la confirmation est tombée ce matin, lors d'une conversation avec mon fils: mes enfants sont capables, juste au goût et à la texture, de faire faire la différence entre le riz Thaï et le riz Basmati. Le soucis, c'est que ma fille préfère le Basmati et mon fils, leThaï... ^^ mais ils préfèrent genre : si c'est du basmati, ma fille va manger le riz et mon fils va bouder son assiette et vice-versa... 
Ton message m’a beaucoup touchée, d’abord parce qu’on sent tout l’amour et l’inquiétude d’une mamie très présente, mais aussi parce que j’ai moi-même traversé une situation un peu similaire avec mon fils.
Vers ses deux ans, il est devenu très exclusif dans son alimentation : il ne mangeait que du saucisson et des pâtes. Il refusait catégoriquement certaines textures — notamment la purée, qu’il ne pouvait et ne peux toujours pas approcher de sa bouche sans un haut-le-cœur. (Autant dire que les conseils du type “propose-lui en purée pour l’habituer au goût” me faisaient lever les yeux au ciel…).
Petit à petit, sans jamais le forcer, juste en l’encourageant et en respectant ses limites, on a réussi à élargir un peu son alimentation. Il y a eu des hauts et des bas au fil des années, des périodes où il explorait plus, d’autres où il se repliait sur ses “aliments refuges”.
Mais il y a eu de très belles surprises aussi : je me souviens encore de ce jour, vers ses 9 ans, où il a goûté des crevettes au restaurant… et a adoré ! Aujourd’hui, à 18 ans, il souffre toujours de troubles de l’alimentation, mais il mange, il est suivi, et il garde cette volonté d’essayer. Dernière victoire en date : les wings de poulet, qu’il a validés comme “très bons” (oui, on célèbre chaque petite victoire à sa juste valeur !).
Tout ça pour te dire : il est normal de t’inquiéter, mais tu peux aussi garder espoir. Le trouble a été identifié tôt, ta fille a l’air très attentive, et ta petite-fille va être accompagnée. Il existe de nombreux professionnels qui peuvent aider. Il est sage de commencer par consulter un ORL pour vérifier qu'il n'y a pas de problème physiologique. Mais par la suite, il y a d'autres professionnels qui pourront vous aider et vous accompagner : orthophoniste, psychomotricien, voire pédo-psy ou neuropédiatre si besoin. En réalité, il y a beaucoup de chemins possibles vers une amélioration.
L’essentiel, c’est le respect, la patience, le non-jugement… et l’amour. Et ça, ta puce a manifestement une belle équipe autour d’elle 
Courage à vous trois !
C'est une façon de considérer la vie qui me semble bien matérialiste. Comme si le bonheur ne pouvait se concevoir qu'avec de l'argent en poche et des biens matériels. C'est loin de ma propre notion de bonheur. ^^
Dans le cas que tu mentionnes et dont tu as entendu parler dans le documentaire, il y a même quelque chose qui me choque car, pour arriver à ses fins, il a tout de même profité (abusé) de la générosité de ses parents. C'est une attitude de parasite qui me semble un peu incompatible avec la possibilité de se forger, ultérieurement, des amitiés sincères.
Bref, non seulement, ce n'est clairement pas pour moi. Mais j'aurais carrément tendance à me méfier d'une personne qui aurait fait ce choix de vie.
Avec des noix de st Jacques. En plus, c'est de saison !
Voici ma recette :
3 ou 4 noix de St Jacques par personnes.
Autant de rondelles de chorizo.
Commencer par faire suer les rondelles de chorizo dans une poêle. Réserver.
Faire cuire les noix de St Jacques dans la graisse du Chorizo.
Déposer les chorizo dans une assiette et les noix de St Jacques par dessus.
Déglacer la poêle avec du jus de citron. Mettre la "sauce", sur les duos chorizo / noix de St Jacques.
Servir, manger assez rapidement (ça refroidit très vite !)
Et, en prime, je vous donne le lien qui pointe sur ma galerie.
toutes les photos n'y sont pas encore, il y a encore plein de photos que je dois leur soumettre et faire valider et le profil met parfois du temps à se mettre à jour quand des photos ont été validées.
