@Guizmo a dit dans Saurez-vous retrouver *collectivement* ces 28 titres de chansons ? (3ème édition) :
1- La Bohème
je rajouterai volontiers : un livre "documentaire".
Cette catégorie accueille tous les ouvrages à valeur documentaire (témoignage, livre d'investigation, etc.) et guides pratiques, ouvrages scientifiques, manuels de référence, tout ce qui a valeur pédagogique autour d'un thème précis.
Pour la ligne et ne pas prendre trop de poids qu'il s'agisse de frangipane ou de brioche, l'important, c'est d'intégrer la gourmandise dans un menu approprié.
Arrêtons de nous trouver des raisons de culpabiliser quand on mange. Il faut savoir se faire plaisir de temps en temps.
Je suis fière de moi, j'ai tout trouvé !
A
B
C
D
E
F - Ken Follet - Le crépuscule et l'aube (1024 pages ! )
G
H - Hwang Bo-reum - Bienvenue à la librairie Hyunam
I
J - Jake - The Korean Dream (qui est bien un livre rédigé en français ^^)
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z
C'est ma fille qui a fait sauter la première crêpe ! elle s'en est super bien sortie, même si j'ai failli me recevoir un coup de poele dans la tête.
Ah ben, voilà, je comprends mieux pourquoi il pleut ^^
on a voté pareil Mnemmeth et moi.
@Elenwey a dit dans Sherlock :
Connaissez-vous ? Ca vous tente ?
Oui ! Je connais !
C'est la série qui m'a fait découvrir Benedict Cumberbatch qui est un acteur juste formidable !
J'aime la manière dont les célèbres enquêtes ont été réécrites et réadaptées. J'aime que les auteurs n'ait pas cherché à édulcorer certains aspect du célèbre détective et qu'ils aient respecté son côté antipathique et froid. C'est du grand art, cette série et j'espère vraiment que les acteurs parviendront à trouver un créneau pour tourner une 5e saison.
Lorsqu'on me demande si j'aime le Métal, j'ai tendance à répondre, que non, c'est pas trop ma came, sauf... Linkin Park. Pas toutes leurs chansons, mais certaines d'entre elles ont accompagné une partie de ma vie et reste très très chères à mon coeur.
Une de mes préférée n'a pas encore été cité ici : Breaking the habit
Et il faudrait également citer From the inside:
@Loufoca a dit dans Transphobie de J. K. Rowling :
Je disais conflits entre les deux mouvement, LGBT + et lgbt phobe.. ça en devient lourd.
Et c'est quoi la solution, selon toi ?
Que les personnes LGBT+ se taisent ? se laissent humilier, violenter, assassiner, déshumaniser et le tout sans rien dire ? Sans chercher à se défendre? Petit rappel : ces personnes ne réclament rien, mais vraiment rien d'autre, que le droit d'exister, hein !
Le conflit ne vient pas des personnes LGBT+, mais de tous ceux qui les haïssent. Si on veut que le conflit cesse, c'est à eux de se taire puisque, comme tu le dis si bien, nous sommes des êtres humain avant tout. Mais puisqu'ils ne le font pas, puisqu'ils se permettent, comme JK Rowling de cracher leur haine sur les réseaux sociaux, je crois que du coup, les personnes LGBT+ ont le droit d'exercer leur droit de réponse.
Ce sujet n'alimente aucun conflit et il est tout à fait légitime. Il ne fait que dénoncer un comportement haineux et mettre en garde contre les propos d'une personne qui a pignon sur rue et qui essaie de profiter de sa notoriété pour propager des propos malveillants et sa haine. Que tu souhaites ne choisir aucun camp, c'est ton choix. Le notre, c'est de dénoncer et c'est un choix tout aussi légitime.
Synopsis
Isobel Fairfax est une jeune anglaise qui s’apprête à fêter ses 16 ans. Son rêve le plus cher : que Malcom Lovat devienne son petit ami. Ce qui pèse le plus sur sa vie : l’absence de sa mère, disparue mystérieusement lorsqu’elle était encore toute jeune. Sa particularité : une étrange capacité à faire des bonds dans le temps. Enfin, capacité… peut-on parler de capacité lorsqu’on ne contrôle rien ?
Au delà du synopsis...
