@delnis @delnis a dit dans Avoir un chat :

C'est quoi comme chat que tu as ?

On nous a dit que c'était une chatte d'Espagne, pour la race, mais on est pas sûr

Edit : Je trouve qu'elle a un air de Yoda dans la première image, avec les oreilles sur le côté...

Bonsoir ! (Ou plutôt "Bonjour"...)

Alors je pense avoir sauté une petite étape, soit la présentation (je suis déjà là depuis deux jours..). On m'excusera mais c'est une première, pour moi, de participer à un forum, donc je ne suis pas trop à jour à ce sujet sur certains principes. Je vais y aller en répondant aux questions auxquelles je veux bien répondre, du questionnaire proposé pour aider à faire une présentation. Je fais ça car c'est plus simple, clair et direct, puis aussi car c'est ma présentation donc je fais ce que je veux ! Commençons-donc.

Qui suis-je ? Une personne. Un humain (enfin je pense).

Prénom ? Aplacophore. C'est pas mon vrai nom (bien sûr), mais j'trouve qu'il sonne bien.

Âge ? Je ne dirais pas, mais je suis assez différente des gens de la même tranche d'âge que la mienne, commençant par mes intérêts, en tout genre, mais qu'importe ! (Au cas où je malmènerait quelqu'un ici, j'suis pas vieille, voilà).

Genre ? Je suis ce qu'on associe (ou associait puisque les temps changes) stéréo-typiquement à la couleur rose.

Localisation ? Canada. Je suis canadienne-française. Première de la famille née au Canada, mais j'ai grandie dans la culture française, de France.

Emplois / Études ? Je suis toujours élève. Et pas d'emploi, pour l'été ou de côté...

Que signifie mon pseudo ? Un Aplacophore est un mollusque en forme de ver découvert au XXe siècle. (Je l'ai juste choisi au hasard. En vrai ça sonne bien, non ?).

Comment ai-je découvert PopcornFr ? Je pense que je ne suis pas la seule à avoir vu le commentaire d'un mec qui cherchait un bon forum et de la recommandation de celui-ci (https://forums.commentcamarche.net/forum/affich-36295979-je-cherche-un-forum-de-discussion-sympa). J'adore connaître les choses, aussi inutiles qu'elles puissent être, donc je me suis dit qu'un forum serait sympa.

Pourquoi me suis-je inscrite sur PopcornFr ? Parce que j'aime. L'ambiance est superbe alors pourquoi pas ? Ça fait pas de mal.

Qu'est-ce que j'aime ? Ouh là ! Tout d'abord, j'écris beaucoup énormément ! J'aime ça et c'est un talent inné chez moi de pouvoir écrire d'aussi longs textes, mais parfois je ne peux pas m'en empêcher... Sinon, j'aime, pardon, j'adore la musique (sauf le country). J'aime pas mal tout sur la musique et j'ai tout le temps quelque chose dans la tête. J'aime aussi ce qui touche la médecine. Il y a un moment, je voulais être chirurgienne. En prenant compte de ma maladresse continue, j'ai décidée que médecin légiste semblait mieux. Bref, j'aime pleins de trucs, mais à cause de ma mauvaise mémoire et mon incapacité à écrire de courts textes, j'en rajoute pas.

Qu'est-ce que je n'aime pas ? La musique country, mes voisins trop bruyants, et parler à des gens face-à-face (anxiété sociale). Encore une fois, j'en rajoute pas par peur de possiblement tuer des gens d'ennui (si ce n'est pas déjà fait ).

Qu'est-ce qui m'occupe l'esprit en ce moment ? Finir ce texte.

Quel est mon domaine d'expertise ? Écrire de longs textes (haha). En vrai je ne sais pas.

Je pense que c'est bon là. Je vais arrêter avant de sombrer dans une écriture sans fin... Je ne sais pas comment finir une présentation, mais voilà, c'était moi. Ce forum est hyper sympa, comme ses membres hein

Bon j'vous laisse sur une chanson comme ça, de musique alternative :

À la revoyure les gens !