Fiche technique :
Titre : After
Auteur : Auriane Velten
première parution (broché) : avril 2021 chez Mnemos.
2nde parution (poche) : 1er sept 2022 chez Gallimard
Nb de pages : 228 (broché) ou 275 (poche).
Prix : Utopiales 2021
le 4e de couverture :
La Terre d'après... À l'abri d'un baobab, une société utopique, soudée par des règles strictes et bienveillantes, semble profiter d'une vie paradisiaque, totalement apaisée et égalitaire.
Pourtant, l'un des membres de cette communauté ne peut s'empêcher de se poser mille et une questions, sur tout, y compris sur l'avant. Une particularité qui fait de Cami la personne idéale pour remplir une mission d'exploration - sous surveillance. C'est donc avec Paule que Cami part pour les terres renoncées, une zone inhabitée et hostile, en quête d'une mémoire oubliée. Rapidement, leurs découvertes dépassent l'entendement, et les déroutent au-delà de ce qui peut être imagine.
Ce voyage risque bien de bouleverser leur vie... et l'humanité.
Mon avis :
J'ai acheté ce livre pour plusieurs raisons. D'une part il s'agissait d'un livre écrit par une femme, cette femme était française, le livre était dans la catégorie SF, il était très récent et il avait reçu un prix littéraire.
J'étais curieuse. Vraiment très curieuse.
Et j'ai été, je dois l'avoué, particulièrement séduite.
C'est un petit livre, un court récit qui se lit très vite. Le style est agréable et l'auteur ne s'embarrasse pas du superflux. Elle garde l'essentiel et c'est très bien comme ça.
J'avoue, j'ai compris très vite à "qui" on avait à faire. Et j'ai eu peur que ça ne gâche la suite de ma lecture. Mais en réalité, j'ai fini par me rendre compte que ce j'avais si vite intégré n'était pas un "vrai" secret et qu'on le comprenne au chapitre deux ou 4, peu importe puisque ce qui importe, en vrai, c'est le cheminement, l'évolution des personnages, l'évolution de leurs sentiments, leurs émotions, leur voyage vers la connaissance du soi, des autres et... de l'humanité.
L'auteur est titulaire d'une licence de sociologie et anthropologie et ça se sent.
Bref, j'ai beaucoup aimé ce livre. Une vraie petite perle qui vaut le détour et dont je recommande la lecture.
Ici, à Graz, sur la place principale de la ville, il y a toujours 4 ou 5 food truck.
On y trouve des hotdogs classiques, mais aussi des hotdogs préparés avec des saucisse locales (avec du fromage dedans), on y trouve des burgers, des frites, des plats de pâtes asiatiques à emporter dans des "bols" en carton, ou encore - depuis peu - des encas typiques du coin, c'est à dire des tartines surmontés de tranches de saumon, de jambons, de pâtés ou encore de préparations crémeuses au paprika ou autres épices. Ils vendent ça sous le nom de Delikatessen.
Aujourd'hui, j'ai croisé une voisine qui m'a dit qu'elle trouvait cool de me voir "danser" dans la rue quand j'écoute de la musique, que ça lui filait le sourire quand elle me voyait faire.
Moi qui avait peur d'être ridicule si on me voyait faire ^^
Comme quoi, oser être soi, ça ne fait pas du bien qu'à soi-même, parfois.
J'ai longtemps eu tendance à conserver, aucazou.
Mais il m'est devenu évident que le cumul d'objets et documents divers et variés était incompatible avec mes lieux de vie - qui n'ont jamais été très vastes.
D'autant que j'ai un côté assez paradoxal : je n'aime pas ranger et faire le ménage. Mais je ne supporte pas non plus que le bordel ambiant encombre mon espace vital car je me sens oppressée dans ces cas-là. Donc, ben, nécessité faisant loi, je devais bien ranger mon petit bordel de temps en temps.... ou du moins, tenter de le faire compte tenu de ce que j'avais tendance à accumuler.
J'ai donc fini par faire un travail sur moi-même et je m'efforce depuis quelques années de me débarrasser du superflu et des objets devenus inutiles.
