-
arrial
Tant qu'elle sera accaparée par des politiques …
… ce sera une voie sans issue. -
arrial
@marie-thérèse a dit dans Les aventures de Covid-19 dans le monde... :
Ça se transmet par la bière ?
… en Belgique, ça craint …
< maintenant, si tu les fumes avec le masque … > -
arrial
Ésomesquoi ???
Non : je suis un scientifique.
▬▬▬▬
L'ésotérisme est l'ensemble des enseignements secrets réservés à des initiés. Ce terme, dont le sens diffère de façon notable selon les époques et les auteurs, est parfois utilisé dans la culture populaire pour parler de courants de pensée marginaux à composante secrète ou étrange (sociétés secrètes, occultisme, paranormal, etc.)
.
Critiques de l'ésotérisme
Descartes est le plus célèbre des adversaires de l'ésotérisme. Son rationalisme résume les attaques antérieures (dont celles de l'Église catholique) et les hostilités postérieures (dont celles du scientisme). « Le bon sens [la raison] est la chose du monde la mieux partagée […]. Ne m'étant pas contenté des sciences qu'on nous enseignait, j'avais parcouru tous les livres traitant de celles qu'on estime les plus curieuses et les plus rares [Raymond Lulle, Henri-Corneille Agrippa de Nettesheim, Paracelse, Giambattista Della Porta, les rose-croix, Jacques Gaffarel]. Pour les mauvaises doctrines, je pensais déjà connaître assez ce qu'elles valaient, pour n'être plus sujet à être trompé ni par les promesses d'un alchimiste, ni par les prédictions d'un astrologue, ni par les impostures d'un magicien, ni par les artifices ou la vanterie d'aucun de ceux qui font profession de savoir plus qu'ils ne savent33. »
Jorge Luis Borges, dans sa nouvelle « La secte du Phénix » (incluse dans Fictions, 1956), entreprend une lecture ironique et intellectuelle du secret ésotérique en mettant en scène une secte qui protège un secret comme un trésor. Or ce secret est une trivialité bien connue de tous. Plus que de ridiculiser la mécanique des sociétés secrètes et de leurs soi-disant secrets, Borges nous convie à une histoire elle-même symbolique d'un autre message.
Dans Le Pendule de Foucault (1988), Umberto Eco, s'inspirant de Borges, présente et raille un modèle de l'occultisme reposant sur la notion de secret. Le plus grand secret est celui qui ne cache que lui-même, un peu comme un oignon qui, au fil des peaux qu'on lui ôte, ne révèle rien d'autre qu'un oignon ; cependant, plus on l'épluche, plus cela fait pleurer les yeux. -
-
arrial
Je ne m'intéresse pas aux planètes, leurs satellites, les trous noirs en soi, mais uniquement, en tant que physicien invétéré, à leur mise en équations qui me permet de les interpréter voire les prévoir.
Le summum, notre espace temps cosmologique et les arabesques du calcul tensoriel dans la notation d'einstein …
< seulement l'abord de l'écriture avant de commencer >
Espace fini mais non borné de Poincaré : on en rentre par la fenêtre quand on en sort par la porte
-
arrial
Bah non, pas au Congo, au Sénégal et à Marseille, Marie-Mireille
< bon, même en Chine >
-
arrial
Une paire de ciseaux décoratifs.
L'usage peut en être varié, pas forcément pour une naissance …
► https://collection-ciseaux.fr/ciseaux-particulier/ -
arrial
Comment savoir s'il y aura un trou noir à un point T. Est-ce que tout se fait par calcul ?
Non, par observation.
La gravitation due à un trou noir est la même que celle d'un astre de même masse.
Donc la seule façon de le détecter est par observation optique, car s'il est invisible (« trou noir »), sa masse déforme l'espace temps, donc dévie la lumière qui suit … les lignes droites incurvées de cet espace.
On cause de « lentilles gravitationnelles ».
« La théorie de la Relativité Générale d'Einstein prévoit que les rayons lumineux sont déviés au voisinage d'une masse suffisamment compacte, comme celle du Soleil, d'une galaxie ou d'un amas de galaxies. Dès lors, une grande concentration de masse peut agir comme une sorte de lentille, appelée lentille gravitationnelle. »
< c'est plus compliqué à expliquer qu'à comprendre – ça ressemble au phénomène des mirages thermiques, en fait >
Mais il y a un autre phénomène qui traduit aussi souvent leur présence, c'est le jet d'accrétion.