Pour les mots : Souvenir - Insolite - Aventure
Et le thème : Voyage

Il ne savait pas quel métier il voulait faire plus tard, mais il savait qu’il voulait faire le tour du monde, littéralement. Visiter tous les pays, voir toutes les cultures. Ce serait la plus belle aventure de sa vie ! Il n’avait que dix ans, et il rêvait déjà en grand. Ce soir-là, en s’endormant, il pensa à cette aventure insolite que serait son tour du monde…

...Il avait tout juste 18 ans. Il avait décidé de faire sa dernière année scolaire en ligne, pour rendre plus facile la préparation de son voyage. Et oui, après tout ce temps, son rêve était resté le même : faire le tour du monde. Son carnet de voyage le suivait partout. Dans celui-ci, il notait ses plans, trajets et attentes du voyage. Plus jeune, il avait déjà visité quelques pays, alors il les avait barrés d’une liste contenant tous les pays du monde. Les Pays-Bas, la Suisse, et la France, son lieu d’habitation, tous les trois déjà rayés. Avec tous les souvenirs qu’il a pu se faire en visitant trois pays seulement, il était surexcité quant à l’idée de visiter les 195-et-quelques-miettes autres pays. 8 ans plus tôt, il avait demandé à ses parents de le soutenir avec ce grand projet et ils avaient étés d’accord. Depuis ce jour, il a travaillé très fort pour finir ses études de bases le plus tôt possible. Le moment était enfin venu. Il se trouvait dans l’avion qui allait l’amener vers la première destination de son voyage, le Brésil. Après quelques minutes, l’avion commença à rouler, puis, il ne toucha plus le sol…

Lorsqu’il se réveilla le lendemain matin, il savait ce qu’il devait faire. Il allait faire comme dans son rêve à l’allure prémonitoire : demander le support de ses parents. Cependant, tout ne se passa pas comme prévu ; ses parents refusèrent. Cela ne le freina pas trop. Il allait quand même faire de son mieux pour accomplir son rêve de visiter le globe entier.

Quelques années plus tard, il avait déjà visité plus d’une dizaine de pays ! Ce qui nous prouve que quand on veut, on peut.

Petit texte tout bête, parce que j'ai mal à la tête

Pour les mots : Lumière - Vitre - Forêt

Cet hiver, elle avait décidé de louer un chalet, au beau milieu de la forêt. Des pins, mais surtout des sapins, c’est ce qu’elle croisa. Ce chalet, elle l’avait loué pour s’éloigner un petit peu du monde entier. Elle était là pour se relaxer, et c'est ce qui allait se passer. Elle arriva à la tombée de la nuit. Lorsqu’elle entra, elle fut éblouie par la vive lumière qui éclairait toute l’entrée, ainsi qu’une partie du salon. Elle avait voyagé léger : une simple valise avait suffit pour partir dans les bois. Pas le temps de tout déballer, elle alla directement au lit.

Le lendemain matin, les rayons du Soleil passaient à travers la vitre de la fenêtre de sa chambre, et allaient se poser délicatement sur son joli visage. Elle se leva, toujours dans les vêtements de la veille, puis jeta un coup d'œil au dehors. Un chalet loin du bruit, de la ville, et un réveil si chaleureux le matin… Que rêver de mieux ? Elle savait que cette semaine allait surpasser ses attentes.

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@Kachina C'est digne d'une leçon de vie. Ça pourrait être le genre d'histoire racontée à quelqu'un pour lui montrer ce qui est vraiment important, sur sa vision de voir les choses par exemple.
En tout cas, c'est beau

@dirty-cop Moi j'ai bien aimée tous ces films, mais ce qu'a Baby Driver en plus, à mon avis, c'est la musique ! Le film à l'air moins sombre et sérieux que les deux autres. Il est tout en couleur et je pense que la musique et le lien que "Baby" entretien avec celle-ci est le petit +.

