@Jami
Je ne convoque plus les croyances, que ce soit religieuses ou ésotériques.
Par contre, j'essaie de vivre les expériences qui se présentent à moi et effectivement, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas... il est inutile d'insister : Il ne te fallait pas de café ce matin !
Donc, hier, nous sommes partis à la recherche de l'abbé Vincent ...
Je ne m'étais jamais autant amusée depuis que j'ai arrêté les stages BAFA, où nous faisions des "jeux dramatiques"
Une caisse, apportée par deux ouvriers et laissée dans la cour d'entrée de l'abbaye d'est mise à fumer, faire du bruit, trembler et un personnage étrange en est sorti.
A nos masques, il a tout de suite compris que nous étions dans les années 2020 ( au passage, il nous a prévenu qu'on en avait pour un moment ... ). Il avait mal réglé sa machine, il voulait se rendre en 1575 pour y résoudre un mystère. Nous lui avons proposé de l'aider et comme nous ne pouvions pas entrer tous dans la caisse, nous sommes partis de l'abbatiale.
Arrivés à bon port, nous nous sommes séparés en 3 groupes pour nous promener dans le jardin. Nous y avons rencontré des personnages dans des scènes. Au bout d'un moment, ils pouvaient nous voir et nous entendre et nous pouvions les questionner.
En pleine guerre de religions, les protestants étaient bien sûrs suspects, mais le doute planait sur la nature de la disparition du père Vincent ...
Après avoir assisté aux trois scènes, ( notre temps était réglé par une cloche ), nous avons assisté à une attaque : un des moines et un visiteurs étaient effectivement des huguenots, avaient ouvert la porte à leurs comparses et ont massacré les 6 moines.
L'abbé Vincent était effectivement avec eux... mais a été retrouvé mort, poignardé.
Un parchemin en latin faisant allusion à une prédiction datant de 1375 ayant été retrouvé, nous sommes retournés dans l'abbatiale pour retourner deux siècles en arrière.
Dans le cloître, nous avons assisté aux obsèques de l'abbé, puis nous avons pu interrogé les moins de cette époque, un vicomte qui voulait leur acheter une vigne et une grand dame mystique.
Nous sommes ensuite revenus au 21ième siècle pour répondre à un questionnaire, avant de retrouver notre point de départ pour assister aux scènes des meurtres qui donnaient les réponses.
Le guide nous a ensuite rendu "les copies" :
Les notes s'étalaient de 11 a 15, nous avions 14 !
Mais surtout, nous étions éreintés, mais ravis de notre après midi.
@ayamé
Je n'aimais pas trop ça non plus, je pratiquais le brushing écolo.
J'avais acheté un sèche cheveux, mais c'était pour nettoyer l'aspirateur.
Mais maintenant, quand je me lave les cheveux, je fais la tresse cheveux mouillés mais avec le sèche cheveux, je sèche sous la nuque pour ne pas aggraver les douleurs aux cervicales. Dur dur d'être une vieille dame ! 
Pour moi, la taquinerie est associée à une certaine complicité.
Mon chanteur préféré, samedi, m'a dédicacé spécialement un morceau au fifre le plus aigu, parce qu'il sait que je n'aime pas du tout ce son.
En retour, après un commentaire très élogieux sur son spectacle ( que j'adore ) je l'ai traité de crapaud pour cette dédicace. On se permet ces taquineries parce qu'on se connait bien et on s'aime bien.
La taquinerie ne contient pas d'agressivité.
Quand les enfant se chamaillent, il s'agit en général, au départ, d'un petit conflit sans gravité, mais qui généralement prend vite de l'ampleur. Et c'est pareil chez les adultes. La seule différence étant que les enfants, après s'être sérieusement fâchés la veille peuvent rejouer ensemble le lendemain sans difficulté. Les adultes.plus difficilement.
Ce matin, réveil tardif ( à force de faire la fête ... ) et départ pour les automnales de Monfort.
Nous en sommes revenus avec des graines, de l'ail et un pain d'épeautre.
Encore une baignade à 21 degrés...
Maintenant... je ne bouge plus !
Chic ! Un permapote !
Bonjours et bienvenue, @Barbouille !
Nouveaux symptômes ce matin :
j'arrache l'herbe autour de la piscine tous les jours, mais juste ce qu'il faut pour les poules et Jérémy la tortue.
Je garde soigneusement les pieds de plantain et de pissenlit parce que c'est ce que Jérémy préfère.
Quand je vois une herbe que je ne connais pas, je la cherche sur plantNet et je vérifie qu'elle n'est pas toxique avant de la donner aux poules.
Je tiens à donner quelques éclaircissements par rapport aux nouvelles décisions du gouvernement :
https://www.facebook.com/brainmagazine/photos/a.10150481208861562/10160400038646562/
Merci à tous...
Les chiens ont amené les gendarmes à la gare, ils pensent qu'il est parti sur Toulouse car il y a beaucoup de contacts.
@Marie-Thérèse
De deux choses l'une :
Ou ton terrain n'est pas assez sablonné, ou c'est un câlin collectif !
@ANNE5983
La sage femme qui me préparait à l'accouchement m'avais prévenue, et nous sommes allés à la mairie pendant ma grossesse.
Je ne me souviens plus des détails, parce qu'on ne voulait pas connaître le sexe de l'enfant avant, mais je sais qu'on a fait une démarche ensemble à la mairie de l'Isle Jourdain, et ensuite, le jour de la naissance, mon compagnon les a déclaré à la mairie de Toulouse.
@chibi
Je vais en parler directement avec Caroline l'infirmière psy qui suit Lambert depuis sa première hospitalisation.
@Ravi-Olive
Je vais te donner une réponse... qui ne répond pas à la question que tu te poses, mais tant pis !
Un arbre vivant, c'est un arbre vivant, qui préserve le vivant, même s'il ne donne pas de fruit... alors, c'est précieux...
@ANNE5983
Non, il les a déclarés... à 16 mois d'intervalle !
( En fait, parfois, j'avais un peu 'impression d'avoir des jumeaux, mais il ont eu chacun leur grossesse )
" Ce COVID, j'en ai ma dose !"
Je ne sais pas si cette pub répétitive vous fait le même effet qu'à moi, mais perso, elle me donne envie de me dévacciner !
On peut difficilement faire plus contre productif, comme incitation !
Je ne suis allée à l'école qu'à 5 ans.
Du coup, j'ai appris à lire en quelques mois, parce que je rêvais de pouvoir me lire des histoires toute seule.
Ça a été le début d'innombrables plaisirs, mais aussi de l'horreur des " leçons de lectures" mortellement ennuyeuses. A cette époque là, seule la lecture à haute voix était enseignée, et il fallait subir le ânonnement du même texte rabâché et en plus, comme ça m'ennuyait, je lisais autre chose et quand c'était mon tour, je ne savais jamais où on en était et je me faisais gronder.