Si de la matière se trouve dans la zone d'influence d'un trou noir massif, elle est aspirée et y pénètre avec des vitesses proches de celle de la lumière. Elle émet alors des photons, une lumière intense qui est alors parfaitement visible dans la longueur d'onde adaptée si on a un télescope qui le permet.
Il est plus visible que le disque d'accrétion ↓
Sur cette image bien faite, on voit la matière aspirée, qui tourne formant un disque autour de l'axe, et le jet de photons plus énergétiques sur l'axe de rotation.
Pour illustre autrement la différence de luminosité, qui explique que c'est le jet des trous noirs très massifs que l'on voit ↓
-
-
arrial
@dan229
La surface d'une boule est la plus petite, pour un volume donné.
< Arf > -
arrial
@jed
Pour vous éviter d'aller consulter Wikipedia :
Un débris spatial, dans le domaine de l'astronautique, est un objet artificiel circulant sur une orbite terrestre, amené là dans le cadre d'une mission spatiale, et qui n'est pas ou plus utilisé. Les débris spatiaux de grande taille comprennent les étages supérieurs des lanceurs spatiaux et les satellites artificiels ayant achevé leur mission. Mais la majorité des débris spatiaux résultent de l'explosion accidentelle d'engins spatiaux ou, phénomène récent, de leur collision. La dimension de ces débris peut aller d'une fraction de millimètre à la taille d'un bus. Les débris spatiaux, dont le volume va croissant, constituent une menace grandissante pour les applications spatiales alors que celles-ci jouent désormais un rôle essentiel dans les domaines de la prévision météorologique, du positionnement et des télécommunications.On recense en 2019 34 000 objets de plus de 10 cm circulant en orbite basse (dont 5 000 satellites et 2 000 satellites actifs), 5 400 débris spatiaux de plus de 1 m en orbite géostationnaire et, selon un modèle statistique de l'ESA 900 000 objets de plus de 1 cm et 130 000 000 objets de plus de 1 mm. Les débris spatiaux situés sur une orbite inférieure à 400 kilomètres sont éliminés au bout d'une vingtaine d'années car leur altitude diminue en raison de la perte de vitesse due aux frottements dans l'atmosphère résiduelle. Ils finissent par brûler dans l'atmosphère terrestre lors de leur rentrée atmosphérique. Mais leur nombre est en augmentation constante du fait de l'activité spatiale (notamment le lancement de nano-satellites) et cette élimination naturelle intervient au bout de centaines d'années dès que leur orbite dépasse 700 km.
Ces débris constituent la manifestation la plus importante de la pollution spatiale et représentent en 2021 une menace très grave pour les engins spatiaux opérationnels en orbite basse (moins de 2000 kilomètres d'altitude). La vitesse moyenne de l'ordre de 8 km/s des objets circulant à cette altitude leur confère une énergie cinétique très élevée : l**'impact sur un satellite d'un débris spatial de l'ordre du centimètre de diamètre est équivalente à celle d'une enclume en chute libre et au delà de cette taille la destruction de l'engin spatial est quasi assurée.**
Seuls les débris de plus de 10 cm circulant en orbite basse peuvent être suivis systématiquement grâce à des systèmes de surveillance mettant en œuvre principalement des radars terrestres et des télescopes. Lorsque la trajectoire d'un débris spatial catalogué peut constituer une menace, les opérateurs modifient l'orbite du satellite menacé. Mais les débris d'une taille inférieure ne peuvent être évités et ceux-ci se multiplient avec le temps. Pour tenter de réduire le risque associé aux petits débris spatiaux qui ne peuvent être suivis, les constructeurs d'engins spatiaux ajoutent dans certains cas des blindages qui peuvent stopper les débris de petite taille (de l'ordre du centimètre).