Comme tu dis, le film est bien en général, après, chacun ses goûts

Pour les mots : Orage - Idole - Regrets

Les orages. Ah, il n’y a pas d’âge pour ces phénomènes sensationnels ! Depuis ma tendre enfance, j’ai adoré les regarder, toujours un peu en transe. Quand j’’entendais un lointain grondement, je me préparais calmement. Walkman, bottines et imper, je n'avais que peu à prendre… Je descendais les escaliers le plus silencieusement possible, essayant d’être invisible. En tournant la poignée de la porte d'entrée, j’étais prête à faire face au vents déchaînés. Ensuite, c’était presque une routine. L’odeur qui m'accueillait à l’extérieur m'était si familière. C’était un mixte entre de l’herbe trempée et du bitume mouillé. Je me plaçais au milieu du gigantesque jardin, insouciante de ce que pensaient mes voisins. Je me retrouvais donc allongée sur le sol, le walkman dans une poche de l’imper, les écouteurs aux oreilles. Et j’admirais le spectacle qui se présentait à moi. C’était tout le temps comme ça, et à chaque fois, j’avais l’air d’une hors-la-loi en faisant ça.

Il y eu une journée assez spéciale, autrefois. Je m’en souviens encore; le vent n’avait jamais été si violent. J’avais choisi d’écouter The Cure. Robert Smith étant mon idole, j’ai fait joué la chanson “Prayers for Rain”. Je m’étais placée comme d’habitude, sans inquiétude. J’avais, cette fois-là, reçu un avertissement décrivant l’orage violent. Ça va être du tonnerre alors, m'étais-je dit. Du tonnerre, ce fut.

Je pouvais entendre le vent remuer les lointains arbres du voisinage, et la pluie attaquait déjà mon visage. Puis, les éclairs commencèrent à éblouir le ciel, à leur manière. Le spectacle était magnifique, voire fantastique. Malheureusement, après seulement quelques minutes de pur bonheur, la pluie partait de bonne heure. Ma mère me demanda, de la porte d’entrée, de rentrer à la maison. J’avais été découverte. Sur le chemin du retour, mon entourage fut vivement éclairé pendant un instant. Une fois au pas de la porte, je m’étais retournée pour regarder un dernier éclair, et soudainement, tout était blanc… puis noir. J’avais été frappée par la foudre.

Depuis ce jour, je n'ai jamais revu un orage, ni quoi que ce soit d’ailleurs. Ai-je des regrets concernant mon irresponsabilité à être resté dehors lors d’un orage ? Non. Ça en valait vraiment la peine. En plus, on nous dit toujours de croquer la vie à pleines dents : et bien c’est ce que j’ai fait ! Pour ma défense, non que j’ai besoin de me défendre, je ne savais pas que la foudre était plus meurtrière, ou enfin, la cause de traumas, avant la pluie d’un orage, ou après que celle-ci ait cessé. J’espère juste que là où je me rends, je pourrais les revoir, ou les entendre. Désormais, j'attendrai l'arrivée de la pluie avant de refaire une bêtise…

“... I live in dirt and nowhere glows but
Drearily and tired the hours all spent on killing
Time again all waiting for the rain…”

Pour les mots : Pyramides - Crocodile - Chapeau, ainsi que le thème : Égypte

Je le hais. Pourtant, je ne peux m’empêcher de l’admirer. Médecin à 28 ans, il a accompli beaucoup dans sa vie jusqu’à présent. Il a une femme, avec laquelle il prévois de bientôt se marier, ainsi qu’une fille d’à peine un an. Pour sa petite semaine de vacances, la seule de l’année d'ailleurs, il voulait visiter le plateau de Gizeh, car depuis tout petit, l’archéologie est l’une de ses plus grandes passions. En grandissant, il décida que le domaine de la santé lui était simplement plus attrayant.