Les vêtements trop petits vont directement chez Caritas (sorte d'Emaüs local) ainsi que les jouets des enfants et les jeux de société dont nous nous sommes lassés.
Pour m'aider dans cette démarche, je m'efforce de respecter un principe : si un objet conservé "au cas où" n'a pas été utilisé depuis plus d'un ou deux ans, il doit être évacué.
Reste le cas de mes livres... dont je n'arrive pas à me séparer ^^
@Cynthia80
Je m'en occupe dès que j'ai de nouveau accès à mon pc.
@Kachina et @Hilda-1 : je vais pouvoir me l'offrir mon shot de soju 
@Cygoris a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :
D'aucuns préfèrent le contraire
ouais.
mais tu vois, entre un "je préfère le tel, c'est plus rapide (sous entendu "pour moi")" et un "les conversations téléphoniques me stressent énormément et me mettent réellement en difficultés et encore plus quand c'est dans une langue étrangère." y a un gap ! Et curieusement, c'est toujours ceux qui ont des difficultés avec ce mode de communication qui doivent faire des efforts et s'adapter.
Alors, je vais sans doute le faire, cet effort, tu vois. Parce que c'est pour ma fille.
Mais j'estime avoir le droit de faire savoir que ça ne me convient pas et que ça me met en rogne.
@LeaPierce a dit dans La carte bleue et les espèces. :
tu peux demander à la banque d'aller en négatif jusqu'à un certain montant.
la partie importante de la phrase ici, c'est "tu peux demander à la banque".. ou pas du coup. Encore une fois, ce n'est pas une question de moyen de paiement, mais bien une question de discipline et de méthode.
Pour en revenir à la vidéo qui sert de base à cette discussion...
Le soucis, selon moi, c'est que la méthode qui y est mise en avant, dénigre la carte bancaire pour faire valoir l'idée qu'il est plus pratique et plus bénéfique de retirer son argent et de le manipuler.
Alors, le premier point que je trouve abusif : c'est qu'on dénigre un outil. C'est comme si une personne décidait, après s'est coupée sur un couteau, qu'elle n'y touchera plus jamais parce que c'est dangereux. Alors que ce n'est sans doute pas l'outil (le couteau, dans mon ex.) qu'il faudrait remettre en cause, mais bien son utilisation.
ensuite, ce qui me dérange, c'est cette façon de tirer des conclusions hâtives et, surtout, biaisées pour justifier la méthode que l'on veut mettre en avant (sans se poser les vrais questions concernant le déroulé "causes et conséquences".
Dans la vidéo, la dame essaie la méthode qu'on lui a conseillé... et ça marche. Mais la question qui reste et quelle ne se pose même pas, c'est : "pourquoi ça marche?".. Est-ce vraiment parce qu'elle manipule concrètement des billets et de la monnaie sonnante ou trébuchante ? ou parce que la méthode implique de "penser" son budget, de mieux connaitre ses postes de dépenses et de les anticiper à l'aide d'un registre ?
Je pense, moi que c'est la deuxième option. Et que, même sans retirer son argent de son compte bancaire, elle pourrait parvenir au même résultat en tenant un registre.
Bref, encore une fois, comme souvent avec les hacks que l'on trouve sur Tik-tok, Facebook, Instagram ou tout autre réseau social, on nous vend un truc avec des arguments fallacieux et ça se répand juste par ce que les gens ne savent même pas se poser les bonnes questions.
Pour les détails : pseudo et taux de réussite
@Melodia 100 %
@Lapin 80 %
@Jabba-the-Hutt 80 %
@Mnemmeth 80 %
@Marcel 80 %
@Antigua 60 %
@Elenwey 60 %
@Cynthia80 60 %
@Cygoris 60 %
@Jool 60 %
@Mai-Tai 60 %
@icescream 60 %
@ayamé 60 %
@coux3 40 %
@LeaPierce 40 %
@Shanna 40 %
@Anne5983 40 %
@Kachina 40 %
@Music 40 %
@Hilda 40 %
@Spip 20 %
@Nyanne 20 %
Aujourd'hui, j'ai envie de mettre un site en avant :
C'est une jeune femme dynamique qui s'est lancée, récemment dans l'auto-entrepreneuriat. Son domaine : la pâtisserie !