Toutefois la mesure la plus efficace consiste à limiter le nombre de débris spatiaux produits. Les principales agences spatiales, pour tenter d'endiguer ce qui est identifié comme une menace pour la poursuite à moyen terme de l'activité spatiale, ont édicté des recommandations visant à réduire le phénomène notamment en limitant le nombre de débris générés au moment du déploiement du satellite, en déclenchant la rentrée de l'étage supérieur du lanceur et en s'assurant en fin de vie que d'une part toutes les sources d'explosion soient neutralisées et que d'autre part le satellite, s'il circule sur une orbite basse, soit placé sur une orbite garantissant une rentrée atmosphérique à une échéance de 25 ans. Selon ces recommandations, les satellites circulant en orbite géostationnaire doivent être placés sur une orbite cimetière. Faute d'un accord international ces dispositions qui augmentent de manière sensible les coûts de lancement, restent des recommandations qui ont tendance toutefois à être appliquées par les principaux acteurs. Mais un nouveau risque est apparu à la fin des années 2010 avec la multiplication des CubeSats et la mise en orbite de constellations de satellites (Starlink, OneWeb,...) comptant des centaines voire des milliers d'unités qui vont accroitre dans des proportions inégalées le risque de collision dans les années à venir.
< boîte à clous, choux bijoux genoux, poux > -
-
arrial
@bingo
je ne pense pas : Mars a été desdtroyed depuis un sacré bail pas protégée contre les vents solaires qui ont chassé l'atmosphère et an tué profondément le vivant.
Si la Terre n'avait pas son boucler magnétique, elle serait dans le même état.
Mais on espère trouver desn traces de vie antérieures …
La mystérieuse disparition de l'eau sur Mars il y a 1,7 milliards d'années < ça fait un sacré bail
Robot exterminator : -
arrial
C'est une fuite de tritium, Qui est un isotope radioactif de l'hydrogène et est un sous-produit des réacteurs nucléaires.
La période radioactive du tritium est de 12,33 ans : c’est-à-dire qu’il faut un peu plus de 12 ans pour que sa quantité d’origine se désintègre de moitié. Ce n'est pas des siècles.
Si le tritium est originellement un gaz, qui donc se dissipe et se dissout dans l'atmosphère, là, la forme la plus commune du tritium est l’eau tritiée, qui est le résultat du remplacement d’un atome d’hydrogène dans l’eau (H2O) par un atome de tritium, ce qui forme du HTO.
L’eau tritiée a une période biologique de 10 jours. Toutefois, à l’intérieur du corps, une petite quantité peut se fixer aux protéines, aux gras et aux glucides, lui donnant une période moyenne de 40 jours.
En se désintégrant il génère un rayonnement β (bêta), qui est un flux d'électrons dotés d'une énergie cinétique, ainsi que de l'hélium, inoffensif.
Le tritium représente une source relativement faible de rayonnement bêta, qui est trop faible pour pénétrer la peau. Toutefois, il peut accroître le risque de développer un cancer s’il est consommé en quantités extrêmement importantes.
Tout cela pour dire que le risque n'est pas si grand, et alerter une population non informée ne serait pas forcément productif. Néanmoins, tu as bien trouvé l'information …
-
arrial
@hornet
Non.
Je suis féru d'esthétisme.
… je ne pense pas que ce soit très mortifère … -
arrial
Que penses- tu de la découverte de Mars?
Mars, c'est le prochain défi.
On va y arriver.
Peut-être à partir d'une base lunaire, pourquoi ne pas rêver …
-
arrial
Qu'est ce qui t'inquiète là dedans ?
Ce qui inquiète tout le monde qui soit concerné est qu'in fine si on ne réagit pas, on ne pourra plus poser de satellites. Et il ne me semble pas que tu appréhendes ce qui peut en résulter.
À QUOI SERVENT LES SATELLITES par M. Bernard VIVIERA quoi servent les satellites ?
Si la terre a un satellite naturel, que tout le monde connait : la Lune, ce n’est que le 4 octobre 1957 que le premier satellite artificiel est mis en orbite par l’Union soviétique : Spoutnik 1, grâce à la fusée R7, dont une version dérivée est toujours en service aujourd’hui§ En février 1958, Les USA plaçaient en orbite leur premier satellite « Explorer 1 », le 31 janvier 1958 et commençaient ainsi une course à l’espace, dopée par les programmes militaires.