Alors, c’est là que nous étions, à Gizeh, en Égypte. Comme d’habitude, Monsieur se vantait de son savoir sur les pyramides qui nous faisaient face. Il a toujours reçu l’attention totale des gens. Depuis que je le connais, c’est-à-dire depuis toujours, il sait comment se mettre en valeur. Peu importe ce qu’il fait, on le voit comme une bonne personne, une personne honnête et bourrée de talent. À côté de lui, je ne suis rien. Plus jeune, je faisais même semblant de pleurer, comme le crocodile pour attirer ses proies, mais moi, je n'étais qu’un simple petit garçon en manque d’affection. J’ai vite compris que ça ne menait à rien et que je devais juste subir.

Malgré le malheur et la solitude que j’ai vécu par sa faute, je ne peux nier qu’il mérite tout cela. Je lui tire mon chapeau avec grand respect, une vie comme la sienne est une vie réussie. Avec le temps, j’ai développé cette haine à son égard, mais aussi ce respect infini pour quelqu’un à qui je serais toujours loin de ressembler, malheureusement. Quand on est frère, tout n’est pas toujours facile...

Pour les mots : Cœur - Passion - Liberté
Et le thème : Amour

« Je dois renoncer à toi, je dois renoncer à notre amour. », me dit-il.

« Je ne comprends pas… Qu’est-il arrivé ? »

« Dieu est venu me voir, la nuit dernière. Il m’a montré une image... Une vision de l’enfer… », avait-il répondu, perdu dans ses pensées. « Et les damnés… Ils doivent jouir du feu pour toute son éternité. J’étais terrorisé »

Sûr son visage si beau, si tendre, avait pris place la peur, la terreur.

« Toi ? Terrorisé ? », lui demandais-je, incrédule.
« Oui.
一 Mais ce n’était qu’un rêve.
一 Non. Dans ma vision, Dieu m’a parlé : Il m’a dit que je devais renoncer à mes voies pécheresses une fois pour toute, sinon je ne verrai jamais son visage divin. Je n'entendrai jamais sa voix divine, seulement les cris et les lamentations des damnés. »

Il me blâmait de ne pas le comprendre, de ne pas le croire. Comment pouvais-je ? Il me regarda dans les yeux, puis dit :
« Tu n’étais pas là. Tu n’as pas vu ce que j’ai vu…
一 Tu ne peux pas faire ça, tu ne peux pas me faire ça à moi. Je pensais que tu m’aimais ! »

Pas de réponse. Mon cœur s’effondra. La passion qu’il y avait entre nous n’était pas aussi forte que celle qu’il entretenait avec son Dieu.

Alors qu’il continuait à fixer le sol en serrant sa mâchoire de toutes ses forces, je dis :
« Tu sais quoi ? Je pense que tu as toujours aimé ton Dieu, plus que tu ne m’as jamais aimé. En fait, je ne pense pas que tu m’aies jamais aimé… Tout cela, peu importe comment t’appelles ça, a toujours eu plus d'importance que je ne pourrais jamais avoir pour toi. »

Je n’étais pas fâchée, non, j’étais triste, et déçue de m’être embarquée dans cette courte relation que nous avions eu, si on pouvait l'appeler comme ça.

Je fis demi-tour et une fois la porte passée, je sentis la liberté m’envahir. Tout ce temps, je savais que je n'étais pas faite pour être avec quelqu’un, et je venais d’en être totalement convaincue après ce qui venait de se passer.

La nuit, c'est merveilleux.
Le calme de la nuit, on ne peut pas faire mieux.
J'ai toujours trouvé une certaine beauté et un certain calme dans la nuit. On se croirait dans un autre monde.
Rien de plus apaisant qu'une balade à minuit.
Il m'est déjà arrivé d'en faire une, mais pas si tard, il n'était qu'autour de huit ou neuf heures.
Mais c'était en hiver, engouffrés dans la pénombre nous étions depuis longtemps déjà.

De toute façon, peu importe la saison, la nuit me fait le même effet.
Je ne peux avoir de préférence, c'est trop dur !

