@Doc-Cranium non, dans les collèges. La vaccination est possible à partir de 11 ans, donc la campagne commencera l'année prochaine pour les élèves qui entrent en 5e.

Les infos sont disponibles sur le site du gouvernement.

@Doc-Cranium Dans mon cas, la vaccination s'est fait en plusieurs étapes. Deux premières injections à 12 ans (6e primaire - Belgique), et la dernière à 14 ans (2e secondaire - Belgique), et le produit fait hyper mal.

@LeaPierce en France c'est seulement deux injections (espacées de 6 mois à un an) pour les 11-14 ans, et trois injections pour les 15-19 ans.

@Yennefer du coup, j'en ai sans doute eu que deux mais j'avoue les souvenirs sont flous.

Je l'ai fait et je ne regrette pas. Je trouve qu'il est important de le faire comme d'autres vaccins.

Ça fait peu de temps qu'on en parle de ce vaccin pour les hommes, mon fils ne l'a pas eu, ça n'était pas proposé quand il était enfant. Et après aussi, bilan de santé à 18 ans pas proposé.

@Cynthia80 en parlant de nouveautés : est-ce que tu sais si c'est nouveau aussi d'espacer les frottis selon le résultat du dépistage du papillo' ??

@Marcel a dit dans Le vaccin contre le papillomavirus :

@Cynthia80 en parlant de nouveautés : est-ce que tu sais si c'est nouveau aussi d'espacer les frottis selon le résultat du dépistage du papillo' ??

https://www.has-sante.fr/jcms/p_3192618/fr/depistage-du-cancer-du-col-de-l-uterus-le-test-hpv-hr-recommande-chez-les-femmes-de-plus-de-30-ans

Je vais encore me faire traiter de complotiste, mais bon sang, posons-nous des questions au lieu de gober tout cru les diktats imposés par les labos pharmaceutiques qui ne pensent qu'à faire des profits, notre santé n'étant pas leur réelle préoccupation !

Actualité concernant cette vaccination revenue sur le devant de la scène, début mars, après les propos d’Emmanuel Macron.
Le laboratoire pharmaceutique Merck (MSD) à l’origine du 1er vaccin anti-HPV, le Gardasil, fait l’objet d’un procès aux Etats-Unis. En cause : une mise sur le marché, suite à l’approbation de la FDA en 2006, “basée sur des recherches trompeuses et des essais cliniques qui ont déformé l'efficacité du vaccin tout en dissimulant ses effets secondaires”. Des effets secondaires graves dissimulés aux utilisateurs. Des bénéfices exagérés quant à la réalité des faits.
Des recherches trompeuses parce qu’elles n’ont pas été menées par des scientifiques indépendants mais par des chercheurs directement sponsorisés par les laboratoires pharmaceutiques.
Les chercheurs financés par Merck se sont intéressés à l’apparition de lésions précancéreuses, signe avant-coureur d’un futur cancer dont on sait qu'ils disparaissent dans 75 % des cas, au bout d’1 an, 90% dans les 2 ans.
Les études en question n’étant pas suffisamment longues et les lésions en question pouvant disparaître spontanément, il est, là aussi, concrètement impossible d’établir l’influence du vaccin sur leur non-apparition ou disparition.
Pourtant, les scientifiques se sont contentés de cela pour conclure à une efficacité de 90 %, quasiment aussi miraculeux que les vaccins anti-Covid !
Propos de la Haute Autorité de Santé : “Près de 80 % des personnes seront infectées par le virus HPV au cours de leur vie. La plupart des infections ont lieu lors des premiers rapports sexuels. Dans environ 90 % des cas, le virus HPV aura disparu dans les 2 ans, et l’infection sera sans conséquence.”
De plus, si lésions précancéreuses il y a, ce n’est qu’au bout de plusieurs, voire dizaines d’années, qu’elles évolueront “peut-être” en cancers, laissant un temps suffisamment long pour se faire dépister et traiter si nécessaire.
Ainsi, avec un dépistage fréquent et un suivi adapté, la vaccination n’était pas une nécessité au début des années 2000.
Pourtant, à la manière d’un bon commercial, Merck a créé de la demande pour son produit, là où quelques mois auparavant il n’y en avait pas, et ce, à grands renforts de campagnes de “ sensibilisation ”, jugées “ alarmistes ” par les avocats des plaignants. En quelques années, le cancer du col de l’utérus est ainsi devenu “ un véritable tueur de jeunes femmes ”.
Tandis que le vaccin était présenté comme le seul moyen de s’en prémunir… négligeant au passage la prévention et le dépistage par frottis. Puisque, rappelons-le, quand bien même le vaccin serait efficace, il ne protège que contre quelques-uns (4, puis 9 dès 2015) des HPV potentiellement cancérigènes (une vingtaine sur les 200 connus actuellement).
De graves effets secondaires dissimulés au public ?
Selon les avocats des plaignants, le Gardasil aurait augmenté, voire induit, le risque de maladies auto-immunes...( je vous les passe ). Depuis 2020, de plus en plus de plaintes ont été déposées à la suite de tels effets secondaires.
Des effets qui ont même été observés lors de précédentes recherches, notamment en 2014, lors d’une étude conjointe de l’ANSM (Agence nationale française de la sécurité des médicaments) et de l’Assurance maladie. Mais qui ont été jugés minimes comparé aux “ bénéfices ” de la vaccination.
Des bénéfices exagérés, car l’incidence du cancer du col de l’utérus ne diminue pas dans les pays qui vaccinent le plus. Aux dernières nouvelles, toutes les dates de procès ont été regroupées et repoussées à septembre 2024.
Avec un tel dossier au tribunal, le gouvernement français ferait mieux d’en attendre le verdict avant de se hâter vers une campagne de vaccination aux risques non mesurés.
Mellie pour Santé Non Censurée.