Elle propose des cookies juste trop appétissants !
Et un truc particulièrement original : un cookie conçu pour pouvoir accueillir un espresso avant d'être savouré ! (sur l'image, c'est la version garnie).
Pour découvrir son site : https://cerrizzonthecake.com/
oki, merci de ta réponse.
Curieusement, ça me fait penser à ma petite soeur.
Mariée depuis des années, elle s'appuyait tellement sur l'affection de son mari que le jour où il a fait un faux pas, elle s'est effondrée. Littéralement. Elle a sombré dans une dépression telle qu'elle ne parvenait plus à manger. Il a fallut l'hospitaliser.
La dépendance affective que cela a révélé m'a laissé pantoise et je me suis posée la question : est-ce vraiment de l'amour ? Le terme de "béquille affective" ne m'étais pas venue à l'esprit, mais est-ce ce là le rôle que le mari de ma soeur jouait (et joue toujours - puisqu'ils sont de nouveau en couple) ? le fait est qu'il s'était déclaré très peu de temps après que ma soeur se soit séparée du père de ses deux premiers enfant (compagnon violent). A-t-il juste servit de béquille ? C'est à méditer, je crois.
Sinon, pour en revenir au sujet de l'animal de compagnie. Je ne sais pas si il existe vraiment des animaux qui nous servent de béquille affective dans le sens qui vient d'être exprimé. Mais je sais, d'expérience, à quel point leur présence peut parfois nous être indispensable sans pour autant que l'on s'appuie sur leur seule affection pour avancer dans la vie. Lorsque je vivais seule avec mon chien, nous nous apportions une affection et un soutien mutuel. Mais s'il m'aidait à mieux supporter ma solitude, il ne comblait pas mon besoin de contact humain.
Je sais ce que c'est que d'avoir des animaux chez soi sans pour autant s'y attacher d'un point de vue affectif. Ma grand-mère avait des chats chez elle. Ils avaient vocation de chasser les souris. Ni plus, ni moins. Et ils n'avaient pas plus de valeur à ses yeux que les lapins qu'elle élevaient à des fins gastronomiques.
Mais mes parents ont adoptés chiens et chats dès qu'ils ont pu et j'ai grandit avec des animaux à la maison. J'ai pu expérimenter très tôt toute l'affection qu'ils sont capable de nous donner, leur empathie et leur absence totale de jugement... quoique ... Fripouille (une chatte) boudait ostensiblement si on la laissait seule à la maison durant plus de 24h. Elle était du genre à attendre notre retour, planter des yeux accusateur dans les yeux de ma mère avant de lui tourner le dos et quitter les lieux d'un pas d'impératrice profondément offensée.
Je n'ai jamais aimé l'expression animal de "compagnie", ça a une connotation de servitude, ça sonne comme "dame de compagnie". Or, pour moi, un animal qui vit dans un foyer, est bien plus que ça. Peut-on parler d'un membre de la famille ? d'une certaine façon, oui.
Manger et bien manger fait partie de mes plus grand plaisir dans la vie.
C'est pour cette raison que j'ai apprit à cuisiner un minimum.
Et je ne suis jamais plus déçue et frustrée que lorsque je me rend compte, en mangeant dans un restaurant, que j'aurais pu mieux faire. La dernière frustration en date remontant à cet été où j'ai mangé un plat de poissons (plusieurs petits morceaux en mode dégustation) et que je me suis rendue compte qu'ils étaient tous en surcuisson.
Je suis donc non seulement gourmande, mais également exigeante.
Une sortie dans un bon restaurant est donc une belle façon de me faire plaisir.
J'ai tendance à préférer le salé, de plus en plus.
Et les plats sucrés salés ont le don de me séduire, souvent.
Juste pour vous informer que j'ai beau aimer ce forum, si vraiment ma participation est considérée comme une forme de pitié ou une manière d'écoper dans un navire qui prend l'eau alors je ne crois pas vouloir m'investir davantage.