Le printemps, c'est respirer le bon air, en se baladant, tranquillement, sans accompagnement.
L'été, c'est une opportunité pour sortir à deux, et placoter un peu sans se soucier du temps passé à marcher.
L'automne, c'est parfait pour rafraîchir ses idées, et regarder les décos d'Halloween qui nous concurrencent.
L'hiver, la neige reflétant une lumière, rendant la nuit plus claire, nous donne envie de sauter dedans, et regarder le sombre ciel éternel en s'y abandonnant.

Voyez, le choix n'est que question, car une réponse sensée ne pourrait se faire.

J'écris ceci, car ici, il fait toujours nuit. Minuit et quelques, et la nuit n'en fait qu'à sa tête.

Pour les mots : Chaleur - Explosion - Amphore(s)

En cette belle journée d’été, la chaleur accablante frappait une fois de plus à Rome. Deux jeunes étudiantes, Claire et Marie, se trouvaient en voyage en Italie, pour visiter le Monte Testaccio. Le Monte Testaccio, en français Mont des tessons, est une montagne de débris, constitués de tessons d’amphores. Durant l’Antiquité, les amphores étaient très populaires. Cependant, la plupart du temps elles n’étaient utilisées qu’une seule fois, ensuite on les jetait. C’est ainsi que s’est formé ce mont, un empilement infini d’amas d’amphores.

Claire avait entendu parler de ce mont lors d’un dîner de famille alors qu’elle n’avait pas encore 10 ans. Depuis qu’elle sait parler, elle adore l’archéologie. Au fils des ans, elle a développé une grande passion pour l’Antiquité et son histoire. Depuis qu’elle en a entendu parler, la jeune fille a toujours voulu visiter ce mont, auprès duquel ses cousins et cousines habitaient. Claire en parlait si souvent que son amie d’enfance, Marie, voulait, elle aussi, visiter cet endroit. Les parents de Claire, originaires d’Italie, voulaient partir là-bas quelque temps, mais n’en n’avaient jamais eu les moyens.

Heureusement pour Claire et Marie, un nouveau projet leur avait été assigné, dans lequel elles formaient une équipe. Les étudiantes avaient comme délai les vacances, un budget attribué et avec celui-ci elles devaient visiter un monument, ou un simple endroit, renfermant une histoire. Elles avaient une liste de pays et sur cette dite liste se trouvait l’Italie... Sans hésiter, Marie et Claire s’approprièrent ce pays à visiter, n’ayant qu’une idée en tête, visiter le Mont des tessons !

Après de l’organisation, plusieurs heures de transport, et une bonne nuit de sommeil chez les cousins-cousines, les deux jeunes étudiantes ne se trouvaient plus qu’à une centaine de mètres du Monte Testaccio. Malheureusement pour elles, leurs parents avaient eu des empêchements et n’avaient donc pas pu les accompagner.

Une fois sur place, c'était le comble. Une montagne triangulaire d’une trentaine de mètres leur faisait face. Alors que Claire et Marie prenaient des clichés pour la famille et le projet, une main se posa sur leurs épaules. En se retournant, elles virent leurs parents ainsi que leurs frères et sœurs, un grand sourire collé au visage. Ils avaient pioché dans leur économies pour faire la surprise. À ce moment, une explosion de joie et de rire flottait dans l’air, tout autour d’eux. Certains avaient les larmes aux yeux, d’autres riaient, mais le bonheur était au rendez-vous.

Il était une fois, un jeune homme assez fragile, qui avait vécu une enfance difficile. Ses parents, deux criminels négligents, ne le trouvait guère intéressant. Un jour, ils furent embarqués après avoir été démasqués à cause d’une absurdité. L’enfant, ayant déjà atteint l'âge adulte, fut lancé dans le monde des grands, comme par l’effet d’une catapulte. La réputation de sa famille l’empêchant toute sorte de réussite, il pensait avoir atteint sa limite. Marre de tous ces gens qui l’insultaient, de ces gens ingrats qui le discriminaient ! C’était trop. Tout ce temps passé à ne pas ressembler à ses parents, à rester du bon côté, être un citoyen modèle et mieux encore… Les petits boulots qu’il a dû enchaîner pour pouvoir se payer ses études. Malgré ces efforts, il avait tort. Il avait été bête de croire qu’il méritait une vie tranquille et sans scrupule. C’était décidé; il allait devenir un criminel, comme ses parents.