Dans ce livre, Kate Atkinson nous fait le récit d’une bien étrange saga familiale qui prend racine à l’époque de Shakespeare et se termine dans les années 1960 et qui nous raconte comment d’une riche famille aristocratique prospère, on en arrive à suivre les aléas d’une jeune fille qui vit dans la banlieue de la petite ville de Glebelands, au sein d’une famille plutôt… dysfonctionnelle.
Saga familiale, mais pas uniquement, puisque l’auteur va également s’intéresser au voisinage et en profiter pour brosser un portrait de la société anglaise de 1960… un portrait sans concession où les apparences sont souvent bien trompeuses.
La particularité et l’intérêt de ce livre, c’est que l’auteur se soit refusé à suivre une logique chronologique classique. Kate Atkinson nous balade donc sur la frise historique de cette famille à son gré, mettant en lumière différents évènements clefs, passant du présent au passé et permettant ainsi au lecteur d’appréhender progressivement les différents points de vue et de mieux comprendre les tenants et les aboutissants de ce récit pour le moins troublant.
Pour compléter cette fiche, je vais vous reporter ici une critique de lecteur que j’ai lu sur Babelio et que je trouve fort bien écrite :
Mon avis :
J’ai apprécié la lecture de ce livre. J’ai bien aimé le découpage des chapitres, les vas et vient entre passé, présent et même, le futur. J’ai aimé découvrir les différents personnages avec leur propres vérités, point de vue, souffrances et motivations. C’est un livre plutôt sombre, en vérité, mais tellement (cruellement ?) vrai qui a le mérite d’aborder des choses que l’on préfère laisser habituellement sous d’épais tapis ou au fond de ténébreux placards.
@Marcel a dit dans Avez-vous eu ou vécu avec des animaux ? :
je donne mon opinion : perdre son animal de compagnie, ça fait chier mais y'a pas non plus à en faire des caisses, sinon c'est qu'on a un problème.
Et si je venais et que je disais : je pense qu'une personne qui ne pleure pas à la mort d'un animal qui lui a donné sans concessions et sans compter toute son affection et sa loyauté et qui n'est pas capable de comprendre que les autres puissent souffrir de la perte d'un animal a un vrai problème d'attachement affectif. C'est une personne qui ne sait pas aimer.
?
tu le vivrais comment ?
Non, une personne qui pleure la disparition d'un animal qui a partagé son existence durant des années n'a pas de soucis ni de problème. Elle ne vit simplement pas les choses comme toi. Et, encore une fois, tout ce qu'on demande, c'est un minimum de respect.
personne ne dit que tu es vilaine (c'est toi qui l'a dit). on a juste encore une fois, demander le respect.
Alors, je dois vous avouer : autant je comprends qu'on puisse avoir la flemme de se faire soi-même croissants, muffin ou donut fourrés au Nutella, autant la crêpe, je trouve ça abusé ! ^^
@Elenwey a dit dans Battles musicales - Venez voter ! :
j'ai trop eu l'impression d'entendre "c'est Noël" en boucle dans la 2e
oui ! et même quand on sait qu'elle chante "Sail away", on continue d'entendre "c'est noël" !
Cette mini-série est une préquelle dans l'univers des Chroniques de Bridgerton.
Elle se concentre sur la jeune reine Charlotte - ses relations avec le roi, avec la cour et la façon dont elle va finalement assumer son statut de reine. L'époque qui sert de décor à la série évoque la fin du XVIIIe siècle. Il sera toutefois important de garder à l'esprit que le premier épisode est précédé d'un avertissement qui rappelle que si l'auteur s'est inspirée de certains faits réels, elle n'a toutefois pas voulu réaliser une série historique et que, à l'instar de l'univers dépeint dans les Chroniques de Bridgerton, il s'agit en réalité d'une sorte de dystopie et que les digressions et anachronismes sont parfaitement assumés.
La romance, dans cette série, bien qu'elle ne manque pas d'intérêt, n'est donc en réalité qu'un prétexte pour aborder des sujets de sociétés bien plus profonds en rapport, notamment avec la diversité et la place de la femme dans la société.
A noter que la série n'est pas pour tout public et qu'elle comporte des scènes érotiques explicites.
