Bayonetta Origins: Cereza and the Lost Demon est un jeu de Nintendo et PlatinumGames dispo le 17 mars 2023.
C'est une préquelle de la série Bayonetta, quand la jeune sorcière alors novice se nommait Cereza.
Contrairement aux jeux de la série principale, Bayonetta Origins n'est pas un BTA nerveux mais un jeu d'aventure dans une DA enchanteresse loin de l'univers de la sorcière sexy.
Jamais fait les Bayonetta. Simplement pas ma came. Mais cet Origins l'est bien davantage et la DA m'enchante complètement tant visuellement que musicalement.
Puis cette couv incroyable
Je crois que c'est la plus belle que j'aie vue sur Switch
@Hornet J'ai essayé Bayonetta parce que elle est jolie et l'histoire me motivait mais trop dur pour moi.
Dommage que le style graphique soit du DA du coup ca me hyppe pas beaucoup
L'inspi est clairement Ōkami tant dans la DA que dans le gameplay. La différence se situant dans la complémentarité entre Cereza et son démon Chouchou notamment en combat.
Toujours très intéressé pour ma part. Ce titre a un charme fou.
2 chapitres sont dispos, la sauvegarde est transposable au jeu complet alors foncez la faire.
Je suis super charmé dès le 1er chapitre comme attendu. La DA est une vraie merveille entre Ōkami et Paper Mario. Cependant le jeu est pas bien nerveux pour le moment : Cereza est notamment lente et ne court pas. J'attends toutefois de découvrir les combats.
Complètement sous le charme. Je confirme mon prochain achat les yeux fermés.
Le 1er chapitre pose des bases assez molles mais est suffisamment court pour ne pas ennuyer le joueur. Puis on rencontre le démon Chouchou et l'asymétrie du gameplay : stick et gâchettes gauches pour Cereza, droites pour Chouchou. La 1ere use principalement de pouvoirs de sorcière à distance, le démon de combat au corps-à-corps. Et cela fonctionne super bien.
Le jeu sera court : les 2 chapitres proposés constituent 10% de complétion. Je pense que le contexte du jeu se prête pas nécessairement à plus long alors je ne trouve pas cela honteux.
Peu d'exploration dans ces chapitres, très linéaires (bien que pour avancer il faille utiliser astucieusement les capacités des 2 persos, parfois seuls, parfois en coop). Je ne sais pas si cela changera.
Pas de coop 2 joueurs, dommage je pense que le jeu aurait pu s'y prêter.
Je trouve le gameplay assez laborieux, quand le gros bordel est bloqué par du romarin (bientôt les monstres intolérants au lactose ) et qu'il faut alterner les persos pour que la caméra suive parce qu'un est bloqué dans un coin mouais...
Pas fan non plus des très fréquents moments avec les fleurs là où il faut faire le jeu de rythme, ça donne une progression mollassonne et hachée.
Pas pour moi quoi.
If you want to touch the sky, fuck a duck and try to fly
75% de complétion en une quinzaine d'heures : pas de doute le contenu est solide. Je fais le tour des régions avec tous mes pouvoirs élémentaires avant d'aller botter le cul du boss final.
Ou ce que je suppose être le boss final, car le roi des fées vendu comme antagoniste n'est plus. Le jeune garçon et son loup blanc qui m'ont mené à eux sont certainement pas si blancs.
C'est super doux de parcourir ces aussi belles que dangereuses régions dans leurs moindres recoins, bien que la carte soit pas toujours super lisible : je rage souvent sans comprendre comment atteindre un point d'intérêt indiqué non loin de moi.
Le jeu a une composante metroidvania : on acquiert des pouvoirs élémentaires (la forêt, la terre, l'eau, le feu) qui permettent d'ouvrir de nouvelles régions et de revenir dans celles parcourues pour trouver de nouveaux secrets.
On trouve ainsi des coffres, des perles lunaires pour Cereza ou fruits du démon pour Chouchou qui permettent de booster nos capacités en combat par un arbre de compétence, mais aussi des wisps : des âmes d'enfants perdus dans la forêt qui rejoignent leur refuge quand on les sauve. J'aurais bien mis ici la merveilleuse musique du refuge mais l'OST complète est introuvable !
On a aussi les Tír na nÓg, sortes de donjons comparables aux sanctuaires de Breath of the Wild qui altèrent les environs. Le plus souvent des bêtes combats en arènes optionnels, mais aussi des obligatoires plus longs avec des énigmes. Dommage il y a pas assez de ces derniers : les énigmes sont de loin plus intéressantes que les arènes redondantes. Quand on finit un Tír na nÓg les brumes environnantes se lèvent et on peut découvrir de nouveaux chemins et secrets.
Enfin il y a naturellement bcp de combats contre les fées (comme leur nom ne l'indique pas ce sont les antagonistes) souvent redondants mais pas suffisamment longs pour être vraiment pénibles, à l'exception de boss plus retors. Notamment le dragon Jabberwock, 3eme boss qui constitue un pic de difficulté franchement surprenant au regard de la 1ere moitié du jeu qui est vraiment facile. Dommage car le jeu est bien équilibré sauf ce combat (le 4eme boss est bien plus facile et court !)
Parait que le boss final est un nouveau pic de difficulté : je vais le découvrir rapidement. Mais avant : on ratisse la forêt d'Avalon pour trouver tous les collectables.