Ce jour-là, après avoir bien réfléchi, il sortit de sa maison et marcha vers son nouveau lieu de travail. En cours de route, il fut interpellé par une jeune femme ravissante sans aucun doute. Leurs regards se croisèrent et, une chose en entraînant une autre, ils tombèrent amoureux. C’était le coup de foudre. En la regardant, le jeune homme voyait de l’espoir, une chance de vivre heureux et non soucieux. L’idée de suivre les traces de ses parents ne lui semblait plus acceptable. Il allait tout faire pour être bon, sans corruption. Pour elle, il ferait tout.

Sans le savoir, la jeune femme avait évité un drame, dans la vie de cet homme. Elle était la bouée de sauvetage qu’il lui fallait, celle qui le faisait remonter à la surface, qui lui faisait reprendre ses esprits. Après s’être battu contre vents et marées pour se construire une vie respectable, il ne lui manquait plus que cette femme, admirable, pour y parvenir.

En ayant parlé de friperie récemment...

Alors concernant les décisions à prendre, ou prises , sur le jeu du mois et les "like", je vais faire avec ce qui sera décidé, mes vacances se terminant dans une semaine, je serais beaucoup moins présente après je pense..

Mais bon, avec peu de temps et d'internet cette fin de semaine, j'ai pu faire ça :

Pour les mots : Téléchargement - Foutriquet - Athlétisme

Nous étions trois. Trois amis ayant des intérêts complètement divergents. Malgré cela, nous sommes parvenus à rester en contact pendant une dizaine d’années après le collège. Dans notre groupe, l’un de nous pratique l’athlétisme, l’autre est, ou plutôt était, comptable, et moi, je suis agent immobilier. Un jour, tout se chamboula.

Nous avons, dès notre adolescence, pris l’habitude de nous jouer des petits tours, et avec le temps, notre créativité s’est développée et les tours sont devenus de plus en plus gros, jusqu’à devenir dangereux. Haha ! Je me rappelle encore de quelques bonnes farces. Cependant, celui qui se faisait le plus embêter était le soi-disant “nerd”, celui qui est devenu comptable. Je l’admets, il était parfois un peu rejeté. Un jour, l’athlète a poussé la blague un peu trop loin, et c’est là que ça a dégénéré…

Tout s’est passé un lundi 14 juillet. L’athlète et moi avions remarqué que notre copain de petite taille, le futur comptable, n’avait jamais eu de petite copine. Son excuse était bien sûr qu’il “attendait la bonne”. Alors, ça faisait un petit moment que le blagueur avait décidé de lui jouer un tour en se faisant passer pour une jeune femme lui portant un intérêt. Pendant six bonnes semaines, ils discutaient par textos sur une application de rencontre que nous lui avions conseillé, et tout avait l’air de bien rouler. À la sixième semaine, le lundi donc, mon copain n’avait pas été très subtile, alors évidemment, il comprit que tout ça était faux, la dame n’étant pas réelle. Pendant plusieurs années, on avait perdu contact avec lui, mais bon, ce n’est pas comme si ça nous dérangeait. Nous avons continué nos vies, comme si de rien n’était.

