Messages postés par apis 32

Il y a 45 ans, quand je suis arrivée dans le Gers, j'ai découvert la vie à la campagne, la vie seule, et j'avais besoin d'expérimenter.
Il y avait encore un lavoir dans le village où j'étais : Je m'y suis bien amusée, au début : l'eau y est tiède l'hiver, et fraîche l'été ...
Ensuite, j'ai trouvé une boule à lessive, qu'on faisait tourner avec une manivelle.
Plus tard, en travaillant et avec les enfants, la machine à laver est devenue vraiment pratique.
Aujourd'hui, j'ai du temps et ... de l'âge !
Alors je préfère faire mon pain et le jardin, mais j'ai une machine pour le linge et une pour la vaisselle. Je choisis toujours les appareils les plus économes en énergie.
Par contre, je n'ai jamais eu de sèche linge, ce qui fait que mon salon est souvent orné de vêtements en train de sécher ... Mais depuis que j'ai installé un poêle dans la cheminée, au moins, ils ne sentent plus la fumée !

@Chibi
Je ne connaissais pas le nom.
Je suis allée voir et ils sont connus aussi sous le nom d'abeilles charpentières que j'avais déjà lu ou entendu. Le spécimen en photo était noir avec des ailes bleues, je ne crois pas en avoir déjà vu dans mon tas de bois.

@Doctor-Mox a dit : Sommes nous les "Virus" de la planète ? :

Bonjour et bienvenue, @Farrokh-Bulsara !

Quand mes enfants étaient jeunes ( 11-12 ans ), nous avons eu une période où nous repas étaient égayés par des jeux de mots. Je me souviens de 2 en particulier :

Le premier venaient de l'expression vieillotte "peu m'en chaut " qu'une instit avait amenée à l'école. Quelqu'un démarrait "peu m'en chaut" et tour à tour, chacun devait trouver une expression synonyme, dans n'importe quel registre de langage, de peu m'importe à je n'en ai rien à f*****. Et il y en a ... Le tout dans de grands éclats de rire !

Le deuxième venait des guignols de l'info d'après lesquels Chirac oubliait sans cesse le nom de sa femme. La règle était similaire. A un moment du repas, quelqu'un s'exclamait : Bernadette : et chacun notre tour, il fallait trouver un mot avec une rime en ette.

Chaque jeu égayait nos repas. Cela me donne une idée pour le repas de Noël !

@Zion
Je sais par expérience que pour aller en en couple, il faut d'abord aller bien en solitaire.
Tu n'allais pas bien quand tu étais avec elle, tu as donc pris la décision de la quitter, et même si tu ne vas pas mieux, je pense que tu as eu raison :
Il faut que tu apprennes à trouver un équilibre, seul : Trouver tes moyens d'avoir un sommeil équilibrer, profiter de tes loisirs, avoir quelques amis. Prendre soin de toi sans être centré sur toi même. S’intéresser aux autres, ça aide aussi à aller mieux.
Tu pourras alors envisager de revivre en couple, avec elle, ou avec une autre, tu verras à ce moment là ...

@Hornet

Mon frère et sa compagne ont retrouvé le goût et l'odorat qu'ils avaient un peu perdu, sur la fin.
Une cure de gelée royale et hop ! Ils retrouvent la forme.

On devrait tous avoir nos confettis d'urgence dans nos poches !

@Myra-flore
Tu as été majeure à 21 ans ?
je te croyais plus jeune que moi !
J'ai été majeure à 20 ans, à l'été 1974 : je suis partie en Écosse avec une autorisation paternelle et je suis revenue majeure.

En même temps, Macron, il est un peu comme monsieur le curé : faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais.
Maintenant, ils justifient parce que c'est pour le boulot la France.
Mais il aurait pu faire plus de télétravail et éviter les repas à plus de 6, lui aussi ...

Une chanson que j'adore. Je vous ai mis la traduction, mais la version française me parait transformer en mièvrerie la poésie du texte initial.
J'aime surtout lo qui pintra las mongetas...

