc).
Bref, à mes yeux, cette maladie est une belle vacherie chaotique et son "remède" ne semble pas mieux ^^
Et je pense que le mieux que l'on puisse faire c'est souhaiter aux autres de réussir à passer à travers les gouttes quelle que soit son approche et ses choix.
Je vous bisoutes tous.
@Yennefer
Juste un petit conseil, applicable à tous les niveaux de la vie : ne jamais, jamais, jamais se comparer aux autres ! Nous avons tous un chemin de vie différents, des aspirations, des craintes, des espoirs, des blessures (liste non exhaustive) différents. Forcément, nos choix ne peuvent être qu'uniques et intimement personnels.
Le bonheur, c'est nous même qui nous le fabriquons et une des clefs pour réussir à construire quelque chose de durable, c'est d'apprendre à ne pas regretter ce que nous n'avons pas, mais bien de savoir se concentrer sur ce que l'on a.
et tu sembles l'avoir bien compris, ça. Donc, ben, y a pas de raison que tu ne trouves pas le bonheur que tu mérites, avec ou sans enfant "à toi".
Une dernière chose : tu as bien fait de venir vider ton sac ici. Ce n'est pas parce qu'on fait des choix, dans la vie, qu'il faut "assumer en silence". Si une part de toi souffre encore de cette non-réalisation, tu as le droit de le faire savoir et d'exprimer la souffrance ou le malaise que tu éprouves.
En fait, oui, je suis carnivore. C'est un constat. Je ne mange presque pas de légumes ni de fruits. J'ai essayé, très fort. Mais c'est tellement en dehors de ma zone de confort que je reviens toujours à la viande (et aux féculents).
Mais j'aime les animaux et j'exècre ces élevages où les animaux perdent leur statut d'être sentients. Alors, oui, j'achète et je consomme de la viande, mais je m'assure d'acheter auprès de producteurs qui respectent la vie animale. C'est assez facile à faire en Autriche. C'est plus cher, mais c'est essentiel, donc, j'assume.
je découvre ce post, ce matin seulement.
J'espère que tu as bien dormi.
je ne peux que te faire part de mon soutien dans cette situation.
tu t'en sors très bien ! Tu gères ta vie aussi bien qu'il est possible de la mener.
Peu importe ce qu'en pense les autres - même si les autres, ce sont tes parents. Chacun se construit son bonheur à sa façon. Si tu es heureuse, alors c'est cela que tu dois leur montrer ! Affiche ton bonheur, ne cherche pas à savoir s'ils approuvent ou non. Montre-leur que tu as trouvé TON chemin et que sur sur chemin, tu as un homme qui t'aime et que tu aimes en retour. Et puis voilà et puis merde pour le reste et s'ils ne sont pas contents, pas satisfaits, ils n'ont qu'à aller voir ailleurs.
bon courage.
@ayamé a dit dans Vos relations avec vos parents :
Mais se fâcher pour des pécadilles, c'est dommage,
la grande question c'est : à quel moment l'amas de peccadilles devient-il le signe d'une relation toxique ?
si j'ai bien suivi, tu ne bosses plus avec lui. Tu n'as donc plus la responsabilité du bien-être et du suivi des élèves en question ? c'est bien ça ?
Si oui, alors, peut-être a-t-il répondu sèchement parce qu'il considérait qu'il n'avait pas à discuter de ces élèves avec toi.
Par ailleurs, parler boulot, ne me semble pas la meilleure approche pour entrer dans une conversation qui devra être de nature privée.
Honnêtement, hein, si tu veux une réponse claire, arrête de tourner autours du pot !
A question vague, réponse vague. A question à côté de la plaque, réponse à côté de la plaque.
Ce dont j'ai au besoin, après le décès de mon papa (3 ans déjà ^^), c'était qu'on accepte d'abord et avant tout mes sautes d'humeur. Parfois, j'arrivais à gérer mon quotidien comme d'habitude et parfois, son absence pesait tellement sur mon esprit que c'était comme si je me retrouvais dans une sorte de brouillard émotionnel qui engourdissait tout le reste (motivation, envies, enthousiasme). J'avais du mal à trouver du plaisir dans mon quotidien comme j'en avais pourtant l'habitude. Et j'avoue que ce ne sont ni des mots, ni des gestes que j'attendais de la part des autres, mais juste un peu de compréhension, de patience et de bienveillance.
Personne ne vit son deuil de la même manière. Certains auront juste besoin de temps, d'autre auront besoin d'en parler. Et parfois, lorsque le deuil perturbe trop la vie quotidienne et le rapport avec les proches, il faut savoir se tourner vers un professionnel (comme le suggère judicieusement @Cynthia80.
Maintenant, s'il juge ne pas avoir besoin d'un psy, c'est à lui devoir.
Ce qu'il faut comprendre de ton côté, c'est qu'il y a des dates / étapes plus difficile à franchir que d'autre. Or, les anniversaires de décès sont parmi les plus impactantes. On a beau vouloir s'en défendre, on a beau avoir envie de gérer, plus la date approche et plus c'est dur et plus ça impacte sur notre humeur.