Jamais ne nous avait-il parlé depuis, sauf jusqu’à très récemment. Alors que mon ami l’athlète participait à une olympiade, les grandes télévisions, qui se trouvaient très haut dans les airs, furent brusquement bruyantes pendant deux secondes, et la tête de notre ancien copain y avait pris place. L’air fâché et grave, voilà ce qu’il dit :

« Chères Mesdames, chers Messieurs, pardonnez-moi d’interrompre votre petit divertissement, mais j’ai un message pour le grandissime athlète au maillot bleu. Il fut un temps, où lui, un autre, et moi, étions copains. Cependant, j’étais le moins important de la bande, le plus insignifiant, le foutriquet donc. Un jour, votre cher athlète préféré s’est fait passé pour une femme ayant un intérêt pour moi. Pendant six mois, la blague dura. Je ne sais pas combien de temps il avait prévu de continuer, car heureusement, j’avais fini par m’en rendre compte. Ça m’a pris beaucoup de temps, d’effort, et de ressources, mais je suis parvenu à me venger. Voyez, chers gens, cette clé USB que je télécharge en ce moment même : elle contient les images de notre athlète ici-présent en train de voler de l’argent à une agence immobilière, celle de son meilleur copain, ainsi que des papiers pouvant servir de preuves. Je vais laisser place aux autorités pour s’occuper de lui maintenant, mais avant de partir, je tiens à finir mon discours révélatif en m'adressant à vous deux, anciens amis, avant que le téléchargement de cette clé se termine : depuis le début vous vous trompez, depuis le début, l’insignifiant et l’incapable de nous trois n’est pas moi. Bien au contraire, j’étais et je resterais, toujours, le plus sensé de nous trois. Rappelez-vous bien de cela. »

Ayant été pris de cours, mon amitié avec cet athlète avait cessé. Je savais maintenant qu’on pouvait vous tourner le dos n’importe quand, et par n’importe qui.

Groupe récemment découvert :

Pour les mots : Cigare - Chapeau - Bière - Inlassablement

J’en ai connu des vies. Depuis longtemps j’existe. J’observe le monde depuis tant d’années déjà, et je ne m’en lasse pas ! J’étais présent au temps du Western, des cowboys et tout le tralala. Ça m’a même rendu plus populaire encore. Je suis passé à la télé plus que quiconque ne l’a fait. J’ai souvent été blessé, mais ce sont les dangers du métier. J’ai aussi fais beaucoup de cascades, principalement dans les airs. Mes rôles préférés, les plus amusants, mais qui ont été de temps en temps douloureux à tourner, sont pour l’instant des films de cowboys justement. L’un de mes collègues de tournage, que vous connaissez sûrement, s’appelle Clint Eastwood. Et oui, lui et moi avons été très proches pendant le tournage de ces films; tellement proches que nous étions presque inséparables ! Malgré le fait que je lui étais inlassablement fidèle, il m’est arrivé de mourir et réapparaître aux côtés, ou plutôt au-dessus, de quelqu’un d’autre. De toute façon, ça ne durait pas longtemps car ce quelqu’un d’autre finissait par se faire dégommer par Clint, et alors, je retournais auprès de lui. On était peut-être populaire, bon, l’attention se trouvait plus sur le mec en dessous de moi, mais certaines choses m’agaçaient. Les cigares, par exemple : à chaque fois qu’en dessous de moi on en fumait un, je recevais toujours la fumée en pleine tronche ! Ensuite, ses habitudes de boire du whisky, alors là ! Non seulement il était transparent, mais en plus il ne vieillissait pas longtemps ! Personnellement, une petite bière aurait tout aussi bien fait l’affaire, hein. Bon, c’est pas comme si je pouvais dire un truc non plus, j’ai jamais bu, du coup je n’ai pas vraiment le droit de donner mon opinion. Enfin bref, j’ai eu des vies bien remplies, et j’en ai encore bien d'autres à vivre.

Je vous laisse avec une petite vidéo de l’une de mes plus douloureuses mais impressionnante cascade dans ma carrière de chapeau :

Info pas du tout importante, mais rigolote

Mon pote Roberto Le Chapeau était là aussi. Il accompagnait Sentenza

Les deux affiches ont un peu le même style, non ?
Je préfère la deuxième, elle est plus simple, alors : Je vote pour Delnis.