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Vous savez ce qui est bien avec les projets pharaoniques dont il était évident au premier coup d'oeil que ça allait se casser la gueule ?
Ben, c'est quand ça finit -ô surprise- par se casser la gueule.
Je viens d'apprendre que le parc Disney World Resort (Floride) abandonne son attraction Star Wars : Galactic Starcruiser au bout d'un an et demi d'exploitation.
En gros, il y était question d'un séjour all inclusive de deux jours dans un hôtel aux allures de vaisseau spatial, auquel se greffaient des jeux et une expérience narrative immersive, le tout à huis clos.
Principaux soucis :
- c'était monstrueusement cher : 1200 dollars par jour et par tête, et quelques 4800 dollars pour 2 personnes sur 2 jours. Pour le même budget, vous pouvez vous offrir une semaine aux Maldives ou dans une station de sports d'hiver.
- c'était plutôt moche. L'attraction misait essentiellement sur le design d'un genre de vaisseau croisière 3 étoiles, bien loin de l'esprit "junkyard SciFi", rouillé et cabossé, qui faisait l'ADN et le charme de la saga de Georges Lucas. Par ailleurs, le fait que l'arc narratif choisi appartienne à la postlogie (la plus décriée des 3) n'a pas non plus aidé.
le projet
whoa, on voit l'espace.La réalité
Piaule de 8 mètres carré pour famille de 4, avec un pauvre
écran en guise de fenêtre. Claustrophobes s'abstenir... -
@Peri Si on veut vraiment dormir dans un hôtel façon vaisseau spatial, le Futuroscope en a sorti un sur cette thématique.
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En ce weekend prolongé que je vous souhaite bien agréable, petite page Greenpeace si je peux, où il y a aussi une pétition.
Pour avoir participé avec plaisir à une journée ferme ouverte il y a quelques semaines, j'ai eu envie de vous partager cette carte de France des fermes usines
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La Carte du monde en 1581
L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue
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Je ne m'en lasse pas...
C'est en occitan, mais sous-titré, et complètement loufoque.
https://www.france.tv/series-et-fictions/la-seria/ -
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@Cygoris maintenant, c'est google map.
et on voit ton jardin. lol ! -
@Cygoris
eh bien je trouve que c'est pas mal...
vu le peu de moyens techniques qu'ils avaient à l'époque par rapport à nous. -
@icescream
ce sera sans moi... -
@agathe a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
@Cygoris
eh bien je trouve que c'est pas mal...Grave. En particulier l'Afrique, ici très correctement proportionnée, en dépit de ses dimensions dantesques.
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tout à fait.
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@Peri a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
@agathe a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :
@Cygoris
eh bien je trouve que c'est pas mal...Grave. En particulier l'Afrique, ici très correctement proportionnée, en dépit de ses dimensions dantesques.
Je m'étonne tout de même que l'Afrique soit mieux dessinée que des lieux mieux connus à l'époque comme la côte nord de la méditerranée, le sud de la France et l'Italie sont fantaisistes.
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L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue
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@Cygoris
c'est toi ? -
https://www.france.tv/france-3/la-france-en-vrai/4182880-l-ecole-est-finie.html
Je vous mets le lien de ce documentaire qui relate le malaise de l'Education nationale. Je viens de finir de le visionner.
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@Antigua et ca parle de quoi ?
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@Kallindra voilà la présentation faite par France TV
Le 23 septembre 2019, trois semaines après la rentrée scolaire, Christine Renon, 58 ans, se donne la mort, dans l'école de Pantin dont elle est la directrice. Deux jours plus tôt, elle dénonçait ses conditions de travail dans une lettre bouleversante envoyée à ses pairs et à sa hiérarchie. Sa lettre, son geste ont créé une onde de choc à travers toute la société, et réuni une partie des enseignants sous le slogan : " Je suis Christine ! ". Mais qui sont-elles et qui sont-ils, en réalité, ces " Christine " ? Ils sont l'objet de beaucoup de fantasmes et de projections, on entend souvent parler d'eux, mais on les entend rarement parler d'eux-mêmes. Ce documentaire part à leur rencontre. Il donne la parole à cinq institutrices et instituteurs, pour certains également directrices ou directeurs de leur école primaire, exerçant dans différents contextes géographiques et sociaux, et retrace avec eux leur trajectoire et destin d'enseignants. Tous ont choisi ce métier par engagement ou vocation, animés par le besoin de trouver du sens, et ont vu leur idéalisme se heurter à la réalité du terrain. Tous ont vécu une crise professionnelle, qui a poussé certains au burn-out, voire à la démission. Ecouter leurs mots, observer leurs gestes habituellement invisibles, c'est approcher de manière sensible le coeur de leur existence : la joie et la difficulté d'enseigner. Dans ce documentaire, nous les filmerons uniquement dans leur environnement personnel et révélerons leur passion pour cette mission. Nous raconterons également la trajectoire de leur désenchantement : de l'enthousiasme et l'élan des débuts, jusqu'au point de rupture, suivi de la reconstruction hors ou au sein de l'école. En s'interrogeant sur ce métier que l'on croit pourtant si bien connaître, nous ferons émerger les enjeux politiques et sociétaux qui se cachent derrière le malaise des corps enseignants.
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@Cygoris J'adorais jouer au flipper quand j'étais petiot. Mon record : avoir trois parties gratuites !
Celà dit, il y a des flippers dont le panneau vertical étaient de vraies oeuvres d'art.
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la saladelle ! la fleur des gardians
elle pousse en camargue aux côtés des taureaux! des chevaux blanc et des flamants roses ! bercée par le mistral dans cette région sauvage si chère à mon coeur