Mon avis :
J'ai commencé à regarder La reine Charlotte parce que j'avais bien aimé le côté distrayant et coloré des Chroniques des Bridgerton - dont j'attends la suite avec intérêt. C'est une série qui avait étonnement su me séduire, malgré son côté attendu, mielleux et romantique. Mais c'était bien raconté et puis, j'avais remarqué que au-delà du récit "romantique", il y avait des choses plus profondes à retirer de cette série. Je pensais, avec Queen Charlotte, retrouver le même esprit. Et de fait, il y est... en nettement mieux. Vraiment un petit régal. D'autant plus qu'ils ont prit plutôt soin de nous proposer une agréable bande son et que l'image est également plutôt soignée.
The Emptiness Machine Package... x2 Validé.
Si le monde ne s'écroule pas d'ici un an, on y sera !
4e de couverture :
Depuis toujours, le village de Dvernik est protégé des assauts du Bois – une forêt maléfique douée d’une volonté propre – par le «Dragon», un puissant magicien. Celui-ci, en échange de ses services, prélève un lourd tribut : à chaque génération, la plus jolie jeune femme de la communauté disparaît dans sa tour. Cette année, c’est Kasia qui sera choisie. Forcément, c’est la plus belle, la plus populaire. Personne n’en doute, et encore moins Agnieszka, qui n’a jamais voulu de cet honneur. Mais les choses ne vont pourtant pas se passer comme prévu, et Agnieszka va découvrir un monde au-delà de l’entendement...
Déracinée (titre original : Uprooted) est un roman de l'écrivaine américaine Naomi Novik, publié en 2015 puis traduit en français et publié en 2017.
Genre : Fantasy
Le roman a été récompensé par plusieurs prix :
Mon avis :
Si on se réfère aux différents commentaires postés sur les sites dédiés à la littérature (Babelio ou Booknode, par ex.), on se rend vite compte que ce qui a séduit les lecteurs c'est l'approche que l'auteur a choisit pour son récit. Puisant son inspiration dans les contes polonais, Naomi Novik a choisit d'en prendre les meilleurs clichés avant de les tordre et de les fondre en quelque chose de moderne et d'inattendu. Et il est vrai que le récit qu'elle nous livre est, en ce sens, plutôt intéressant. Toutefois, il est truffé, selon moi, de pas mal de petits défauts qui gâchent un peu le roman. Le rythme du récit est très irrégulier alternant entre longueurs et précipitation. Les personnages secondaires manquent parfois cruellement de profondeur. Et pour finir, j'ai trouvé que la fin du récit était plutôt confuse et raconté de manière trop brève comme si l'auteur avait voulu conclure son récit rapidement en respectant un certain quota de pages ^^
Je pense, honnêtement que les différents éléments présents dans ce roman, les différents lieux et personnages auraient mérité qu'on s'y attarde davantage, quitte à offrir au lecteurs un deuxième tome, voire une trilogie. Les différentes étapes du récit l'aurait largement permit.
Bref, c'est un livre intéressant. Mais méritait-il tous ses prix ? Je n'en suis pas sûre.
A moins, que ce soit moi qui soit devenue trop exigeante ?
non, tu fais montre d'irrespect parce que tu insistes sur le fait que si on ne partage pas ton opinion, c'est qu'on a un problème. Le respect voudrait que tu acceptes que l'on puisse avoir une opinion différente de la tienne sans pour autant que ce soit lié à un problème qu'il nous faudrait régler.
En parlant de tomates, ça me fait penser à une recette facile et rapide et que ma maman appelait : oeufs à la provençale.
C'est un plat chaud, mais super rapide à faire.
Il suffit d'un peut de tomates pelées, d'origans / d'estragon / herbes de provence, d'oeuf.
Tu mets tes tomates dans une poêles et tu laisse chauffer et éventuellement réduire (surtout si elles viennent d'une conserve où elles trempent dans de la passata). Tu ajoutes tes herbes préférées et tu casses tes oeufs dedans, tu remues juste ce qu'il faut pour mélanger le blanc des oeufs et tu sers dès que la cuisson te conviens.
@LeaPierce a dit dans Vos repas facile à faire et bons pour la santé :
Penses-tu que changer la feta par de la mozzarella peut fonctionner pour ton mélange : thon concombre feta ?
Personnellement, je trouves que le thon se marie mieux avec la fêta, mais c'est un choix purement personnel.