A ! Malaja la bugada,
Qui't ví téner suu tucòu !
De la permèra uelhada,
De tu pensèi vàder hòu.
Ah ! Malheur ! la lessive
Que je te vis étendre sur la colline !
Au premier coup d'oeil,
Je crus devenir fou de toi.
Mon Diu, quant de gracietas,
Sus tons trèits jo ví lusir !
Lo qui pintra las mongetas,
Au's traçar se divertí.
Mon Dieu, combien de grâces,
Vis-je briller sur tes traits !
"Celui qui peint les haricots" (1)
A dû se plaire à les tracer.
Quant de còps a la barguèra,
Quant de còps au ton cledat,
No'm hes créder, mensongèra,
Que mons huecs t'avèn tocat !
Combien de fois à l'enclos,
Combien de fois près de tes barrières à moutons,
Ne me fis-tu pas croire, menteuse,
Que mes feux t'avaient touchée !
Los ausèths planhèn mas penas,
Los arrius que n'an plorat,
E capvath aquestas penas
Tot que'm pareish desolat.
Les oiseaux plaignaient ma peine,
Les ruisseaux en ont pleuré,
Et au pied de ces falaises
Tout me paraît désolé.
Adiu dongas, pastoreta,
Ingrata, shens nada amor,
Non veiram plus sus l'erbeta,
Lo men tropèth dab lo ton.
Adieu donc, petite bergère,
Ingrate, sans amour,
Nous ne verrons plus sur l'herbette,
Mon troupeau avec le tien.

@Wi-lili-K a dit dans Ces expressions qui n'appartiennent qu'à vous (ou presque) :

'' on en boirait des seaux" (ça c'est quand la boisson est bonne ^^)

Ça me rappelle un bal trad : Nous étions 2 couples et à l'entracte nous nous dirigeons vers la buvette .

• Tu veux ?
• De l'eau !
• De l'eau !
• Moi aussi !

Il arrive à la buvette.
S'il vous plaît ! Un seau d'eau avec 4 pailles !

Je vais départager :
Je vote blanc

Audrey

@Moving
Et ron et ron petit patapon
c'est mignon
maurice papon
c'est pas mignon !

Bonjour et bienvenue, @sibsib !

@Hornet
Non, mais ma soirée poufs date d'il y a presque 20 ans !

Un topic restaurant fait revenir un vieux souvenir :
Lors de ma reprise d'étude, pour des examens où un séminaire, je ne sais plus, il fallait que je sois à la fac du Mirail deux jours de suite, assez tôt le matin.

Mon copain, m'avait proposé de demander à une copine ( que j'avais vu deux ou 3 fois ) si elle pouvait m'héberger le soir de la première journée.
Elle avait dit que c'était ok, mais qu'on mangerait au restau le soir.

Après ma journée, je débarque chez elle, et elle m'explique qu'elle m'emmenait à sa "soirée Poufs" du mois.

Devant mon air interrogatif, elle m'explique qu'elles sont une bande de copines, célibataires ou non, chargées d'enfants ou non, qui se font un apéro et un restau une fois par mois, entre filles, entre poufs, quoi !

Nous débarquons chez la fille chargée de l'apéro ce jour là. Il y a une dizaine de filles et un mec qui a l'air très à l'aise et ne semble pas vouloir quitter le groupe.
En effet, après l'apéro, tout le monde se prépare à sortir, lui y compris. Et la joyeuse bande de déambuler dans les rues de Toulouse afin de choisir le restau du soir.
Nous avons finalement opté pour une "pâterie" ou nous avons passé une bonne soirée.

En rentrant, j'ai demandé à la copine de qui le mec admis à la soirée poufs était le mari, et pourquoi cette exception.

Elle a éclaté de rire : Ce n'était pas un mari, mais un copain homo, et vraiment le seul à être admis aux soirées poufs.

@Kallindra
En plus, il a fait la fiesta à plus de 6 avec les ténors de sa majorité.
Avec le gouvernement, il fait son boulot, mais les ténors de la majorité, ce sont juste ses copains, non ?