Si je viens ici, si je lis les messages, si j'y répond, si je poste des nouveaux sujets, ce n'est pas par pitié, mais par envie. L'envie de participer à cette étrange aventure humaine où des gens se réunissent virtuellement pour parler de ce qu'ils ont vu, entendu, et aimé.
Je participe par vagues, oui.
Parce que je n'ai pas envie de parler pour ne rien dire et que je choisi mes sujets parmi ceux qui me passionnent vraiment et qui me donnent sincèrement envie d'investir du temps dans la rédaction d'un article. Et que parfois, oui, je stocke mes idées d'articles pour les poster quand j'ai du temps disponible.
Et oui, j'ai beau soigner mes articles et me relire, oui, parfois, je commets des erreurs.
Je suis humaine, hein. Je fais de mon mieux.
Note bien, @Hornet que j'ai conscience de ne pas être chez moi ici. C'est ton forum et je cherche à en respecter l'esprit et la forme. Mais si le maitre des lieux n'a de cesse de me reprocher mes quelques petites erreurs et râle quand je participe plutôt que de s'en réjouir, alors..
Disons pour être claire que si ma présence et ma participation ne sont plus désirables, alors je sais où cliquer pour ne plus jamais déranger.
« Tiens écoute ça, Jeanie ! »
L’homme, installé sur le fauteuil en rotin de sa véranda attendit juste ce qu’il fallait de temps pour que son épouse parvienne à portée de voix. Il tenait son journal à bout de bras, dans ses mains usées par l’âge.
« A vendre. Superbe petite maison au bord du lac de Fallfail. A 5mn du village de Byrock. 150 m² répartis sur deux étages entièrement rénovés… »
« Tu m’étonnes entièrement rénové ! » s’exclama la vielle femme.
Péniblement, elle s’avança jusque vers son propre fauteuil et s’effondra dedans, plus qu’elle ne s’y assit.
« Il faut dire que l’ancien proprio l’avait laissé dans un sacrément sale état ! » surenchérit le vieil homme.
« Et c’est peu dire ! » conclu la veille commère.
Le silence s’installa un moment, chacun d’eux plongés dans leurs souvenirs. La vieille femme frissonna soudain.
« Tu crois qu’ils parviendrons à vendre ? » demanda-t-elle.
« Bah, si personne ne vend la mèche, p’têt bien. » répondit l’homme en haussant les épaules. « Tu vendrais la mèche, toi ? ».
« Ben tout de même... c’est toute la famille qui y est passé ! »
« Ouais, en même temps, c’est pas nos affaires, hein ! Moi, je dis, si personne vient me demander, j’irai pas jacter. »
« c’est pas faux. Et puis, ça pourrait faire du bien au village un peu de sang neuf ! »
Non.. je n'ai pas oublié !
Voici ma recette de la bûche au chocolat :
Bûche au chocolat
(à la crème au beurre)
Ingrédients pour 6 personnes environ
Pour la génoise.
Pour la crème au beurre
500 gr de beurre pommade
6 jaunes d’œuf
100 gr de sucre glace.
1 tablette et demi du chocolat de votre choix
Recette
Pour la génoise :
Astuce : Pendant la cuisson : humidifiez un chiffon propre et déposez-le à plat sur votre plan de travail. Lorsque votre biscuit sera cuit, démoulez-le sur votre chiffon. Enroulez votre biscuit dans sa forme de bûche dans son chiffon humide et laissez refroidir. Une fois refroidi vous pourrez le dérouler, le garnir de votre crème au beurre et l’enrouler à nouveau très aisément sans qu’il casse ou qu’il se fendille.
Pour la crème au beurre :
Garnissez votre génoise, roulez le biscuit sous forme de bûche et recouvrez votre biscuit d’une couche de crème au beurre. Décorez à votre guise.
Laissez prendre au frais quelques heures pour que la crème au beurre durcisse.
Note : vous n’aurez pas besoin des blancs !... Si vous patientez suffisamment pour que votre four redescende à une température de 100°C vous pourrez éventuellement vous en servir pour faire quelques meringues qui seront de très bon goût pour décorer votre bûche. 
Et la tronche de ma fiche recette