@ayamé pour une fois, je suis d'accord. Tous les cancers du col ne sont pas liés au hpv du vaccin. Et je trouve en plus le dépistage actuel bien trop léger par rapport à ma jeunesse, on ne dépiste pas les cancers non hpv qui existent aussi.

@Cynthia80 : ravie de voir que nous ne sommes pas toujours en conflit toutes les 2 .
Et oui, les cancers non hpv, ne les oublions pas ceux-là, car je crains que les femmes fassent moins de frottis, se croyant protégées par le vaccin ! Quand je travaillais en cancérologie, j'en ai vu mourir, des femmes, de ces cancers-là !

@ayamé je ne suis pas tout à fait d'accord quand tu dis qu'on ne communique que sur le vaccin. Je pense que tu ne trouveras pas beaucoup de médecins qui te diront qu'une femme peut se passer de dépistage quand elle est vaccinée, on n'a jamais autant envoyé de courrier de rappels pour les frottis et fait de sensibilisation sur son importance ... Même sur le site du gouvernement (je suis pourtant très loin de croire tout ce qu'il nous raconte), on peut lire :

Spoiler

Lien

Je ne vois pas vraiment d'apologie bête et méchante du vaccin, pour le coup.

Et sinon, je ne traite personne de quoi que ce soit. A mon avis on essaie tous de faire au mieux pour notre propre santé, notre propre corps, avec la masse d'informations contradictoires dont on dispose. Personnellement je fais plutôt confiance par principe (sans non plus être pour le tout médicalisé, loin de là) car je n'ai pas les connaissances scientifiques nécessaires et je ne connais personne qui les ait. Je n'arrive pas à m'y retrouver avec toutes ces publications, à savoir qui dit vrai, quoi croire etc ... donc en général j'ai tendance à me fier aux recommandations en matière de vaccins. Mais maintenant je comprends complètement qu'on fasse les choses différemment et c'est toujours intéressant de lire d'autres sons de cloche, d'autres sources.

@Yennefer non le depistage a baissé car on fait le test hpv de 30 à 65 ans au lieu de l'examen cytologique, donc on ne dépiste plus les cancers non hpv.

En tous cas, ce que je constate c'est qu'avant on me proposait un frottis tous les 2 ans. Maintenant qu'on m'a testée négative au papillo', on m'a dit "tous les 5 ans"

@Marcel : 5 ans, c'est trop long. Tous les 3 ans serait raisonnable, à mon humble avis.

@Cynthia80 je l'ignorais, merci pour la précision.

@Marcel 5 ans ! Je suis choquée .
Pour ma part j'avais RDV chez la gynéco tous les ans quand je prenais la pilule (car ma médecin généraliste refuse de prescrire une contraception aux patientes qui ne réalisent pas leur suivi gynécologique avec elle) et elle réalisait un frottis à chaque fois.
Maintenant que je ne suis plus sous pilule j'ai RDV pour un frottis tous les deux ans (pourtant je n'ai pas de problème gynécologique, d'IST ou quoi que ce soit qui nécessite un suivi régulier).

@ayamé @Yennefer je trouve ça bizarre aussi... Tous les 2 ans, je trouvais que c'était bien. J'en reparlerai avec mon médecin à l'occase car ça ne me paraît pas rassurant non plus.

Pour les frottis, ça dépend peut-être de l'âge de la personne...
Moi, je fais un frottis tous les 6 mois ^^
mais j'avoue que je ne sais pas ce que teste le labo une fois que le prélèvement leur arrive.

Merci, @ayamé d'avoir prit le temps de nous apporter ton point de vue et ces renseignements. Toutefois, l'article que j'ai pu lire (en anglais) sur le site de l'ECDE fait référence à bien plus d'études que celle qui est décriée dans ton argumentation.
Par ailleurs, il faut savoir que la décision d'encourager la vaccination n'est pas une décision franco-française, elle concerne toute l'Europe.
La décision, en France, d'encourager la vaccination des filles ne date pas d'hier. Elle date de 2011. C'est la recommandation pour la vaccination des garçons qui plus récente - 2021.

enfin, j'ai du mal avec ton argumentation qui voudrait que avec un dépistage régulier, on peut détecter le cancer très tôt et donc, le traiter et en guérir. Il me semble moi, d'une part, que si on a le choix entre "on évite de développer un cancer" et "on s'efforce de détecter le cancer pour le soigner au plus tôt", ben, je préfère encore la solution 1. Ensuite, c'est oublier que toutes les femmes ne se font pas tester régulièrement et pour un certain nombre d'entre elles, quand on constate le problème, il est déjà un peu - voire carrément - trop tard. Alors, même si, effectivement le PVH n'est pas la seule et unique cause des cancers du col de l'utérus, il reste néanmoins la cause de 95% d'entre eux (selon le site de l'OMS) ! Et ce ne serait pas rien de parvenir à s'en prémunir avec le vaccin contre le PHV.

mes sources (certaines sont en anglais.. désolée):
ECDC
OMS
Eurosurveillance

@Artelise en France ils ont diminué le remboursement des frottis, les recommandations sont pour un dépistage hpv tous les 2 ans et si negatif tous les 5 ans, il n'y a plus de frottis cytologique si hpv négatif par économie... on ne fait pas un frottis tous les 6 mois!

Et le dépistage s'arrête à 65 ans alors que les femmes âgées aussi font un cancer du col, c'était le cas de ma mère à 75 ans, plus de frottis à cet âge, ça a été découvert déjà tumoral car hpv négatif.

@Cynthia80

argument qui semble aller dans le sens du vaccin, du coup ^^