@Roma31
Je voulais mettre ça :
mais on allait encore le dire que c'était moche
Alors j'ai cherché et j'ai trouvé.
Je fais des progrès, hein !
@Roma31
Je voulais mettre ça :
@agathe
Non, au contraire, les douleurs me laissent tranquille... jusqu'au moment où la gourmande que je suis recraque un peu trop sur des céréales ou des sucres.
Les deux grosses poussées d'arthrose que j'ai faites me provoquant un épanchement de synovie et une tendinite, c'était pendant le premier confinement : J'étais seule et je me remontait un peu trop le moral en grignotant.
Mon médecin traitant et mon neurologue ( je suis migraineuse, et là, par contre, je n'ai pas réussi à vaincre les migraine de façon durable ) savent que je jeûne et ne me le déconseillent pas.
@peri
C'est un outil parmi d'autres dans le cadre d'une pédagogie bienveillante qui encourage les enfants à exprimer leurs émotions.
A côté du banc de l'amitié, ou de solitude, il y a les boîtes à colère ( rebaptisées souvent par les enfants boîtes à gros mots), le punshing ball, la météo de l'humeur, et tout ce qu'on peut inventer.
Tout cela est pratiqué dans des écoles primaires mais ne peut pas être "plaqué".
Au collège, les jeunes devraient être plus aptes à verbaliser leurs émotions, si on leur offre un cadre adapté et facilitant, à construire avec eux.
@laetie1804
Où as-tu vu des serpents ?
@Cami et moi, on a photographié Ursule et Aglaé.
@laetie1804
Il y a deux écoles :
Ceux qui apprécient les fromages affinés
et ma fille
D'une génération où le concept n'existait pas encore, je me suis entendu reprocher d'être "trop sensible" toute mon enfance et mon adolescence.
Du coup, c'est une question que je refuse de me poser.
Quand une émotion négative me submerge, je préfère me retirer un moment pour observer cette émotion et l'apprivoiser.
Et les émotions positives... j'en profite à fond...
Oc, le lus âgé de mes chiens est hypersensible...
Je pense qu'il a fait une véritable dépression quand nous avons perdu, son vieux copain qui était déjà là quand il est arrivé à la maison.
Avec lui, il faut être très doux : dès qu'il est ému ou stressé, il pisse !
Par contre c'est un grand câlinou qui grimpe sur les genoux dès que possible.
Non, le second, a un appel au jeu particulier : Il fait mine d'aboyer, mais sans sortir de son. Contrairement aux autres, il n'aime sortir que s'il fait beau et dans le cas contraire, il se cache...
Benlèu, la plus petite est un mélange des deux. très joueuse, elle a sa façon de réclamer les câlins le soir.
Mon compagnon, monte en général le premier dans la chambre. Quand il me dit bonsoir, elle saute sur le canapé pour avoir sa part de câlins.
Quand je leur annonce qu'ils vont aller à la niche, les deux mâles vont à la porte et elle se place devant mes pieds pour que je la porte dehors...
Trois chiens, trois modes d'emploi....
Allez, un, deux, trois, toutes ensemble !
En sillonnant les coins de campagne ( en particulier du sud ouest ), j'ai découvert que le préalable :
-Je n'ai rien à vous donner à manger !
était souvent très prometteur.
J'ai déjà parlé quelque part de ma collègue chez qui les repas improvisés " quand elle n'avait rien" consistaient en un saucisson fait maison et du confit de canard avec des frites ou des pâtes...
Il y avait aussi l'auberge de las crespos, il y a longtemps, tenue par une vieille dame qui engueulait systématiquement les clients arrivés à plus de deux :
-Mais vous venez à tout ce monde sans prévenir ! Tant pis pour vous, vous mangerez ce qu'il y a !
Et il y avait la salade gasconne, le magret et les cèpes cuits en papillotes à la cheminée, suivis de profiteroles...
Alors, on revenait, sans prévenir...
Et vous, avez vous souvenir de festins improvisés servis en abondance dans les protestations : Mais je n'ai rien à vous donner à manger !
Ça fait longtemps qu'on ne me l'a plus fait, mais à une époque, dès que je me trouvais dans un groupe où il y avait des enfants, il y avait toujours un parent pour dire d'un ton menaçant ( quand son rejeton commençait à jouer un peu bruyamment à son gré ) :
C'est ainsi que j'ai traumatisé plein d'enfants à l'insu de mon plein gré ...
Pour moi, la personne actuelle qui correspond vraiment à ce que je ressens comme " avoir de la classe", c'est lui :
Être invisible ne m'a jamais fait rêver.
Non, moi, ce qui m'aurait bien plu, c'est de pouvoir m'envoler.
Un importun, un danger ? Et hop, à la cime d'un arbre ou derrière une cheminée...
C'est bien aussi, ça non ?
Cueillette du matin :
feuilles de plantain, feuilles de pissenlit, pousses florales de lamier pourpre et fleurs de pâquerettes.
Un bon repas pour Jérémy :
Et pour nous, une excellente salade :
Un peu d'amertume avec le pissenlit et et le plantain, un petit goût de champignon avec le lamier, un peu de pomme pour adoucir, l'acidulé de la pâquerette, des graines de chia et du gomasio, un peu de vinaigre de cidre, de l'huile de cameline ... miam !
C'est une réflexion du Joe, sur facebook
Un shampoing pour cheveux blancs
et un baume pour ne pas casser un peigne par semaine
Petite, je croyais que quand je serai ( enfin ) grande, mes parents deviendraient petits.
Surtout les jours d'incompréhension mutuelle où je ruminais des idées de vengeance...
Comme je n'avais pas de basilic, j'ai mis des feuilles d'alliaires.
Comme je n'avais pas de pignons de pin, j'ai mis des noix de cajou.
Comme je n'avais pas de parmesan, j'ai mis un peu d’emmental.
Comme l'alliaire a déjà un goût alliacé je n'ai pas mis d'ail.
De l'huile d'olive, ça, j'en ai toujours...
Et il était bon, mon pesto !
Bon, je viens plaider coupable :
Normalement, je devrais être d'accord avec Hornet.
Sauf que ... j'habite dans le Gers, bien connu pour ses petits producteurs ( à l'origine d'oies, maintenant, c'est plus canards ).
Et j'ai habitué ma famille au foie gras ( au torchon ) du jour de Noël.
Alors, le 25 décembre ( et les 3 jours de préparation avant ) je suis contre l'interdiction.
Mais, bien évidemment, je suis pour tout le reste de l'année.