Soit présente pour lui, juste être à ses côté, sans rien faire, rien dire, c'est déjà beaucoup. Offre lui une oreille attentive s'il a envie de parler. Fait preuve de patience et de bienveillance avec lui. N'oublie pas que parfois, pour aider les gens, il suffit juste "d'être là".
@Hilda-1 a dit dans Le mariage :
un engagement qui fait que vous devenez mutuellement la propriété l'un de l'autre.
ça c'est une chose que je ne comprends pas.
Je suis mariée et je continue malgré tout de n'appartenir qu'à moi-même et je ne considère pas mon mari comme étant ma propriété.
et l'idée de fidélité mutuelle qui pourrait éventuellement donner l'impression d'appartenir à l'autre, peut très bien exister, même en dehors du cadre du mariage.
Je n'ai jamais vu le mariage comme une contrainte en quoi que ce soit. Je l'ai toujours vu comme la concrétisation d'engagements d'ores et déjà en place, avec, en plus, la loi de notre côté.
@Hilda-1 a dit dans Le mariage :
Mais d'un point de vue juridique, d'une part ton corps ne t'appartient plus. Il est là pour garantir un mariage heureux. (devoir conjugal, fidélité notamment) et ta personnalité non plus. [...] Je ne connais pas toutes les obligations du mariage.
alors, je t'invite à aller te renseigner.
Sur le site de Légifrance, il n'est nullement question de devoir conjugal. Pas plus que d'obligation à la fidélité.
Par contre, si tu prends un peu le temps, tu verras qu'il y a quelques lois qui veillent au grain quant au maintient des libertés individuelles des époux.
Quant à déclarer que notre personnalité ne nous appartient plus ^^
Tu confonds, je crois, les obligations qui lient les époux lors des mariages religieux catholiques (je ne sais pas ce qu'il en est dans les autres religions ^^) et les obligations qui les lient lors d'un mariage civil. Or, il me semble bien ici, puisque tu parlais de rapport à la loi, que nous parlions du mariage civil.
tu dis être ravie que les gens trouvent leur bonheur dans le mariage sans cesser de critiquer, de déclarer que c'est de la daube, que c'est aliénant et liberticide... ^^ Ce qui donne tout de même un côté très antinomique à ton discours. Si encore tu venais dire que ça ne correspond pas à ta vision de la vie, du couple ou à ta personnalité, je pourrais l'entendre.. mais là, ce n'est pas ce que tu dis et tu es à la limite du manque de respect.
@Cynthia80
sans chercher à s'en mêler, on peut s'en inquiéter, non ?
et ce n'est peut-être pas notre rôle en tant que parents, mais n'est-ce pas le rôles des structures scolaires ? N'est-ce pas parce que ça fait des décennies qu'on se dit "c'est pas notre problème" et à force de "c'est pas si grave", que finalement on a réussi à fermer les yeux sur le harcèlement à l'école ?
@Jabba-the-Hutt a dit dans Conséquence du harcèlement scolaire :
Pour autant, nous sommes différents sur ce point oui, le harceleur ne m'intéresse guère dans sa dimension de victime.
C'est en commençant comment ça qu'on fini par trouver des excuses et en oublier la vraie victime du harcèlement.
Et il est là, le problème.
On se focalise sur l'un ou l'autre. Mais personne ne semble vouloir prendre conscience du fait que ce sont les deux qu'il faut aider. Les réponses du genre "faut comprendre, il sont dans des difficultés sociales..." sont autant préjudiciables à la victime qu'au harceleur. Car les difficultés sociales ne sont pas - ne devraient pas - être une excuse. Un outil pour comprendre, oui, mais pas une excuse. On peut apprendre à respecter les autres même quand on a des difficultés qu'elle soient sociales, financières ou autre.
Le harcèlement scolaire est une vraie plaie pour nos sociétés actuelles et on passe beaucoup de temps à se demander comment on peut protéger les victimes. Et c'est très bien. Mais ce n'est, je le pense sincèrement, qu'une partie du problème. C'est comme vouloir traiter une maladie en soignant uniquement les symptômes. Or, il serait grand temps, selon moi de se poser la question de savoir comment on pourrait aider les élèves à ne pas devenir des harceleurs ou à cesser de l'être.
pardon, je me suis laissé emporter ^^ 
je suis partie cuisiner et manger et ça va mieux. 
@Cynthia80 a dit dans Conséquence du harcèlement scolaire :
c'est pas la première fois que les mots n'ont pas le même sens
mais c'est pour ça que j'avais passé du temps à développer et donner des exemples et à argumenter

@tous pardon d'avoir crié ^^
@ayamé a dit dans Conséquence du harcèlement scolaire :
.Maintenant, il faut s'entendre sur ce que peut comprendre ce "bien".
Je suis tout à fait d'accord avec toi.
Il n'est pas toujours évident de trouver la bonne approche et de parvenir à déterminer comment "bien" aider une personne et comment "bien" veiller sur elle.
D'autant qu'il n'existe finalement pas d'approche globale, pas de panacée et que chaque cas est unique et demande une approche différente.
Pour un brunch, je rejoins l'idée du toast.
l'idéal étant de proposer un petit assortiment qui demande peu de temps de préparations, qui soit vite arrangés sur la table et mis à disposition de tous les convives dans un esprit de partage.
J'aurais tendance à suggérer :