Le France, qui travaillait à se doter de missiles balistiques pour sa force de dissuasion, utilisait les différents développements en cours pour mettre au point le lanceur de satellites Diamant et devenait, le 26 novembre 1965, la troisième puissance spatiale en mettant en orbite avec succès le satellite A1, alias « Asterix » ;
Depuis cette époque pionnière, l’usage des satellites artificiels s’est largement développé dans le monde. Si peu de pays ont acquis la capacité de mettre en orbite leurs propres satellites avec des lanceurs « nationaux » (Chine, France – Europe, Etats unis d’Amérique, Inde, Japon, Russie), de nombreux autres réalisent ou font réaliser leurs satellites, lancés ensuite par les pays proposant des lancements commerciaux ou scientifiques.
La gamme des applications s’est largement développée, d’autant plus que certains lanceurs, comme Ariane 5 actuellement, peuvent proposer des lancements de satellites d’une masse allant jusqu’à 10 tonnes !
Parmi les applications les plus courantes, les satellites de télécommunication, utilisés quotidiennement, qui couvrent l’ensemble du globe depuis des positions orbitales originales : l’orbite géostationnaire, qui a la particularité de faire tourner un satellite en même temps que la Terre, ce qui le rend « fixe » au-dessus d’un territoire donné. Chacun de nous utilise souvent sans le savoir de tels satellites, soit directement, soit à travers le relais de stations terrestres.
Naturellement, les armées des pays les plus avancés ont adopté des satellites de communication cryptés qui permettent le lien permanent avec des troupes en opérations et la transmission de données en temps réel.
Les satellites sont aussi employés en permanence pour la localisation et la navigation.
Des constellations de satellites (GPS américain et bientôt le système Galileo européen) permettent aux récepteurs terrestres ou aériens, par les signaux qu’ils émettent, de calculer une position avec une précision qui est, parfois, de l’ordre du mètre. Si chacun peut utiliser constamment son GPS de voiture ou une application « plans » sur son smartphone, il le doit aux satellites…
La météorologie a aussi beaucoup progressé avec les satellites météo, géostationnaires, qui permettent, depuis le milieu des années 70, d’observer en permanence les phénomènes météo. Leur contribution à la qualité des prédictions mises quotidiennement à la disposition du public est devenue majeure et désormais irremplaçable.
L’observation de la Terre est devenu, aussi le domaine de prédilection des satellites, qu’il s’agisse d’usages civils (étude de l’environnement, prédiction des récoltes, connaissance des océans, étude des courants marins et des températures d’eau pour la pêche, alertes « pollution » en temps réel…) ou pour des usages militaires, notamment l’observation optique et radar.
Enfin, l’exploration interplanétaire , comme celle de l’univers, est largement basée sur les satellites ou sondes, qui permettent de s’extraire de l’atmosphère terrestre pour effectuer des mesures de qualité, ou d’aller très loin à la recherche de l’origine de l’univers. L’Europe a, en 2016, réalisé une grande « première » mondiale en posant sur la comète « Churyumov-Gerasimenko » Le robot « Philae » le 12 novembre 2014, après une mission de plus de 10 ans !
Les satellites font aujourd’hui tellement partie de notre vie quotidienne que l’on ne se rend pas toujours compte de l’importance qu’ils ont prise.
Si les satellites étaient muets, nous serions aveugles… !
Il faut cependant bien comprendre que, dans la compétition mondiale actuelle, les grandes nations ne peuvent dépendre des autres pour faire lancer leurs satellites. Une politique d’accès indépendant à l’espace est donc cruciale. C’est le choix européen, avec Ariane 5, confirmé récemment avec la décision de développer le lanceur Ariane 6, qui garantit pour longtemps notre accès libre à un espace si nécessaire à notre futur.
-
arrial
@arrial Bizarre quand on parle d'une courbe exponentielle de mettre le graphique d'une courbe exponentielle.
Il me semble que tu surévalues la culture scientifique de notre public. Que voudrais-tu qu'on mette ? un hareng saur ??
Je plaisante.
La courbe de l'éléphant présente une présence, puis un effondrement avant un rebond. Un effondrement dans notre cas serait le bien venu, mais n'est pas envisageable.
Et cette courbe est adaptée à des statistiques sociales, pas vraiment à des phénomènes physiques, comme la prolifération des débris dans l'espace, ce qui explique que, effectivement, je ne connaissais pas, et je juge ton image comme bien utile.
Je me permets d'en ajouter une qui décrit en plus le propos ▼ ▼ ▼ .
BONNE ANNÉE QUAND MÊME POUR TOUS