La courge mystère ( et tardive )qui a poussé dans le compost a poussé, poussé, s'est étalée, a même tenté de grimper et finalement a réussi à faire grossir 3 fruits. Je pense que ce sont des potimarrons, mais je ne suis pas sûre, car ils n'ont pas encore mûri.
Comme la saison est bien avancée, ce matin, je leur ai installé à chacun un petit coussin d'herbe sèche pour leur tenir chaud.
J'espère que ça va les aider à arriver à maturation !
@Cynthia80
Je m'y suis toujours intéressée...
Mais là, vraiment, je n'arrive plus à les prendre au sérieux.
Je n'aurais jamais pensé me désintéresser aussi totalement de la vie politique...
Oui, c'est généralement sympa.
Cette petite cornemuse, c'est celle des Landes de Gascogne. On l'appelle la boha /bouho/ du verbe bohar, souffler.
En Occitanie, il existe une quinzaine de cornemuses différentes.
Les Tradoctomnales, je n'y passe que la soirée du samedi, mais j'y suis fidèle depuis des années, parce qu'on y est toujours bien reçu, en particulier par des jeunes parce que les créateurs organisateurs ont su entraîner leurs enfants dans leur sillage.
En plus j'aime bien leur programmation, dans laquelle figure généralement Parpalhon ( = Papillon, en gascon ), un groupe Bigourdan.
Cette année, décidément, on était dans la transmission des générations puisque dans le premier groupe, un duo, jouait le fils d'un musicien de Parpalhon.
La poule au pot était délicieuse et nous avons eu le plaisir de discuter agréablement avec un jeune qui a découvert le trad récemment, et qu'on croise parfois en bal.
Pour donner une impression de la soirée, un cercle circassien de Paprpalhon :
@Gaip c'est pas grave si c'est éphémère.
En vieillissant, je ralentis un peu... et je me rends compte que je procrastine de moins en moins.
Et après une période d'écrans intense ( puis d'insomnie ) me voilà replongée dans les lectures, en français et en occitan.
L'éphémère, c'est un bon début !
Rien, en fait.
Surtout pas recommencer, parce qu'il m'a fallu beaucoup de temps, d'épreuves, de chagrins pour apprendre à être heureuse.
Maintenant, j'ai l'impression de vivre mon âge d'or...
Et je sais que ça peut continuer encore assez longtemps, alors, je profite !
@Hilda-Van-Holp
Tu es jeune, toi !
Non, le vrai, c'est avec Jean Marais, et Bourvil !
@Fenixia
J'aimerais bien revoir le VRAI bossu...
Mais bon, j'ai bien dû le voir une cinquantaine de fois, toujours avant Noël...
Après plusieurs années à pratiquer le jeûne hydrique pendant une semaine, deux fois par ans, ça a commencer à devenir plus difficile.
Raccourcir la durée du jeûne ne m'a pas convenu, j'avais tendance à bâcler les descentes alimentaires et les effets bénéfiques étaient beaucoup moins sensibles.
Soudain, je me suis sentie prête à passer au jeûne intermittent, organisé différemment de ce qui est proposé plus haut.
Je suis aussi en 18/6, mais je mange entre 9h et 15 heures. Jeûner le soir m'évite les tentations de grignotages et d'addictions au sucre.
Je prends un solide petit déjeuner ( plutôt salé ) et un bon déjeuner. Je pense en faire mon quotidien... sans renoncer à nos sorties restaurant, repas avant ou autres auberges espagnoles qui ne constituent pas plus qu'une entorse par semaine. L'après midi et le soir, je m'autorise eau, tisanes et bouillons filtrés.
J'ai retrouvé le sommeil ( après une longue période d'insomnie), je me réveille en forme et je peux continuer à " tout danser" pendant les bal occitans.
Je ne peux pas mettre la photo, mais mon compagnon, en coupant du bois, a rencontré un des tritons marbrés qui pondent et naissent dans ma piscine : c'est aussi tacheté, mais vert et noir.
C'était une femelle, avec une ligne orange sur le dos.
Les mâles ont une crête dorsale.
Pendants les vacances, j'ai fait du trafic : boutures de chou perpétuel contre pots de confiture.
Mes petits enfants en bénéficient et je rends à César...
L'intérêt, c'est de prendre l'habitude de "profiter" de tout ce que la vie nous offre.
Même dans les épreuves, il y a parfois un cadeau caché...
@Cygoris
Il a raison, on ne pleure jamais volontairement.
C'est pénible, ces gouttes d'yeux qui coulent sans notre autorisation !
@Jabba-the-Hutt
Oui, je sais... Mais ce sont pourtant les échanges économiques les plus primitifs, naturels, et je n'ai pas envie qu'ils disparaissent... alors que maintenant, on les considère presque comme une escroquerie !
@ANNE5983
Je me suis interdit, au passage à l'euro, de convertir chaque opération en franc, du coup, je ne veux plus changer.
Par contre, au moment où on s'interroge de supprimer les espèces, moi je trouve qu'il faudrait interdire tout autre moyen de paiement.
Et favoriser le troc et les échanges de services...
@ANNE5983
Je pense que ça a dû changer...
On était aussi passé devant le juge des tutelles pour que mon compagnon ait l'autorité parentale et quelques mois après ma fille le père d'un enfant naturel l'avait automatiquement s'il reconnaissait l'enfant.
@ANNE5983
Non, il les a déclarés... à 16 mois d'intervalle !
( En fait, parfois, j'avais un peu 'impression d'avoir des jumeaux, mais il ont eu chacun leur grossesse )
@ANNE5983
La sage femme qui me préparait à l'accouchement m'avais prévenue, et nous sommes allés à la mairie pendant ma grossesse.
Je ne me souviens plus des détails, parce qu'on ne voulait pas connaître le sexe de l'enfant avant, mais je sais qu'on a fait une démarche ensemble à la mairie de l'Isle Jourdain, et ensuite, le jour de la naissance, mon compagnon les a déclaré à la mairie de Toulouse.
Je commencerai bien sûr par la plus occitane :
Jean Petit qui danse, ou originellement en langue occitane Joan Petit que dança, est une chanson populaire et une comptine d'origine occitane.
Elle est connue sous le titre Joan Petit en occitan et catalan. Elle a par la suite été adaptée en français mais aussi en breton sous le titre de Yann Gorig o tañsal.
Le titre, en français est une traduction adaptée du titre occitan « Joan Petit que dança », littéralement « Jean Petit danse ». Selon certaines hypothèses folkloriques, le titre ferait référence au supplice de la roue, au cours duquel les membres du condamné sont brisés un à un, que subit Jean Petit, un des chefs de l'insurrection des croquants de 1643.
Il était courant en ces temps de laisser un corps entrer en décomposition avancée sur les entrées des villes concernées pour rappeler aux badauds de passage ce qu'il en coûtait de défier les autorités. On appelait cela à l'époque « faire danser un corps » jusqu'à ce qu'il se détache par morceaux. Le corps soumis à la roue se détachait ainsi en morceaux éparses et divers.